La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Notre Réseau LANGUEDOC ROUSSILLON: tissu économique.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Notre Réseau LANGUEDOC ROUSSILLON: tissu économique."— Transcription de la présentation:

1 Notre Réseau LANGUEDOC ROUSSILLON: tissu économique

2 Présentation Un tassement de l’économie régionale toujours sous forte pression démographique et sociale En 2003, le rythme de croissance de l’économie du Languedoc-Roussillon a fléchi en raison, notamment, de la stagnation de la consommation des ménages. Cependant dans un contexte national proche de la récession, elle a bénéficié d’une évolution relativement plus favorable. Source INSEE 2003

3 Présentation La croissance démographique s‘est maintenue à un haut niveau du fait des toujours très nombreuses migrations. Les dépenses sociales se sont accélérées sous la très forte augmentation des dépenses de santé et dans une moindre mesure des prestations sociales. La progression du nombre d’allocataires de minima sociaux a été moins forte qu’au niveau national, leur part dans l’ensemble de la population reste cependant supérieure à la moyenne nationale. Source INSEE 2003

4 Présentation De nombreuses productions agricoles ont été affectées par la canicule de l’été et les inondations de l’hiver. Le tourisme a enregistré une baisse marquée de la fréquentation estivale. L’activité industrielle régionale a connu un repli limité en début d’année, puis elle s’est redressée en fin d‘année. Le commerce de détail et le commerce de gros ont souffert du manque d’appétit de consommation des ménages et de la frilosité des chefs d’entreprises en termes d’investissement. Source INSEE 2003

5 Présentation Ces ralentissements se sont répercutés sur l’activité du secteur des transports où le fret ferroviaire et le fret aérien se sont nettement repliés. Seul le secteur de la construction a continué sa progression. Les entreprises de ce secteur et celles des services ont continué d’assurer une part essentielle de la dynamique économique régionale. L’emploi a résisté, mais sa croissance s’est ralentie malgré une forte augmentation des créations d’entreprises. Source INSEE 2003

6 Prédominance de TPE Le tissu économique régional est marqué par la prédominance d'entreprises de très petite taille. Si le manque d'entreprises médianes est une caractéristique française, il est fortement accentué en Languedoc-Roussillon, où 52 % seulement des effectifs industriels sont concentrés dans des établissements de plus de 100 salariés (66 % au niveau national). Le fort nombre d'artisans (186 pour habitants, soit le plus haut niveau après la Corse) participe de cette tendance.

7 Des petites unités Avec plus de entreprises (dont avec des salariés), le Languedoc Roussillon est majoritairement constitué de TPE (Très Petites Entreprises) ou PME (Petites et Moyennes Entreprises). 51,4 % des établissements de l'industrie, du commerce et des services de la région n'ont pas de salarié. Les établissements de 10 salariés ou plus ne représentent que 5,7 % du total régional et ceux de 50 salariés ou plus seulement 0,7 % . Source INSEE 2004

8 Les secteurs La région se caractérise également par la part prépondérante du commerce et des services dans la structure d'implantation des établissements. Ces deux grands secteurs d'activité concentrent en effet 76,7 % des établissements situés en Languedoc-Roussillon. Dans les départements de l'Aude, du Gard et des Pyrénées-Orientales, la répartition des établissements par secteur d'activité est proche de la structure régionale. Source INSEE 2004

9 Les secteurs La Lozère reste atypique avec un fort pourcentage dans l'industrie et la construction, alors que l'Hérault se caractérise par un grand nombre d'établissements dans le secteur des services et relativement peu dans celui de la construction. Près de 42 % des établissements de la région se situent dans l'Hérault et 25 % dans le Gard. A eux deux, ces départements abritent donc les deux tiers des établissements régionaux. Source INSEE 2004

10 Les secteurs Si l'implantation des établissements audois est globalement comparable à la structure régionale, l'Aude est cependant le département de la région qui possède la plus grande part d'établissements commerciaux (30 % contre 28 % dans la région). Proche également de la structure régionale, le Gard se caractérise néanmoins par une proportion d'établissements industriels supérieure à celle de la région (11 % contre 9 %). Source INSEE 2004

