La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

MES TOUTES PETITES - 14 - Diaporama de Jacky Questel.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "MES TOUTES PETITES - 14 - Diaporama de Jacky Questel."— Transcription de la présentation:

1 MES TOUTES PETITES - 14 - Diaporama de Jacky Questel

2 Dans le désert Dans l’immense désert, maman fennec n’arrive pas à endormir ce soir Petit Fennec. Comme toutes les mamans du monde, elle lui a raconté une histoire : une histoire de caravane, de chameaux, de chameliers qui vont au pas lent de leurs bêtes et parfois s’arrêtent pour la nuit autour d’un bivouac improvisé. Elle a raconté les chameaux qui blatèrent et s’agenouillent pour permettre que descendent les cavaliers, parfois femmes et enfants… Les cris, les ordres, puis les douces mélopées près du feu, en savourant le thé à la menthe… Alors Petit Fennec ne veut pas s’endormir sans avoir vu, de ses yeux vu, une caravane passer ! Seulement… les puits alentour sont asséchés, dévorés par le sable qui avance, et il y a longtemps que les caravanes ne passent plus par ici.

3 Les enfants capricieux, cela existe aussi chez les fennecs
Les enfants capricieux, cela existe aussi chez les fennecs ! Mais peut-être aussi les miracles… Car Maman Fennec entend des voix, des cris, des chameaux qui blatèrent, elle voit s’allonger des ombres… Elle voit les premiers chameaux. "Vite, petit Fennec, vite ! Elle est là !"  Et petit Fennec, heureux, s’endort en regardant passer la caravane. FIN

4 A LA BASSE-COUR Que voit Chanteclair, du haut de son perchoir ? Il a beau s’égosiller dans le soleil levant, appeler ses poules une à une, Roussette manque à l’appel. Vraiment, elle est trop insubordonnée ! Il faudra bien qu’il la mette au pli ! Cocorico ! Roussette ! As-tu fini de dormir ? Mais point de Roussette. Ah mais ! On va voir ce qu’on va voir !

5 Les poules égayées dans la cour ne prêtent guère d’attention aux cris et cocoricos coléreux de Chanteclair. Brunette toise d’un œil ironique ce coquelet ignorant et prétentieux. Il ne sait pas encore que, lorsqu’une poule couve ses œufs, elle doit rester tranquillement sur son nid pour permettre à ses petits d’éclore normalement ? Ma foi, qu’il se débrouille avec ses colères et ses sottises ! Elle attend la suite en souriant et le surveille du coin de l’œil. Justement, le voilà qui rentre dans la cabane du poulailler à la recher-che de la poule récalcitrante.

6 Mais là il reste interdit, sa colère tombée d’un coup
Mais là il reste interdit, sa colère tombée d’un coup. Car il voit surgir, parmi les plumes de Roussette, une petite boule jaune encore coiffée de sa coquille, et qui pépie joyeusement. Alors, il ne sait que bégayer : "bra… br… bravo Roussette !" Et il fait demi-tour, la crête basse, sous les quolibets de ces dames les poules… FIN

7 LE JARDIN DE MAMIE C’est toujours un merveilleux moment qu’une visite chez mamie, mais le plus merveilleux, c’est son jardin ! Pour Claudine la petite citadine, c’est vraiment le jardin des merveilles. Un fouillis de plantes, de fleurs, de roses, d’insectes… Des bonnes choses aussi, selon les saisons : fraises, groseilles, cerises, pêches, poires juteuses, pommes rouges, figues parfumées… Il y a toujours quelque chose à débusquer et déguster ! Parfois, une chenille joue au train électrique sur une fleur. Ou bien un papillon déroule sa trompe. Claudine retient son souffle, elle n’ose plus bouger, pour ne pas voir disparaître ces merveilles.

