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RÉGION : Vallée-du-Haut-St-Laurent.  Financement Le Comité consultatif Jeunes est financé par la Commission des partenaires du marché du travail. Son.

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1 RÉGION : Vallée-du-Haut-St-Laurent

2  Financement Le Comité consultatif Jeunes est financé par la Commission des partenaires du marché du travail. Son action vise à renforcer les interventions d'Emploi- Québec ainsi que d'informer la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT) et le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale (MESS) des diverses problématiques d'emploi vécues par les jeunes du Québec.  Action Définir les problématiques vécues par les jeunes dans leurs démarches d'intégration, de réintégration et de maintien en emploi.

3  Membership (18) issu du patronat, des syndicats, des regroupements en employabilité, d’organismes en développement régional et autres comités jeunesse  Association des centres locaux de développement du Québec (ACLDQ)  Centrale des syndicats du Québec (CSQ) - Comité jeunes  Centre génération Emploi  Chantier de l'économie sociale – Comité jeunes  Collectif des entreprises insertion du Québec  Comité national des jeunes de la Confédération des syndicats nationaux (CSN)  Force jeunesse  Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec – Comité Jeunes (FTQ)  Fédération québécoise des coopératives en milieu scolaire (COOPSCO)  Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ)  Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ)  Place aux jeunes en région du Québec  Regroupement québécois des organismes pour le développement de l’employabilité (RQuODE)  Réseau des services spécialisés de main-d’œuvre (RSSMO)  Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec (RJCCQ)  Réseau des Carrefours jeunesse emploi du Québec  SAJE Accompagnateur d’entrepreneurs  Table de concertation des forums jeunesse régionaux du Québec  Membres non-votants: Secrétariat à la jeunesse, Commission des partenaires du marché du travail et Forum des jeunes de la fonction publique québécoise

4  La genèse  Financement pour 6 groupes de discussion dans la périphérie de Montréal, situés dans cinq (5) régions administratives  Dizaine de demandes de financement pour obtention d’un financement additionnel provenant de quatre nouveaux partenaires 1) CRÉ de la Vallée-du-Haut-St-Laurent (3 groupes) Vaudreuil-Soulanges Châteauguay Valleyfield 2) CRÉ Montérégie-Est 3) Emploi-Québec Estrie 4) Forum jeunesse de la Capitale-Nationale

5 RÉSULTATS  18 groupes de discussion  140 jeunes rencontrés  Quatre rapports régionaux  Un rapport de recherche (résultats nationaux)  Un avis Disponibles sur ccjeunes.org/publications

6  Être âgé de 18 à 35 ans  Être au pays depuis 2 à 8 ans  Avoir expérimenté la recherche d’emploi

7  9 hommes et 15 femmes  Âge moyen: 30 ans  Plus scolarisés que la moyenne : Universitaire: baccalauréat: 58 % Universitaire: maîtrise ou doctorat: 37,5 % Surreprésentation des personnes immigrantes détenant un diplôme universitaire

8  Catégorie d’immigration:  Économique: 37,5 %  Regroupement familial: 29 %  Autres: 29 %  Année d’immigration:  En 2008 et après: 46 %

9  Composition du ménage:  Vivent seules ou avec quelqu’un: 42 %  Trois ou cinq personnes: 58 %  Habitent la ville depuis:  Un à deux ans: 50 %  Trois ans et plus: 42 % Connaître quelqu’un :  Plus du tiers (42 %) des répondants connaissaient quelqu’un dans la ville où ils résident actuellement.  Parents ou amis dans une autre ville canadienne: 21 %  Aucun parent ni ami à leur arrivée au Québec: 21 %

10  Avaient déjà travaillé avant d’arriver au Canada:  17 participants (71 %)  Occupation principale  Travail à temps plein: 11 participants (46 %)  Aux études : 3 participants (13 %)  Sans emploi à la recherche d’un emploi: 5 participants (21 %)  Aide d’un organisme pour trouver un emploi ?  Oui: 71 %

