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Résistance conservatrice Radicalisation anti nobiliaire Réformes

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Présentation au sujet: "Résistance conservatrice Radicalisation anti nobiliaire Réformes"— Transcription de la présentation:

1 Résistance conservatrice Radicalisation anti nobiliaire Réformes
Une expérience politique et administrative qui prépare à la politique révolutionnaire… … une réflexion et des idées révolutionnaires ? Collaborateurs du pouvoir central Membres d’assemblées corporatives professionnelles Membres d’académies ou de loges Administrateurs d’hôpitaux ou de municipalités (62 maires) Un profond respect de la personne du roi dans un contexte de critique forte du gouvernement Une attitude partagée sur le rôle politique des « masses » Une division sur la question de la noblesse qui pencher vers l’hostilité Une parfaite maîtrise des idées des Lumières (raison, intérêt général, bonheur…) Résistance conservatrice Radicalisation anti nobiliaire Réformes Justice, fiscalité… Forte attente de changements La réforme judiciaire de Maupeou 
Avec la mise en place d'un «triumvirat» formé de Maupeou, Terray et d'Aiguillon, devenu secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères en 1771, c'est une politique de fermeté qui à nouveau semble prévaloir. Bravant l'impopularité, Maupeou cherche une nouvelle fois à briser l'opposition parlementaire. Le conflit se noue à la fin de 1770 et aboutit à l'édit du 23 février 1771, qui abolit la vénalité des charges, annihilant ainsi le caractère héréditaire de la robe. L'édit instaure, en outre, la gratuité de la justice et crée un nouveau parlement, formé de juges appointés et révocables: l'immense territoire dans lequel s'exerçait l'action du parlement de Paris est divisé en cinq conseils supérieurs qui, sous prétexte de déconcentration pour rapprocher la justice des justiciables, brisent la puissance des juges parisiens. Enfin, la réforme est étendue aux cours provinciales puis aux autres cours souveraines de Paris et de la province: Cours des aides, des comptes, de la monnaie, etc.   Division en deux « partis » avant les ÉG Polarisation politique Décrypter le monde Improviser de nouveaux modèles

