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Daniel Poulin, DRT 3808 Novembre 2009.  Les œuvres sont proposées en format numérique  Il est courant de graver des cédéroms et DVD  Les outils de.

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1 Daniel Poulin, DRT 3808 Novembre 2009

2  Les œuvres sont proposées en format numérique  Il est courant de graver des cédéroms et DVD  Les outils de compression sont répandus  Internet est assez rapide pour acheminer les fichiers  Les contenus peuvent être distribués à très bas coût  L’objet contrefait vaut l’original

3  Traditionnellement  L’on achète un livre, un cédérom, mais on n’acquiert qu’une licence d’un logiciel  Avec les DRMs  Nous achèterons des licences pour les livres, la musique, les vidéos etc  Les licences acquises sont mises en application par des Digital Rights Management Systems (ou systèmes de gestion de droit numérique)  Or, une licence peut prévoir des modalités fort différentes de celles du droit d’auteur  Pas d’utilisation équitable  Pas de copie privée  Pas de limite de durée  Pas de droit de revente  Certains auteurs parlent de privatisation du droit d’auteur

4  En anglais : digital rights management  Le terme est ambiguë, il désigne tantôt la technologie, ou le logiciel, l’approche, voire même la restriction elle-même  Définition selon le GDT  Gestion associée aux technologies logicielles de protection des droits d'auteur destinées à contrôler la vente et la diffusion sur Internet des œuvres ou des contenus numériques et multimédias

5  La superdistribution (Mori, 1983)  Distribuer le contenu librement, mais d’en contrôler l’utilisation  Les “trusted systems” (Stefik, 1997)  Un système sur lequel l’on peut s’en remettre pour que des règles soient respectées (“a system that can be relied on to follow certain rules”)  Un système qui n’acceptera de faire que seulement ce que les règles lui permettent de faire  Les DRM s’appuient sur ces idées  Ils permettent de conserver un contrôle sur des oeuvres même après qu’elles aient été distribuées, c’est-à-dire, lorsqu’elles sont sur les ordinateurs des usagers  Contrôler l’objet lui-même par des moyens cryptographiques plutôt que sa distribution

6  Le système doit permettre  La définition des permissions  L’acquisition et la distribution des permissions  Le contrôle des utilisations  La surveillance et la mesure de l’utilisation

7  Le contenu  La licence  L’usager

8  La gestion des permissions  Le logiciel DRM constitue le point d’accès au contenu et il assure la gestion et le respect des licences et de leurs règles  Le DRM communique de l’information au vendeur  Le fonctionnement du DRM  Parfois en ligne seulement  Généralement, les droits sont négociés en ligne mais le DRM peut opérer hors-ligne

9  Combien de fois une pièce peut être jouée (exécutée)?  Sur quel type d’appareil l’œuvre peut être transférée et exécutée (par exemple, seulement les appareils conformes à une norme)?  Début et fin de la période ou l’œuvre peut être jouée  L’œuvre peut-elle ou non être copié sur un support physique, exemple un cédérom?  La sécurité requise sur un appareil pour faire jouer l’œuvre (http://www.microsoft.com/windows/windowsmedia/howto/articles/drmarchitecture.aspx)

10  Distinguer les situations afin de permettre les utilisations légitimes et empêcher les contrefaçons  Par exemple  Si le nombre de copies n’est pas limité, le détenteur de droit perd le contrôle  Si le nombre de copies est limité qu’arrive-t-il lors de changements d’ordinateurs?

11 1. « Packaging » 2. Distribution 3. L’établissement d’un serveur de licences 4. L’acquisition des licences 5. L’exécution de l’œuvre

12  Le livre numérique commercial  En 2006, seulement 0,1 % du marché du livre  En 2008, 200-300 M $ sur 27 milliards, soit 1%  Sony Reader  Comme un gros iPod (MP3, PDF, Word, Google Books et livres @ 10 $)  Le lecteur (300$) offre un écran Electronic Paper Display (www.eink.com)www.eink.com  Pour les livres : Sony Connect : http://ebooks.connect.com http://ebooks.connect.com  Amazon Kindle (259 $)  Les livres (360 K), environ 10 $  On ne peut acheter que chez Amazon http://www.ces-show.com/2006/review/sony/sony_reader_electronic_paper.html

