La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

L’entreprise.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "L’entreprise."— Transcription de la présentation:

1 L’entreprise

2 Né en 1958, Monsieur Bilodeau est le 13e enfant d’une famille de 15 enfants (11 garçons et 4 filles). Le père, lui même un entrepreneur, aimait être à l’avant garde de la technologie. Il n’hésitait pas lorsqu’une bonne affaire lui était offerte. Il s’est diversifié dans plusieurs domaine; autobus scolaires, camion pour le transport des bidons de lait, district pour la vente de pintes de lait, tracteur à chenilles et ferme laitière.

3 Le sens des responsabilités : Entraîné par la famille
En 1963, dès l’âge de 5 ans, ses frères lui confiaient de petites tâches à accomplir à l’étable. Plus Monsieur Bilodeau vieillit plus les responsabilités seront importantes. En 1968, il se levait vers 5h00 pour aller traire les vaches, à son retour de l’école il devait faire ses devoirs ensuite retourner à l’étable pour aider ses frères. En 1974, Il obtient un diplôme de débosselage et peinture de l'école des arts et métiers d’Amos.

4 L’Innovation et l'esprit d'initiative :
Une idée nouvelle De 1975 à 1980, il est embauché par Monsieur Jacques Tremblay, débosseleur de métier et directeur de l'atelier de débosselage du Garage Norroy, Concessionnaire GM à Amos. 1980 à 1981, il travaille pour le Garage Amos ou il innove. Il applique un produit caoutchouté noir qu’on appelle ‘’pare cailloux’’ ou le terme anglais ‘’gravel guard’’. Ensuite, il applique la peinture par-dessus et cela protége tout le bas de la caisse de la voiture.

5 La capacité d'adaptation :
Il saisit une opportunité 1982, il travaille à contrat pour Débosselage Ouellet, à l’autre bout de la ville. Débosselage Ouellet est locataire de la bâtisse qui est à vendre. Monsieur Bilodeau décide d’acheter la bâtisse, ainsi que le bâtiment voisin qui abrite l’entité Yves Jacques Auto. Cette dernière est administrée par son ancien patron Jacques Tremblay qui avait quitté son emploi chez Norroy pour partir une entreprise de vente de véhicules usagés. Tout en continuant à travailler pour Débosselage Ouellet, il louera pendant 3 ans l’atelier de débosselage à son patron, Monsieur Ouellet et l’autre bâtisse à son ancien patron Monsieur Jacques Tremblay.

6 Le bon sens et le jugement :
Un retrait profitable 1989, Yves Jacques Auto fait faillite. Dans ces locaux, Monsieur Bilodeau y installera des logements. Vers la fin de la même année, Débosselage Ouellet déménage dans le parc industriel. Monsieur Bilodeau décide de prendre quelques temps pour réfléchir à son avenir et il se retire du marché de l’emploi.

7 La ténacité et l’ambition :
Être son propre patron 1991, Il entend parler de l’existence d’une subvention fédérale pour aider les jeunes au démarrage d’une nouvelle entreprise. Les pré-requis pour obtenir cette subvention : avoir son plan d’affaires être prestataire de l’assurance chômage ou recevoir des prestations du bien être social. (ainsi nommées à l’époque) Au démarrage d’entreprise les entrepreneurs recevaient une subvention de $/semaine pendant un an. (maximum de $). A sa dernière semaine de prestation de chômage, il décide alors de réaliser son rêve, d’avoir sa propre entreprise.

8 L'aptitude à communiquer l'enthousiasme aux autres: Faire équipe
Monsieur Bilodeau rencontre Monsieur Jacques Tremblay, qui, depuis sa faillite recevait des prestations du bien être social, et lui faire part de son projet. Il lui demande de se lancer dans la grande aventure avec lui, en unissant les deux talents qui se complètent très bien. Monsieur Tremblay ayant la scolarisation et l’entregent pour s’occuper de l’accueil et la facturation et, Monsieur Bilodeau ayant des compétences manuelles pour s’occuper de l’atelier.

