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TESTING DE LA HANCHE La connaissance des amplitudes de la hanche est indispensable avant d’entreprendre les tests manuels de force musculaire au niveau.

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1 TESTING DE LA HANCHE La connaissance des amplitudes de la hanche est indispensable avant d’entreprendre les tests manuels de force musculaire au niveau de la H.

2 TESTING DE LA HANCHE FLEXION DE HANCHE

3 GRAND PSOAS ET ILIAQUE

4 Cotations :

5 Cotations :

6 Les compensations

7 Facteurs limitants le mouvement
Contact de la cuisse sur l’abdomen lorsque le genou est fléchi; Tension du grand fessier; Tension des muscles ischio-jambiers lorsque le genou est tendu;

8 Actions de l’ilio psoas
Réalise : - une lordose (rôle important ds la statique vertébrale) - une flexion cuisse sur bassin - flexion du rachis et du bassin sur la cuisse - flexion directe du tronc - rot ext de la H - adducteur de la H Flexion de la cuisse sur le bassin : si point fixe est la colonne verrtébrale en tirant sur le petit trochanter Flexion du rachis et du bassin sur la cuisse si pt fixe est le fémur Flexion directe du tronc lors de la contraction des 2 psoas iliaque en prenant les points fixes sur le fémur Rotation ext de la cuisse Adducteur de la cuisse (plan sagittal point fixe iliaque= flexion cuisse sur bassin; si pt fixe fémur= flexion du tronc sur le bassin et sur la cuisse Plan frontal pt fixe iliaque= adduction de la cuisse; inflexion latérale; inclinaison homolatérale du tronc / bassin s’il tire d’un côté inclinaison homolatérale T/B des 2 côtés : inflexion T/B plan horizontal rot ext de H)

9 SARTORIUS : FLEXION, ABD et ROT DE H. EN FLEXION DE GENOU

10 Cotations :

11 Cotations :

12 Facteurs limitants le mouvement
Ensemble des limitations de chaque articulation

13 ACTIONS du SARTORIUS Principalement FLECHISSEUR de H
Accessoirement ABDUCTEUR et ROTATEUR EXT Action sur le genou : FLECHISSEUR et ROTATEUR INTERNE

14 EXTENSION DE LA HANCHE

15 GRAND FESSIER ET ISCHIOS : EXTENSION DE H

16 Cotations :

17 Cotations :

18 Facteurs limitant l’extension de H
Tension du ligament ilio-fémoral (ligt de BERTIN) Tension des muscles fléchisseurs de la H

19 TEST ISOLE DU GRAND FESSIER COTATION : 5 4 3

20 Cotations :

21 Actions du GRAND FESSIER
C’est le plus puissant muscle du corps EXTENSEUR ROTATEUR EXTERNE DE H Ses fs inférieurs sont ADD , fs sup ABD Redresse le bassin Par ses fs superficiels TENSEUR du fascia lata Quand il prend son point fixe sur le fémur, il redresse le bassin et l’incline de son côté et lui imprime un mvt de rotation opposée.

22 Actions des ISCHIOS (long biceps, semi tendineux, semi membraneux)
Ce sont des muscles bi articulaires et leur efficacité sur la H dépend de la position du genou.

23 EXT DE H modifiés pour la raideur des fléchisseurs

24 ABDUCTION DE LA HANCHE

25 MOYEN ET PETIT FESSIER

26 MOYEN ET PETIT FESSIER cotations : 5 4 3

27 Cotations :

28 Facteurs limitant le mvt
Tension des fibres distales du ligament ilio fémoral et du ligt pubo fémoral Tension des muscles adducteurs de la cuisse.

29 Actions du MOYEN FESSIER et PETIT FESSIER
Action principale ABD de H Jouent un rôle essentiel dans le stabilisation transversale du bassin. Leurs fs ant sont ROT INTERNES fs post sont ROT EXTERNES Pt fixe sur le fémur, ils redressent le bassin, l’inclinent sur le côté.

