Et aujourd’hui ? Le développement économique et les valeurs d’équité, de justice et de solidarité

L’État et le monde du travail Les acteurs du développement économique : le secteur privé (recherche de profits) et le secteur public (fonction publique). Dans les deux cas, il y a création d’emplois. L’État : octroi des subventions pour appuyer les entreprises, instauration de programmes de formation de la main-d’œuvre, soutien financier dans la recherche et le développement, responsable des lois qui régissent les employeurs et les employés. Par exemple, le Code du travail, la Loi sur les normes du travail, la Loi sur la santé et la sécurité au travail.

La redistribution des richesses Au 20e siècle, l’État a mis en place des programmes sociaux pour répondre aux besoins de la population. Aujourd’hui, l’État réduit les dépenses dans les programmes sociaux afin de réduire la dette publique Les points de vue sont très partagés: réduire la dette publique par solidarité pour les futurs générations OU les programmes sociaux sont des valeurs fondamentales de la société québécoise et cela maintien une certaine justice sociale. Économie social: Promotion des projets dans la communauté et prône l’équité et la solidarité sociale. Faire travailler des décrocheurs, des handicapés mentaux, etc. dans la communauté.

Les finances publiques Les services à la population (éducation, santé, etc. ) et l’administration publique (fonctionnaires) coûtent très cher à l’État. Pour financer cela, l’État perçoit des taxes (TPS,TVQ) et des impôts aux particuliers et aux entreprises. Les principales dépenses du gouvernement québécois: la santé et les services sociaux, l’éducation et la culture.

L’Équité en emploi Politiques qui favorisent l’équité en matière d’emploi. 1. Corriger les écarts de revenus entre les hommes et les femmes pour un travail équivalent. 2. Aider certains groupes à intégrer le marché. Par exemple: les femmes, les Autochtones, les personnes handicapées, les minorités visibles et les personnes qui ne parlent ni le français, ni l’anglais. Le taux de chômage chez les immigrants est de 17 % La reconnaissance des diplômes étrangers demeure l’un des problèmes des immigrants sans emploi.

Travail à faire Lecture pages 122 à 124 Exercices page 124 Activité synthèse Pages 117 à 121