9 La capacité de travail :
On ne compte pas les heures Le 1er mars 1991, la compagnie Bil-Yvon fut fondée dans les locaux de Débosselage Ouellet devenus vacants. La première année d’opération, nos joyeux troubadours recevaient chacun de leur coté la subvention fédérale et mettaient la main à la pâte. Ils ne comptant pas les heures de travail et besognaient avec acharnement. Tous les profits de l’entreprise servaient à l’achat de matériaux d’atelier et de nouveaux équipements. 1993, deux ans après l’ouverture, ils reçoivent des stagiaires de la Polyvalente La Forêt d’Amos. Ils espèrent ainsi pouvoir engager un de ces étudiants pour se permettre des congés et déléguer d’autres tâches importantes, qui depuis la création avaient été négligées.

10 Une reconnaissance des pairs
L'art de se vendre : Une reconnaissance des pairs Cette même année Bil-Yvon gagne le lauréat dans la catégorie nouvelle entreprise au Gala Élite de la Chambre de Commerce d'Amos-Région. 1994, grâce à l’achalandage toujours grandissante, la compagnie Bil-Yvon engage des débosseleurs d’expériences. Les stagiaires continuent à défiler à tour de rôle.

11 On développe ou on développe pas
L'aptitude à décider : On développe ou on développe pas 1997, Bil-Yvon possède 5 employés et les locaux deviennent trop petits pour le bon fonctionnement de l'entreprise. Monsieur Bilodeau veut diversifier sa clientèle en offrant le service pour les camions lourds. Le local n’étant malheureusement pas adéquat pour le passage de ce type de véhicule. Il décide d'acheter son ancien employeur (devenu un compétiteur) Débosselage Ouellet, localisé dans le parc industriel. Avec cette acquisition Bil-Yvon possède un atelier de 4,300 pi. Carrés, un local assez grand pour recevoir les camions lourds sans difficultés et des espaces appropriés pour l’accueil et l’administration.

12 La tolérance au risque :
Quitte ou double 1999, un investissement de 300,000$ afin de doubler la superficie de plancher a 10,000 pi. Carrés. Cet investissement permet d’améliorer l’efficacité opérationnelle et de mieux supporter la croissance grandissante de l’entreprise. Avec cette agrandissement, Monsieur Bilodeau est le plus grand centre de débosselage en Abitibi.

13 Le sens de l’organisation :
La répartition des ressources L’entreprise compte à ce jour 10 employés permanents cumulant plusieurs années d’expérience. Monsieur Bilodeau veille à ce que le travail soit bien réparti entre chaque employé 2004, il y a des pourparler avec le groupe du Garage Tardif , Amos Toyota, Centre du Camion pour faire l’acquisition de Bil-Yvon. Nos deux entrepreneurs n’ont plus la même vision des affaires. Monsieur Tremblay a 56 ans et depuis quelques temps pense davantage à sa retraite qu’au développement de l’entreprise. Les dirigeants de Tardif s’aperçoivent de cet écart de vision et demandent à Monsieur Bilodeau de l’écarter du projet.

14 La résistance aux chocs et l'aptitude à se contrôler :
Quand la boucane . . . 2005, Monsieur Jacques Tremblay se retire. Monsieur Bilodeau achète les parts de son associé et devient l’unique propriétaire de Bil-Yvon. Après avoir acheté son partenaire, le groupe d’acheteur Tardif et cie se désiste et décidé de partir une entreprise de débosselage juste dans la rue en arrière de Bil-Yvon.

15 La capacité à déléguer :
Quand on se complète Ayant besoin de soutien, il demande à sa conjointe, qui jusque là s’occupait de la comptabilité de l’entreprise à temps partiel, de travailler à ses côté à temps plein. Du statut d’employée elle devient entrepreneur par ‘’ricochet’’.

16 Au travail en toute circonstance
La santé : Au travail en toute circonstance 2007,la bonne santé de l’entrepreneur lui à permit jusqu'à ce jour de travailler avec acharnement afin de réaliser des rêves et d’être à l’affût de nouveauté et des occasions à saisir. À l’aube de ses 50 ans Monsieur Bilodeau poursuit l'ambition de se diversifier et d’innover, mais le manque de main d’œuvre crée un nouvel obstacle. Nous faisons le pari qu’il saura, grâce à ses aptitudes d’entrepreneur, porter une fois de plus, son entreprise là où il veut la mener.


Télécharger ppt "L’entreprise."

Présentations similaires


Annonces Google