Intégration et handicap

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
La relation aux familles dans le cadre des structures de jeunesse
Advertisements

Circonscriptions ASH 31 – Février 2010
Évaluation des joueurs et sélection de léquipe. Le but « Fournir une évaluation juste, constante et globale qui permettra aux joueurs dévoluer à un niveau.
Questions dordre institutionnel et éthique Mettre lenfant, son bien-être, et léducatif au centre de toutes les décisions! Veiller à ne pas instrumentaliser.
Bruno VELLAS Gériatre CMRR Midi-Pyrénées
Loi du 11 février 2005 et la scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers Loi pour “l'égalité des droits et des chances, la participation.
Comprendre les éléments produisant des situations de handicap Pour favoriser la pleine participation sociale D’après « Classification québécoise Processus.
les déterminants de la santé
Familles, communautés et inclusion Les leçons tirées du travail avec des enfants sourds.
Handicap et développement inclusif
Analyse et innovation curriculaires de lEducation Pour Tous en Afrique Subsaharienne I. Rappel de la structure de loutil première version II. Rappel des.
Isabelle Rimbau- Pierre Maurin CPD ASH 04 STAGE AVS L’ELEVE en situation de handicap et LES AUTRES ELEVES.
LAVS A LECOLE ET AU COLLEGE Formation AVS Accompagnement délève handicapé Session 2012/2013 Mardi 11 juin 2013.
P.P.R.E. Programme personnalisé de réussite éducative Un dispositif de soutien.
De lécole du socle commun au lycée de demain Du socle commun à laccompagnement personnalisé 1.
sur le concept de médiation
La prise en compte de lexpérience dans les processus de qualification des personnes Anne-Marie CHARRAUD Dublin 20 octobre 2005.
Présentation de la Coface
Le développement inclusif
Historique des MAS/FAM
Inclusion dans l’éducation et les loisirs
Accueil et intégration des enfants en situation de handicap dans les structures de loisirs éducatives non spécialisées de l’Hérault.
Favoriser l’apprentissage des adultes
Le Projet d'encadrement du programme de sciences humaines du cégep de Bois-de-Boulogne.
Laccompagnement en éducation F. Clerc CRDP, 9 janvier 2013 F. Clerc CRDP, 9 janvier 2013.
Les Stages en entreprise Pour le Secteur 4 Hôtellerie-Alimentation.
Conseil de participation Lundi 21 octobre 2013 Madame, je vais passer ? Et moi ?
L’éducation thérapeutique (ETP)
Ludovic DUREL Consultant
Conférence sur les SONU Niamey, Niger Juin 2006
Le Projet Educatif Territorial
Principes de la pédagogie active Favoriser lapprentissage des adultes DIU de prise en charge globale du VIH-SIDA dans la région des Grands Lacs 2012.
1 ORGANISATION DES SERVICES AUX ÉLÈVES À RISQUE ET AUX ÉLÈVES HANDICAPÉS OU EN DIFFICULTÉ DADAPTATION OU DAPPRENTISSAGE (HDAA) Par: Monic Vézina Service.
Plus de maîtres que de classes
1 Action en faveur de la jeunesse. 2 o 3350 Habitants répartis sur 24 communes. 630 jeunes de 3 à 17 ans soit environ 20% de la population réparti dans:
L’évaluation des apprentissages
L’autonomie «Capacité et droit d'une personne à choisir elle-même les règles de sa conduite, l'orientation de ses actes et les risques qu'elle est prête.
Projet de Politique d’évaluation des apprentissages
Agence Education Formation-Europe
Introduction Les années 1960 et 70 ont été marquées, au plan international, par l’émergence des mouvements sociaux issus des droits de la personne. Ceci.
L’équipe éducative.
Jeunesse + Sport PERSONNALITÉ DU MONITEUR Edition P.Thai 05/2013.
ATELIER 1 L’orientation vers l’intégration, oui, mais sur quels critères et avec quelles balises? Bien-être/aspect affectif Enfant preneur Parents preneurs.
Sensibilisation des élus et des agents communaux sur le Handicap
Des textes réglementaires communs et spécifiques
Leçons tirées de l’Experience: études de cas de bonnes pratiques
LE GEVAS CO Fondement et perspectives
Enquête sur les besoins d’activités extrascolaires Enfants à besoins particuliers.
UE 3.2 S2 Sciences et techniques infirmières fondements et méthodes
Tombouctou – Du 12 au 16 février 2007
Scolarisation des enfants de moins de trois ans (circulaire n° du )
CHARTE DU CLUB VITROLLES TRIATHLON
Approche ergonomique de la souffrance dans le monde scolaire
Accompagner le parcours scolaire d’un élève en situation de handicap.
Parentalité et déficience intellectuelle: Etat des lieux de la recherche et perspectives Luxembourg 9 octobre 2014  
P ROJET ÉDUCATIF DES ÉTABLISSEMENTS CATHOLIQUES FONTENAISIENS : ÉCOLE SAINTE - TRINITÉ COLLÈGE SAINT - JOSEPH LYCÉE NOTRE - DAME Version définitive du.
Rencontres avec les représentants des parents d’élèves élus
Ensemble dans la différence
1 Module contenant un sujet fondamental 7 Soutien psychosocial.
Petit historique… Association pour la sensibilisation au handicap, Constat et cheminement personnel, 2013 Evolution vers un réseau d’entraide.
Concepts et mots-clés de la loi du 11 février 2005
ETP-ACT L’éducation thérapeutique du patient en grande précarité et travail social : quelles réalités? Farida MOUDA Chargée de projets IREPS HN.
La différenciation pédagogique
Innovations en gestion des ressources humaines Séance 10 La Formation et l’apprentissage MNG 3105 Martin Dubé, M.Éd., CRHA Novembre 2013.
MNG-3102 SÉANCE : GSRH et développement des ressources humaines.
L’entreprise et sa gestion
ACCUEIL EN ECOLE MATERNELLE SCOLARISATION DES ENFANTS DE MOINS DE 3 ANS B.O du 15 JANVIER 2013 DSDEN de Saône et Loire.
Présentation de l’organisation des points de service.
Journée des maîtres auxiliaires ESPE NC Avril 2016.
Troubles spécifiques des apprentissages Formation RASED
Transcription de la présentation:

Intégration et handicap Pourquoi et comment intégrer ? Philippe Tremblay

Handicap ? Vient du monde du sport (hand in cap). Il s’agissait d’un désavantage qu’on se donnait pour être « fair-play ». Aujourd’hui, il s’agit d’un désavantage subi Trois termes : 1- Déficience 2- Incapacité 3- Handicap (ou désavantage)

Handicap C’est le résultat situationnel d'un processus interactif Deux séries de causes : 1-Les caractéristiques des déficiences et des incapacités de la personne découlant de maladies ou traumatismes; 2- Les caractéristiques de l'environnement créant des obstacles sociaux ou écologiques dans une situation donnée. Pas qu’un « problème » de l'individu (modèle médical). Interaction entre une déficience et une société qui ne facilite pas une intégration en dressant des barrières. Ces barrières, en partie, sont la cause de la différence, de l'isolement, et de la ségrégation.

Ségrégation Institutionnalisation des enfants avec handicap ou troubles dans un système différent (lieux différents, méthodes différentes, organisation différentes, etc.) des enfants dits ordinaires. Exemple : enseignement spécialisé Spécialisation/médicalisation/psychologisation Diagnostic, catégorisation, étiquetage

En faveur de la ségrégation ? Donner aux personnes avec handicap une chance “juste” de succès. Coopération versus compétition Capable d’apprendre des compétences sociales et physiques dans un environnement qui les comprend et les accepte. Un personnel formé, de l’équipement et des services spécialisés*. Améliorer les compétences qui augmentent la participation dans des situations plus intégratives (principe du transfert). L’attention individuelle est plus facile à procurer. Pouvoir se rencontrer.

