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Occupation du sol Ralentissement de la consommation d’espaces

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Présentation au sujet: "Occupation du sol Ralentissement de la consommation d’espaces"— Transcription de la présentation:

1 Occupation du sol Ralentissement de la consommation d’espaces
Nous allons donc parler d’occupation du sol. L’IAURIF vient de terminer la mise à jour 2003 du MOS. Je vais vous présenter les premiers bilans. Nous nous intéresserons en particulier à la consommation des espaces naturels et agricoles par l’urbanisation, consommation qui est en net ralentissement. Le MOS 2003 premiers bilans Ralentissement de la consommation d’espaces TR1_CALEN

2 Le MOS au service de l’aménagement régional
2 mots tout d’abord sur le MOS, cet outil régional de suivi de l’occupation du sol... Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

3 [ Qu’est-ce que le MOS ? ] Le MOS : Mode d’Occupation du Sol
Atlas informatique de l’occupation du sol de l’Île-de-France Depuis 1982, le MOS assure le suivi de l’occupation du sol en Île-de-France : Nature et localisation de l’urbanisation nouvelle Consommation des espaces naturels et agricoles etc. Le MOS est utilisé dans des études variées : Etudes d’impact Diagnostics territoriaux Inventaire des terrains mutables Potentiel d’urbanisation etc. MOS signifie Modes d’occupation du sol. Le MOS est l’inventaire cartographique informatisé de l’occupation du sol de l’Ile-de-France. La première raison d’être du MOS est le suivi de l’occupation du sol régional. Mis à jour tous les 4 ou 5 ans depuis 1982, le MOS permet par exemple d’analyser la nature et la localisation de l’urbanisation nouvelle, ou la consommation des espaces naturels et agricoles. Le MOS est également fréquemment utilisé dans des études régionales ou locales : on peut citer par exemple des études d’impact, les diagnostics territoriaux, et, tout récemment, l’inventaire des terrains mutables ou l’analyse du potentiel d’urbanisation de certains départements. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

4 [ Mise à jour 2003 à l’aide de l’orthophoto numérique de l’IGN ]
Voici à quoi ressemble l’environnement de travail des photo-interprètes qui ont réalisé la maj 2003 du MOS. En pratique, chaque mise à jour du MOS est fabriquée à partir d’une couverture photographique aérienne complète de l’Ile-de-France. Les prises de vues aériennes utilisées pour la mise à jour 2003 du MOS a été réalisées par l’IGN en été 2003. L’IGN les a livrées sous une forme numérique : c’est ce qu’on appelle une orthophotographie numérique. Comme vous pouvez le voir, cette orthophoto est affichée en fond d’écran. L’inventaire MOS précédent, ici celui de 1999, est affiché par dessus l’orthophoto, en semi-transparence. Les photo-interprètes travaillent directement à l’écran. Ils modifient l’inventaire MOS de 1999 afin de répercuter les évolutions d’occupation du sol qu’ils constatent par rapport à l’orthophotographie numérique. C’est un peu complexe, mais très efficace ! Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

5 [ Exemple : occupation du sol en 21 postes ]
Voici le résultat, sur le plateau de Saclay : une carte de l’occupation du sol 2003 : Nous sommes en zone rurale : les espaces agricoles sont représentés en jaune clair, les forêts en vert. en jaune beige l’habitat individuel En rouge l’habitat collectif En bleu foncé divers équipement (des écoles et ici le CEA) La nomenclature utilisée dans cette carte est une nomenclature à 21 postes, qui est une version simplifiée, aggrégée, de la nomenclature de base du MOS qui comporte 83 postes. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