11 Les secteurs Cette différence se situe surtout dans les industries de biens de consommation (2,6 % contre 1,4 %), dans les industries de biens intermédiaires (2,5 % contre 2 %) et à un degré moindre dans les industries de biens d'équipement (1,7 % contre 1,4 %). Source INSEE 2004

12 Les services dans l’Hérault
Par rapport ce que l'on observe au niveau régional, la répartition des établissements implantés dans le département de l'Hérault est marquée par une plus forte proportion d'unités exerçant dans le secteur des services (51 %). Près de 80 % des établissements de ce département se situent dans les services ou dans le commerce. Cette image de tertiarisation de l'Hérault est renforcée par la forte proportion d'établissements tournés vers les services aux entreprises. Source INSEE 2004

13 La Lozère, industrielle
La Lozère se singularise par la part plus importante des établissements industriels (12 % contre 9 %) et les établissements du secteur de la construction (18 % contre 14 %). Relativement moins orienté vers les services que le reste du Languedoc-Roussillon, ce département possède cependant un grand nombre d'établissements dans les services aux particuliers (23,2 % contre 15,6 %). Source INSEE 2004

14 PO, commerce et services aux partic
Dans les Pyrénées-Orientales, la structure d'implantation des établissements, proche de la structure régionale, est néanmoins caractérisée par un commerce un peu plus présent (29,2 % des établissements contre 28,2 % en région) et par davantage de services aux particuliers (17,8 % contre 15,6 %). Source INSEE 2004

15 Etablissements par taille
Source INSEE 2004

16 Etablissements par secteur
Source INSEE 2004

17 Grands Etablissements
Source INSEE 2004

18 Grands Etablissements
Source INSEE 2004

19 Grands Etablissements
Source INSEE 2004

20 Peu de grands groupes La contribution des groupes à l'emploi est faible. Les écarts par rapport à la moyenne nationale sont encore plus importants si l'on examine la part des groupes étrangers, ou des groupes régionaux. pour 100 emplois du Languedoc-Roussillon, il y a moins de 2 emplois en dehors de la région contrôlés par des entreprises du Languedoc-Roussillon. Dans les régions voisines, Rhône-Alpes et PACA, le taux est de près de 5.

21 Taux de survie des entreprises créées
Source INSEE 2004

22 Faible taux d’activité
La région se caractérise par un faible taux d'activité. Si 3,8 % de la population française vit en Languedoc-Roussillon, la région ne rassemble que 3,5% des actifs. Au total, sur 100 habitants, 39 sont actifs en Languedoc-Roussillon (42,5 en France), 33 sont des actifs occupés (37,5 en France). L'analyse de ces écarts montre qu'ils résultent principalement de la faiblesse des implantations industrielles.

23 Structure peu industrielle
La région présente la structure la moins industrielle de France, après la Corse. La part de l'emploi industriel est de 11 % contre 20 % au niveau national. Hors énergie et industries agro-alimentaires, l'écart est plus important : 4,3 % en Languedoc-Roussillon contre 12 % en France. Il apparaît clairement que le problème industriel de la région tient à la très faible part des grandes entreprises.

24 Isolement des entreprises rurales
L'isolement des entreprises situées en zone rurale fragile. Ce constat vaut pour les TPE de l'artisanat dont le marché, traditionnellement local, est structurellement en déclin du fait des pertes de population. Il doit être étendu également aux quelques PME performantes de la zone, en ce qu'elles sont éloignées de leur réseau (marché, partenaires potentiels, ressource technologique).

25 Les séquelles des restructurations industrielles
La zone comprend des espaces en difficulté importante, qui ne sont que le prolongement des périodes de restructuration qu'elles ont connues depuis presque 30 ans du fait des mutations des activités liées à l'industrie charbonnière, et plus récemment du secteur textile. C'est ce qu'atteste la situation des bassins d'Alès, Le Vigan, Nîmes, Béziers, Sète ou Limoux.

26 Les séquelles des restructurations industrielles
En dépit des moyens financiers importants mobilisés en direction de ces zones (fonds de conversion, fonds structurels européens), des difficultés subsistent, accentuées par des sinistres récents et retentissants, et sans que le tissu industriel se soit suffisamment renouvelé.

