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Libéralisme et républicanisme

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Présentation au sujet: "Libéralisme et républicanisme"— Transcription de la présentation:

1 Libéralisme et républicanisme
4e leçon : Hobbes, Locke, Rousseau Libéralisme et républicanisme 1 1

2 Libéralisme et républicanisme
répondre à Machiavel humanisme civique « homme libre » dans une « Cité libre » la politique : sans fondement moral le conflit social = positif 2 2

3 Libéralisme et républicanisme
la pensée politique des 17e / 18e tenir compte de Machiavel écarter ce que sa pensée a de plus subversif amoralisme éloge du conflit 3 3

4 Libéralisme et républicanisme
le contrat social : = l’Etat est institué par les hommes pour préserver leurs droits naturels individuels fiction : « tout s’est passé comme si » pouvoir monarchique + pouvoir marchand 4 4

5 Libéralisme et républicanisme
rejet des 2 modèles dominants : le modèle théologique (Jérusalem) « tout pouvoir vient de Dieu » l’Etat = réalité surnaturelle le modèle naturaliste (Athènes) « l’homme est un vivant politique  » l’Etat = réalité naturelle 5 5

6 Libéralisme et républicanisme
matrice théorique libéralisme: Locke républicanisme: Rousseau Hobbes partisan de l’absolutisme 6 6

7 Thomas Hobbes Cavendish Galilée Harvey protestants catholiques
anglicans 7 7

8 Cromwell 8 8

9 Le Léviathan (1651) 9 9

10 Thomas Hobbes 2 adversaires la pensée théologico-politique
les « Maîtres des Ténèbres » La peur des Enfers 10 10

11 Thomas Hobbes 2 adversaires 2) l’humanisme civique liberté du peuple
-> guerre civile Protestants = Républicains Cromwell 11 11

12 Thomas Hobbes double fiction philosophique état de nature
contrat social l 12 12

13 13 13

14 Thomas Hobbes « C’est l’art qui crée ce grand Léviathan, République ou État -lequel n’est qu’un homme artificiel, quoique plus grand et plus fort que l’homme naturel, pour la défense et protection duquel il a été conçu » (Préface) 14 14

15 Thomas Hobbes P temporel / P ecclésiastique
Léviathan = Etat = réalité artificielle ni théologique ni naturelle 15 15

16 Thomas Hobbes état de nature besoin, désir
= conservation égoïste de soi projection dans le futur calcul => peur « l’homme est un loup pour l’homme » « guerre de tous contre tous » 16 16

17 Thomas Hobbes état d’insécurité ≠ guerre réelle ≠ Chute / Péché 17 17

18 Thomas Hobbes contrat social peur -> calcul -> instituer la paix
renoncer à sa puissance la transférer à une instance tierce : Etat 18 18

19 Max Weber Etat = « monopole de la violence légitime » 19 19

20 Thomas Hobbes peur des autres => peur de l’Etat
rapports interindividuels pacifiés liberté individuelle garantie 20 20

21 Thomas Hobbes désenchantement du politique
finalité de l’Etat = sécurité des individus ≠ bonheur des citoyens ≠ gloire de Dieu 21 21

22 Thomas Hobbes contrat horizontal entre individus
pas de contrat entre Etat / Peuple Léviathan : pouvoir absolu réalité artificielle 22 22

23 Thomas Hobbes contrat horizontal entre individus
pas de contrat entre Etat / Peuple Léviathan reste dans l’état de nature les délinquants, terroristes autres Etats 23 23

24 La liberté chez Machiavel / Hobbes
Machiavel = non-domination sujet d’un despote = esclavage désir de liberté du peuple Hobbes = non-interférence état de guerre = privation de liberté désir de sécurité des individus 24 24

25 Thomas Hobbes Hobbes fait scandale
dans le camp de la monarchie absolue : car rejet de toute légitimité religieuse dans le camp des « droits de l’H » : car éloge de la monarchie absolue 25 25

26 Libéralisme et républicanisme
« humaniser », « moraliser » Hobbes Locke : libéralisme aménagement moral de l’état de nature Rousseau : républicanisme aménagement moral du contrat social 26 26

27 John Locke 1632-1704 parti whig (libéral) Guillaume d’Orange
≠ parti tory (conservateur) Guillaume d’Orange « Glorieuse Révolution » « Bill of Rights » 27 27

