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Dialogue et WEB : la théorie des rôles fonctionnels Violaine Prince.

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1 Dialogue et WEB : la théorie des rôles fonctionnels Violaine Prince

2 2 La structuration du dialogue n Hypothèses : – Agents rationnels – Ayant un objectif (résolution de problème) – Situation de « besoin » : moyens propres insuffisants pour la résolution => nécessité d amorcer un dialogue

3 3 La structuration du dialogue n Propriétés : – Le dialogue est un ensemble de tours de parole alternatifs – Il a une ouverture et une clôture – Il possède une structure avec des aspects récurrents => « grammaire de dialogue » de l Ecole de Genève

4 4 Graphe du processus Prince et Pernel 1994 ouverture Formelle ou induite Par un tour de parole Intervention Evaluation clôture Formelle ou brutale Paires « adjacentes » (Schlegoff Et Sachs 1973)

5 5 Commentaires n Les interventions peuvent induire des boucles imbriquées n L évaluation se fait par l un ou les deux agents (vs Roulet et Moeschler) n Elle porte, à ce niveau de granularité, sur la satisfaction du but initial.

6 6 Structuration du dialogue n Avoir une grammaire du dialogue, pourquoi faire ? n Structuration a posteriori, par analyse humaine, peu prédictive. n Autres théories : – les théories de croyance – Les états mentaux – Les rôles fonctionnels

7 7 Croyances et Intentions n Cohen et Perrault, Mc Coy et Cheng. n Principes : – Chaque agent a un système de croyances et des intentions. – Quand il communique, l intervention est transformée à l aide de modaux de croyance – L acte de langage est transformé en intention.

8 8 Exemple n A quelle heure part le train pour Lyon ? – Croit (A,P) /ETAT INFERE DE A/ – P : t ( train (t) & destination (t, « Lyon ») & Datedepart (t, « aujourd hui ») & Heuredepart (t, x)) – ¬sait (A, x) /BESOIN/ – Résolution de la négation : Veut (A, x)

9 9 Commentaire n Marche pour les interventions de type « demande d information ». n Comment représenter : – « Pouvez-vous préciser s il vous plaît ? » n Réécriture de l intervention (pas de recul)

10 10 Les états mentaux (Jonhson Laird) n Application au dialogue entre agents : très peu courante, mais les théories sur les agents (Moses et Halpern, Fagen et Vardi…) sont curieusement proches. Chaque agent a un état mental (i.e. valeur des variables de son système de connaissances) donné. Soit le système de connaissances d un agent.

11 11 Les états mentaux (Jonhson Laird) n Résolution d un problème pour agent A – A ne possède pas la connaissance c – B possède la connaissance c. n Le dialogue a pour objectif de modifier l état de A qui : – Doit acquérir c – A un modèle de B qu il met à jour

12 12 Les états mentaux (Jonhson Laird) n Le dialogue modifie l état de B qui a un modèle de A et le met à jour. n Le dialogue atteint son but quand : – A signale qu il a acquis c et clôture le dialogue). n Système à double modalité (Perrault) – Modèle de A sur B : Croit(A (sait( B, c))) – Modèle de B sur A : Croit(B(veut (A, c)))

13 13 Les états mentaux (Jonhson Laird) n L énonciation fait l objet d une croyance commune (axiome) sur les connaissances – Demande (X, w) => ¬sait (X,w) n Et sur les intentions – Demande (X, w) => veut (X,w) n Après énonciation d une demande : – Modèle de A sur B : Croit(A (sait( B, c))) – Modèle de B sur A : Croit(B(sait (A, x))) Croit (B (¬sait (A,c)) ) Croit (B (veut (A,c)))

14 14 n Si B est coopératif et qu il possède c alors l intervention de B sera – Asserte (B,c) – Cette assertion est évaluée par A (en principe automatiquement si non dysfonctionnement) n Etats mentaux de A et de B après l intervention de B : – A : (A) U c n Modèle de A sur B : Sait (A (sait (B,c))) – B : (B) n Modèle de B sur A : croit (B (sait (A,c)))

15 15 n B peut éventuellement transformer sa croyance en connaissance en : – demandant une confirmation (évaluation demandée) – En recevant une évaluation positive et une clôture de la part de A (évaluation obtenue). n A : « merci beaucoup ». – Modèle de B sur A : Sait (sait (A,c)).

16 16 Commentaires n L évaluation a un rôle important (complétude interactionnelle, satisfaction, (Trognon, Brassac, Ghiglione…)). n L évaluation a une expression ambiguë : – Clôture par satisfaction ou non (jugement négatif sur la capacité à donner l information) – Fin brutale n L évaluation est constante.

