Karibu Kinshasa
Karibu Kinshasa Nous avons réunifié 570 enfants des rues dans leurs familles avec un taux d’échec de 4% en 12 ans
Nos principes d’action La place d’un enfant n’est ni dans la rue, ni dans un établissement mais dans sa famille ou il doit bénéficier d’amour, de protection et de soins C’est le souhait de tous les parents Nous ne suivons pas l’approche classique des placements en établissements car bien qu’ inévitables pour certains enfants, ils coûtent chers et ne génèrent pas de flux d’admission suffisant des enfants. L’organisation, la rigueur, le renouveau des méthodes doivent être au cœur de notre travail, ainsi que la pédagogie car toute innovation provoque des résistances
Nous cherchons les leviers multiplicateurs de l’efficacité de l’action: microcrédits, formations, mobilisation de l’entourrage. Les distributions d’argent ne servent à rien car elles prennent fin un jour sans suite Nous recherchons l’autonomie économique des familles, à leur donner les informations efficaces pour bien gérer leur vie
Le programme des 93 enfants cofinancé par l’ambassade de France en 2013-2014
Les familles 2016 avec les formateurs Le programme des 32 enfants en 2016 sur fonds propres
Syntia et Mushya 2016
Juillet 2016
Yves, coordinateur provisoire, 2016
L’équipe des salariés avec Léonard, responsable local de Karibu et directeur financier à la Banque Mondiale avec Agnès, Bing, Brigitte, Papy, Olivier et Ospy
Nos trois nouveaux Projets ccccc Nos trois nouveaux Projets
Un projet agricole d’un coût de 5400 $ Un projet de prévention santé ccccc Un projet agricole d’un coût de 5400 $ Un projet de prévention santé d’un coût de 1000 $ Un projet de mutuelle de crédit d’un coût de 900 $
Les constats sur lesquels s’appuient nos nouveaux projets: L’argent venant de France n’est pas inépuisable et il importe de générer des ressources locales qui renforceront la pérennité de nos actions L’innovation est le moteur de notre réussite: En prévention :les bouilles nutritives, le Moringa, En agriculture : la permaculture, les semences améliorées En commerce: le microcrédit, le marketing L’appropriation par les acteurs locaux nous apporte leurs compétences , leurs réseaux de relation et leur protection
Le Contexte La ville est en situation de dépendance alimentaire extérieure, notamment pour les produits vivriers, alors que le pays dispose d’un grand potentiel agricole avec la possibilité de trois à dix récoltes par an selon les cultures. Il est des phases de surproduction, d’instabilité des prix, le marché est assez fermé et subi de forts et réguliers arrivages de province
Budget du projet agricole Recettes annuelles par plantations : l’Amarante 1635 $ l’Oseille: 1670 $, l’Aubergine 2188 $, et l’Epinard 2995 $ Compte d’exploitation de la première année: Dépenses 5389 $ Recettes 8.490 $ Résultat 3100 $
Le projet agricole est quasiment prêt Nous disposons des moyens suivants : Un terrain de 352 M2 et cherchons encore 100 M 2 au bord de la rivière Nséle Ce terrain est desservi par la route à dix minutes à pied, irrigué par les équipements de la coopération Coréenne et sécurisé par l’armée et l’entourage agricole Deux formateurs agricoles et une validation par un organisme international « Agrisud » Un spécialiste de marketing qui encadre les ventes et oriente la production
Le projet d’éducation à la santé repose sur un médecin le Dr Matondo Des données fournies par le réseau Caritas Il comporte trois volets: 1 éducation à la santé sans financement 2 sensibilisation des enfants 3 prévention conventionnelle Le projet mutuelle de crédit repose sur Un consultant d’un cabinet spécialiste « la Termitière » Une superviseure membre de Caritas Il consiste à consolider en phase 2 l’activité économique des mamans sous la forme d’une tontine (petits groupes qui organisent les prêts entre membres à tour de rôle, il sera réservé aux familles qui auront remboursé le premier crédit,
Merci de votre attention