Vers un service d’apprentissage virtuel pour le Québec Présentation à l’Association des directions générales des commissions scolaires Pierre Giguère 25 octobre 2013
Contenu de la présentation 1. Le concept d'école virtuelle 2. L'avis de la SOFAD de novembre Pourquoi un service d’apprentissage virtuel? 4. Origine et développement des écoles virtuelles 5. Plus près de nous : le cas de l'Ontario 6. En attente d’une politique de la formation à distance 7. Une priorité de développement stratégique pour la SOFAD 8. La mise sur pied d'un comité de travail vers un service d’apprentissage virtuel pour le Québec 9. Liens avec d’autres pistes de développement
1. Le concept d'école virtuelle • Une école sans murs, sans classes, sans limite de places • Une forme particulière de formation à distance • Un dispositif qui exploite au maximum les possibilités des technologies du web, généralement en mode asynchrone
1. Le concept d'école virtuelle… suite Définitions A virtual school or cyberschool describes an institution that teaches courses entirely or primarily through online methods. Though there are tens of thousands of commercial and non-accredited courses available online, the term "virtual school" is generally reserved for accredited schools that teach a full-time (or nearly full-time) course of instruction designed to lead to a degree. iNACOL, reprise sur Wikipedia Virtual school refers to an institution that is not "brick and mortar" bound. All student services and courses are conducted through Internet technology. The virtual school differs from the traditional school through the physical medium that links administrators, teachers, and students. The Technology Source Archives, University of North Carolina
1. Le concept d'école virtuelle… suite
2. L'avis de la SOFAD de novembre 2005 Structuré à partir d’une analyse de cas d’élèves jeunes pour qui la formation à distance serait une solution. On y présente l’évolution de quelques écoles virtuelles. Cet avis débouche sur des recommandations portant sur la formation à distance aux jeunes et la mise en place d’une école virtuelle.
3. Pourquoi un service d’apprentissage virtuel? Pour augmenter l’accessibilité et la flexibilité du système éducatif Pour offrir un service commun à toutes les commissions scolaires Pour donner une option additionnelle aux établissements Pour mieux répondre aux besoins de diverses clientèles particulières Pour récupérer dans le réseau publique des élèves qui sont en dehors de nos établissements Pour compenser la difficulté vécue dans plusieurs régions de créer des groupes ou même de trouver des enseignants spécialisés Pour moderniser les environnements d’apprentissage dans le réseau scolaire québécois Pour favoriser la persévérance et la réussite de tous des élèves
4. Origine et développement des écoles virtuelles La première : la Florida Virtual High School « FLVS was founded in 1997 and was the country's first, state-wide Internet-based public high school. »
4. Origine et développement… suite Elle est aussi la plus connue, la plus fréquentée, la mieux documentée, la plus suivie, la plus ouverte… Student Enrollment FLVS served over 122,000 students in 259,928 half-credit enrollments in the school year. Enrollment is open to public, private, and home school students. L'offre de cours va de la 1ère à la 12e année La FVHS dessert des élèves qui habitent d'autres états américains (49) et d'autres pays (57)
5. Plus près de nous, le cas de l’Ontario • Une école virtuelle privée à Ottawa : Ottawa Carleton E-School • La Ontario Virtual High School, aussi privée, située au sud-ouest de la province • Le Virtual Learning Centre, aussi privé, situé au nord-est de Toronto • Le Consortium d’apprentissage virtuel de langue française de l’Ontario -situé à Ottawa -relève du Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE)
6. En attente d'une politique de la formation à distance • Processus entrepris au MELS il y a quatre ans, puis arrêté • Le réseau en réclame une depuis plus de 15 ans • Vers l’an 2000, on nous disait que ce serait dans la politique d’éducation des adultes et de formation continue de 2002 • Une rencontre marquante : en juillet 2010, en mode vidéoconférence, des représentants du CLIFAD avec des gens de la direction des politiques du MELS et l’adjoint parlementaire de la Ministre de l’Éducation -première consultation d’un organisme du réseau dans le cadre du processus -les interventions de la SOFAD ont porté principalement sur la pertinence d'ouvrir la formation à distance à la formation générale des jeunes -et sur le fait qu'au 21e siècle, une école virtuelle est la forme la plus appropriée d'un dispositif de formation à distance destiné aux jeunes.
7. Une priorité de développement stratégique pour la SOFAD • Le développement de la formation à distance • L'ouverture de la formation à distance au secteur des jeunes • La mise en place d'un service d’apprentissage virtuel pour l’ensemble du Québec - pour les jeunes et les adultes - pour les francophones et les anglophones • D’abord, pour la 4 e et la 5 e secondaire
8. La mise sur pied d'un comité de travail pour un service d’apprentissage virtuel pour le Québec • Un comité restreint pour débuter mais qui va s’élargir graduellement • Avec des représentants de la formation générale des jeunes et des représentants de la formation générale des adultes • Qui a convenu de prioriser le développement d’une offre de cours pour la 4 e et la 5 e secondaire • Qui a déjà tenu quatre rencontres • Qui prévoit articuler un modèle de service d’apprentissage virtuel et élaborer des propositions qui seront validées dans le réseau et présentées au MELS
9. Liens avec d’autres développements
Présentation de Pierre Giguère à l’Association des directions générales des commissions scolaires le 25 octobre 2013 Cette présentation et d’autres sont disponibles sur