17 17 Théorie des rôles fonctionnels n Théorie inédite. n Hypothèses : – Le dialogue est un processus de réparation d une situation inconfortable (Goffman 1977) – La réparation réussit si la situation est modifiée – Le processus échoue si la situation n est pas changée. – Il suppose la coopération entre les agents : chacun va essayer de modifier la situation de son mieux

18 18 Théorie des rôles fonctionnels n Situation « inconfortable » : – Un des agents doit acquérir une connaissance par l extérieur (non dérivation, non disponible dans l environnement) – Pour modifier la situation il énonce son besoin ou il a un rôle qui l énonce n Tout agent qui s adresse à un autre croit que l autre possède la connaissance manquante ou peut l aider à l obtenir.

19 19 Théorie des rôles fonctionnels n Application aux dialogues de : – Recherche d information – Éducatifs (situation « élève ») – Diagnostic (résolution de problème) n Non parité de rôle des agents

20 20 Théorie des rôles fonctionnels n Conséquence des hypothèses : – Chaque agent a un modèle de l autre – Et un modèle du rôle de chaque intervention dans le dialogue n Le modèle de dialogue n est pas extérieur aux agents. Il est instancié par chacun d entre eux. Et c est la recherche de la consistance (logique) des instances qui est la condition de réussite du dialogue.

21 21 Théorie des rôles fonctionnels n Modèle en trois éléments pour chaque agent: n Modèle de agent A1 sur A2 n Modèle de agent A1 sur état dialogue. n Attend A1 (de A2). n Deux opérations possibles sur son propre état des connaissances n Examiner (nomagent, etat) : examen de toute la BC. permet de décider s il est satisfait. Amorce le raisonnement. n Check(nomagent, valeur- variable) : permet à l agent de savoir s il peut fournir une information

22 22 Théorie des rôles fonctionnels n Pas de croyances communes. n Modaux : croit (X, x), sait (X,x) – l agent X croit l énoncé (logique) x. n Actions sur le langage : – asserter (X, p) => X dit p – générer (Croit (X, role (p)) => X répond p et X croit que p a un rôle donné.

23 23 Théorie des rôles fonctionnels n Les rôles sont assignés à une intervention p. n Exemple : – demander -information (A, v) est un rôle attribué à l intervention p de A qui est de la forme : n Pouvez -vous me dire où se trouve la gare ? Demander-information (A, emplacement) Objet (emplacement, « gare »)

24 24 Théorie des rôles fonctionnels n Les rôles sont assignés à une intervention p n Par chacun des intervenants n Pouvez -vous me dire où se trouve la gare ? – A croit qu il demande une information en posant cette question – (Croit (A, (Demander-information (A, emplacement) Objet (emplacement, « gare »))) n En recevant cette question, B doit lui assigner un rôle. Si tout se passe bien, on a : – Croit (B, (Demander-information (A, emplacement) Objet (emplacement, « gare »))

25 25 Théorie des rôles fonctionnels n On sait si tout se passe bien grâce au 3eme élement : l attente. – Si demander-information (A,v) alors – Attente : <= donner-information (B,v) n L attente est le mécanisme par lequel l agent va affecter un rôle à l intervention de son interlocuteur.

26 26 Théorie des rôles fonctionnels n L intervention réponse est donc évaluée par rapport à l attente. n Si elle est satisfaisante, alors deux actions sont possibles – Clôture (locale ou globale) par une assertion de la satisfaction – Changement de thème (demande complémentaire sur un autre sujet).

27 27 Théorie des rôles fonctionnels n L intervention réponse est donc évaluée par rapport à l attente. n Si elle n est pas satisfaisante, alors il existe plusieurs stratégies : – Une stratégie insistante : les tours de parole réparent l inconfort dû au dialogue (structures récursives) – Une stratégie de rupture brutale : reconnaissance de l échec.

28 28 Exemple de m.a.j. des modèles n A :A quelle heure part le train pour Lyon ? n Modèle de A sur B : Croit (A, sait (B, heuredépart)) n Modèle de A sur état dialogue : Générer (Croit (A, Demander- information (A, heuredépart))) n Attend: Donner-information (B, heuredépart). n B après intervention de A : n Modèle de B sur A : Croit (B, demander-information (A, heuredépart)) Modèle de B sur état dialogue : Croit (B, (Demander- information (A, heuredépart) => ¬sait (A, heuredépart) besoin (A, heuredépart)) => générer (croit (B, Donner-information (A, heure départ))). n Check(B,heuredépart) => =(heuredépart, 13) n Attend : Asserte (A, satisfaction) ou ¬ = (Thème (interventionA, heuredépart).

