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De la richesse au bien-être territorial soutenable quelle posture d’observation ? Claudine Offredi  Les principes fondateurs : « ressources » territoriales.

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1 De la richesse au bien-être territorial soutenable quelle posture d’observation ? Claudine Offredi  Les principes fondateurs : « ressources » territoriales et méthodologie participative.  Le chemin parcouru : des savoir –faire cumulatifs Des professionnels formés aux démarches et techniques d’observation. Des experts ( multi disciplines ) convoqués à produire une information foisonnante ( qualitative/quantitative/ territorialisée. L’objectif : « Convenir (du bien-être) pour (le) mesurer » Progresser dans la compréhension du réel en affrontant sa complexité: Construire des indicateurs qui rendent compte à la fois : - Des formes de liens sociaux ( dynamiques de socialisation et de vulnérabilité des espaces territoriaux ), - de la complexité du vécu et des représentations de la réalité sociale par les individus, et de la question de la soutenabilité des modes de vie dans le temps?

2 2 Des pionniers de l’écologie politique ….. au rapport Stiglitz : où réside la nouveauté ? De Bertrand. De Jouvenel ( 1968) « Arcadie : essais sur le mieux –vivre » à.Delors (1971) « Les indicateurs sociaux »…et Stiglitz/Sen (2009) « Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social. Salutaire mais peu original……. - le PIB n’est pas un indicateur de progrès social et ne comptabilise pas la valeur économique des services gratuits, les biens gratuits et les dommages causés par l’activité économique ( « biens négatifs ») - Nécessité d’ aboutir à des indicateurs de progrès social plus pertinents. Soutenir l’effort d’observation sur la mesure du bien-être et sa perception: Prendre en compte les niveaux de bien-être ( donnée socio- économique sur les inégalités socio-spatiales) en la couplant avec une enquête qualitative sur les vécus de « bien-être » ou « mal-être ». Travailler la contextualisation du chiffre. Réfléchir à la stabilité des cadres de présentation dans le temps dans indicateurs choisis et des modes de calcul. Analyser les modes de construction possibles des dimensions d’un indicateur composite et ses limites méthodologiques.

3 3 Le bien-être territorialisé et soutenable Un réservoir de valeurs partagées ? Ç Des notions /outils à contenu théorico – pratique à expérimenter : capital social, utilité sociale, qualité de vie, prospérité, santé sociale, capacités d’action des individus et des territoires. Des constructions aux catégories d’analyse : citoyenneté, « mieux-vivre ensemble », « bien commun » « convivialité », solidarités territoriales, « cohésion sociale ». De la catégorie au sens commun : Une démarche permettant de clarifier ce qui est important dans la vie sociale : « les quartiers ressources », les modes de convivialité, les réseaux d’’entre-aide informels; les services gratuits; les sociétés défensives de l’entre –soi ; la confiance en soi, le respect et l’estime, comme formes d’attachement à un quartier, etc….. Du sens commun repéré au politique et au sociétal La soutenabilité du bien-être territorial comme enjeu scientifico- politique

4 4 « Convenir et mesurer » Passer des convictions des acteurs à la mesure et à des évaluations socio-économiques plus fiables ou plus convaincantes dans le débat public. «ll ya une fatalité de l’indicateur qu’il faut accepter comme le support de conventions cognitives entre acteurs sur ce qui « vaut ». Passer des convictions à …. l’interprétation : Débat d’experts/débats citoyens pour construire donnée comme convention ( cadre cognitif) ….la réduction / Paramétrage des données qui « valent » et la hiérarchisation des dimensions de la réalité.

5 5 Pour un benchmarking …..vertueux Pourquoi mesurer le bien-être et /ou les inégalités ? « Qui veut s’améliorer doit se mesurer. »…. poser les limites méthodologiques à la logique du New public management ( LOLF et RGPP) / Le fantasme de la transparence absolue. Qui veut être le meilleur doit se comparer …….» Le risque de dérive « quantophrénique »…… conduit au débat récurrent : Indicateur synthétique de bien-être ou tableau de bord juxtaposant des indicateurs hétérogènes Restons humbles …… Convenir et stabiliser des cadres de présentation et des modes de calcul. Insister sur la dimension institutionnelle des indicateurs dont la mission est : donner corps à une vision élargie du progrès et du bien-être. ……et cohérent La création d’indicateurs conditionne l’usage qui peut en être fait dans le processus d’élaboration des politiques et de leur évaluation.

6 6 Quel est l’objectif ? Poursuivre des finalités dites « d’intérêt public » Quelle est la soutenabilité écologique, sociale, économique et financière du mode de fonctionnement actuel ? Qui peut/doit définir, le « bon », le « bien », le « juste », l ’action juste », l’ »utile » ? Pour « une convention socio-politique » mettant l’accent sur l’ensemble des règles et normes sociales inscrit dans les cadres cognitifs des acteurs s’appuyant sur des considérations de justice sociale et des visions plus ou moins explicites de ce qu’ils estiment « souhaitable ». Volontarisme politique ET volontarisme scientifique. Technicité des problèmes d’action publique, renouvellement des modes d’action : un Intérêt Général à construire par le bas. Décloisonnement des savoirs « disciplinaires » en créant des cadres de pensée transversaux

7 7 Quel est l’objectif ? De la résilience des individus à la résilience des espaces socio-territoriaux De la capacité d’action individuelle à celle des territoires Etudier les conditions et mécanismes de la production de la confiance et de la socialité : dans l’ensemble du maillage socio-territorial de nos sociétés dans les outils des politiques publiques ( accès au droit) dans les systèmes d’appartenance, associations, communautés etc Qu’est –ce qu’un territoire »emporwement » ou « ressources » ou une communauté résiliente « ? Les outils sont là : capital social, utilité sociale, capacité d’action. « La question se pose de produire volontairement du capital social pour contrebalancer les tendances négatives l’œuvre dans les sociétés néo- capitalistes »

8 8 La quantification au service de l’action publique ? Nécessité de la mise en place de processus collectifs de construction de la réalité sociale -un défi pluridisciplinaire et pluri méthodologique -ouvrir les disciplines à des questionnements et concepts fédérateurs pour éviter le mythe d’une meta connaissance Susciter le débat citoyen: méthodologies participatives et pluralistes : pour un citoyen informé mais Jusqu’ou peut-on créer « un cadre de rationalité partagé» ? Intégrer les renouvellement des modes de gouvernance des politiques publiques Travail en réseau Management par le sens « mise en pouvoir « des agents de la société civile Dialogue avec les parties prenantes, débat public Evaluation partagée ……….

9 9 Dans un monde incertain, les choses qui permettent de créer des ilôts de sécurité dans l’avenir sont les…. promesses mutuelles que se font les hommes….. Hannah Arendt


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