6 [ Exemple : évolution de l’occupation du sol entre 1982 et 2003 ]
Au même endroit, une carte de l’évolution de l’occupation du sol entre 1982 et 2003. Les espaces qui ont changé d’occupation du sol sur la période sont coloriés en couleurs vives. Par exemple ici en jaune de l’habitat individuel, en bleu de nouveau équipements. Remarquez les surfaces importantes coloriées en vert : vert clair pour des créations de parcs ou de terrains de sport et vert foncé ici pour la création d’un golf. J’aurai l’occasion de vous reparler de la création de parcs et de terrains de sport plus loin dans cet exposé ! Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

7 [ Exemple : évolution de l’occupation du sol entre 1982 et 2003 ]
Cette copie d’écran montre les évolutions d’occupation du sol dont nous venons de parler superposées à l’orthophoto 2003. Vous pouvez constater que le MOS donne une représentation très détaillée des choses… Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

8 [ Les mises à jour du MOS ]
6 inventaires MOS depuis 1982 : 1982 1987 1990 1994 1999 2003 (RGP) (SDRIF 94) (étape SDRIF 1994, révision du SDRIF) Le MOS 2003 : couverture photographique aérienne « été 2003 » Les mises à jour du MOS... Il y a eu 6 inventaires MOS depuis 1982, ce qui correspond à une maj tous les 4 ou 5 ans. 3 inventaires ont été coordonnés avec le RGP : 1982, 1990 et 1999. La maj de 1994 permet de disposer d’un point de calage T0 pour le SDRIF de 1994. La dernière maj en date a été programmée en 2003 car 2003 est une date repère du SDRIF de 1994 pour l’ouverture à l’urbanisation. Par ailleurs le MOS de 2003 va fournir des éléments d’analyse très utiles dans le cadre des travaux de préparation du nouveau SDRIF. En pratique, le MOS 2003 correspond à une couverture aérienne faite en été C’est donc la situation « été 2003 » Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

9 L’Île-de-France à grands traits
Que nous apprend le MOS 2003 ? Il nous permet tout d’abord de brosser un portrait précis de l’Ile-de-France d’aujourd’hui. Nous en retiendrons quelques grands traits : Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

10 [ Une région majoritairement rurale… ]
79% d’espaces naturels ou agricoles 21% d’espaces urbains Tout d’abord n’oublions pas que l’IDF, un peu paradoxalement, est une région majoritairement rurale : rurale à 80%, avec 20% seulement d’espaces urbains. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

11 [ ... mais un coeur très urbain ]
Paris et petite couronne 85% d’espaces urbains 15% d’espaces naturels et agricoles Grande couronne 16% d’espaces urbains 84% d’espaces naturels et agricoles Cette région rurale a un cœur très urbain : Paris et la PC sont urbanisés à 85%. La proportions est inverse en grande couronne avec environ 85% d’espaces non urbanisés. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

12 [ Paris + petite couronne : 1/4 seulement des espaces urbanisés ! ]
Paris et petite couronne 650 km2 urbanisés (26%) accueillant 6,2 millions d’habitants (56%) Grande couronne 1875 km2 urbanisés (74%) accueillant 4,8 millions d’habitants (44%) Mais ce cœur très urbanisé ne rassemble que le ¼ des espaces urbanisés d’IdF. Autrement dit, les ¾ des espaces urbanisés sont en grande couronne, celle-ci accueillant près de la moitié de la population francilienne. La couronne rurale d’IDF est donc en fait bcp plus urbaine qu’on ne pourrait le penser ! Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

13 [ Un quart des espaces urbains sont des parcs, des terrains de sports, etc. ]
Moyenne régionale : 25% Moyennes départementales : Paris : 19% Petite couronne : 16 à 17% (selon les départements) Grande couronne : 24% à 31% (selon les départements) Dernier point, qui concerne les espaces urbanisés d’Ile-de-France : ils sont constitués à 25% de parcs, de terrains de sport, d’espaces récréatifs de plein air, c’est à dire d’espaces non construits, ouverts. Cette proportion de 25% est une moyenne régionale et elle varie bien entendu selon les départements. Mais Paris et la PC affichent malgré tout des valeurs assez satisfaisantes comprises entre 16 et 19%. Notez le bon score de Paris, 19%, qui est du essentiellement aux bois de Boulogne et de Vincennes. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