28 John Locke empirisme : toute connaissance vient de l’expérience
Deux traités du Gouvernement civil 1690 28 28

29 John Locke état de nature conservation de soi dénuement
>< violence Hobbes travail, propriété respect d’autrui 29 29

30 John Locke Loi de nature :
« cette loi enseigne à tous les hommes qu’étant égaux et indépendants, nul ne doit nuire à un autre par rapport à sa vie, à sa santé, à sa liberté, à son bien ». 30 30

31 John Locke « société civile » « marché » sociabilité naturelle
libéralisme « société civile » « marché » sociabilité naturelle 31 31

32 32 32

33 John Locke état de nature = instabilité besoin d’un arbitre 33 33

34 John Locke Etat régulateur confiance (≠ peur) trust
contrat social Etat régulateur confiance (≠ peur) trust « droit de résistance à l’oppression » 34 34

35 John Locke libertés fondamentales : travail propriété
humanisation du schéma hobbesien libertés fondamentales : travail propriété 35 35

36 Jean-Jacques Rousseau
1712 – 1778 Genève Encyclopédie 36 36

37 Jean-Jacques Rousseau
La Nouvelle Héloïse 1761 L’Emile 1762 Le contrat social 37 37

38 Jean-Jacques Rousseau
vision négative de la société marchande Etat : régénérer l’humanité centre de gravité moral: = citoyenneté 38 38

39 Jean-Jacques Rousseau
Hobbes & Locke : schéma à 2 termes Rousseau : 3e terme: l’histoire 39 39

40 Jean-Jacques Rousseau
(1) « état de nature »: l’homme bon liberté = perfectibilité le « bon sauvage » 40 40

41 Jean-Jacques Rousseau
(2) état de société, histoire = « second état de nature » travail/propriété domination, exploitation Discours sur l’inégalité (1755) 41 41

42 Rousseau : « La nature humaine ne rétrograde pas »
Quelle solution ? Voltaire : « J’ai reçu votre nouveau livre contre le genre humain… Il prend envie de marcher à quatre pattes ». Rousseau : « La nature humaine ne rétrograde pas » 42 42

43 Jean-Jacques Rousseau
(3) le contrat social Le Contrat Social (1762) ce que devraient être les institutions d’un Etat libre ≠ protection des droits naturels = « changer la nature humaine » transformation morale de l’homme 43 43

44 contresens : Rousseau opposé à toute révolution politique
44 44

45 Jean-Jacques Rousseau
la volonté générale concept moral, pas empirique moment où le sujet s’arrache à ses passions, interroge sa conscience conscience de l’intérêt général 45 45

46 art.6 Déclaration des droits de l’homme et du citoyen
la volonté générale « La loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation » 46 46

47 Jean-Jacques Rousseau
la volonté générale ne peut être représentée concept moral n’est pas une addition empirique état d’esprit 47 47

48 Jean-Jacques Rousseau
praticabilité ? principes fondamentaux délégation à un exécutif => l’Etat 48 48

49 Libéralisme et républicanisme
2 alternatives au pessimisme anthropologique de Hobbes libéralisme Locke républicanisme Rousseau 49 49

50 Libéralisme positivité des rapports économiques
Locke : revalorise l’état de nature positivité des rapports économiques tradition individualiste anglo-saxonne l’H = conscience psychologique qui se lie à autrui par sympathie / intérêt 50 50

51 Adam Smith La Richesse des Nations (1776) intérêt personnel
« main invisible » intérêt personnel -> prospérité générale théorie des sentiments moraux sympathie, affinité 51 51

52 Républicanisme acte de conscience moral
Rousseau : revalorise le contrat social acte de conscience moral tradition continentale rationaliste l’homme = conscience morale : arrachement à l’aliénation 52 52

53 Emmanuel Kant conscience critique
« Loi morale » : capacité de poser soi-même ses propres normes conscience critique 53 53

54 Etienne Balibar 2010 54 54

55 Etienne Balibar le modèle libéral : l’H = propriétaire de lui-même
la différence : anthropologique ≠ politique le modèle libéral : l’H = propriétaire de lui-même terrain économique le modèle républicain : l’H = être communautaire terrain de la parole/communication 55 55

56 Isaiah Berlin « Deux conceptions de la liberté »
Eloge de la liberté (1969) 56 56

57 Isaiah Berlin liberté négative : « ne pas être entravé dans ses choix par d’autres » non-interférence liberté positive : « être son propre maître » non-domination 57 57

58 Libéralisme et républicanisme
qu’est-ce que la modernité ? = émergence de l’individu modèle de la « main invisible » = émergence de l’autonomie modèle de la « volonté générale » 58 58


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