Contre la ségrégation ? Apprentissage de compétences, de valeurs d’attitudes et de comportements « d’handicapés » Diminue les espérances Contestation du transfert Dénie les bénéfices sociaux et psychologiques résultant de la rencontre avec des enfants valides. Rapport à la normalité et aux performances. Perte de liens dans la communauté et mauvaise préparation à la vie future Coût important et de longue durée Les interactions sont avec l’adulte et non avec les autres enfants.

La solution : l’intégration ? Terme polysémique Grande évolution depuis trente ans Idéologie et organisation pédagogique Grande variété des expériences en termes de degré d’intégration et des bases conceptuelles qui sous-tendent l’expérience « Les acteurs sont motivés essentiellement par la représentation, par la définition opérationnalisée de ces notions dans leur pratique. »

Intégration Définition : « le processus maximisant l’interaction entre les enfants handicapés et les autres ». Inclusion = création d’un tout où chacun est inclus dans le départ. Intégration = addition à un tout, ajouter une partie à un tout. L’intégration est un processus et un objectif

Principes Droit à une qualité de vie. Respect de la dignité, de la liberté de choix, etc. Chances égales de pleine participation dans la société. Le niveau communautaire devrait servir de base pour les programmes et les services.

Participer et s’amuser dans des activités avec des enfants valides sans leur imposer une compétition impossible. Permettre aux enfants qui ont des capacités d’améliorer les compétences et confiance en eux ; cela ne signifie pas de nier les services spécialisés quand ils sont appropriés. Apporter un accompagnement et modifier ou ajouter des services quand nécessaire ; ne pas utiliser uniquement les services déjà présents. Le support de la communauté dans le changement des attitudes et des politiques reflète le droit de ces personnes à une dignité, une confiance en eux et un engagement communautaire.

Concepts annexes Environnement le moins restrictif Normalisation (valeur des rôles sociaux) Adaptation

Environnement le moins restrictif (Least Restrictive Environment) L’organisation qui est la moins différente de la situation ordinaire et qui offre simultanément les plus grandes opportunités d’interactions avec des enfants valides. L’environnement qui permet les meilleures combinaisons entre les compétences individuelles et les services dont il a besoin, pour la plus grande autonomie possible.

Normalisation Rendre disponible aux personnes avec handicap des situations de la vie quotidienne les plus proches possibles des normes et des situations de la vie ordinaire. Le but est de créer et défendre des rôles sociaux valorisés pour les personnes qui risquent d’être dévaluées par leur situation handicapante. L’âge doit être adapté au niveau de l’âge biologique et non au niveau de l’âge fonctionnel. Imitation = moyen d’apprentissage L’âge approprié aux rôles sociaux  se comporter de manière appropriée et valorisée dans des environnements.

5 principes de l’adaptation 1- Adapter seulement quand c’est nécessaire. 2- Adapter sur des bases individuelles 3- Voir les adaptations comme temporaires 4- Adapter vers la « normalité » 5- Adapter pour la disponibilité pour tous

Bénéfices pour les valides Nouvelles attitudes basées sur de vraies expériences (sensibilisation) ; plus intégratifs en général. Plus compréhensif et tolérant envers les différences entre humains ; donne des occasions de coopération. Parents, éducateurs et décideurs de demain. Développement social et affectif (se sentir utile, une image de soi positive, etc.). Conscience des obstacles de l’environnement; un environnement d’apprentissage plus large. Apprendre à propos du matériel d’adaptation physique, technologique; apprendre de nouvelles compétences qui peuvent bénéficier à tous. Préparation à des études, un travail, etc. Profiter des adaptations des enfants handicapés (pédagogie, matériel, etc.). Philippe Tremblay

Bénéfices pour les enfants handicapés Se comporter et apprendre avec une plus grande variété de personnes et d’expériences. Transfert direct des nouvelles compétences. Contribuer comme membre du groupe, appartenance. Amitiés et relations avec des enfants valides. Rôles sociaux positifs. Entraînement à de nouvelles compétences. Développement de l’autonomie.