2 Le serment du Jeu de Paume… ou comment en est-on arrivé à la conscience nationale ?
Facteurs endogènes : Économiques : troubles frumentaires Financiers : menace de banqueroute Politiques : faiblesse du roi Sociaux : injustices, anarchie dans les campagnes Vent de la liberté Lumière face à l’obscurantisme Facteurs exogènes : Guerres : Sept Ans, Indépendance américaine Idées libérales et scientifiques Lumières : modèle hollandais… UN ACTE POLITIQUE MAJEUR Unanimité des députés = Unité de la Nation  projet politique constitutionnel Unité et liberté religieuse Unité politique Représentativité Conscience nationale Liberté de la presse Bailly, doyen du Tiers Robespierre Mirabeau Le 17 juin 1789, six semaines après l’ouverture des états généraux, le tiers état, rejoint par une partie du clergé, se proclame Assemblée nationale. Présidée par Bailly, la nouvelle instance s’engage par le Serment du jeu de paume à ne pas se séparer avant d’avoir rédigé la Constitution du royaume. Le 23 juin, Louis XVI commande aux divers ordres de continuer à siéger séparément, mais le tiers état refuse de quitter la salle des Menus Plaisirs. Lorsque le marquis de Dreux-Brézé, maître des cérémonies déclare : « Vous avez entendu messieurs, l’ordre du roi », Bailly lui répond : « Il me semble que la nation assemblée ne peut recevoir d’ordres. » Mirabeau, député du tiers état, lance alors sa célèbre apostrophe : « Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et n’en sortirons que par la force des baïonnettes. » Le 27 juin, le roi cède en demandant au clergé et à la noblesse de rejoindre le tiers état. Le 9 juillet l’Assemblée nationale devient constituante. Contexte historique Cet événement fondateur de la Révolution française constitue une étape symbolique dans la destruction de l’absolutisme. L’ouverture des états généraux avait suscité une querelle de procédure : le tiers état souhaitait la réunion des trois ordres ainsi que le vote par tête, le vote par ordre donnant nécessairement la majorité au clergé et à la noblesse. Face au refus du roi, le tiers état se proclama Assemblée nationale et appela les deux autres ordres à le rejoindre. Louis XVI fit fermer la salle de réunion des députés. Ces derniers se portèrent alors dans la salle du Jeu de paume. Le 20 juin 1789, ils prêtèrent serment de ne jamais se séparer avant d’avoir rédigé une Constitution. Analyse des images La scène prend place dans la salle du Jeu de paume dont David dessina l’architecture in situ. Dans la composition d’ensemble connue par le grand et magnifique dessin de Versailles exposé au Salon de 1791, les députés sont regroupés au delà d’une ligne fictive comme sur la scène d’un théâtre, laissant ainsi au public l’illusion d’appartenir à l’autre moitié (invisible) des spectateurs de la scène. Cette théâtralité est encore relevée par la gestuelle des députés prêtant serment. Sur la toile inachevée, la nudité suggérée sous les vêtements concourt encore à l’idéalisation de la scène à laquelle David n’assista pas, mais qu’il souhaita hisser au rang d’acte universel. Tous les regards convergent vers Bailly, maire de Paris, ébauché sur la toile au crayon blanc, comme l’ensemble des figures encore nues. C’est Bailly, doyen du tiers état, qui répond au marquis de Dreux-Brézé, émissaire du roi : « Je crois que la nation assemblée ne peut pas recevoir d’ordres. » Sur ces dessins à l’anatomie parfaite, héroïque, sont esquissés les habits à la peinture grise, puis les corps sont à nouveau, toujours nus, remodelés à la peinture grise ombrée de bistre. Le grand fragment de la toile inachevée de David présente quatre portraits presque finis : Barnave, Michel Gérard, Dubois-Crancé et Mirabeau. Parmi les personnages ébauchés on distingue Robespierre, Dom Gerle, l’abbé Grégoire, Rabaud-Saint-Etienne, le docteur Guillotin et Treilhard. Quant au grand dessin d’ensemble, même si plusieurs personnages, dont Bailly, y sont déjà reconnaissables, le livret du Salon de 1791 précisait curieusement que « l’Auteur n’a pas eu l’intention de donner la ressemblance aux membres de l’Assemblée ». David n’en avait pas moins commencé à peindre quelques têtes Interprétation David souhaite ici fonder une nouvelle peinture à l’image de la nouvelle France révolutionnaire : toile symbole s’il en est, Le Serment du Jeu de paume aurait dû rivaliser avec L’École d’Athènes d’un Raphaël tant par l’ampleur de la composition que par le souffle qui l’anime, par son théâtral dépouillement, sa pureté inspirée de l’antique, que par l’ordre et la clarté qui président à la distribution des personnages et à la rigueur de l’action. La notion même de serment, symbole de l’engagement de la nation dans son unité indestructible, sera au cœur de tous les grands engagements de la Révolution. C’est l’idée de la fête unificatrice (comme celle de la Fédération) qui préside donc à l’exécution de ce chef-d’œuvre dont la destination, voulue par la Constituante, était la salle des séances de l’Assemblée. Le destin du Serment du Jeu de paume est à l’image de la mouvance révolutionnaire : la souscription lancée par les jacobins pour financer sa réalisation n’aboutit point. La Constituante décida de financer l’œuvre de David aux frais du « Trésor Public », mais l’engagement progressif de l’artiste dans la Révolution et le fossé qui se creusa entre les modérés et les extrémistes rendirent caduque cette divinisation de l’unité nationale, et la toile ne fut jamais achevée. Elle reçut même, selon le témoignage de Vivant Denon, de nombreux coups de baïonnette lors de l’insurrection du 10 août 1792, alors qu’elle était entreposée dans la Grande Galerie du Louvre. Père Gérard, unique paysan Barère, journaliste Martin Dauch non jureur

3 En quoi les États Généraux sont-ils un épisode révolutionnaire ?
RUPTURE POLITIQUE ET SOCIALE Territoire(s) Conséquences Divisions politiques et sociales Enjeux constitutionnels Causes Exogènes Endogènes CONSTITUTION Logique multifactorielle Politique Économique Sociale Militaire Religieuse… Individus Consensus Réaction Violence TENSIONS Groupes sociaux Diffusion et accélération des éléments de rupture : Souveraineté nationale Libertés individuelles Droits Opinion politique et débat Territoriaux (départementalisation) Patriotisme Défense nationale… Roi Modèle pour les États voisins ? Diffusion auprès des États voisins ? Incident Temporalité longue Temporalité courte Temporalité longue