13  Quatre éléments sont nécessaires au succès du ebook  Un appareil agréable, facile à utiliser, un bon choix d’ouvrages à bon prix  Plusieurs freins demeurent  Le manque de standards  Adobe, Sony, Microsoft, Mobipocket et eReader et Amazon offrent chacun le leur  Formats de fichier  DRMs  Le manque de convivialité du logiciel de lecture  L’IDPF entend promouvoir des standards ouverts dans ce domaine Source : http://technology.guardian.co.uk/weekly/story/0,,1887261,00.html

14  “When someone buys a book, they are also buying the right to resell that book, to loan it out, or to even give it away if they want. Everyone understands this…” Jeff Bezos, Open letter to Author’s Guild, 2002  Kindle démo Kindle démo

15  “You may not sell, rent, lease, distribute, broadcast, sublicense or otherwise assign any rights to the Digital Content or any portion of it to any third party, and you may not remove any proprietary notices or labels on the Digital Content.” Amazon, Kindle Terms of Service, 2007

16  La musique est distribuée sous forme numérique depuis l’apparition du cédérom (1982)  En 2006, la vente de cédéroms diminue de 10% et de 9,5% en 2007  Selon, Almighty Institute of Music Retail, les revenus de la vente d’un album de $15.99 se ventilent comme suit :  $0.17 Musicians' unions $0.80 Packaging/manuf. $0.82 Publishing royalties $0.90 Distribution $3.89 Retail overhead $0.80 Retail profit $2.91 Label overhead $1.70 Label profit $2.40 Marketing/promotion $1.60 Artists' royalties

17  Selon l’IFPI, en 2008  1,4 milliard d’achats et 20% des revenus de l’industrie proviennent des ventes Internet (5,5% en 2005)  4 M de pièces (2 M en 2005) offerts par plus de 500 e- commerces  iTunes Store domine  8 millions de titres, 20 000 émissions de télé et 2 000 films  6 milliard d’achat depuis la création  Évolution récente  L’abandon des DRMs pour la musique  Maintien des DRMs pour la télé et le cinéma

18  EMI abandonne les DRMs (janvier 2007)  Steve Jobs d’Apple propose d’abandonner les DRMs (février 2007)  L’introduction par Apple du format iTunes Plus, sans DRM (octobre 2007)  Sony fut le dernier des grands labels à abandonner les DRM pour la musique en 2008  Plusieurs estiment que le principal effet des DRM aura été de favoriser l’établissement d’un quasi-monopole au bénéfice d’Apple

19  À son lancement, conditions d’utilisation de UnBox  Les films ne peuvent être écouté qu’à la maison  En location, 24 heures pour finir un film qui a été démarré  En achat, vous ne pouvez pas le vendre, ni le recopier plus de deux fois. Tout demeure la propriété d’Amazon  Le logiciel Unbox doit fonctionner en tout temps  Le logiciel envoie de l’information sur le contenu de vos disques et sur l’utilisation de votre ordinateur  Amazon peut envoyer de la publicité dans le UnBox  Le logiciel peut être modifié par Amazon, en cas de refus vous perdez les films  Si le logiciel est effacé, les films sont perdus  Si un élément n’est pas respecté, l’usager perd tout  Amazon peut modifier la licence à sa seule discrétion

20  Tatouage visible  À la télé, identifie la provenance des images  Peut-être utilisé pour la confection d’échantillons, comme dans le cas d’une banque de photos  Tatouage invisible  La situation la plus générale  Ils n’ont pas pour but d’empêcher la copie, mais plutôt de révéler la contrefaçon. En particulier, la contrefaçon commerciale.  La lecture du tatouage requiert souvent un logiciel particulier  Note : Photoshop détecte les tatouages de Digimark

21  Le tatouage sera robuste s'il demeure détectable après que l'œuvre ait été manipulée  L'art réside dans la conception de systèmes où la dégradation de l’œuvre est minimale (non apparente à l'usager) mais le tatouage extrêmement robuste de sorte qu'il soit en mesure de résister aux tentatives de l'enlever  Certains systèmes laissent le propriétaire de l'œuvre déterminer le niveau de dégradation et de robustesse qu'il souhaite


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