11  Sauf pour les participants de Valleyfield  N’est pas lié aux perspectives d’emploi  Ont choisi de s’établir pour d’autres raisons, telles que: Réputation de tranquillité et coût de la vie Présence de famille ou d’amis Périphérie de Montréal Développement immobilier (Vaudreuil) = + d’emplois ?  « C’est plus facile d’être en banlieue qu’à Montréal. La qualité de vie à Montréal, c’est dangereux, il y a beaucoup de problèmes, pour les écoles, pour les enfants donc la qualité de vie, c’est plus tranquille. Tout le monde se connaît, [c’est] plus sécuritaire » (Tereza, (Pérou), Châteauguay)

12  À Valleyfield  La plupart sont arrivés à Montréal ou une autre région avant d’arriver à Valleyfield pour y occuper un emploi  La majorité s’est établie pour les perspectives d’emplois offertes par la région, notamment en raison des nombreuses entreprises dans le secteur de l’agroalimentaire.  Ils sont presque tous employés dans le secteur secondaire (fabrication, transformation) et estime« D’un point de vue académique, il n’y avait pas de problème mais ça dépend du métier, mais je suis persuadée qu’on ne m’aurait pas donné la même chance à Montréal, au même niveau. Automatiquement en région, peut-être, les besoins sont plus grands. Il y a moins de monde qui se présente. Automatiquement, on nous laisse plus de chance. Le fait aussi qu’il y a moins d’immigrants qui soient présents, il y a peut-être une tolérance, une ouverture, une forme de quiétude, de confiance qui se fait peut-être plus que dans la grande ville » (Isabella, ?ans, (France), Valleyfield)nt leur potentiel d’employabilité dans la région meilleur qu’à Montréal:

13  « D’un point de vue académique, il n’y avait pas de problème mais ça dépend du métier, mais je suis persuadée qu’on ne m’aurait pas donné la même chance à Montréal, au même niveau. Automatiquement en région, peut-être, les besoins sont plus grands. Il y a moins de monde qui se présente. Automatiquement, on nous laisse plus de chance. Le fait aussi qu’il y a moins d’immigrants qui soient présents, il y a peut-être une tolérance, une ouverture, une forme de quiétude, de confiance qui se fait peut-être plus que dans la grande ville » (Isabella, (France), Valleyfield)

14  Près des ¾ (73% ) des répondants avaient une expérience de travail pertinente  La plupart occupait un travail qualifié dans leur pays d’origine.  Malgré leur diplôme de haut niveau, la reconnaissance est tout de même difficile : J’ai fini l’Université [...], je n’ai pas réussi à travailler dans ce domaine. Mais si j’avais travaillé dans mon pays, je pense que mon expérience ne compterait pas rendu ici. Il faut recommencer (Vladimir, (Moldavie), Vaudreuil).

15  La première stratégie est souvent l’utilisation du capital social (réseaux avec liens forts ou liens faibles  Plusieurs reconnaissent toutefois que la validité des conseils reçus n’est pas garantie  Les ressources d’aide en employabilité ont été fréquentés de façon moins intensive dans la VHSL qu’ailleurs  L’aide spécialisée offerte aux nouveaux arrivants a semblé très appréciée : « Les organismes qui ont vraiment un volet dédié à l’immigration, ça fait vraiment une différence parce que le volet social, il y a de l’accompagnement. Quand tu arrives, tu n’as pas de voiture. Si tu veux aller en région, c’est compliqué de te déplacer. Ça prend quelqu’un qui peut t’aider pour le logement et la garderie... tous ces mécanismes là quand tu arrives avec une famille, car il faut bien commencer quelque part » (Isabella, (France), Valleyfield).