8 Ce matin, Claudine avait un scarabée sur sa main et se demandait combien il avait de pattes : 4 ? 5 ? Ah mais il en a autant de l’autre côté, c’est sûr ! Il faut qu’elle recompte… Et c’est à ce moment-là que le scarabée s’est envolé. Tant pis, ce sera pour la prochaine fois ! De toute façon, cela s’annonçait un peu compliqué ! Et Claudine repart à la découverte… Elle regarde s’envoler un papillon, aussi jaune que les fleurs qui l’entourent. Il faut qu’elle demande à mamie… Est-ce que les fleurs qui se fanent se transforment en papillons ? Et ainsi vont les découvertes dans le jardin de mamie… FIN

9 KALIK ET MOKOUL Comme chaque année, papa va partir à la chasse. C’est une préparation longue et minutieuse, pour quelques mois d’absence. Et Mokoul voudrait bien être assez grand pour suivre son père. Mais son père lui a promis une surprise. Il y a eu des conciliabules le soir autour du feu, mais Mokouk n’a rien entendu. Il sait simplement que son oncle partira faire la saison avec les hommes d’ici. Son oncle, il ne le connaît guère. Il sait pourtant qu’il a perdu sa femme cet été, et qu’ils ont un petit garçon. Mais la solidarité du clan Inuit est grande, et les femmes du village s’occuperont du petit orphelin en l’absence de son père. Mokoul est encore petit, mais il sait déjà qu’un inuit peut toujours compter sur la solidarité de la communauté. Un crissement de patins sur la neige, un ordre lancé aux rennes… Voilà l’oncle qui arrive ! Vite, Mokoul sort à sa rencontre.

10 Mais… Mais… Qui voit-il se dégager des fourrures entassées au fond du traîneau et descendre timidement vers lui ? Nul doute, c’est Kalik, le petit cousin… Mokoul salue d’un geste de bienvenue, mais se demande avec un peu d’envie si Kalik va suivre la chasse ? Il n’est pourtant pas plus âgé que lui… Papa les regarde en souriant. "Alors elle te plaît, ma surprise ?" Molouk tarde à comprendre. C’est vrai, c’est bien vrai, Kalil va rester avec nous ? Il sera mon frère pour toute la saison ? Quel bonheur ! "Oh papa ! Ta surprise, c’est la plus merveilleuse des surprises ! Merci !" FIN

11 PLAISIRS D’HIVER "Bien sûr, vous pouvez aller jouer dehors ! Mais soyez prudents, et ne vous approchez pas de l’étang, la glace n’est plus assez solide." Les enfants ont promis. Maman les a bien emmitouflés. Mais le cousin Ludovic a juré qu’il n’avait pas froid et, dès que maman a eu le dos tourné, il a quitté son bonnet. Quelle allure il a avec ça, je vous le demande ? Arrivés sur la colline où tous les enfants, dès les premières chutes de neige, se donnent rendez-vous, il a étonné tout le monde. Plusieurs lui ont proposé un cache-nez ou un bonnet. Il se sent un peu mal à l’aise, tout de même ! Il s’écarte du groupe et s’éloigne.

12 Tout d’abord Jean et Minette ne s’en sont pas rendu compte, tout à la joie des glissades. Mais tout de même, au bout d’un moment, étonnés de ne point l’entendre tout critiquer comme à l’accoutumée, ils s’inquiètent, et toute l’équipe part à sa recherche. On finit par le trouver au bord de l’étang. Il commence à faire des glissades. - Ludovic ! Crie Minette. Sors de là ! Tu sais ce qu’à dit maman ! Tu penses ! La glace est bien solid…. » Crac ! La glace a cédé. Ludovic est tombé dans l’étang, et ne sait pas nager. Il y a heureusement une ferme tout à côté, et le fermier vient lancer une corde à l’imprudent.

13 Vexé, trempé, gelé, il est ramené à la maison par le fermier, suivi de la troupe des enfants hilares qui ne se privent pas de se moquer de ce dadais des villes qui voulait tout leur apprendre et qui ne sait même pas nager ! Le médecin est venu. Ludovic a terminé ses vacances au lit. Son papa est venu, dès que possible, le récupérer, et, je puis vous l’assurer, tout le monde a poussé un "ouf" de soulagement !!! FIN

14 L’ORAGE Que c’est amusant de regarder les nuages changer de forme, et d’imaginer toutes sortes d’ani-maux ou de plantes se promenant dans le ciel. Yvette et Jean ne se lassent pas de ce jeu ! Bientôt, pourtant, les nuages de-viennent plus noirs, et les pre-miers éclairs zèbrent le ciel. En zone de montagne, les orages sont parfois très violents, et les enfants se dépêchent de rentrer. Heureusement, car les premières gouttes tombent, lourdes, pres-sées, et bientôt une pluie torren-tielle noie le paysage.

