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La ligne Maginot La muraille de France.

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1 La ligne Maginot La muraille de France

2 1918 La France est victorieuse

3 Le retour de Strasbourg à la France

4 L’accueil des libérateurs

5 Mais le bilan est lourd Tout le tissu économique des régions occupées par les Allemands entre 1914/18 est ruiné par la guerre

6 De nombreuses localités sont entièrement détruites

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8 10 % de la population active masculine est morte sur les champs de bataille

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10 L’Allemagne est vaincue

11 A Strasbourg, sur le pont qui franchit le Rhin, le coq gaulois remplace l’aigle impérial, désormais brisé

12 Place de la République, la statue équestre de l’empereur Guillaume 1er est abattue, tout un symbole…

13 1919 Préparer l’avenir

14 L’Allemagne est vaincue, mais n’a pas été dévastée par la guerre qui s’est déroulée hors de ses frontières. Contrairement à celle de la France, son économie a peu souffert. Son armée a été vaincue, mais ses pertes sont moins significatives qu’en France car la population de l’Allemagne est plus nombreuse. Constat : il faudra à la France 15 ans pour se relever. D’autant plus que, humiliés par le traité de Versailles, les Allemands vont très vite relever la tête. Solution : reconsidérer au plus vite la défense des frontières de l’Est.

15 Le maréchal Pétain fait le constat que les nouvelles frontières de l’Est sont quasiment dépourvues de fortifications et que la ligne fortifiée Verdun-Belfort, construite vers 1880, est maintenant inadaptée. Il faut donc édifier de nouvelles fortifications en Alsace et en Lorraine

16 1920 Etude des futurs champs de bataille

17 1922 Le comité de défense du territoire Général Guillaumat

18 1922 est l’année de la création du comité de défense du territoire (CDT), sous la présidence du général Joffre. Mais c’est bientôt le général Guillaumat qui lui succède. Elle a pour mission de collecter les différents points de vue et d’établir un rapport sur les principes de l’organisation défensive du territoire. Mais les points de vue des membres de la commission, qui sont tous d’éminentes personnalités qui se sont distinguées durant la Première Guerre mondiale, sont très divergents. De ce fait, la situation n’évolue guère.

19 1925 La commission de défense des frontières Au centre, Paul Painlevé

20 Fin 1925, est créée la commission de défense des frontières (CDF), qui sera présidée par le ministre de la guerre Paul Painlevé. Celle-ci définit les voies d’invasion traditionnelles, les zones ou régions à fortifier, l’aménagement des champs de bataille, la conservation des anciennes places fortes, les formes techniques de la fortification moderne, les coûts. Dans son rapport est aussi définie la défense du front des Alpes. Ce document servira de base de travail aux ingénieurs et militaires pour réaliser la ligne de fortifications qui deviendra plus tard la ligne Maginot

21 1926 Le projet de la CDF pour le nord-est

22 et pour le sud-est

23 1927 La commission d’organisation des régions fortifiées
Général Fillonneau des régions fortifiées

24 Créée en 1927, la commission d’organisation des régions fortifiées (CORF) remplace la commission de défense des frontières. Elle est présidée par le général Fillonneau. Celle-ci définira les formes techniques de la fortification ainsi que sa mise en œuvre. Mais très vite, des antagonismes apparurent entre les différents membres où chacun voulut imposer ses propres vues. En 1929 le général Belhague, nouveau président de la CORF, va orienter les études pour en arriver à la forme définitive connue aujourd’hui. C’est donc lui qui est le père virtuel de la ligne Maginot, tandis que Paul Painlevé en sera le fondateur du principe.

25 1929 Du concret, enfin ! Le général Belhague

26 Le ministre André Maginot fait voter une loi

27 Une loi pour le financement de la ligne fortifiée
La loi-programme de 1929 est votée sous l’impulsion du nouveau ministre de la guerre, André Maginot. Cette loi ouvre les crédits pour l’organisation défensive des frontières, et par conséquent des fortifications. Les sommes définies dans la loi seront immédiatement disponibles et des avances seront consenties aux entreprises pour leur permettre de s’équiper. Déjà, les premiers chantiers sont organisés.

28 André Maginot Homme politique natif de la Meuse, engagé volontaire alors qu’il était jeune député, héros de la Première Guerre mondiale. Grièvement blessé, ses compagnons le sauvèrent au péril de leur vie.

