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Comité européen pour légalité Bruxelles, 25 - 26 mai 2011 CSEE Comité Syndical Européen de lEducation Région européenne de lIE.

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1 Comité européen pour légalité Bruxelles, 25 - 26 mai 2011 CSEE Comité Syndical Européen de lEducation Région européenne de lIE

2 Premier Congrès FLC Cgil février 2006 La FLC Cgil Fédération des Travailleurs de la Connaissance unit en 2006 lEcole, lUniversité, la Recherche, les Académies musicales et les Conservatoires.

3 Au sein du nouveau syndicat, nous avons immédiatement donné la priorité à la formation et à la négociation de genre Dans lOrganisation Trois objectifs ont été fixés : 1- Mettre en œuvre un plus grand nombre de politiques contractuelles concernant les politiques de genre. 2- Faire en sorte que les femmes soient à leur aise au sein du syndicat. 3- Plus dattention envers les femmes avec une décharge syndicale.

4 Formation : lidentité de genre doit être cultivée autant chez les hommes que chez les femmes 1- Un cours pour laccueil des nouvelles « recrues », conçu comme formation de base. Lidentité: les femmes de la CGIL et 100 ans dhistoire. 2- Une formation en présence de camarades des différents secteurs afin délaborer des propositions FLC spécifiques et transversales.

5 La FLC Cgil sengage tout de suite à: Défendre et promouvoir la condition de la femme, une condition féminine qui passe inévitablement par la formation. Promouvoir, vu labsence dune instance publique, dans toute la FLC Cgil un pacte intergénérationnel fort. Favoriser lintégration entre femmes de différents âges, nationalités, cultures et religions sans jamais baisser la garde.

6 La FLC Cgil sengage aussi à respecter : Les principales directives de lUE, les recommandations adoptées par le Conseil de lEurope Les prises de position de la Conférence des femmes de la Confédération Syndicale Internationale - CSI/ITUC – du 19 et 21 octobre 2009, qui sest déroulée à Bruxelles sur la crise, linégalité, les droits et la protection sociale. Les Conventions internationales du travail sur légalité afin quelles soient pleinement ratifiées et que leur adoption dans les législations nationales soient effectivement contrôlée.

7 En outre, en tant quorganisation faisant partie du CSEE – Comité Syndical Européen de lEducation – membre de la CES – Confédération Européenne des Syndicats – la FLC Cgil est tenue dagir, en ce qui concerne les mesures proposées pour léducation, conformément aux indications du CSEE, sur la base du Cadre daction des partenaires sociaux européens sur légalité des genres de 2005.

8 Selon la FLC Cgil, la syndicalisation des travailleuses et la garantie dun travail et dune vie décente pour toutes les femmes doivent constituer une priorité pour tous les syndicats dans leur lutte pour la justice économique et sociale.

9 Deuxième Congrès FLC Cgil avril 2011 Projet pour un « Plan daction de la FLC Cgil sur légalité des genres dans le domaine syndical et dans la profession denseignant » Quatre thèmes dorientation générale sont proposés : - Examiner les rôles attribués à chaque sexe. - Promouvoir la participation des femmes dans les choix décisionnels. - Favoriser un équilibre vie-travail - Lutter contre les différences salariales entre les hommes et les femmes.

10 Ces sujets devraient être abordés sur deux plans : - Sur le plan européen, en continuant à participer de façon active aux travaux du CSEE, dont nous faisons partie. - Sur le plan national.

11 Le deuxième congrès FLC doit vivre avec nos idées au féminin, nos intelligences de femmes, nos sensibilités et les passions qui nous distinguent. Nous ne devons surtout pas essayer dimiter les hommes mais bien de promouvoir notre « unicité de genre » complémentaire à lunicité masculine mais pas égale.

12 Nous devons conquérir des espaces qui nous sont propres en tant que : «FEMMES LIBRES ET INDEPENDANTES » Au sein de la FLC Cgil il y en a beaucoup, et ces femmes peuvent, si elles le veulent, inciter, non seulement notre syndicat mais aussi la société italienne, à un renouvellement de genre pour le bien de la FLC Cgil, de la CGIL et de notre pays.

13 Le deuxième Congrès FLC Cgil du mois davril 2011 Des chiffres qui font la différence Actif et laborieux, notre « bataillon » didées et de propositions arrive à son deuxième Congrès national de San Benedetto del Tronto, épuisé par tant defforts mais déterminé à aller de lavant malgré la certitude de devoir en affronter de bien pires.

14 Malgré tout et de nouveau, en cette grande occasion collective de travail et de confrontation, les femmes et les hommes de notre syndicat mettent de côté leur fatigue et se/nous surprennent encore en décidant de devenir les promoteurs et les protagonistes dinnovations ultérieures et de modernité. Ils poursuivent avec détermination et engagement la proposition du Secrétariat national de former la nouvelle Direction Nationale FLC Cgil avec 50% de femmes et 50 % dhommes; une parfaite expression de démocratie paritaire.