30 Compensations lors du test de l’ABD

31 TESTING TFL(ABD PARTIR POSITION DE FLEXION)

32 TESTING TFL COTATION

33 TESTING TFL Cotation 3 2

34 TESTING TFL COTATION 1 0

35 Facteurs limitants le mouvement
Ensemble des limitations de chaque articulation

36 Actions du TFL Fortement ABDUCTEUR DE H en rectitude
Stabilisateur du bassin Il agit srtt en tirant en avt la bandelette de Maïssiat évitant sa luxation en AR du grand trochanter qd elle est très tendue en situation hanchée.

37 TESTING ADDUCTION

38 ADDUCTION Cotations

39 ADDUCTION Cotations

40 Facteurs limitants le mouvement
Contact avec la jambe opposée Tension du ligament ischio fémoral lorsque la H est fléchie.

41 GRAND ADDUCTEUR Est le plus puissant des ADD

42 Compensations

43 TESTING ROTATION LATERALE

44 Cotation

45 Cotation 2

46 Cotation 1 0

47 Facteurs limitant le mvt
Tension du ligament ilio fémoral Tension des muscles rotateurs internes

48 ROTATEURS EXT Nombreux et puissants PIRIFORME : ABD et ROT EXT
OBTURATEUR INT et EXT : ROT EXT CARRE CRURAL : ROT EXT et ADD PECTINE : ROT EXT et FLECHISSEUR et ADDUCTEUR JUMEAUX : ROT EXT Fs post du GR ADDUCTEUR GRAND FESSIER Fs post du PETIT et MOYEN FESSIER

49 TESTING ROTATION MEDIALE

50 Cotation

51 Cotation 2

52 Cotation 1 0

53 Facteurs limitant le mvt
Tension du ligament ilio fémoral quand la H est en extension Tension du ligament ischio fémoral qd la H est en flexion Tension des muscles ROT EXT de la H

54 Action des ROT INT Principaux : - PETIT FESSIER - TFL
Accessoires : - MOYEN FESSIER fibres ant - SEMI MEMBRANEUX - SEMI TENDINEUX

55 EXAMEN MUSCULAIRE BREAK TEST

56 EXAMEN DE LA FORCE MUSCULAIRE
La référence anatomo-physiologiques : privilégie un muscle donné en essayant d’isoler son action de celle de ses voisins. La référence fonctionnelle: privilégie la fonction et donc un groupe de muscles agonistes. La direction de la force est perpendiculaire au segment donc au bras de levier. L’intensité est progressive, individuelle et variable selon le muscle. La résistance peut s’appliquer soit en dynamique ou en statique c’est la résistance max=break test. La force musculaire d’un sujet peut paraître suffisante ou non. La difficulté tient à l’objectivation de cette impression par rapport à deux références de nature différente: 1 la référence anatomique …voisins. Cette pratique répond aux préoccupations d’évaluation des pathologies neurologiques périphériques afin de déterminer le nombre de muscles atteints ou restant à récupérer et de quantifier l’atteinte de chaque muscle par une notation de 0 à 5 suivant la terminologie internationale du testing. 2 la référence fonctionnelle…L’appréciation est quantitative ou qualitative et, mis à part quelques groupes musculaires bien étudiés, comme les abd de la H, elle est parfois malaisée. L’objectivation a recours à des mesures dynamométriques, à des recherches de 1RM ou 10RM, et parfois apprécie simplement la différence entre le côté sain et le côté atteint comme dans le « break test ».LA DIRECTION..

57 Examen de la force par le BREAK TEST
« Break test » : rompre, briser. L’idée de ce test est de demander au sujet de conserver une position dont l’examinateur tente de « briser » le maintien. Le résultat est + si le sujet garde la position articulaire stable.(s’il ne peut résister et rompt l’action, le test est -). Il doit être réalisé bilat. ou comparé à celui du côté sain pour évaluer si la force est suffisante ou non.

58 Break test en position hanche et genou fléchis

59 Break test des fléchisseurs
Le sujet est couché sur le dos, la H et le genou du côté à tester fléchis chacun à angle droit, le kiné se trouve à hauteur confortable pour utiliser le bras de levier crural. Il peut tirer la cuisse vers l’extension, avec ses deux mains croisées sur la face ant de la partie distale, tout en soutenant sans effort le segment jambier à l’aide de son bras.