27 Faible indépendance Le taux d'indépendance des entreprises régionales est inférieur à la moyenne nationale. Les centres de décision sont le plus souvent hors du Languedoc-Roussillon. C'est en particulier le cas des établissements industriels des groupes implantés sur la zone (Alès, Nîmes, Sète).

28 Faiblement exportatrices
Les PME du Languedoc-Roussillon sont faiblement exportatrices : le Languedoc-Roussillon représente seulement 1,28 % des exportations nationales et se situe en 20ème position parmi les régions françaises.

29 Atouts : Innovation Le potentiel technologique régional issu de la ressource publique est un atout primordial. Il s'ensuit un potentiel d'innovation dans des domaines prioritaires tels que les technologies du vivant, les technologies de l'information ou l'électronique. les quelque 950 chercheurs des organismes publics présents dans la zone ont montré, au cours des interventions passées, leur forte mobilisation en faveur des PME/PMI.

30 Atouts: Recherche L'orientation de leurs activités vers une recherche technologique finalisée, dans des domaines à potentiel (technologies de l'environnement, matériaux, NTIC…) doit permettre l'émergence d'activités économiques nouvelles et d'emploi. Leur action est complétée par la mobilisation des lycées techniques et professionnels.

31 Atouts : Tourisme et espace Rural
Les démarches de développement économique local ont montré combien le potentiel touristique, et culturel des territoires, les productions agricoles locales pouvaient servir de levier pour les activités des Très Petites Entreprises. La richesse de l'espace rural au sein de la région est un atout précieux à utiliser à des fins, non seulement d'aménagement de l'espace, mais aussi de développement économique.

32 Opportunités : NTIC Le développement de nouvelles filières économiques, avec l'appui de la ressource régionale : c'est le cas des technologies de l'information (implantations nouvelles de grands de l'informatique, création d'entreprises), des technologies du vivant, ou des technologies de l'environnement. Ces secteurs doivent permettre un renouvellement, même partiel, du tissu économique dans les zones en conversion industrielle.

33 hétérogénéité des entreprises
Une très grande hétérogénéité des entreprises de la région. En zone rurale sensible comme dans les bassins industriels ou urbains coexistent des PME de nature très variée en ce qui concerne leur secteur d'activité ou leur potentiel de développement. Même si certains secteurs sont parfois dominants, il faut se garder de toute approche tendant à englober dans un schéma unique l'ensemble des entreprises d'un même territoire.

34 Opportunités: PMI en zones rurales
C'est notamment le cas en zone rurale sensible, où sont présentes quelques PMI à fort potentiel technologique, qui regrettent parfois que les pouvoirs publics n'apportent pas une attention suffisante à leur situation spécifique, distincte de celle des TPE artisanales qui les côtoient.

35 Opportunités: offre de formation
Le développement de produits, la recherche de nouveaux marchés requièrent la présence à proximité de l'entreprise d'une ressource en compétence technique très qualifiée (conseils externes ou ressources en main d'œuvre dans les niveaux intermédiaires - techniciens et techniciens supérieurs). L'offre de formation technique est globalement insuffisante en région Languedoc-Roussillon

36 Aide aux entreprises L'accompagnement financier des projets des entreprises constitue un volet essentiel du soutien apporté par l'État au développement économique régional. Les ressources apportées par l'État et ses partenaires (Union Européenne, collectivités territoriales…) à la réalisation des programmes d'investissement et de formation des entreprises complètent efficacement les actions menées en faveur de l'amélioration de leur environnement économique.

37 Aide aux entreprises Parce qu'il est la source principale de création de richesses et d'emplois, le renforcement pérenne du tissu économique régional occupe une place centrale dans les politiques mises en place dans la région. A des enveloppes de subventions gérées en région viennent s'ajouter des crédits nationaux ( dont prime à l'aménagement du territoire). Au total, le Languedoc-Roussillon disposera d'environ un milliard de francs pour les aides aux entreprises entre 2000 et 2006.

38 Atouts: 1er créateur d’entreprises
La région est classée au premier rang des régions de France pour le taux de création d'entreprises, même si l'efficacité de ces créations reste à améliorer.