29 29 Exemple n B :A 13 heures. – Modèle de B sur état dialogue : Croit (B, (Donner- information (A, heure départ)) => Croit (B,satisfait (A)). – Modèle de B sur A : Croit (B, Sait (A, heuredépart)) – Attend : Asserte (A, satisfaction) ou ¬ = (Thème (interventionA, heuredépart). n A en recevant l intervention de B : – Modèle de A sur état dialogue : = (réponseB,Croit (A, Donner-information (A, heuredépart) )? Si true, alors satisfait (A) => Examiner (Etat A) – Modèle de A sur B : B coopératif.

30 30 Exemple n Evaluation par A de son propre Etat par rapport à l inconfort de la situation : examiner (Etat A) – A peut-il résoudre le problème ? n Si oui alors Générer (Asserte (A, satisfaction-totale) n Sinon : Modèle de A sur B : – Croit (A (sait (B, quaidépart)) – Modèle de A sur état dialogue : Générer (Croit (A,Asserte (A, satisfaction))) & Générer ((Croit (A, Demander-information (A, quai-départ))) – Attend : Donner-information (B, quaidépart)

31 31 Exemple n A : merci, savez-vous sur quel quai ? n B après intervention de A : – Modèle de B sur état dialogue : Instanciation attente ? Attente satisfaite. – Modèle de B sur A : Croit (B, demander-information (A, quaidépart)=>¬sait (A, quaidépart) besoin (A, quaidépart) => générer (Donner-information (A, quaidépart)). – check (B, quaidépart) => false. => générer (Asserte (¬sait (b, quaidépart). – Utilisation de l axiome de résolution de l absurdité (voir formalisation ultérieure). – Attend : sait (A, (¬sait (B, quaidépart)) ¬satisfait (A) clôture (dialogue).

32 32 Exemple n B: désolé, je ne sais pas. – Modèle de B sur état dialogue : Asserte (¬sait (b, quaidépart) => echec (dialogue). – Modèle de B sur A : Croit (B, ¬satisfait (A)). – Attend : sait (A, (¬sait (B, quaidépart)) ¬satisfait (A) clôture (dialogue). n A : tant pis, merci. – Modèle de A sur le dialogue := (réponseB, donner- information (B, quaidépart)) ? Non.=> ¬satisfait (A) => – Générer (croit (A, asserte (regret (A)) clôture (dialogue))). – Modèle de A sur B : sait (B, heuredépart) ¬sait (B, quaidépart). – Attend : nil.

33 33 Commentaires n Le dialogue n a pas complètement échoué : réparation partielle. => mémoire de l interaction pour indiquer le succès partiel. n Stratégies abductives de réparation : – Exemple : n B ne sait pas sur quel quai est le train, mais B sait que l on affiche le quai seulement 20 minutes avant le départ. => relâchement de contrainte : quai =>moment de l affichage du numéro de quai.

34 34 Modification du dialogue n Etat de départ : – A : merci, savez-vous sur quel quai ? – B après intervention de A : – Modèle de B sur état dialogue : Instanciation attente ? Attente satisfaite. – Modèle de B sur A : Croit (B, demander-information (A, quaidépart)=>¬sait (A, quaidépart) besoin (A, quaidépart) => générer ( croit (B, Donner-information (A, quaidépart))). – check (B, quaidépart) => false. => générer (Asserte (¬sait (b, quaidépart).

35 35 Modification du dialogue n Stratégie abductive : – SEQUENCE MODIFIÉE. – check (B, quaidépart) => false. => Examiner (B, état). Algorithme : Chercher toutes les rubriques telles que r quaidépart. Check(B,r). Pour une valeur r0 de r => générer (Asserte (¬sait (b, quaidépart) Asserte (sait (B, r0) Asserte sait ( B, r0 quaidépart)). Instance : heure-affichagequai affichagequai quaidépart. Check (B, affichagequai) => false.

36 36 Modification du dialogue n Stratégie abductive : – SEQUENCE MODIFIÉE ( suite) – Check(B, heureaffichagequai) => = (heureaffichagequai, heuredépart -20mn) – Modèle de B sur A: Sait( B, sait (A, heuredépart)) =>croit (B, sait( A heuredépart-20mn)). – Modèle de B sur le dialogue : générer (croit (B, donner- information (sait !(B, = ( heureaffichagequai, heuredépart - 20mn))))) – Attend : sait (A, (¬sait (b, quaidépart)) sait (A, heureaffichagequai) sait (A, heureaffichagequai quaidépart) satisfait (A) clôture (dialogue). n Sait! : sait-unique. Pas d info autre possible.

37 37 Modification du dialogue n B: non, mais je sais que le numéro de quai n est affiché que 20 mn avant le départ. – Modèle de B sur le dialogue : croit (B, Donner- information (¬sait (B))) générer (croit (B, donner- information ( sait ! (B, = ( heureaffichagequai, heuredépart - 20mn)))) – Attend : sait (A, (¬sait (b, quaidépart)) sait (A, heureaffichagequai) sait (A, heureaffichagequai quaidépart) satisfait (A) clôture (dialogue). n A: merci beaucoup. – Examiner (A, etat) => satisfait (A) & fin.

