Marc Leobet Chargé des systèmes d’information auprès du directeur direction de la prévention des pollutions et des risques ministère de l’écologie et du développement durable L’interopérabilité au service de la prévention des risques majeurs
Quel besoin? Informer les habitants sur les risques pour : Qu’ils puissent prendre leurs précautions, Adoptent des comportements adaptés, Achètent et louent en connaissance de cause
Quels outils? Des documents papiers (atlas…) Des formulaires lors des transactions immobilières Des sites internets documentaires et cartographiques –De plus en plus nombreux, variés, hétérogènes
L’état des lieux 26 DIREN, 26 DRIRE, 100 DDE etc., autant de modèles de données, et potentiellement autant de sites internet… …et une responsabilité locale € en 2004 pour simplement préparer les données à la publication dynamique +10 atlas nationaux BRGM, 1 Cemagref…
Pourquoi l’interopérabilité? Deux objectifs : Faciliter l’accès aux informations pour l’usager (guichet unique) Réduire les coûts de traitement
Réduire les coûts… …Tout en respectant la déconcentration Par la mutualisation –Hébergements, maintenance, développements Sur un modèle de cartographie dynamiquemodèle de cartographie dynamique Par une publication déconcentrée –Hébergement & développements mutualisés –Chacun publie ses propres données via un outil d’administration
Définition d’un guichet unique Permettant l’accès à toutes les cartes des risques intéressant une commune en une fois Sur un modèle de serveurs liésmodèle de serveurs liés Par le seul service WMS
Conclusion L’interopérabilité au sens de l’OGC nous a paru enfin mûre en 2004 Une démarche volontairement située en aval des données Une simplification pour les usagers, et pour les services de l’Etat Au service d’une moins grande vulnérabilité