Bénéfices pour les professionnels Changements de représentations sur les capacités de l’enfant. « Contagion » de l’intégration. Amélioration des services pour tous. Ouverture à d’autres techniques (animation, éducatives, etc.) Besoin de formation (apprentissage et transmission) Développement de nouvelles compétences professionnelles

Bénéfices pour les parents Permet de souffler. Lieux d’intégration plus nombreux et plus proches. Plus grande confiance à l’enfant et aux opérateurs. Changements de représentations sur les capacités réelles de l’enfant. Lieu de rencontre « ouvert ».

Freins et critiques de l’intégration La formation (ou le manque de formation) des professionnels Pas équipé pour répondre aux besoins des enfants handicapés (surtout dans le cas d’ handicap plus important) Les enfants avec handicap vont déranger et ralentir le reste du groupe ; ils prennent du temps dévolu précédemment à d’autres participants Une trop grande différence entre les enfants handicapés et les valides. Les responsabilités légales (loi, assurances, etc.) La question du financement – l’intégration coûte trop cher !!! Pas assez de temps ou d’énergie pour se préparer aux besoins particuliers de l’enfant intégré. Pas assez d’aide Pas accessible (trop cher à rendre accessible) La peur (d’échouer, de la différence, de devoir toujours le faire, etc.)

Constats opérateurs Beaucoup de cas-par-cas Parents qui cachent des infos Certains « se débarrassent » de l’enfant Manque de collaboration et d’information avec et sur les autres professionnels (IMP, école, SA, etc.) Manque de ressources « d’impulsion » Les projets reposent généralement sur une ou deux personnes. Autonomie des opérateurs

Difficultés rencontrées par les parents Manque d’information Refus d’inscription Problèmes d’accessibilité, d’éloignement, de mobilité ou d’argent. Manque de place et/ou d’adaptation suffisante. Problème social lié au handicap (différence, acceptation, etc.) qui semble être la difficulté la plus importante rencontrée. Pas facile non plus « d’accoutumer » un enfant à un nouveau milieu. Philippe Tremblay

Participation ? Type Oui Non 1 60% 40% 2 48,78% 51,22% 3 75% 25% 4 45,95% 54,05% 6 50%* 7 73,53% 26,47% 8 71,6% 28,4%

Type de structures fréquentées Spécialisé 29 32,95% Ordinaire 63 71,59% Intégration 13 14,77% Autres 4 4,55%

Satisfaction 94,35% des parents se montrent satisfaits. L’insatisfaction concerne : le manque de formation des animateurs, les difficultés d’inscription, le manque d’offre et d’amélioration. La satisfaction concerne : le fait que cela soit un bon projet, que l’enfant est bien entouré et soutenu, la socialisation, le bien-être (plaisir, amusement, heureux, etc.).

Participation future Il y a 87,88% des « enfants » qui souhaitent dans l’avenir avoir des activités extrascolaires. L’intégration est plébiscitée. L’encadrement (qualité et quantité) est à repenser. Le maintien dans son groupe d’âge biologique semble être une considération importante. On souhaite avec ces activités participer à l’amélioration des capacités de l’enfant, en lien avec son handicap.

Mettre en place un projet Volonté d’intégration ? (demande, contacts, formation, obligation, expérience, etc.) Personne porteuse du projet ? Caractéristiques de l’association (personnel, histoire, activités, locaux, etc.) Importance des parents

Les 10 conditions d’intégration 1- Les valeurs 2- Les attitudes 3- Les facteurs légaux et sociaux (€) 4- L’organisation extrascolaire 5- Les contenus 6- L’animation 7- Les services de soutien 8- Les interactions avec le milieu 9- L’encadrement et le suivi 10- La préparation des intervenants

Définir le projet Quel type d’enfant pouvons-nous prendre en charge ? (expérience, formation, accessibilité, etc.) Quand ? Avec qui ? (date, groupe d’âge, encadrement, référent, etc.) Que nous faut-il pour mettre le projet en place? (adaptation, personnel, partenariat, formation, €, etc.) Calendrier Etc. Philippe Tremblay

Préparation/enfant Trouver le ou les enfants (publicité, partenariat, etc.) Rencontre avec l’enfant et la famille Contact avec l’école, l’institution* Journée d’essai Fiche médicale adaptée Analyse des besoins (encadrement, autonomie, moments critiques, etc.)