39 Notre Réseau CREATIONS

40 Créations d’entreprises
En 2004, le nombre de créations d’entreprises progresse encore dans la région mais, parallèlement, les défaillances sont en hausse pour la deuxième année consécutive. Les secteurs de la construction et des services aux entreprises sont à la pointe de la création régionale. Source INSEE 2004

41 Créations d’entreprises
En forte progression et à un niveau record l’an dernier, les créations d’entreprises régionales restent dynamiques en 2004 (4,5 %). Cette bonne orientation apparaît toutefois un peu plus modérée qu’en France (+9%). seulement 30 % des créateurs sont des femmes, et que leur probabilité de survie à 5 ans est sensiblement plus faible que pour les hommes. Source INSEE 2004

42 Créations d’entreprises
Avec près de unités créées, les créations n’ont jamais été aussi nombreuses. La croissance du nombre de créations ex-nihilo (ou créations pures) reste très prononcée, alors qu’elles avaient été les premières victimes des restrictions de 1997 appliquées aux aides à la création d’entreprises. Déjà au plus haut, elles établissent un nouveau record proche des unités créées, correspondant à une progression de 9,9%. Source INSEE 2004

43 Créations d’entreprises
Ce dynamisme apparaît également au plan national (+ 12,4%). Depuis 2000, la forte progression des créations pures fait que leur part augmente dans le total des créations d’entreprises régionales (63,4 %). Cette part reste néanmoins inférieure à celle constatée en France (70 %). Ce recul est plus marqué qu’en France (- 0,85 %). Il prolonge la tendance à la baisse qui touche ce type de créations depuis 1996. Source INSEE 2004

44 Créations d’entreprises
Avec seulement un peu plus de unités concernées, le nombre des entreprises « réactivées » n’avait jamais été aussi bas depuis 1993. L’accélération du nombre des créations par reprise, déjà constatée l‘an dernier, s’amplifie en 2004 (+ 3,8%). Le constat est encore plus net en France (+ 5,8%). Source INSEE 2004

45 Créations d’entreprises/secteur
Le secteur des services confirme sa prédominance dans l’économie régionale et progresse pour la sixième année consécutive. Morose depuis trois ans, le secteur des transports s’est nettement redressé (+13%). Les hôtels-cafés-restaurants ont suivi le mouvement, avec une hausse de 1,9%. En retrait l’an dernier, le secteur de la construction apparaît particulièrement créateur (+18,3%). Source INSEE 2003

46 créations d’entreprises/secteur
Après une faible progression en 2002, les créations apparaissent en nette hausse dans le commerce et la réparation (+9%). Le secteur industriel a confirmé le redressement amorcé l’an dernier avec une hausse de 2% des créations. Malgré ces deux sursauts consécutifs, ce secteur reste inscrit cependant dans une lente tendance à la baisse constatée depuis 1997. En recul l’an dernier, les défaillances d’entreprises sont en progression (+6,6%), même si elles demeurent à un niveau modéré et inférieur au taux national (+9,9%). Source INSEE 2003

47 Créations Le taux régional de création d'entreprises demeure nettement supérieur au taux national (15,8 % contre 11,7 %). Ce constat vaut pour tous les secteurs d'activité, hormis le secteur industriel où le taux de création d’entreprise n’est que de 9,8 %. Celui du commerce et de la réparation se montre particulièrement dynamique (18,1 % contre 12,7 % au plan national). Source INSEE 2004

48 Créations A l'exception de la Lozère, tous les départements régionaux ont un taux de création supérieur à celui observé sur l'ensemble du pays. Ce dynamisme régional doit cependant être tempéré par un taux de survie à 5 ans des entreprises plus faible que le taux national (46,6 % contre 54,5 %). Source INSEE 2004

49 Immatriculations des entreprises artisanales
Source INSEE 2004

50 Créations d’entreprises
Source INSEE 2004

51 Créations d’entreprises
Source INSEE 2004

52 Créations d’entreprises
La construction et les services aux entreprises entraînent la création régionale Pour la troisième année consécutive, les créations d’entreprises industrielles sont à la hausse (+ 11,3%). Le dynamisme régional est un peu supérieur à celui enregistré dans l’ensemble du pays (+ 8,4%). Il concerne davantage le champ agroalimentaire (+ 18,7%) que le reste de l‘industrie (+ 6,8%). Source INSEE 2004