60 Break test des extenseurs
La position du patient est la même. Les muscles extenseurs sont très puissants et la force qu’il faut leur opposer doit être proportionnelle. Aussi la position du thérapeute doit-elle être en appui bras tendu sur la face postérieure de la partie distale du segment crural et renforcée par un appui de l’autre main au niveau de la plante du pied.

61 Break test des rotateurs internes
Même position du patient; à partir de celle-ci le thérapeute applique un couple de force sur la face interne du genou et la face externe du pied, de façon à tenter de faire pivoter la cuisse sur son axe.

62 Break test des rotateurs externes
Le procédé est analogue au précédent en inversant le couple de forces de manière à solliciter les muscles inverses. Le praticien peut se placer dans l’axe du patient ou perpendiculairement à lui selon son choix et l’envergure de ses bras.

63 Break test pour les adducteurs
Contrairement au cas des rotations, la position des mains du kiné permet une action de même sens, à partir d’un appui sur la face interne du genou et du pied. Placé du côté du membre à tester, le thérapeute tire vers lui.

64 Break test pour les abducteurs
C’est le mouvement inverse du précédent : placé du côté testé l’examinateur pousse sur les faces ext du genou et du pied.

65 Variante : break test bilatéral
Les tests peuvent être pratiqués dans un temps minimum puisqu’à partir d’une position identique du patient un simple glissement des mains du praticiens sur une face ou sur une autre permet de passer tous les groupes musculaires en revue. De même, on peut envisager des variantes bilatérales à fin de comparaison immédiate.

66 Variante : break test en position assise
Enfin les exemples proposés sont réalisables également dans la position assise en bord de table qui offre le même type de situation.

67 Break test en position hanche tendue

68 En décubitus ventral Cette position permet de réaliser tous les tests évoqués ci avant; le genou est fléchi à angle droit. Plusieurs types de prises sont possibles. L’une d’elle fig 147 consiste à se placer latéralement et à maintenir le segment jambier du patient entre le tronc et le bras le plus proche du praticien; les deux mains plaquées sur la cuisse sollicitent alternativement tous les groupes musculaires. (pour les extenseurs, la cuisse doit être décollée du plan de la table).

69 En décubitus dorsal Le sujet se trouve hanche tendue et genou fléchi en bout de table. Cette position est utile lorsque le décubitus ventral est malaisé fig 148 NB: pour bien réaliser ces tests sur le mode statique les ordres verbaux donnés au sujet ne doivent pas être interprétables; en particulier le langage doit être de type statique : « tenez, résistez, empêchez moi de vous entraîner », et non pas de type dynamique tels que « poussez », « tirez ».

70 EXAMEN DE L’EXTENSIBILITE MUSCULAIRE
EXAMEN MUSCULAIRE EXAMEN DE L’EXTENSIBILITE MUSCULAIRE

71 EXAMEN DE L’EXTENSIBILITE MUSCULAIRE
La perte d’allongement d’un muscle minore le déplacement de l’articulation croisée par ce muscle et un examen d’amplitude traduit le déficit arti dont peut être responsable le muscle. Cpdt pour un m polyarticulaire la simple goniométrie ne suffit pas; il faut tenir compte de la position de la ou des autres arti.

72 La coxo-fémorale est croisée par plsrs m polyarticulaires, soit vers le rachis, soit vers la jambe :
- le PSOAS MAJOR - le GRACILE (droit interne) - le TFL - le SARTORIUS (couturier) - le DROIT ANTERIEUR - les ISCHIO-JAMBIERS

73 EXTENSIBILITE DU PSOAS
À partir du décubitus dorsal Le membre à tester est gardé en rectitude pdt que le praticien fléchit la cuisse controlatérale de telle sorte que la flexion coxo-fémorale entraîne celle de la colonne lombaire. Un appui sur la cuisse à tester en extension permet d’apprécier l’allongement maximum du m par enroulement lombaire associé à l’extension. La mesure de cette extensibilité apprécie l’importance de l’écart entre la table d’examen et la face post du genou par une mesure centimétrique.