38 38 Modification du dialogue n L assertion de A modifie les modèles de B: – Modèle de B sur le dialogue : attente satisfaite ? – Attente partiellement satisfaite. – Application de la règle de clôture (voir formalisation), fin dialogue. – Modèle de B sur A : sait (A, (¬sait (b, quaidépart)) sait (A, heureaffichagequai) sait (A, heureaffichagequai quaidépart) satisfait (A) clôture (dialogue). – Attend : nil.

39 39 Commentaires n Un agent est coopératif d autant plus qu il essaie de réparer par le dialogue une situation d inconfort.=> algorithme de relâchement de contraintes n On suppose que les agents possèdent tous l axiome de déduction. n L étude de la consistance des modèles des agents est relativement facile quand l attente est satisfaite.

40 40 Axiomes utilisés n Règle de clôture : règle conversationnelle (dite de complétude) – si asserte (A, satisfaction) et asserte (A, clôture (dialogue) alors n Pour toutes les règles où ces deux formules sont dans une conjonction, rendre vrais par défaut les autres éléments de la conjonction. Clôture (dialogue ) satisfait (A) Attente : Clôture (dialogue ) satisfait (A)

41 41 Axiomes utilisés n Règle de « qualité » ( un agent ne fournit que les connaissances qu il possède) – Ou règle de résolution de l absurdité Demander-information (X, v) ¬sait (Y, v) => n ¬generer (donner-information (Y,v)) – Munie de la règle de coopération (dire qu on ne sait pas) Demander-information (X, v) ¬sait (Y, v) => generer (¬sait (Y, v) )

42 42 Commentaires n Le problème apparaît quand une intervention ne possède pas le même rôle vue depuis l émetteur et depuis le récepteur. n Exemple : n P : L accélération de la chute des corps est constante. n E : Je n ai pas compris. Pouvez vous expliquer ? n P : Sur terre elle vaut g. n E :Oui mais encore ?

43 43 Vue du dialogue P Donner- connaissance E Connaissance non assimilable =a L accélération de la chute Des corps est constante Asserter (a) Demander explication Je n ai rien compris. Pouvez-vous expliquer Demander- explication Génerer (explication) =>Générer (exemple) Sur terre Elle vaut g (réponseB, explication) => false. Demander précision Oui mais encore ?

44 44 Commentaires n Dialogue « éducatif » avec manifestement des problèmes de satisfaction dus à la non interprétation commune par les deux agents du rôle d une intervention. – « sur terre elle vaut g » est une explication dans l esprit de P, et n est pas consistant avec le système de connaissances de E donc ce n est pas une explication pour E.

45 45 Types des rôles fonctionnels n Demander /donner -information n Demander/donner -connaissance n Demander /donner -explication n Demander /donner -reformulation n Demander /donner -précision n Demander/donner-exemple

46 46 Cohérence n Role/A (réponseB) = Role/B (réponseB) ? n Si A attend une explication et B fournit ce qu il croit être une explication et qui n est pas interprétée comme telle par A, n Le dialogue ajoute à l inconfort de la situation n Il faut donc commencer par réparer l inconfort dû au dialogue.

47 47 Stratégies n Stratégie insistante : n Ordonner les demandes par portée décroissante n Reformulation (sur toute l intervention : crainte d une erreur de codage) n Explication (d une conclusion ou d un fait) n Exemplification (valeur d une instance) n Précision (sur l existence d un attribut, ou sa valeur)

48 48 Exemples n Reformulation : n A quelle her paet le train pv lyon ? n Pouvez-vous reformuler s il vous plait ? n Explication n Une fièvre de plus de 39° doit être traitée. n Pourquoi ?

49 49 Exemples n Exemple : n La relation d équivalence est réflexive, symétrique, transitive. n Pouvez-vous donner un exemple ? n L égalité. n Précision : n Je veux louer une voiture. n Pour quelle période ?

50 50 Commentaires n Les choix stratégiques peuvent être multiples – Là où s attend à une demande d explication, l agent peut demander une reformulation, ou seulement une précision. n Ils peuvent être dirigés par un souci de circonscrire la bonne réponse. – Je veux un restaurant chinois dans le 13eme arrondissement de Paris. – Il y en a plus de 300. Pouvez vous précisez le quartier ?

51 51 Conclusion sur le modèle des rôles fonctionnels – C est une approche plus prédictive (à base d attente) – Elle tient compte des dysfonctionnements (réparation) – L assignation de rôle aux interventions est relative (à l agent qui émet/reçoit) – Il n y a que très peu de croyances communes supposées – Elle s intéresse non pas à la structure du dialogue mais au but de celui-ci.


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