53 Créations d’entreprises
Le secteur de la construction reste, lui aussi, inscrit dans la dynamique constatée l’an dernier (+ 18,4 % en 2004). Cette forte hausse porte le secteur à plus de 3 500 unités créées dans l’année. La tendance est la même en France (+ 17,7%). Source INSEE 2004

54 Créations d’entreprises
Source INSEE 2004

55 Services aux entreprises
Entre 1999 et 2004, les créations d’entreprises de services ont progressé de 22,3 % pour la région et de 19,5 % pour la France. Déjà particulièrement dynamiques et à un sommet de créations l’an dernier, au-delà des unités créées, ce sont encore les services aux entreprises (+ 6,7%) qui progressent le plus. Le constat est le même pour la France (+ 13,9%). Source INSEE 2004

56 Création par zone En 2004, les créations d’entreprises confirment leur dynamisme dans l’Aude où elles progressent (+ 9,7%). Il s’agit de la plus forte hausse enregistrée dans l’ensemble des départements de la région. Particulièrement créateur l’an dernier, le Gard confirme lui aussi son dynamisme (+ 4,3%). Avec entreprises nouvelles, l’Hérault progresse pour la sixième année consécutive (+ 7,2%) et concentre 42,4 % des créations régionales Source INSEE 2004

57 Créations d’entreprises en 2003
Source INSEE 2004

58 Créations d’entreprises en 2003
Source INSEE 2004

59 Créations d’entreprises en 2003
Source INSEE 2004

60 Créations d’entreprises en 2003
Source INSEE 2004

61 Création par zone Source INSEE 2004

62 Création par zone Source INSEE 2004

63 Survie en hausse L’amélioration de la survie des entreprises
régionales constatée l’an dernier se confirme. En effet,alors que traditionnellement le stock d’entreprises évoluait moins favorablement dans la région qu’au plan national, cette tendance s’est inversée depuis 2001. Ainsi, en 2004, pour un indice 100 en 1998, la France atteint 109,8 et le Languedoc-Roussillon 116,4. Source INSEE 2004

64 Survie en hausse Source INSEE 2004

65 Survie en hausse Source INSEE 2004

66 Défaillances en hausse
Pour la deuxième année consécutive, les défaillances d’entreprises régionales s’inscrivent à la hausse (+ 6,3%). Cette dégradation est supérieure à celle constatée en France (+ 3,4%). Au plus bas en 2000, les défaillances régionales ont progressé de 13,5 % depuis cette date, contre 10,1 % en France. L’augmentation du nombre de défaillances n’est pas homogène selon les secteurs d’activité. Les services échappent à cette dégradation (- 1,7 %). Source INSEE 2004

67 Défaillances en hausse
Seuls les hôtels-cafés-restaurants (+ 9,1%) font exception. Tous les autres types de services enregistrent moins de défaillances qu’il y un an, mais davantage les services aux particuliers (- 12,9 %) que les services aux entreprises (- 5,1 %) et les transports (- 3,3) Le nombre de défaillances a légèrement diminué en 2003 (- 1,4 %) et ce dans tous les secteurs d'activité sauf les services (+ 1,6 %). Source INSEE 2004

68 Défaillances en hausse
L’industrie apparaît globalement un peu moins défaillante qu’il y a un an (- 3,5 % contre - 4,5 %), mais ce résultat global est composé de deux tendances inverses : les défaillances d’entreprises reculent dans l’industrie hors agroalimentaire (- 13,1 %), par contre elles augmentent considérablement pour les IAA (+ 27,5%). Les secteurs de la construction (+ 9,8%) et plus encore celui du commerce (+ 18,1%) sont également touchés. Source INSEE 2004

69 Défaillances en hausse
Source INSEE 2004

70 Défaillances en hausse
Source INSEE 2004

71 Défaillances d’entreprises en 2003
Source INSEE 2004


Télécharger ppt "Notre Réseau LANGUEDOC ROUSSILLON: tissu économique."

Présentations similaires


Annonces Google