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MES TOUTES PETITES - XIII -

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Présentation au sujet: "MES TOUTES PETITES - XIII -"— Transcription de la présentation:

1 MES TOUTES PETITES - XIII -
Diaporama de Jacky Questel

2 Je vous promets – a dit Bernard – je surveillerai les animaux, je les rappellerai en sonnant de la trompe s’ils s’éloignent. Mais la meule de foin est douce au paresseux. Les vaches sont dans le blé, et Bernard ne voit rien, il dort ! LE PARESSEUX

3 Le soir venu, ses parents, inquiets, sont venus à sa recherche, et que croyez-vous qu’ils ont trouvé ? Bernard dormait toujours, sa trompe inutilisée à côté de lui, et les animaux, ivres de liberté et le ventre bien rempli, dansaient aux clair de lune ! Pauvre Bernard ! Arrivera-t-il à se corriger ? FIN

4 Yolande adore jouer à la dinette
Yolande adore jouer à la dinette. Elle invite ses ours, elle invite ses poupées. Elle invite même parfois le chat, même s’il est un peu trop gourmand à son goût. Alors, quand maman a demandé à sa Yolande ce qu’elle voulait comme cadeau pour sa fête, celle-ci, spontanément, lui a demandé l’autorisation d’inviter Martine pour faire une dinette ensemble. Et vous savez quoi ? Maman a trouvé que c’était une très bonne idée ! Alors Yolande a aidé maman à tout préparer, et ce n’est pas UNE, mais DEUX dinettes qu’elles ont fait, Martine et elle ! Deux dinettes, mes direz-vous ? Et oui, voyez plutôt : LA DINETTE

5 Habillées comme des grandes dames, le midi, elles ont fait un délicieux repas. Et, toujours comme les grandes dames, elles ont terminé par le café dans le salon. Parfaitement, le café ! Seulement, maman leur avait fait un café très léger. Mais elles étaient toutes fières, je vous assure ! Et l’après-midi, avec Martin et Mitsou, elles ont pique-niqué pour goûter au jardin, sur la pelouse. Même le soleil était de la fête ! Quelle belle journée ! FIN

6 Pauvre Martin. Il gémit à fendre l’âme
Pauvre Martin ! Il gémit à fendre l’âme. Et, même si sa langue pendante lui donne plutôt l’air joyeux, il passe pourtant un bien mauvais moment. Que lui arrive-t-il ? Demande Chouquette à l’écureuil. Je ne sais pas bien, mais j’ai l’impression qu’il a quelque chose de coincé dans la gorge. Ouvre ta gueule, dit alors chouquette à Martin. Et, adroitement, après plusieurs tentatives, elle arrive à extraire de la gorge de l’âne une sorte de grosse épine. Martin est si content qu’il pousse un énorme braiement ! Et Chouquette, ravie s’en va à petits pas. MARTIN ET CHOUQUETTE

7 Qu’as-tu donc, pour être si content. Demande le renard à Martin
Qu’as-tu donc, pour être si content ? Demande le renard à Martin. Et celui-ci raconte toute l’affaire. C’est formidable, répond Goupil. J’ai un truc qui me gêne, dis-moi où je puis trouver ta poule-médecin, elle va sûrement pouvoir m’aider. Mais Martin connaît trop bien Goupil ! Il sait bien que, s’il veut rencontrer la poule, c’est pour en faire son repas ! Aussi il lui dit : Elle vient de partir par là ! Dépêche-toi, je crois qu’elle allait au Pré Fleuri ! Mais Chouquette est partie de l’autre côté, Goupil ne la rattrapera pas ! Et au Pré Fleuri, il y a les chiens qui gardent le troupeau ! Alors.. FIN

8 Appoline et Cunégonde Et bla bla bla, et bla bla bla Ah ! Ma chère ! si vous saviez ce qui est arrivé à Arlette ? Oh ! quelle horreur ! Et vous, savez-vous ce qu’à fait cette pimbêche de Valérie ? Ce n’est pas possible ! Elle a osé ? Mais vous ne savez pas tout, ca il est arrivé quelque chose de terrible au vieux Gontrand… Et les commérages vont bon train…

9 Mais ce que ces deux commères, plongées dans leurs cancans, ne savent pas…
C’est que, sur le bord de la mare, parmi les fleurs et les joncs, leurs amoureux les attendent. Et les petits canetons ne se privent pas pour couvrir de quolibets les deux canards trop patients ! Alors ceux-ci, lassés, sont partis rejoindre d’autres belles, moins cancanières, et quand Appoline et Cunégonde, se rendant tout à coup compte du temps qui passe, arrivent à toutes pattes, pfft !!!! leurs amoureux sont envolés ! Voilà ce qui arrive quand on ne pense qu’à bavarder ! FIN

10 Albert est malade. Il s’ennuie
Albert est malade. Il s’ennuie. Son livre n’a plus aucun intérêt pour lui. Son Pierrot, qui git lamentablement au pied du lit, semble aussi mal en point que lui. Mais… Albert en est sûr, il a vu son Pierrot tourner la tête, regarder par la fenêtre… Il fait nuit, pourtant. qu’a donc pu voir son Pierrot ? Albert est un peu froussard, et puis, la fièvre, ça fatigue. Il ose à peine se retourner, mais, en levant les yeux, qu’aperçoit-il ? Ce n’est pas possible, il rêve, il n’a jamais entendu parler d’une chose pareille ! ALBERT ET LA LUNE