14 Consommation des espaces
naturels et agricoles par l’urbanisation Nous allons maintenant nous intéresser à la consommation des espaces naturels et agricoles par l’urbanisation. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

15 [ Espaces urbanisés en 1982 ]
Avec, pour commencer, une petite animation qui va nous permettre de visualiser l’extension de l’urbanisation en IdF depuis une vingtaine d’année. La carte à l’écran montre l’IDF en 1982. Les espaces urbanisés sont repérés en gris. Les espaces naturels et agricoles en beige. 1982 Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

16 [ Extension de l’urbanisation entre 1982 et 1987 ]
Villes nouvelles (SQY, Cergy) 2 TGV Nous voici maintenant en 1987. Les petites tâches rouges montrent les espaces qui ont été urbanisés entre 1982 et 1987. On remarque en particulier 2 VN : Cergy et SQY. On distingue également le tracé de 2 TGV au SE et au SO. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

17 [ Extension de l’urbanisation entre 1982 et 1990 ]
Villes nouvelles (Créteil, MLV) Roissy 1990 ! L’urbanisation a encore progressé depuis 1982. On identifie 2 autres VN : Créteil et MLV ainsi que le secteur de Roissy. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

18 [ Extension de l’urbanisation entre 1982 et 1994 ]
Villes nouvelles (Evry, Sénart) TGV S-E 1994 ! Evry et Sénart commencent à être visibles. L’emprise du TGV SE est très marquée. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

19 [ Extension de l’urbanisation entre 1982 et 1999 ]
Poursuite des tendances précédentes Nous voici en 1999. Il n’y a plus d’apparition de nouveaux pôles d’urbanisation. On constate en fait une poursuite des tendances précédentes, essentiellement en périphérie de l’agglomération. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

20 [ Extension de l’urbanisation entre 1982 et 2003 ]
Bilan après 20 ans : Urbanisation aux franges de l’agglo centrale Développement des bourgs et villages Cette dernière carte montre la situation en 2003. On voit qu’en 20 ans l’extension de l’urbanisation a été très active aux franges de l’agglomération centrale, avec une concentration manifeste au niveau des VN et du secteur de Roissy. Mais l’urbanisation s’est aussi développée en grande couronne : on y remarque en effet de très nombreuses minuscules tâches rouges dispersée en zone rurale : elles sont la manifestation de ce que le SDRIF de 1994 appelle le dvpt des bourgs et villages. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

21 Ralentissement de la consommation d’espaces
Cette consommation d’espaces, que nous venons de visualiser depuis 1982, nous allons maintenant voir qu’elle est en net ralentissement depuis 10 ans... Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

22 [ Ralentissement de l’extension de l’urbanisation depuis 10 ans ]
Rythme annuel de l’extension de l’urbanisation depuis 1982 (hors chantiers et terrains vacants urbains) Moyenne : 2116 ha/an Moyenne : 1166 ha/an Soit une diminution de 45% Ce graphique montre l’évolution du rythme annuel de extension de l’urbanisation depuis 1982. Il est organisé en 5 périodes, correspondant aux maj successives du MOS. Nous constatons un net ralentissement depuis la période , c’est à dire depuis une dizaine d’année. Le rythme annuel moyen de l’extension de l’urbanisation entre 1982 et 1999 est de 2116 ha/an. Il tombe à 1166 ha/an pour la période récente , soit une diminution de 45%. Nous allons analyser ce net ralentissement, enclenché il y a 10 ans, en comparant la période avec la période Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