15 Non seulement notre syndicat accepte concrètement lobjectif de la parité mais va même au-delà avec 50,4 % de représentation féminine dans la Direction Nationale, ce qui est le témoignage tangible dune volonté qui se décline en quelque chose de concret. Tout aussi significatif est lespace attribué aux RSU (organismes qui représentent le personnel dans les établissements et les lieux de travail), aux jeunes « de moins de 35 ans » et aux précaires, avec 6,2 % pour chaque catégorie : autre affirmation dun besoin certain et nécessaire dégalité des chances et non seulement des genres.

16 Observatoire pour légalité des chances Selon le nouveau Statut de la CGIL et donc de la FLC Cgil, ce nouvel organisme de contrôle, présent au niveau confédéral national à Rome et sur tout le territoire ainsi que dans toutes les catégories, doit veiller à ce que: Aucun genre naille en dessous de 40%.

17 Le secrétariat National FLC Cgil : De 2006 à 2011 on est passé: De moins 40% de femmes à 55,55%

18 Budget de la FLC Cgil Pour la première fois, dans notre prévision budgétaire de cette année on a réservé un poste et donc une somme spécifique pour légalité des genres

19 Proposition éditoriale de notre Maison dEdition « Edizioni Conoscenza » Lécole : un lieu dégalité ? Quand on discute, dans notre Pays, du retard que nous avons par rapport à laboutissement dune égalité effective entre les hommes et les femmes et que lon planifie des politiques pour légalité des chances, lécole est rarement interpellée et insérée dans le débat politique.

20 La raison de cette négligence réside dans un motif assez simple : lécole est conçue comme une espèce de « lieu privilégié » par rapport au problème de la discrimination sexuelle, où légalité est, par définition, exercée.

21 Il existe une statistique évidente à lappui de cette conviction – en réalité facile à réfuter – qui consiste en une forte présence quantitative de femmes dans les salles de classes, dans le double rôle denseignantes et détudiantes : Lécole, ne cesse-t-on de répéter sur un ton parfois résigné, est désormais « dans les mains des femmes ».

22 En fait, un examen moins superficiel montre un tableau bien plus complexe et contradictoire. Si on ne se limite pas à un jugement de façade mais si lon est disposé à enquêter sur la question de façon plus approfondie, on peut affirmer la thèse antithétique/opposée, cest-à-dire que lécole italienne – dans sa structure, dans les savoirs quelle transmet – est le reflet dune société sexiste et, quà son tour, elle est force motrice dune vision traditionnelle et stéréotypée des rôles masculins et féminins.

23 Irene Biemme, une chercheuse de Florence, a argumenté cette thèse en focalisant son attention sur trois domaines : Les étudiantes, les livres scolaires, les enseignants.

24 La FLC Cgil a parmi ses objectifs celui de lutter pour une société plus juste et plus équitable

25 Mais le gouvernement italien au lieu de : mettre fin aux vraies inégalités que les femmes de notre pays doivent subir chaque jour; renforcer le soutien aux familles, aux personnes à mobilité réduite, aux personnes âgées, aux retraités, aux précaires ; garantir des crèches, des écoles maternelles pour tous nos enfants, des emplois du temps adéquats pour que ce ne soit pas un simple parking ; améliorer la sécurité sociale et donner aux femmes davantage de possibilités de vie et de travail;

26 …fait preuve dune efficacité surprenante, et à laquelle nous ne sommes pas habitués, quand il décide, lannée dernière, dadopter les « indications supposées » de lEurope à travers une mesure législative qui assimile lâge de la retraite des travailleuses de ladministration publique à celui des hommes, en laugmentant de 60 à 65 ans.

27 Ordre Du Jour Rome, le 21 septembre 2010 Prise de position politique de la FLC Cgil

28 - Revendiquer la flexibilité de lâge de la retraite. - Revoir laspect économique afin que la retraite perçue ne puisse pas être inférieure à 60 % de la rétribution. - Améliorer les mesures de conciliation entre la vie professionnelle et la vie privée pour les hommes comme pour les femmes: congés parentaux pour des raisons familiales, services dassistance et formules de travail flexible. - Intensifier les efforts pour prévenir et combattre la violence sexiste. - Protéger la maternité comme patrimoine universel commun pour favoriser la croissance économique et démographique de notre pays.

29 Comités pour lÉgalité des Chances et Comités paritaires sur le phénomène du Harcèlement (mobbing) Lart. 21 de la loi 183/2010 dispose de réunir, avec référence aux Administrations Publiques, en un seul organisme des compétences précédemment attribuées de façon distincte aux Comités pour lÉgalité des Chances et aux Comités paritaires sur le phénomène du Harcèlement (mobbing).