Préparation/milieu Calmer les craintes du personnel (durée, surcharge, etc.) Définir un référent Définir les besoins de sensibilisation ou de formation spécifique Définir l’apport de personnel supplémentaire (stagiaire, professionnel, partenariat, etc.) Inclure ce thème à toutes les réunions préparatoires (rester à jour, « aware », etc.)

Préparation/enfants Sensibilisation des enfants (K7, discussion, expérience, visite, etc.) Rencontre organisée (repas, réunion d’organisation, etc.) Impliquer les enfants dans l’organisation pour augmenter la participation. Favoriser la coopération (jeux, mise en situation, etc.) Principe d’égalité des chances = on aide plus celui qui en a le plus besoin, pour lui donner une égalité d’accès et de participation.

Encadrement supplémentaire Normes décrétales 1 animateur pour 3 enfants handicapés légers (fréquentant les type 1, 3 et 8 de même que les enfants malentendants ou malvoyants* et les enfants trisomiques*, etc.) = +/- 2€/jour 1 animateur pour 1 enfant avec un handicap lourd (polyhandicap, handicap physique, etc.) = +/- 3€/jour Problèmes induits par la loi

Personnel En interne Professionnel payé en plus* Stagiaire Bénévole Volontaire ou chantier Partenariat avec une institution Famille Etc.

Financement Fonds internes Subside complémentaire (coordination communale de l’accueil extrascolaire) Financement récurrent (ou non) de la commune Financement public (projets COCOF ou CF, Europe, etc.) Financement publics (Fondations, mécénat, Rotary et Lions Club, etc.) Projet de financement spécifique (souper, partenariat avec un mouvement de jeunesse, etc.) Etc. Philippe Tremblay

Préparation des activités Principes de l’adaptation sur les besoins réels (ex. : communication, mobilité, compréhension, etc.) Rythme particulier (repas, sieste, soin, etc.) Les faire « pour de faux » (essai en voiturette, avec d’autres enfants, etc.) Prévoir le pire pour vivre le meilleur.

Activités identiques à avant (encadrement, groupe, etc.) similaires mais adaptés à tous similaires mais adaptés à l’enfant (rôle) nouvelles activités mixtes « activités d’handicapés » mixtes

Pendant les activités Veiller à avoir un référent* pour le ou les enfants auprès des autres professionnels, de la famille, des responsables, etc. Maximiser les contacts et activités communes et/ou similaires Faire un petit feed-back en fin de journée et apporter immédiatement les adaptations nécessaires Impliquer la famille (infos, cohérence éducative, etc.) Ne pas accepter d’attitudes ou de comportements négatifs mais pouvoir les traiter avec le ou les enfants concernés (valeurs) Rester cohérent dans l’intervention pour tous les enfants (règles, tâches, choix, etc.) Philippe Tremblay

Evaluation d’une intégration Les indicateurs directs Présence à temps complet avec les autres Apprentissages similaires à ceux du programme général Ses progrès relatifs (PEI) Son acceptation par les autres Sa capacité à acquérir des habitudes et des comportements sociaux analogues aux autres

Les indicateurs indirects Climat de coopération des professionnels La participation des professionnels à des formations sur l’intégration Le recours à des stratégies diversifiées d’animation Gestion démocratique du groupe avec souplesse dans l’application des règles L’individualisation des objectifs (PEI) La mise en place de moyens favorisant les contacts entre enfants

Après les activités Evaluer auprès des parents, enfants, professionnels, etc. Les conditions d’intégration ont-elles été remplies ? Suite à apporter (arrêt, amélioration, « contamination », etc.) Formation complémentaire On prépare déjà les prochaines … Philippe Tremblay