15 Et Jocelyne ? Elle n’a pas encore eu le temps d’arriver au chalet de ses parents !
L’inquiétude s’empare d’eux. Ils voudraient aller sur la route, voir s’ils la rencontrent. C’est une cita-dine en vacances, elle doit avoir peur de ce tonnerre qui se réper-cute sur les montagnes alentour, et puis, si elle glissait ! Et com-ment retrouver son chemin, sous ce rideau compact de pluie qui n’arrête plus ? Maman est encore plus inquiète. Mais, avec son entorse, elle ne peut partir sur les chemins boueux, et elle interdit aux en-fants, la peur au cœur, d’aller voir sur le sentier.

16 Aussi soudainement qu’elle a commencé, la pluie s’arrête, et la nature semble se réjouir du retour du soleil. Maman cependant déplore de ne pas connaître le numéro de télé-phone des parents de Jocelyne. Et voilà que la sonnerie retentit. Les enfants se précipitent, parlent tous les deux à la fois. « Je me suis abritée dans une fente de rocher ! Explique Jocelyne. Non, je n’ai pas eu peur du tout, mais le tonnerre était si violent qu’il faisait trem-bler la montagne ! Mais c’est magnifique, un spectacle que je n’oublierai jamais ! » Ouf ! Quel soulagement ! Allons ! Tout est bien qui finit bien… FIN

17 VACANCES DE PRINTEMPS Quoi de plus merveilleux que des vacances à la campagne ! Rose se grise de soleil, d’air pur, de courses folles après les papillons. Elle ne les attrape jamais, bien sûr, mais c’est son grand jeu ! Aujourd’hui pourtant, elle est un peu inquiète. En passant saluer mamie Rolande, une vieille dame qui habite près de chez sa vraie mamie, elle l’a trouvée bien triste. - Dire que c’est le printemps et que je suis clouée au lit avec ce plâtre… Adieu le ciel bleu et les belles fleurs. Profites bien de tes vacances de pâques, Rose ! Tout est si merveilleux !

18 Oui, Rose profite. Elle court, elle grimpe aux arbres, elle regarde les nids avec leurs petits œufs tachetés. Elle sait bien qu’il ne faut surtout pas les toucher ! Elle ramène des fleurs à sa mamie : - Comment elles s’appelle ? Elle peut soigner quelque chose ? Quel étonnement de voir que toutes ces herbes et ces plantes que n’on dit nuisibles peuvent soulager quelque chose ! Si au moins l’une d’elles pouvait guérir mamie Rolande… Mais non ! Pense Rose. Un plâtre, ce n’est pas une maladie… Et tout à coup, elle a une idée ! Puisque mamie Rolande ne peut pas venir voir le printemps, elle va le lui amener dans sa chambre ! Parfaitement !

19 Avec soin, elle parcourt la prairie à petits pas pour choisir les plus belles des fleurs. Et quelle bonne idée ont eu les paysans d’ensemencer de fleurs les terres en jachère du bord de route ! Elle a bientôt le plus beau des bouquets. Elle n’arrive même plus à voir son chemin derrière ce rideau fleuri ! Je ne sais pas ce qui a fait le plus de plaisir à Mamie Rolande : de recevoir ce beau bouquet, ou que sa "petiote" ait pensé ainsi à elle ! Mais le sourire est revenu sur son visage, et Rose a le cœur plus léger. FIN

20 Dessins de sources diverses Texte : Jacky
Musique : Florian Bernard au synthétiseur Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Site :


Télécharger ppt "MES TOUTES PETITES - 14 - Diaporama de Jacky Questel."

Présentations similaires


Annonces Google