16 À Valleyfield:  Accueillis par le CRESO, pour la plupart  Plusieurs participants à Valleyfield ont utilisé le programme PRIIME  Trois autres ont utilisé:  Un programme du Carrefour Blé (secteur de l’agroalimentaire et de l’environnement)  L’aide du CITIM, pour les diplômés en génie, accompagnement dans les démarches administratives à l’Ordre des ingénieurs et mise à jour des compétences à Polytechnique  programme Ontarien avant d’arriver au Québec

17 À Châteauguay, les participants:  ont eu recours aux services du CLE, du club de recherche d’emploi et du CJE.  Plus du tiers ont dit avoir vécu des expériences inégales en fonction des CLE  Une seule personne connaissait le programme PRIIME.  Deux participants ont utilisés les services du centre l’ACCORE  Une personne a participé à Jeunes en action (CJE)

18 À Vaudreuil, le profil d’immigration est légèrement différent:  Aide de départ reçue au REE, clientèle référée par le CLE.  Les participants ont généralement rapidement intégré le marché du travail, donc :  Une demande d’aide moins importante que dans les autres villes

19  Non-reconnaissance des diplômes et titres de compétence obtenus à l’étranger Se faire sélectionner comme « travailleur qualifié » mais que les diplômes et titres de compétences ne soient pas reconnus = source d’incompréhension et de frustration

20 « Moi je parle concernant le genie civil. L’ordre des ingenieurs, je peux pas travailler comme ingenieur. Je comprends pas, c ̧ a ne marche pas. A ̀ l’Universite ils reconnaissent les diplo ̂ mes, comme ingenieur comme c ̧ a, mais quand tu vas au marche du travail; ils ne reconnaissent me ̂ me pas, [...] Je travaille comme ingenieur mais le salaire n’est pas celui d’ingenieur. Ce n’est pas les capacites qui me manquent, j’ai des postes de responsabilites mais je n’ai pas le titre et je fais le travail d’un ingenieur » (Greg, (Algerie), Valleyfield). « Pour l’instant je fais ma démarche pour entrer dans l’Ordre. Je prends un cours à l’université et je dois trouver un stage de 1 600 heures, entre les supervisions les contacts avec les firmes et tout. Il faut avoir beaucoup de patience, pendant ce temps, et tu ne reçois rien. L’Ordre ne paie rien, c’est toi qui paye tout. Il te donne deux ans pour faire toutes les démarches. Je pourrais travailler en même temps mais il faut que tu t’organises. Si je cherche quelque chose, ça ne sera pas à temps plein. Ce sera à temps partiel... » (Selena, (Colombie), Châteauguay).

21  Manque d’expérience canadienne (québécoise) « Dans les grandes villes, ils regardent l’experience canadienne. Il y a plusieurs personnes qui postulent pour le me ̂ me poste. J’ai 6 ans d’experience [...], mais on veut quelqu’un qui a de l’experience canadienne. Ou bien ils veulent des ele ̀ ves qui ont fini dans leurs ecoles, qui sont plus habitues a ̀ eux, ils ont fait des stages dans leurs ecoles, dans leurs ho ̂ pitaux et on les recrute par rapport a ̀ nous. Me ̂ me si tu as passe l’examen de l’Ordre, me ̂ me si tu es licencie ». (Ire ̀ ne, (Cameroun), Valleyfield).

22  Discrimination, préjugés et insertion en emploi des immigrants Une certaine forme de compréhension mais aussi la difficulté à cerner si c’est, effectivement, de la discrimination. « Il y a beaucoup d’employeurs qui se servent de l’excuse que tu n’as pas d’expérience canadienne. C’est une excuse parce qu’ils sont craintifs de la réticence au changement, ils sont craintifs à avoir une nouvelle culture qui rentre; on ne saura pas quoi faire avec. Des fois ils ne sont pas conscients de ça : ahh tu n’as pas d’expérience canadienne. C’est de la bullshit » (Isabella, (France), Valleyfield). « Je ne crois pas... Ça peut arriver, il y a du racisme partout. Des fois c’est de l’ignorance. Des fois les gens qui viennent d’un autre pays, on ne sait pas s’ils vont parler français. C’est pas une discrimination, c’est de l’ignorance » (Sidney, (Djibouti), Vaudreuil).