4 La fuite du roi, 20 juin 1791 Fuite du roi et de la famille royale
Fin de l’Ancien Régime : abolition des privilèges DDHC Monarchie constitutionnelle Fête de la Fédération frustration royale Eglise Prêtres réfractaires Exilés Monarchies européennes Fuite du roi et de la famille royale Arrestation du roi à Varennes Retour à Paris Soulèvements de l’année 1792 10 août Chute de la monarchie Mort du roi Terreur et divisions républicaines Guerre « Patrie en danger » Exacerbation des tensions avec l’étranger Rupture du contrat de confiance… Affaiblissement de la monarchie constitutionnelle Montée des tensions entre courants Surveillance délation suspicion

5 Jacques-Louis DAVID, Sacre de l'empereur Napoléon et couronnement de l'impératrice Joséphine
Contexte historique En août 1802, un plébiscite avait établi le Consulat à vie, étape importante vers l’identification de la république à Bonaparte. Au début de 1803, on avait vainement tenté d’obtenir de Louis XVIII une renonciation à ses droits sur la couronne de France. Devant son refus, on évoqua le mythe de l’empire carolingien, moins choquant que la monarchie pour les partisans de la république, d’autant que la notion d’empire s’entendait aussi de manière plus abstraite : Bonaparte ou la France révolutionnaire étendaient leur empire sur l’ensemble des territoires conquis. En avril 1804, le Conseil d’Etat suggéra officiellement la création de l’Empire, et le Sénat adopta le 18 mai 1804 la nouvelle constitution confiant le « gouvernement de la république » à Napoléon Bonaparte, empereur héréditaire. Ce sénatus-consulte fut validé par plébiscite. Il convenait alors de donner à la nouvelle dynastie la protection divine du sacre et du couronnement : la cérémonie eut lieu à Notre-Dame de Paris le 2 décembre 1804, en présence du pape Pie VII qui, en échange de l’adhésion des évêques de France au Concordat et de leur soumission au pape, accepta de procéder aux deux cérémonies. Sur la façade de Notre-Dame, on dressa pour l’occasion un arc triomphal reposant sur quatre colonnes dont deux symbolisaient les dynasties mérovingienne et carolingienne et deux autres les « bonnes villes de France ». On oublia sciemment les Capétiens. Analyse de l'image Contre tout usage, Napoléon souhaita se couronner lui-même et couronner l’impératrice Joséphine, ce malgré le désir du pape de procéder au sacre et au couronnement. Pie VII se contenta de bénir la couronne. David représente le moment où l’Empereur couronne Joséphine. Dans cette vaste frise, on reconnaît autour des trois principaux protagonistes Cambacérès et Lebrun, ex-consuls devenus respectivement archichancelier et architrésorier, Talleyrand, Eugène de Beauharnais, les nouveaux maréchaux ainsi que les sœurs de Napoléon, chargées de porter la traîne de Joséphine. On notera dans la tribune la présence de Madame Mère, qui en réalité était absente lors de la cérémonie. David s’est aussi représenté dans cette tribune, signature traditionnelle dans le milieu artistique. Impressionnante galerie de portraits, le Couronnement est conçu comme la rencontre de deux mondes, l’un sacré à droite descendant vers un monde laïc à gauche. Napoléon est ainsi le lien qui s’établit entre la divinité symbolisée par Pie VII et l’univers républicain duquel il est issu. Seule la haute croix que tient le cardinal Caselli au centre marque le point de rencontre entre ces deux entités. Toutefois, si solennité il y a, le tableau ne reflète aucun sentiment religieux. Tant il vrai aussi que David, peut-être d’ailleurs inspiré en la circonstance par les compositions plus fastueuses que sacrés de Véronèse (Les Noces de Cana), était sans doute réticent envers l’évolution d’un régime auquel il ne croyait pas. « Je savais bien que nous n’étions pas assez vertueux pour être républicains », avait-il dit au moment du coup d’Etat de Brumaire. S’il avait originellement prévu de peindre une sorte de héros se couronnant dans un geste grandiloquent, il semble avoir finalement réduit son œuvre à un tour de force évoquant la somptuosité et la grandeur du nouveau faste impérial. Interprétation Ambitionnant d’être le principal peintre du temps, David, nommé premier peintre le 18 décembre 1805, avait été chargé de représenter les moments forts de la cérémonie du sacre. Outre ce couronnement, il avait à peindre la distribution des aigles, l’arrivée à l’Hôtel de Ville et l’intronisation de Napoléon. Seuls les deux premiers furent réalisés. David eut aussi pour mission de léguer à la postérité le témoignage de la légitimité du pouvoir impérial. Célébrer consistait à célébrer la nouvelle dynastie. De même que Rubens avait représenté le couronnement de Marie de Médicis, acte qui donna à la régence toute sa légitimité, David immortalisa le couronnement de l’Empereur, qui dans l’imaginaire national est aujourd’hui indissociable du chef-d’œuvre du Louvre. En ce sens, le tableau de David est bien une œuvre de propagande, comme toute la production de l’époque napoléonienne. Mais si la composition s’identifie à l’Empire, elle n’en demeure pas moins avant tout un répertoire des personnalités du régime, David faisant en quelque sorte œuvre d’historien. Personne ne perçoit en effet qu’il s’agit avant tout d’un tableau sacré, à l’égal des représentations des souverains médiévaux peints dans les manuscrits. Napoléon lui-même avait dû pressentir le tour de force puisqu’il déclara à l’auteur lors de l’exposition de l’œuvre au Salon de 1808 : « Je vous salue, David. »

