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Sabirova Nathalie, Institut des langues étrangères, MGPU

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Présentation au sujet: "Sabirova Nathalie, Institut des langues étrangères, MGPU"— Transcription de la présentation:

1 Sabirova Nathalie, Institut des langues étrangères, MGPU
Poilus Sabirova Nathalie, Institut des langues étrangères, MGPU

2 Poilu, est le surnom donné aux soldats français de la Première Guerre mondiale. Ce surnom est typique de cette guerre.

3 Origine de ce nom Le mot «poilu» désignait aussi à l’époque dans le langage familier ou argotique quelqu’un de courageux pour exprimer l’admiration portée à quelqu’un «qui a du poil au ventre». C’est aussi le symbole de la virilité.

4 Avant d’être le soldat de la Marne, c’est-à-dire le participant de la guerre, le «poilu» est le grognard d’Austerlitz, celui qui a participé à d’autres batailles. Alors il ne s’agit pas d’unhomme à la barbe inculte, qui n’a pas le temps de se raser.

5 Mais depuis 1914, le terme «poilu» désigne pour le civil «le soldat combattant» qui défend le sol français, par opposition à l’ «embusqué» (militaire affecté à un poste sans danger).

6 Une version de la signification prétend que le surnom fut donné du fait des conditions de vie des soldats dans les tranchées. Ils laissaient pousser barbe et moustache et, de retour à l’arrière, paraissaient tous «poilus».

7 Commémoration En France, le 11 novembre, le souvenir des «Poilus» se fait sous le terme de «Bleuet de France» (la couleur du bleuet rappelant le bleu horizon de l’uniforme des poilus).

8 En Grande-Bretagne et dans les pays du Commonwealth, le jour du 11 Novembre se fait sous l'appellation de «Poppy Day», le «Poppy» est le coquelicot, fleur qui poussait souvent dans et aux abords des tranchées.

9 Émile Sautour, le 19 juillet 1915
Lettres de poilus Émile Sautour, le 19 juillet 1915 « Je ne suis plus qu’un squelette où la figure disparaît sous une couche de poussière mêlée à la barbe déjà longue. Je tiens debout comme on dit en langage vulgaire parce que c’est la mode ».

10 Michel Lanson, le 24 juin 1915 « Dans la tranchée, le pis, ce sont les torpilles. Le déchirement produit par ces 50 kg de mélinite en éclatant est effroyable. Quand une d’elles tombe en pleine tranchée, et ces accidents-là arrivent, elle tue carrément 15 à 20 types. L’une des nôtres étant tombée chez les Boches, des pieds de Boches ont été rejetés jusque sur nos deuxièmes lignes ».

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12 Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Poilu


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