Projet « Nouvelle rémunération des apprentis »
Le CONSTAT Taux d’échec ou d’abandon très élevé durant la formation. Taux d’échec et absence aux examens finaux très élevé. Nous perdons environs la moitié de nos apprentis sur les 3 ans de formation.
Comment corriger ? Diminuer l’attractivité de la part salariale pendant l’apprentissage. « Bon nombre de jeunes viennent passer du temps bien payé en attente d’autre chose » « Bon nombre de jeunes viennent passer du temps bien payé en attente d’autre chose » « éviter une dispersion du jeune, cible fragile des stratèges de marketing » « éviter une dispersion du jeune, cible fragile des stratèges de marketing »
Situation de départ Dans les années 70, notre section, en réaction à la chute dramatique du nombre d’apprentis a fixé paritairement des salaires très élevés pendant l’apprentissage pour attirer des jeunes dans ce métier. Aucune chance avec les partenaires sociaux de négocier ces salaires à la baisse, ce qui n’était d’ailleurs pas non plus la volonté des entrepreneurs. 1 ère année 30% du salaire Q 2 ème année 40% du salaire Q 3 ème année 50% du salaire Q
Comment faire ? La stratégie retenue était celle de différer le revenu dans le temps et de remercier les bons élèves avec l’argent perdu des autres. Différents modèles de primes ont été analysé par le comité et le choix définitif s’est porté sur une solution qui tenait compte des divers phénomènes constaté pendant la formation. Pour assurer la pérennité et simplifier l’encaissement et la gestion des primes cette tâche sera assumée par le fonds paritaire valaisan.
Solution retenue