74 EXTENSIBILITE DU PSOAS
A partir d’un décubitus sur les coudes Cette position d’appui sur les coudes fléchit la colonne lombaire sans entraîner la bascule du bassin et permet accessoirement au sujet de suivre le test et d’y participer. La mesure s’effectue dans les mêmes conditions que précédemment.

75 EXTENSIBILITE DU PSOAS
A partir du latérocubitus Le kiné se place derrière le sujet. Avec une main, il maintient le côté non testé en flexion de H et en flexion lombaire, de l’autre il maintient le membre testé en extension et, avec son tronc, il fait un contre appui au niveau du bassin de façon à stabiliser le sujet. L’appréciation doit tenir compte d’une part de l’enroulement lombo-pelvien et d’autre part du degré d’extension de la H testée. Ce dernier point (à partir d’un enroulement lombo-pelvien maximum chez un même sujet) peut faire l’objet d’une évaluation objective si une tierce personne peut effectuer une mesure goniométrique simultanée.

76 EXTENSIBILITE DU GRACILE
Patient en DD. Thérapeute du côté à tester, passe un avant bras sous la jambe intéressée afin de réaliser une prise en berceau qui assure l’extension du genou. Il plaque la paume de sa main sur le condyle interne et amène le mebre en abduction. La contre prise est appliquée au niveau de la fosse iliaque externe, entre la crête et le grand trochanter, ce qui permet d’utiliser une prise large pour abaisser l’hémi bassin concerné et parfaire ainsi la manœuvre d’abduction. La seule différence par rapport à la goniométrie en abduction de H est que le genou doit obligatoirement être tendu, le mvt restant frontal. La mesure effectuée est de type goniométrique. Si l’amplitude augmente lorsque le genou est fléchi, cela indique que le droit interne est en cause.

77 EXTENSIBILITE DU TFL Décubitus ventral
C’est un examen qu’il est avantageux d’exécuter en décubitus ventral en associant une extension, une adduction et une rotation externe de la H, la jambe restant tendue. L’appréciation, subjective ou objective, se fait à partir de l’adduction; il est alors nécessaire que l’extension et la rotation externe soient optimales dès le départ et maintenues pendant l’adduction.

78 EXTENSIBILITE DU TFL Latérocubitus
Le TFL peut également être étiré en latérocubitus en respectant les mêmes critères que précedemment.

79 EXTENSIBILITE SARTORIUS
Ce muscle possède une action complexe puisqu’il est fléchisseur, abd, rotateur ext de la H puis fléchisseur et rot int du genou. Il est testé en étirement par le mvt inverse de H. Au niveau du genou, on utilise la rotation externe si celui-ci est fléchi. Si le genou est tendu, le muscle est étiré par l’extension de cette articulation. En fait, il semble plus aisé de garder le genou tendu.

80 EXTENSIBILITE SARTORIUS
En décubitus ventral On effectue une extension puis une rotation interne et enfin une adduction. Le kiné se place du côté opposé et réalise la manœuvre par une prise en berceau se déroulant vers la rotation interne. La mesure est effectuée comme pour le TFL à partir de l’amplitude d’adduction; la différence réside dans la composante rotatoire qui doit être une rotation interne optimale, alors qu’il s’agissait précédemment d’une rotation ext.

81 EXTENSIBILITE SARTORIUS
En latéro cubitus La technique est le même mais l’examinateur doit se placer DR le sujet. Le thérapeute assure le maintien de l’équilibre pelvien. L’hémi bassin peut s’abaisser latéralement ce qui provoquerait une ABD il peut aussi rouler vers l’avt et entraîner une rot ext de la H testée

82 EXTENSIBILITE du DROIT ANT
Le test d’extensibilité est plus facile car ce muscle est sagittal, tant au niveau de la H que du genou, et qu’il croise ces deux arti par l’avant.