23  La maîtrise du français  Les participants rencontrés estiment que la francisation ne permet pas d’atteindre un niveau acceptable pour trouver un emploi dans son domaine. « Le bénévolat nous aide beaucoup à nous directement. Je sais que c’est une bonne référence car l’employeur va nous dire, tu as une responsabilité, ils t’ont gardé tu as fait beaucoup de choses. Le plus important, c’est la langue. Tu commences à faire le bénévolat, tout le monde va comprendre que tu es en train de faire ton expérience de francisation. C’est payant, on s’améliore toujours en conversant avec d’autres personnes pour améliorer ton français » (Tereza, (Pérou), Chateauguay).  Le français, mais aussi l’anglais

24  Structure du marché de l’emploi dans la région Certains déplorent le fait que certains emplois dans le secteur manufacturier soient très payants ralentit le processus de recherche d’emploi dans leur domaine D’autres s’en réjouissent car cela répond à leurs attentes d’employabilité Polyvalents vs généralistes

25  « Le principal obstacle, c’est nous-mêmes » Le fait de comparer sa situation à l’arrivée à celle du pays d’origine est source de déception Les support et conseils des autres immigrants ne constituent pas toujours le meilleur choix pour avoir une information juste sur le pays d’accueil (biais)

26  Stratégies combatives  Plus jeunes, plus scolarisés, responsabilités familiales moins grandes Évaluation comparative: maintenant obligatoire Retour aux études: plusieurs ont mentionné la très grande utilisé des études professionnelles (DEP) pour son rapport coût/bénéfices. Certains étaient toutefois en désaccord. Déménagement du ménage: quitter la région pour s’installer ailleurs (certains y pensent toujours) Autres compromis familiaux

27  Stratégies défensives  Plus âgés, moins scolarisés ou moins qualifiés, ont d’autres personnes à leur charge Acceptent souvent la déqualification et la considèrent comme un mal nécessaire Certains considèrent plus avantageux ($) d’accepter un emploi qui ne soit pas dans leur domaine mais avec une meilleure rémunération que démarrer au bas de l’échelle dans son domaine à un salaire moindre.

28  Utilisation de l’aide informelle  Importance du réseau « En fait, quand j’ai terminé mes études, (...), j’étais sans emploi car je ne trouvais rien [...] donc je cherchais un emploi, un ami a pris mon CV [et] a envoyé un CV et ils m’ont embauché donc j’ai travaillé là-bas. Je pense que ça m’a aidé » (Christina, (Uruguay), Vaudreuil). « Je suis d’accord que le premier emploi, c’est par nous- mêmes. Mais après, le réseau est là, c’est de plus en plus ouvert de chercher un autre emploi plus haut. Tu fais des amis, des collègues. Il y a un poste qui ouvre, donc c’est bien d’avoir un réseau et c’est important ici au Canada » (Samantha, (Russie), Valleyfield).  Importance des « emplois cachés »  Les activités sportives ou sociales ethnoculturellement mixtes

29  Utilisation de l’aide organisée  La porte d’entrée: le CLE. Parfois référence vers ressources externes, parfois ils les découvrent par hasard.  Les programmes et mesures disponibles: PRIIME (le plus cité) « C’est à double tranchant. Parfois ça peut aider, mais parfois aussi il faut réfléchir avant de proposer parce que si la personne qui te recrute il a besoin de savoir si tu es compétent. Quand tu montres une lettre comme quoi tu es une subvention, déjà tu perds dans la négociation. Pour moi, il faut que tu prouves qu’en fait la personne est prête de te prendre. Et si ça coince au niveau du salaire, à ce moment tu peux brandir la lettre. Mais si des personnes l’ont, et l’utilisent avant le recrutement, ça peut être très dangereux » (Edwin, (Sénégal), Valleyfield). Jeunes en action : pour les jeunes plus éloignés du marché du travail Note: souvent les participants ne connaissaient pas bien le nom du programme ou de la mesure dans lequel ou laquelle ils participaient

30  Autre stratégie combative utilisée:  Savoir se vendre en tant que travailleur : « Le truc c’est que le diplo ̂ me c’est une chose, la recherche d’emploi et les techniques de recherche d’emploi c’est autre chose. On peut tre ̀ s bien peut- e ̂ tre avoir le bon diplo ̂ me, mais ne pas savoir se vendre. [...] faire un CV c’est different, prendre le telephone, la qualite du contact, la fac ̧ on dont on va etablir le contact, c ̧ a va faire toute la difference, il faut savoir se vendre » (Isabella, (France), Valleyfield).