23 Une division par 2,2 de la consommation d’espaces
[ Ralentissement de l’extension de l’urbanisation depuis 10 ans ] Comparaison des périodes et Moyenne : 2575 ha/an Moyenne : 1166 ha/an Une division par 2,2 de la consommation d’espaces Ces 2 périodes ont été rapprochées sur ce graphique. Entre 1999 et 1994, l’extension de l’urbanisation se faisait à un rythme de 2575 ha/an. Entre 1999 et 2003, ce rythme est tombé à 1166 ha/an, ce qui représente une divisIon par plus de 2 en 10 ans. Faisons apparaître les différentes composantes de cette urbanisation nouvelle, aux deux périodes : en vert les espaces urbains non construits : parcs, jardins, terrains de sport, espaces récréatifs de plein air. En jaune l’habitat individuel En gris les transports En bleu clair les équipements En violet les activités et en orange l’habitat individuel. Nous allons maintenant analyser plus en détail les principaux facteurs expliquant le ralentissement constaté. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

24 [ Facteurs de ralentissement de l’urbanisation nouvelle ]
Comparaison de et Facteur 1 : effondrement de la production d’espaces urbains ouverts (non construits) : 776 ha/an « pic » des golfs, Disney : 56 ha/an 1er facteur de ralentissement : l’effondrement de la production d’espaces urbains ouverts non construits. Entre 1990 et 1994 on a construit beaucoup de parcs, de terrains de sports, de golfs : nous en avons vu une illustration tout à l’heure dans le secteur du plateau de Saclay. Ce n’est plus du tout le cas entre D’une période à l’autre, on passe de 776 ha/an à 56 ha/an. C’est bien un effondrement. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

25 [ Facteurs de ralentissement de l’urbanisation nouvelle ]
Comparaison de et Facteur 2 : ralentissement de la production d’habitat individuel : 656 ha/an : 411 ha/an Division par un facteur 1,6 Construction annuelle de logements individuels Le 2ème facteur est le ralentissement sensible de production d’habitat individuel. On passe de 656 ha/an à 411 ha/an, soit une division par un facteur 1,6. Ce facteur de 1,6 est corrélé par les chiffres de construction de logements individuels. Environ par an entre 1990 et 1994 et par an pour la période Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

26 Facteurs de ralentissement de l’urbanisation nouvelle
[ Ralentissement de l’extension de l’urbanisation depuis 10 ans : comparaison des périodes et ] Facteurs de ralentissement de l’urbanisation nouvelle (périodes et ) Les deux facteurs précédents expliquent les 2/3 du ralentissement Mais toutes les autres composantes baissent aussi : Transports : -184 ha (-39%) Equipements : -144 ha (-67%) Activités : -63 ha (-20%) Habitat collectif : -54 ha (-39%) Ces deux facteurs expliquent à eux seuls les 2/3 du ralentissement. Mais les autres composantes de l’urbanisation ont également bcp fléchi : Les transports, les équipements (-67%), les activités et l’habitat collectif. Il y a donc un ralentissement général de l’urbanisation nouvelle, dans toutes ses composantes, depuis une dizaine d’années. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

27 Répartition régionale de l’urbanisation nouvelle
Nous allons maintenant examiner la répartition géographique de l’urbanisation nouvelle. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

28 [ L’urbanisation nouvelle 1999-2003 en grande couronne]
90% de l’urbanisation nouvelle Une baisse très nette depuis 10 ans La plus grosse part de l’urbanisation nouvelle est localisée en grande couronne : 90%. L’évolution depuis 20 ans est évidemment analogue à celle constatée pour l’Ile-de-France tout entière, avec une baisse très nette depuis 10 ans. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

29 [ L’urbanisation nouvelle 1999-2003 : Paris et petite couronne]
Paris : il n’y a plus de consommation d’espaces Petite couronne : une urbanisation nouvelle modérée et en baisse Petite couronne : consommation d’espaces entre 1982 et 2003 Peu d’urbanisation nouvelle en zone centrale. À Paris il n’y a plus de consommation d’espaces naturels et agricoles. Ils sont sanctuarisés. En petite couronne, l’extension de l’urbanisation se fait à un rythme réduit, en baisse régulière depuis 20 ans. La consommation des espaces naturels et agricoles en petite couronne ne concerne plus aujourd’hui que 100 ha/an, sur un stock d’environ ha. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