6 Ressources bibliographiques et sitographiques…
Revue L’HISTOIRE, Exemple: Annie Jourdan, « Il n'y a pas d'exception française ! », Les Collections de L'Histoire n° /2004. Pierre-Yves BEAUREPAIRE et Silvia MARZAGALLI, Atlas de la Révolution française. Circulation des hommes et des idées , Paris, Autrement, septembre 2010. Biard, M, Bourdin, P, Marzagalli, S, , Révolution, Consulat, Empire, Belin, 2009 Biard, M, La Révolution française, Tallandier, 2009 •Furet, F, Penser la Révolution française, Gallimard, 1978 Marcel DORIGNY, Révoltes et révolutions en Europe et aux Amériques ( ), Paris, Belin-sup, Histoire, 2004. Jean NICOLAS, La rébellion française, 1661 – 1789, Paris, folio histoire, 2008, première édition Gallimard, 2002. De Baecque, A, Pour ou contre la Révolution française, Bayard, 2002 Martin, J –C, La Révolution française, Documentation photographique n°8054, 2006 Gainot, B, Chappey, J. L., Le Goff, F, Bertaud, J. P., Atlas de l'empire napoléonien : Ambitions et limites d'une nouvelle civilisation européenne, Autrement, 2009 Timothy TACKETT, Par la volonté du peuple. Comment les députés de 1789 sont devenus révolutionnaires, Paris, Albin Michel, 1997, 365 p. Timothy TACKETT, Le Roi s’enfuit. Varennes et l’origine de la Terreur, Paris, La Découverte, Poche 2007, 285 pages. Le site de l’Institut d’histoire de la révolution française pour sa documentation et les nombreux liens vers d’autres sites internet : Le site de l’Institut d’Histoire de la Révolution française (IHRF) pour sa documentation et les nombreux liens vers d’autres sites : Le site de la Fondation Napoléon pour ses documents sur la période impériale : Réunion des Musées nationaux, micro site histoire par l’image :