31  Les recommandations étaient très axées sur l’information (par sur le « manque » mais sur la façon dont elle est organisée et diffusée)  Information pré-départ vs la réalité Information reçue concernant les exigences des Ordres professionnels, reprise des cours, coûts engendrés par les démarches, demandes d’équivalence, durée de processus de reconnaissance, etc.

32 «Le gouvernement fait des belles campagnes de promotion pour rayonner, pour attirer des immigrants. Mais une fois sur place, ils s’en lavent les mains et refilent c ̧ a aux organismes, qu’ils alimentent un petit peu avec de l’argent. Et a ̀ chaque annee ils en donnent moins. Il y a un fosse entre la promotion qui est faite a ̀ l’exterieur du territoire et la realite [...] Il y a su ̂ rement des demarches d’equivalence qui peuvent e ̂ tre faites avant, tu pourrais voir si c ̧ a fonctionne ou pas. Je veux dire, c’est pas normal qu’avec le manque de medecins ici, on se retrouve avec des situations pareilles. Les gens sont frustres. Quand tu rentres dans un cycle comme c ̧ a, pour mettre du pain sur la table, pour ressortir de c ̧ a et reprendre ton metier, evidemment tu voulais attirer des medecins mais tu n’en as pas plus » (Isabella, (France), Valleyfield).

33  Information: Confusion entre travailleur qualifié et admissibilité  Sensibilisation des employeurs quant à la valeur de leurs compétences et à leur réalité  Sensibiliser les agents dans les CLE « Faire une formation de sensibilisation pour ces gens qui travaillent dans les CLE face à l’immigration. Parce que des fois, ces gens-là ne comprennent pas que nous sommes frustrés sur le volet professionnel, nous vivons une période de changements vraiment difficiles. C’est important cette sensibilisation » (Selena, (Russie), Châteauguay).

34  Patience…  Profiter des organismes  Reconnaissance de la qualité des services offerts  Meilleure gestion de ses propres attentes

35  Apprendre le français ET l’anglais « Je suis allée au CLE encore pour demander l’anglais. Ils m’ont dit non. Même si j’ai amélioré mon français. Je suis allée avec une feuille qui disait toutes les qualités que j’avais et qui demandait anglais et français. J’ai montré la feuille, que j’avais toutes les qualités sauf l’anglais. Un ami m’a référé. Il faut arriver avec les arguments, la créativité pour les convaincre, il faut être patient. J’ai fini le cours d’anglais, et le réseau de contacts m’a permis d’avoir le dernier emploi» (Tereza, (Pérou), Châteauguay).  Pas de formation trop générale

36  « Parce que vraiment, quand on laisse un emploi dans son pays, on vient ici, parce qu’on a été sélectionnés par rapport à notre profession et aux critères d’immigration : on ne s’attend pas à venir faire du n’importe quoi. C’est vrai qu’il faut vraiment avoir du courage. C’est tout ce que je peux dire : c’est un gros challenge. Je pense qu’on peut améliorer encore les choses, pour améliorer l’intégration des nouveaux immigrants. Surtout des immigrants qualifiés » (Irène, (Cameroun), Valleyfield).

37  Derniers avis :  2012: Les jeunes éloignés du marché du travail  2012: Les jeunes issus de l’immigration  2013: La relève des jeunes dans les organisations (disponible)  2013: Les transitions entre l’école et le marché du travail (non-disponible)  À venir:  2014: Le travail atypique chez les jeunes  2014-2015: poursuite des travaux sur la relève Site Internet: ccjeunes.org Bulletin d’information: S’inscrire en page d’accueil


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