29 La retraite du combattant
MINISTRE DES PENSIONS Il fut à l’origine de : La retraite du combattant L’office national des anciens combattants Les emplois réservés Le soldat inconnu André Maginot

30 1930 Les travaux démarrent

31 Premiers coups de pioche en 1930

32 D’immenses trous sont creusés, d’où émergeront les superstructures des ouvrages souterrains

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34 1932 – décès d’André Maginot
La ligne de fortifications en construction fut, à ce moment, appelée « ligne Maginot »

35 Poursuite des travaux Le percement des galeries souterraines

36 Travaux de maçonnerie de la galerie principale d’un ouvrage important

37 Plate-forme de bétonnage d’un bloc de combat

38 Coffrage d’une casemate en construction.
Le béton est versé dans le coffrage depuis la plate-forme, à l’aide de goulottes

39 Damage du béton armé. L’armée exige une qualité de béton irréprochable

40 Les ouvriers travaillent au milieu d’une forêt de fers à béton

41 Le gros œuvre de l’entrée des munitions
du fort du Hochwald est achevé.

42 Un bloc des Alpes, avant la pose des cloches

43 Installation d’une coupole ou cloche cuirassée d’un poids de 10 tonnes.
Notez les moyens rudimentaires de levage

44 Vue aérienne des blocs de combat d’un ouvrage
d’artillerie à l’achèvement du gros oeuvre

45 Le béton de ce bloc d’artillerie à 3 canons est tout neuf
Le béton de ce bloc d’artillerie à 3 canons est tout neuf. Il s’agit là d’un élément d’un fort important, qui comporte plusieurs blocs de combat

46 Ouvrage d’infanterie ou fort de petite taille

47 Achèvement de la construction d’une casemate

48 Casemate de berge de la ligne
de défense du Rhin

49 Fin 1935 La ligne Maginot est terminée

50 1934 Une nouvelle loi pour un second cycle des extensions appelées « Nouveaux fronts »

51 Secteur de Rohrbach-lès-Bitche

52 Secteur de Montmédy

53 Secteur de l’Escaut

54 1938 - Fin des travaux de second cycle

55 Les « accessoires » de la ligne Maginot

56 Vue en coupe d’une chambre de connexion du réseau enterré de téléphonie militaire

57 Réseau téléphonique militaire enterré

58 Des casernements de sûreté à proximité des fortifications
Casernement de troupe

59 Logements des cadres

60 Camp de sûreté où logent les troupes prêtes en cas d’alerte
Camp de sûreté où logent les troupes prêtes en cas d’alerte. Drachenbronn – Bas-Rhin

61 Des stands de tir

62

63 Réseau de voie ferrée militaire en construction

64 Au début, sont employées des locomotives à vapeur à double foyer

65 Puis elles sont remplacées par des locotracteurs diesel ou à essence qui n’émettent pas de fumées

66 Personnel chargé d’une antenne ferroviaire

67 Ces trains à voie de 60 cm ravitaillent non seulement les forts en munitions et matériaux,
mais transportent également des permissionnaires

68 Les réseaux antichar et anti- personnel

69 Des rails de chemin de fer plantés à hauteur irrégulière pour déséquilibrer les blindés qui tenteraient de franchir le réseau antichar

70 Des kilomètres de fils de fer barbelés forment le réseau antipersonnel

71 Les soldats plantent manuellement les rails antichar à l’aide d’une « chèvre »
Un travail long et fastidieux

72 De nombreux villages seront alors coupés de leurs voisins par les réseaux antichar et anti-personnel

73 Des zones inondables Barrage de Diffenbach, dans la Sarre

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75 Des fossés antichar

76 Encore des extensions

77 Dans le nord En Lorraine En corse

78 Les bétonnages se poursuivront jusqu’en 1940

79 Des casemates d’artillerie
autonomes

80 dotées de canons de calibre 75 mm

81 Ici, dans les Vosges du nord

82 Une ligne de fortifications
dans le Sundgau – Haut-Rhin

83 Des casemates dotées de canons de récupération

84 Des casemates d’artillerie pour deux canons de 75 mm

85 Jusqu’en 1940, l’armée bétonne la « Fausse ligne Maginot »

86 Des centaines de blockhaus de valeur inégale, appelés « fortification de campagne », édifiés par la main d’œuvre militaire (MOM)

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93 Etat de la ligne Maginot en 1939

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96 Fin de la première partie


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