7 Honoré Gabriel Riqueti, comte de Mirabeau
Né à Le Bignon dans le Loiret en 1749, mort à Paris en 1791, Mirabeau est issu d’une famille de la noblesse provençale, d’origine italienne. Son père le traite avec une extrême dureté et le fait plusieurs fois enfermer au fort de Vincennes, et finalement exiler au château de Joux, dans le Jura, d’où il s’enfuit en Hollande. Mirabeau est condamné à mort par contumace, puis extradé et emprisonné au donjon de Vincennes de 1777 à 1780. Pendant cette détention, il écrit notamment un Essai sur les lettres de cachet et sur les prisons d’État (1780). Dès sa sortie de prison, il entreprend des voyages un peu partout en Europe, à l’occasion pour des missions d’espionnage. En 1789, il est élu aux États généraux par le Tiers Etat d’Aix-en-Provence. Mirabeau un noble est élu par les représentants du peuple. Bien que pas très beau, marqué par la petite vérole, Mirabeau doté d’une voix de stentor se montre un très grand orateur : il est populaire dans la France entière. Cet homme , bien que noble était du côté du peuple. Le 17 juin 1789, Mirabeau va aider l’abbé Emmanuel Sieyès à transformer les États généraux en Assemblée nationale. Le 23 juin 1789 Mirabeau va prendre à parti le marquis de Dreux-Brézé, officier venu porter l’ordre du roi de dissoudre l’Assemblée constituante : « Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n’en sortirons que par la force des baïonnettes ». Membre d’une loge maçonnique, il défend les droits de liberté de la presse avec la publication de son Courrier de Provence, participa à la rédaction de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen et soutint la réquisition des biens du clergé. Partisan d’une monarchie constitutionnelle, il essaye de concilier ses théories avec les principes révolutionnaires, en défendant le droit de veto absolu en faveur du pouvoir royal, allant ainsi à l’encontre du mouvement général de l’Assemblée nationale qui décide un veto suspensif. Il essaye d’accéder au ministère le 7 novembre 1789, une partie de l’Assemblée vote contre lui, une loi interdisant aux députés d’être ministres. Qu’a cela ne tienne, il intrigue auprès de Louis XVI afin de devenir son conseiller. Malgré ce double jeu et quelques animosités parmi les députés, Mirabeau est élu président de l’Assemblée nationale le 30 janvier 1791. Il ne profite pas longtemps de cette présidence, il meurt le 2 avril Son décès est ressenti comme un deuil national. Homme issu de la noblesse, forte personnalité, voix puissante dans les assemblées, sens aigu de la formule Expérience de la prison, privation des libertés. Personnage critique envers le système monarchique : justice, mœurs, société d’ordre… Personnage inspiré par les idées européennes : Hollande, Prusse Homme de réseaux multiples et structurés à l’échelle de la France Acteur du débat constitutionnel Homme des contradictions idéologiques : En faveur des libertés et des droits (DDHC) Homme du veto intégral au roi

8 Problématiques possibles… et plan de réflexion
Pourquoi ce sujet ? Pourquoi de nouvelles orientations sur la Révolution ? Quel sens donner à l’étude de ce chapitre en Seconde ? Comment nait la Révolution française ? Quelles idées ? Quels Hommes ? Quels lieux ? Comment cet ensemble se combine-t-il ? Quels sont les vecteurs ? Pourquoi la cristallisation autour d’enjeux de représentativité conduisent ils à une dynamique révolutionnaire entre 1789 et 1804 ? Quels sont les facteurs qui conduisent à glisser de la pratique de révoltes à celle d’une révolution ? Qui sont les hommes qui animent ces mouvements ? Mirabeau Analyser la conscience révolutionnaire : quelles journées et quels hommes ? Quelles dynamiques (collectives – individuelles) ? Quels enjeux et pour qui ? États généraux ; Varennes ; 4 décembre 1804 ; Quelles sont les ruptures politiques et sociales, économiques et culturelles résultant de la période révolutionnaire ? En quoi le consensus bourgeois entraîne-t-il une radicalisation et une réaction ? Projets politiques ? Échecs… Qu’est ce qu’une rupture ?

9 Démarches déclinées dans les ressources…
Exemples possibles La circulation des hommes et des idées… Entrée événementielle Logique des idées Dégager l’esprit révolutionnaire Diversité des influences intellectuelles EXE La Révolution américaine Influence américaine Notions : liberté, nation, république Le cheminement conduisant de révoltes à révolution… Entrée événementielle Logique institutionnelle Dégager la crise de la monarchie Blocage de la monarchie EXE Les États généraux Naissance de l’opinion publique Mécontentement de la population française Entrée biographique Logique de groupe social Pamphlets Cahiers de doléances EXE Les députés Origine sociale ? Culture & idées politiques Comment devient-on révolutionnaire ?


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