30 La FLC Cgil exprime son avis contraire à lunification des Comités pour lÉgalité des Chances et des Comités anti-harcèlement afin de créer le nouveau Comité Unique de Garantie car on y regroupe des fonctions attribuées jusquici à des organismes assez différents de par leur composition, leurs domaines dintervention et leurs compétences, en contraste avec les rôles exercés jusquà présent par les Comités pour lÉgalité des Chances.

31 Les domaines dactivité des Comités pour lÉgalité des Chances.

32 Ces domaines ont été étendus aux différents facteurs de discrimination, en identifiant des actions positives selon de plus amples critères. Des propositions ont été faites pour la création de conditions effectives dégalité des chances qui assurent un suivi constant de la mise en œuvre de ces mêmes propositions toujours dans le respect de lévolution des normes nationales et européennes et grâce au développement des études de genre, à lévolution dune plus grande sensibilité envers de tels thèmes, même dans la société civile.

33 Dans cet accroissement de fonctions, les Comités Egalité des chances ont aussi exercé la tâche de diffusion des études de genre même dans le milieu académique, de sensibilisation aux principes de parité et dégalité des chances et sont devenus des lieux de promotion pour la formation non seulement des étudiants et des étudiantes mais aussi dans des contextes plus vastes par rapport au contexte universitaire.

34 Les Comités anti-harcèlement ont une fonction très spécifique et complexe qui ne peut être niée et qui demande, dans leur composition, des compétences adéquates et diversifiées. Cette fusion engendrerait nécessairement une limitation drastique du champ dintervention des CEC et une suppression de ce qui a été réalisé jusquà présent dans ce domaine. Enfin, la loi risque, par ailleurs, de limiter de façon radicale lautonomie des Comités et de leur champ daction.

35 Ce faisant, on réduit de façon drastique les pouvoirs de programmation précédents et on déresponsabilise lorganisme qui nagit plus directement en tant que membre actif dans la réalisation de politiques dégalité des chances puisquil doit simplement se conformer aux directives imposées par un tiers, ce qui est en contraste évidemment avec le principe dautonomie des Universités et des Centres de Recherche.

36 Les Comités « Egalité des Chances » qui œuvrent dans le domaine de léducation, de la culture et de la recherche ont aujourdhui besoin dun soutien décisif de la part des Institutions sur famille, éducation, marché du travail et représentation politique. Nous estimons quil est nécessaire et urgent dintervenir pour la révision dune loi qui, au lieu de renforcer lactivité de ces organismes sur des phénomènes discriminatoires, en limite le fonctionnement et la capacité dopérer.

37 Ordre du jour approuvé par le Comité de Direction National FLC Cgil du 25 et 26 janvier 2011 et pétition LA REVOLTE DES FEMMES POUR LA RENAISSANCE MORALE ET CIVIQUE DE LITALIE

38 Exploitation de limage et du corps de la femme Les femmes de la Connaissance se révoltent contre cette exploitation incessante de limage et du corps féminin qui peut être vendu et acheté pour satisfaire les caprices du politicien de service et contre la raillerie constante de nos personnes.

39 Les travailleuses et travailleurs de léducation, de la recherche et de linstruction sont constamment engagés dans leffort de former des citoyens libres, respectueux de la dignité dautrui, de répandre des valeurs éthiques et civiques dans lesprit de la Constitution et de diffuser des principes de solidarité et dégalité, dans lesprit de la déclaration des droits de lhomme et des femmes, pour construire un monde dégalité des chances, de paix et de civilisation. Pour donner un avenir meilleur aux jeunes et un espoir au Pays.

40 Les principes dhonnêteté et de dignité rappelés par la Constitution italienne sont le fondement de notre travail déducatrices et de travailleuses.

41 Au Conservatoire de Sainte Cécile (Santa Cecilia) à Rome, le 9 mars 2011 En pleine célébration des 150 ans de lUnité dItalie, les femmes de la FLC Cgil se sont interrogées sur le rôle exercé par les femmes dans la construction de lItalie. Lors de la fondation de lEtat, la question sociale et la soi-disant « question féminine » se posent : un long chemin démancipation est entamé, lourdement frustré par la dictature fasciste, jusquà la conquête du droit de vote en 1946.

42 La femme acquiert sa liberté individuelle et les grandes victoires des années soixante et soixante-dix sont laboutissement consécutif, écrit dans notre Constitution. Toutefois la société civile italienne na pas été à même dintégrer jusquau bout la portée de ce changement allant même, aujourdhui, jusquà un retour en arrière. Avoir des enfants est devenu un fait privé. Et si on décide den avoir, soit on ne travaille pas soit, et de toute façon, on ne fait pas carrière.

