Les autobiographies (linguistiques) > A propos de l’écriture autobiographique….. > Mémoire et autobiographie > Mémoire et identité > La narration de soi comme construction de soi > Kaufman : « ….l’identité est une invention permanente » > Ricoeur : le récit, la narration de soi, produit « l’identité narrative » > Ien Aung : l’autobiographie est aussi le lieu privilégié de construction d’identités collectives > Besoin de narration autobiographique dans un moment de forte fragmentation
L’autobiographie linguistique > De quoi s’agit-il? ? > Qui peut éprouver de l’intérêt pour la lecture des autobiographies linguistiques? pourquoi les lire ? -Développement de l’empathie -Développement de ses propres capacités imaginatives
Qui est-ce qui les écrit et pourquoi? > Ecrivains ou individus (raisons personnelles) > Construction de soi : la langue est le monde que nous connaissons > Re/construction de sa propre rencontre avec l’autre > Réflexions sur sa propre formation (inter) culturelle >Réflexions sur la pluralité des codes (acquis ou pas)
LES AUTOBIOGRAPHIES LINGUISTIQUES : POURQUOI ? Réfléchir sur sa propre écriture (quand il s’agit de translangues , témoignages de Atiq Rahimi et de Tahar Ben Jelloun) Réfléchir sur l’histoire de ses propres expériences d’apprentissage -Découvrir la complexité en soi et chez les autres -Dépasser les visions stéréotypés sur soi et sur les autres et les généralisations.
EN MILIEU PROFESSIONNEL Faire écrire des autobiographies linguistiques pourquoi ? Permettre à quiconque a eu une expérience de dépaysement et de rencontre avec différents contextes d’accueil de réfléchir (sur les choix d’utilisation des langues) >Donner un instrument de réparation et de réconciliation >Attribuer un rôle de protagoniste à celui qui a une image réductrice de soi >Chercher dans les autobiographies linguistiques le lieu où se manifestent de nouvelles identités multiples, de nouvelles appartenances, de nouvelles stratégies sociales d’intégration et de construction de son propre profil socio-culturel . >Donner la possibilité aux opérateurs du secteur (professeurs de langue, médiateurs linguistiques) de repenser leurs propres parcours et de lire différemment, avec un regard extérieur et détaché les expériences fondatrices de leur profil professionnel (et découvrir peut être ainsi d’autres approches possibles à leur métier)