83 EXTENSIBILITE du DROIT ANT
A partir d’une extension de la H en latérocubitus Le côté non testé est sur la table d’examen avec la H et le genou fléchis. On peut éventuellement au sujet de tenir son genou à deux mains de façon à bien verrouiller la rétroversion du bassin. L’examinateur se place DR le sujet; d’une pain il maintient la cuisse en rectitude, de l’autre il imprime la flexion du genou. Laq mesure en fin de course est de type linéaire et correspond au contact talon ischion Moins le droit ant est extensible plus la flexion du genou est limitée.

84 EXTENSIBILITE du DROIT ANT
A partir du décubitus ventral Le test est élémentaire à réaliser puisque l’on se contente d’amener le talon vers la fesse après avoir + ou – limité l’antéversion du bassin par une pression sur la région fessière . Cpdt cette position est moins fiable car il est difficille de maintenir la position pelvienne.

85 EXTENSIBILITE DES ISCHIOS JAMBIERS
Ces trois m ont la même fonction au niv de la H mais sont au niv du genou soit rot int fléchisseurs soit rot ext fléchisseurs. La flexion détend les ischio-jambiers et l’on peut être tenté de garder l’extension. Celle-ci n’autorisant pas les rotations, elle ne permet pas de différencier les ischio internes de l’ext.

86 EXTENSIBILITE ISCHIOS
A partir du décubitus dorsal : - genou tendu La flexion de H teste l’étirement global des muscles post de la cuisse ce mvt s’effectue en verrouillant l’extension du genou par un contre appui ant sur la base de la cuisse. En revanche le pied reste libre de se placer en flexion plantaire afin d’éviter l’étirement des jumeaux. La mesure se fait à partir de la goniométrie de la coxo fémorale.

87 EXTENSIBILITE ISCHIOS
Genou fléchi A partie d’une flexion de H préalable et maximale, la mise en rotation int du segment jambier (fig 126) préalablement à l’extension, met + spécifiquement en tension la longue portion du biceps fémoral. La technique utilise une flexion de la H maintenue pendant tout le test par le sujet, et le kiné assure le mvt de rotation int puis l’extension du genou. La mise en rot ext du segment jambier (fig127) préalablement à l’extension, met plus spécifiquement en tension les muscles semi tendineux et semi membraneux. L’élt qui marque le test est le degré d’extension obtenu par le genou. La mesure goniométrique apprécie cet élément. Un autre procédé consisterait à mesurer la distance talon-table.

88 EXTENSIBILITE ISCHIOS
A partir du latérocubitus Les diff possib utilisées précédemment peuvent être utilisées de la même façon. Si l’on utilise la mise en tension globale (fig 128) à partir de l’extension du genou préalable puis du mvt de flexion de H, le membre au repos doit être celui qui est contre la table, hanche et genou fléchis, pour donner de la stabilité. Si on utilise de la dissociation (fig129) à partir de la flexion de H préalable puis avec la rotation du genou en allant vers l’extension, le mb contre la table reste en rectitude pour tenir le bassin.

89 EXTENSIBILITE ISCHIOS
A partir de la position assise Cette solution, familière aux gymnastes, consiste à garder le tronc vertical, voire en flexion, tout en ramenant le ou les genoux en extension. Le kinésithérapeute peut faire asseoir le sujet sur le sol, le coccyx le plus près possible d’un plan vertical (mur); il contrôle la rectitude lombaire en y interposant sa main et de l’autre il appuie sur la face ant du genou pour l’amener en extension. La distance creux poplité sol sert de référence.

90 EXTENSIBILITE ISCHIOS
A partir de la position debout Extrêmement fréquent dans la pratique courante, ce test d’étirement des ischio jambiers nécessite deux réserves. D’une part, il est d’emblée bilatéral, d’autre part il risque de tester non pas les muscles postérieurs des cuisses mais la flexion vertébrale. A ce titre, il convient de faire opérer au sujet une bascule du tronc autour de ses coxo fémorales en conservant la cambrure lombaire physiologique. Dans ces conditions, la distance doigts sol indique la limite d’étirement des ischio

91 EXTENSIBILITE ISCHIOS
Position correcte


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