43 Nous avons ainsi eu la preuve que les droits légaux et politiques ne mènent pas automatiquement, ni corollairement, au respect moral et à la reconnaissance dune identité. Leur relation sociale et historique est beaucoup plus complexe.

44 La Publicité et le corps des femmes La législation italienne en matière de publicité est beaucoup plus imparfaite que celle dautres pays européens. Un exemple : Publicité des sièges détachés de lUniversité de Bologne. Chaque ville est représentée par une fille portant une inscription sur son « énorme poitrine » Cesena, Rimini, Forlì, Ravenna. On suppose que les garçons choisiront leur siège non pas en fonction de leur spécialisation mais en suivant carrément dautres critères : la brune, la blonde et ainsi de suite. Mais on se demande aussi comment vont choisir les filles. Peut-être que les filles ne devraient pas aller à lUniversité! Mais il est évident que personne ne sest posé la question !

45 Tout le monde devrait se sentir vexé et offensé par ce genre de message, les femmes tout autant que les hommes. Et pourtant aucune voix ne sest levée, ni dun côté ni de lautre, pour protester.

46 Défaut déthique publique ? Un silence dû à une sous-évaluation ? Indifférence ? Protection et complicité de la classe dirigeante italienne ? De lEglise ? A ces questions, il faudra trouver des réponses si nous voulons changer. La société italienne ne peut plus faire semblant de rien et la société, cest nous.

47 Il ne sagit donc pas seulement de la dignité des femmes, de toutes les femmes, mais de la dignité des hommes, de tous les hommes. Ou mieux encore. Etant donné le nombre supérieur de présence des hommes sur les postes où lon exerce le pouvoir, le problème concerne avant tout les hommes, leurs comportements et la façon dont lordre établi/lestablishment transmet limage des femmes.

48 Le monde du spectacle et de la culture nest pas seulement celui que nous présentent les magazines. - Cest un monde fait de travail honnête et de fatigues quotidiennes. - Cest un monde qui, comme celui de la Connaissance, souffre à la fois de privations et dindifférence infligées, jour après jour et méthodiquement, par le gouvernement actuel; un monde, lui aussi, qui résiste et qui essaie de survivre avec dignité à cette catastrophe culturelle qui touche lourdement et de façon dramatique notre pays.

49 La FLC Cgil a décidé dadopter le slogan proposé par le Monde de la Culture: « Etreignons/ Serrons fortement dans nos bras la Culture » parce que ce geste signifie: - aider notre pays à réagir et à renaître de ses cendres; - aider tous les italiens et toutes les italiennes; - aider lItalie, un patrimoine culturel qui appartient à lhumanité.

50 De nombreuses contraintes environnementales et sociales poussent les femmes à vendre leur corps. « La société de consommation impitoyable et sauvage a fait de la femme un « objet », « un bien de consommation » a dit le Président de la République italienne, Monsieur Giorgio Napolitano. Et chaque jour nous assistons au désenchantement dune génération de jeunes femmes qui ne peuvent pas se permettre de devenir de bonnes mères.

51 Une nation implique une communauté et un partage, une prise de responsabilité collective qui nexiste pas suffisamment en Italie. Au conservatoire de Santa Cecilia à Rome, nous avons voulu prendre conscience de la nécessité dun nouveau « Risorgimento » pour lItalie. « Se non ora quando? » « Si cest pas maintenant, cest quand?» ont dit de nombreuses femmes qui ont manifesté le 13 février 2011 en Italie.

52 La société doit comprendre quil ny a pas de démocratie accomplie sans la liberté des femmes, synonyme dautodétermination; femmes considérées non pas comme un accessoire, admiratives et sournoises, mais selon une haute conception de la politique. Cest la raison pour laquelle il nous faut coaliser différents sujets et pas seulement les femmes.

53 Il faut relancer une grande saison unitaire transversale de toutes les femmes et de tous les hommes mais, pour réussir, il faut que cela demeure un combat de genre et ce sont les femmes qui doivent le mener. Nous devons finalement pratiquer lautodétermination. Il faut un autre Italie et une Renaissance symbolique dune autre Italie.

54 Les femmes de la FLC Cgil veulent faire un pacte générationnel et vivre leur diversité de femme dans la société en participant et en prétendant. Nous ne voulons pas uniquement nous confronter entre femmes mais aussi avec les hommes, et les impliquer; nous devons commencer à transformer la société dans laquelle nous voulons réaliser nos désirs, et ce, partagées entre les enfants et le travail, les jeunes et les moins jeunes, les mères et les enfants, les hétérosexuels et les homosexuels.

55 Et surtout nous devons dire à nos filles que rien nest acquis pour toujours. Il faut défendre les conquêtes des générations précédentes et en mener dautres.

56 MERCI Joëlle Casa Secrétaire nationale FLC Cgil Via Leopoldo Serra, 31 00153 ROME Italie j.casa@flcgil.it www.flcgil.it


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