11 Là-haut, caracolant parmi les nuages comme un cheval dans son pré, un drôle de vélo sans cavalier livre des étoiles au ciel ! De son panier s’envolent des étoiles brillantes qui vont clouter le ciel, et des cœurs qui retombent en pluie d’amour sur la terre. Albert et son Pierrot n’en croient pas leurs yeux. - Tu connais bien la lune, pourtant, toi, Pierrot, puisque tu en viens. Et le ciel. Mais savais-tu que cela existait ? Un vélo livreur d’étoiles et d’amour ! Quelle merveille ! Mais Pierrot est si étonné qu’il reste coi, et se contente d’ouvrir grand ses yeux. Alors la lune, sortant des nuages, fait un clin d’œil à Albert, et celui-ci s’endort, la tête pleine d’étoiles et le cœur gonflé d’amour… FIN

12 LA MOISSON Ah qu’il fait chaud ! Le soleil tape dur, mais pas moyen de faire une pause, l’orage menace. Et, si la pluie tombe maintenant, elle va grandement abîmer la récolte. Alors tout le monde s’affaire de bon cœur, espérant gagner le ciel de vitesse. Regarde ! dit tout à coup Valentine scandalisée. Trois poules de la ferme s’enfuient à toutes jambes – pardon : à toutes pattes, emportant un épi dans leur bec. Laisse-les faire ! dit Joseph. Tu vois, elles nous aident à leur façon… Et le travail reprend sous la chaleur lourde de l’orage, dont on entend les premiers grondements.

13 Hardi, les enfants ! dit le Maître. Nous allons le gagner de vitesse !
La dernière charrette s’ébranle vers la ferme lorsque les premières gouttes de pluie, lourdes, chaudes, s’écrasent sur les chaumes. Mais la récolte est à l’abri, et chacun se réjouit d’avoir pu achever à temps. Et le soir, l’orage peut bien se déchaîner, les éclairs illuminer le ciel, la pluie frapper les champs de ses mille pieds, personne n’y prête attention ! Dans la grande salle, un violoneux a été perché sur la table, et tout le monde danse et rit. Chacun s’amuse tellement que l’on n’entend même pas le tonnerre gronder ! La moisson est sauvée. FIN

14 Clémentine est sortie tout doucement, sans déranger personne, et a filé dans le jardin.
Que veut donc Clémentine ? Elle veut ramasser elle-même les fleurs pour faire un bouquet dans sa chambre. Voyez comme elle est heureuse de ramener sa moisson ! Elle en a plein son tablier. Sûrement, elle pourra faire le plus beau des bouquets ! Hélas ! Ou bien ce sont des fleurs fanées, ou bien les queues des fleurs sont bien trop courtes pour faire en bouquet ! Et quand sa maman arrive, la fillette est en larmes au milieu des fleurs saccagées. VILAINE CLEMENTINE !

15 Tu vois, lui dit sa maman. Ces fleurs ne demandaient qu’à vivre
Tu vois, lui dit sa maman. Ces fleurs ne demandaient qu’à vivre. Maintenant, elles sont flétries, et bonnes à jeter. Tout ce qui est sur terre vit, et un fleur doit se respecter, autant qu’un être humain ! Maman est triste, maman est en colère, et Clémentine ne supporte pas de voir sa maman triste. Elle pleure abondamment. Certainement, elle ne recommencera pas ! Mais elle est punie, et doit rester dans sa chambre. Clémentine s’endort au milieu de ses larmes. Et elle rêve qu’elle se promène dans le jardin avec Oui-Oui, son héros préféré, et qu’ils sont accompagnés par la musique du chat Copain. Et Oui-Oui, en grand magicien, remet toutes les fleurs sur leurs tiges… Mais ce n’est qu’un rêve… FIN

16 AU JARDIN D’ONESIME Mais ce n’est pas possible ! Pense le pauvre Onésime en triturant sa moustache. Qui peut ainsi attaquer et grignoter tous les choux ? Pauvre Onésime ! Regardez bien l’image, et vous trouverez le coupable. Il agite deux oreilles insolentes dans le dos du jardinier tout déconfit. Pourtant, Osémime avait soigné ses légumes avec amour, les avait choyés, entourés de précautions ! Alors, c’est vrai, il a mal au cœur de les voir ainsi saccagés.

17 L’épouvantail a un peu honte
L’épouvantail a un peu honte. Sans doute il aurait dû épouvanter Jeannot Lapin. Après tout, c’est son travail, défendre le jardin ! Mais il faut bien que Jeannot Lapin aussi mange… - Ne t’inquiète pas ! Lui dit le corbeau. Je connais un carré de trèfle qui fera très bien son affaire. Je vais l’y amener. Et à partir de maintenant, ce petit gourmand laissera le jardin en paix. Et voilà comment tout le monde fut content. Jeannot Lapin eut du trèfle autant qu’il en voulait, l’épouvantail pouvait faire son travail sans remords, Onésime ne verrait plus ses choux grignotés. Et le corbeau ? Ah ! C’était le plus content, car il avait pu arranger tout le monde ! FIN

18 Illustrations d’origines diverses,
Texte : Jacky Musique : La danse du Feu. Manuel de Falla Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Site :

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