Rassembler les acteurs publics, privés et la société civile Depuis sa création en 2013, le LMI est passé de 8 à 20 membres Privé/Entreprises Public Société civile Entreprises : AG2R La Mondiale, Fondation Macif, Fondation d’Entreprise Michelin, Fondation PSA Peugeot Citroën, Keolis, Total, Transdev ; SNCF Pouvoirs publics : ADEME, Groupe La Poste, Pôle Emploi, CGET, EUP; Acteurs de l’économie sociale et solidaire : Croix Rouge Française, Fondation Agir Contre l’Exclusion (FACE), Fonds d’Action Sociale pour le Travail Temporaire (FASTT), Secours Catholique, Wimoov, Mob’in, Réseau APREVA
La mobilité : un facteur clé d’insertion sociale et de développement économique 7 millions / 20% de personnes en âge de travailler en difficulté de mobilité. 50% ont déjà dû refuser un emploi ou une formation faute de moyen de transport Un taux de chômage 5x plus élevé parmi les ménages modestes et sans voiture 66% des seniors résident dans les zones périurbaines et rurales 1,2 millions de seniors sont en isolement relationnel. 2 millions de personnes reconnues handicapées étaient au chômage en 2015 (soit 2 fois plus que la moyenne nationale) La part du budget consacrée à la mobilité dépasse 25 % du revenu des populations les plus vulnérable (contre 12 % moyenne nationale) La mobilité est un facteur clé d’insertion sociale et de développement économique. Pourtant, des segments importants de la population rencontrent des difficultés significatives dans l’organisation de leurs déplacements, ce qui constitue un obstacle majeur pour leur insertion professionnelle et sociale. A l’heure où la question du lien social est de plus en plus importante et où la lutte contre le chômage constitue une priorité nationale, l’accès à la mobilité est une nécessité qui passe notamment par une meilleure prise en compte des besoins des populations les plus vulnérables (travailleurs précaires, seniors, jeunes, personnes en situation de handicap, jeunes publics, etc.). Au-delà des aspects socioéconomiques, la convergence entre mobilités durable et inclusive est une nécessité : toutes deux participent de la transition énergétique (la mobilité inclusive constitue le pilier « social » de la mobilité durable). Avec un défi transversal majeur : faciliter l’émergence de solutions accessibles à tous (y compris en zones rurales), tenant compte également des nouveaux enjeux liés aux transformations numériques (évolution des outils, pratiques, usages) qui impactent particulièrement le secteur du transport.
Un monde en pleine transformation mais pas pour tous 13% des Français sont en pénibilité numérique . 7 millions d’internautes distants mal à l’aise 40% des publics en précarité sont en difficulté numérique 50% des non-internautes sont dans des communes de -20.000 habitants 60% du monde rural et 65% des hbts de villes moyennes se déclarent compétents contre 76% des parisiens 33% des distants et 66% des non-internautes ont + de 65 ans 17% des des 12-17ans se sentent peu ou pas compétents 74% des parisiens ont effectué des démarches administratives sur @ contre 61% des hbts de villes moyennes . 43% du monde rural inquiet à l’idée de devoir effectuer des démarches administratives … au même titre que 23% des 18-24 ans Les constats et recommandations du LMI au cœur du rapport IGAS/IGF au premier Ministre « la mobilité géographique des travailleurs » 2016: La faible présence des enjeux de mobilité quotidienne dans le débat public en dépit d’enjeux socio économiques majeurs L’enjeu des mobilités quotidiennes pour l’accès à l’emploi L’existence de freins à la mobilité pendulaires : coût permis de conduire, véhicule, difficultés d’usage des transports publics, déficits de compétences… La complexité des aides à la mobilité Le besoin d’apprentissage de la mobilité La gouvernance des politiques de mobilité des actifs 33% des Français pour un accompagnement dans un lieu dédié
Faire face à la digitalisation Un modèle 100% digital n’est pas envisageable Conserver les 3 connecteurs : physique, humain et digital Inciter et accompagner l’utilisation du digital Des publics fragiles Favoriser l’accès solidaire Développer l’accompagnement social et numérique Des acteurs sociaux Favoriser le diagnostic et l’orientation Leur fournir des outils pédagogiques Des collectivités Evaluer les publics et acteurs du territoire Mettre en place un réseau d’accompagnement Des opérateurs Evaluer le public en pénibilité Leur fournir formations et outils pédagogiques ciblés. Les constats et recommandations du LMI au cœur du rapport IGAS/IGF au premier Ministre « la mobilité géographique des travailleurs » 2016: La faible présence des enjeux de mobilité quotidienne dans le débat public en dépit d’enjeux socio économiques majeurs L’enjeu des mobilités quotidiennes pour l’accès à l’emploi L’existence de freins à la mobilité pendulaires : coût permis de conduire, véhicule, difficultés d’usage des transports publics, déficits de compétences… La complexité des aides à la mobilité Le besoin d’apprentissage de la mobilité La gouvernance des politiques de mobilité des actifs