30 [ Urbanisation nouvelle depuis 20 ans : idées reçues et réalité ]
Situation en 2003 des ha consommés par l’urbanisation entre 1982 et 2003 (hors chantiers et terrains vacants urbains) 34% d’espaces ouverts : Parcs, jardins, espaces récréatifs de plein air 31% d’habitat : En surface, 12 fois plus d’individuel que de collectif... Le solde (35%) pour : Activités (15%) Transports : (14%) Equipements : (6%) Pour terminer je voudrais faire quelques remarques sur la composition de l’urbanisation nouvelle depuis 20 ans. L’urbanisation nouvelle est souvent assimilée au « bétonnage » dont la responsabilité serait attribuée à l’extension de l’habitat. En fait ce sont là des idées qu’il faut largement nuancer à partir de l’observation des faits sur une longue période. ha ont été urbanisés en Ile-de-France entre 1982 et 2003. 34% de ces surfaces d’urbanisation nouvelle sont constituées d’espaces ouverts, non construits et non goudronnés : des jardins, des parcs, des espaces récréatifs et sportifs de plein air. La part de l’habitat dans l’urbanisation nouvelle de ces 20 dernières années n’est que de 31%, avec en surfaces foncières, 12 fois plus d’habitat individuel que de collectif. Les autres éléments « construits », cad les activités, les infrastructures et les équipements comptent ensemble pour 35% du total. Les espaces urbains ouverts constituent donc une part très importante - 34% - de l’urbanisation nouvelle. Cette proportion de 34% est à rapprocher de la part des espaces ouverts dans les tissus urbains constitués : nous avons vu en début d’exposé qu’elle est de 25% en moyenne régionale. Par ailleurs, la part de l’habitat dans l’urbanisation nouvelle est de 31% alors qu’elle est de 45% dans tissus urbains constitués. L’urbanisation nouvelle de ces 20 dernières années est donc plus ouverte, plus aérée que les tissus urbains plus anciens, avec une part plus faible d’habitat. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

31 Travaux à venir Le MOS Premiers bilans
Quelques mots sur les travaux ou évènements à venir, pour poursuivre l’exploitation du MOS 2003. Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

32 [ Et maintenant ? ] Publication prochaine d’une première Note rapide sur le MOS 2003 Poursuite des analyses à partir du MOS 2003 : Localisation et nature de l’urbanisation Développement des bourgs et villages Renouvellement urbain etc. Ces sujets seront traités dans des « Notes rapides » de l’IAURIF à paraître Diffusion du MOS à des partenaires régionaux Une première note rapide sur le MOS 2003 sera publiée très prochainement. Elle a été incorporée sous forme de maquette dans le dossier qui vous a été remis aujourd’hui. Vous y retrouverez la plupart des points que je vous ai rapidement présentés dans mon exposé. Par ailleurs, des compléments d’analyse sont prévus sur des thèmes divers : Par exemple, localisation et nature de l’urbanisation, développement des bourgs et villages, renouvellement urbain. Ces études seront diffusées dans d’autres notes rapides à paraître dans les prochains mois. En parallèle nous diffuserons le MOS auprès de nos partenaires régionaux (Etat, départements), qui pourront ainsi procéder à leur propres analyses. Et enfin, dans le courant de l’été, le MOS 2003 sera présenté sur le site Internet de l’IAURIF, sous forme de cartes interactives, en compagnie de l’orthophoto 2003. Sur Internet : cartes interactives du MOS et de l’orthophoto 2003 Le MOS Premiers bilans TR1_CALEN

33 Merci de votre attention !
Je vous remercie de votre attention. Mes collègues et moi-même sommes prêt à répondre à vos questions ! TR1_CALEN

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