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Grexit L’imbroglio grec : la dette souveraine grecque prise au piège de la zone euro Par Nanou et Stan-Progression manuelle.

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2 Grexit L’imbroglio grec : la dette souveraine grecque prise au piège de la zone euro Par Nanou et Stan-Progression manuelle

3 Vous vous demandez que signifie ce mot qu’on voit dans tous les journaux ce matin? Pour faire simple un GREXIT signifie l’expulsion de la grèce de la zone euro. Une action radicale qui aura lieu si le pays ne peut rembourser ses dettes

4 La Grèce doit rembourser 1,7 milliard € au FMI avant le 30 juin 2015. Si elle n’y parvient pas, elle sera en défaut de paiement

5 La Grèce doit environ 240 milliards € à l’Union européenne, à la banque centrale européenne et au fond monétaire international. Mais le pays est en crise et n’a pas de quoi rembourser ses dettes.

6 D’un côté la Grèce demande une extension des délais de remboursements. De L’autre ses créanciers demandent que le pays prenne des mesures d’austérité pour rembourser ses prêts

7 La Grèce à déjà le taux de chomage le plus élevé d’Europe et se voit mal imposer ces mesures d’austérité à ses citoyens pour récolter de l’argent. Il ne lui reste donc qu’une alternative: Soit les parties concernées parviennent à un accord soit la grèce quitte la zone euro

8 Pour éviter l’effondrement de l’économie du pays, le gouvernement grec a fermé la bourse et les banques pour une semaine et imposé des contrôles de capitaux. Alors qu’arrivera-t-il à la Grèce si le Grexit a lieu? Voici les réponses.

9 Les habitants pourraient prendre les banques d’assaut pour retirer de l’argent. Mais la limitation de retrait à 60€ par jour semble être une mesure efficace pour éviter cette solution.

10 La Grèce n’utilisera plus l’euro et devra mettre en place une nouvelle monnaie. Tous les contrats en cours devront être réévalués.

11 Pour certaines entreprises grecques la valeur ajoutée des dettes internationales pourrait causer une série de faillites. Les créanciers et partenaires étrangers de ces entreprises pourraient subir des pertes importantes.

12 Dans les années à venir, la Grèce aura du mal à attirer les investisseurs étrangers.

13 Le gouvernement paierait les avantages sociaux et les salaires en "IOU" ("I owe you" en Anglais qui représentent une reconnaissance de dettes) jusqu’à la mise en place d’une nouvelle monnaie

14 Les importations notamment de nourriture et médicaments deviendront très chères ce qui conduira à une inflation

15 La montée de l’inflation et le chômage conduisent à des manifestations et des troubles sociaux.

16 Comme elle ne pourra sûrement pas accéder aux marchés financiers internationaux pendant des années. La Grèce se verra obligée d’émettre de la monnaies pour réduire ce déficit

17 Mais: La baisse des tarifs d’exportation combinée au haut taux de chômage en Grèce seront un atout concurrentiel pour le pays

18 Avec la baisse de la monnaie grecque, le pays attirera de plus en plus de touristes, ce qui stimulera l’économie.

19 Après le GREXIT, la Russie pourrait devenir un allier clé de la Grèce, ce qui pourrait devenir un cauchemar pour les États-Unis et les autres pays d’Europe

20 D’autres pays européens, comme le Portugal, l’Espagne et l’Italie vivent aussi avec des mesures d’austérité sévères. Si la Grèce sort de la zone euro, ces pays pourraient suivre fragilisant ainsi la structure de l’Union européenne

21 Matthieu Croissandeau L’Obs ‎mercredi‎ ‎1‎ ‎juillet‎ ‎2015 En Grèce, l'Europe à pile ou face Et à la fin, qui paiera la note ? Le bras de fer engagé par Alexis Tsipras avec ses partenaires européens le week-end dernier laisse une impression de formidable gâchis. Cinq ans après le déclenchement de la crise de la dette grecque, l’Europe n’a jamais paru aussi impuissante et fragile. L’avenir de sa monnaie et plus largement de son projet est aujourd’hui entre les mains d’un peuple à bout de souffle. "L’urgence est de rétablir le dialogue avec des adultes dans la pièce", a lancé il y a quelques jours la patronne du FMI, Christine Lagarde, comme un ultime avertissement. La petite phrase fut jugée maladroite et méprisante. Elle n’a pourtant jamais sonné aussi juste pour tous les acteurs de cette tragédie à rallonge, tant les irresponsables se comptent dans chaque camp. À qui la faute ?Aux Grecs d’abord. A commencer par les gouvernements qui ont lentement mais sûrement fait naufrager leur pays depuis quarante ans. On peut en effet reprocher bien des choses à Alexis Tsipras, mais il n’est pas comptable de la situation qu’il a trouvée en arrivant. Le clientélisme ? La fraude ? Les gabegies ? Les maux qui rongent la Grèce sont anciens. Et Nouvelle démocratie à droite ou le Pasok à gauche, qui se sont partagé le pouvoir depuis la chute des colonels jusqu’en janvier dernier, n’ont jamais rien fait pour prendre ces problèmes à bras-le-corps. Incapables de réformer leur pays, incapables de le doter d’une administration digne de ce nom, incapables de mettre fin à l’économie parallèle, ce sont eux aussi et non Syriza qui ont accepté de maquiller les comptes publics, avec la complicité de Goldman Sachs, pour entrer dans l’euro. A qui la faute (bis) ?A la troïka ensuite, qui n’a pas su résoudre la crise de la dette tant qu’il était encore temps. Plutôt que d’apporter une réponse politique, en assumant des pertes ou en envoyant par exemple une task force européenne pour effectuer les ……./……

22 réformes et remettre l’Etat d’aplomb, elle s’est contentée d’une approche strictement comptable. Des sacrifices contre des milliards d’euros, puis de nouveaux sacrifices contre de nouveaux milliards afin d’assurer le remboursement des premières tranches et ainsi de suite… Résultat : les Grecs, exsangues, n’ont aujourd’hui plus de quotidien ni d’avenir. Allez leur demander, après ça, de croire en quelque chose ! Là est la plus grande faiblesse des Européens dans les dernières négociations : avoir refusé d’accorder à Tsipras une perspective, un débouché, en acceptant de renégocier la dette. Quand l’Europe n’est pas en mesure d’offrir à ses citoyens un horizon, elle se réduit à sa caricature : celle d’un club de notaires sans vision. À qui la faute (ter) ?A Tsipras enfin, qui a surestimé ses forces et promis à ses électeurs un avenir qu’il n’était pas à même de leur garantir. S’en est-il vraiment donné les moyens ? On peut regretter que lui, l’homme de gauche, n’ait pas fait de l’impôt sa première priorité en mettant à contribution tous ceux qui y échappent encore. Poussé dans ses retranchements par ses partenaires européens, il n’a pas su convaincre sa majorité de soutenir les efforts qu’il semblait pourtant prêt à accomplir. Et le voilà qui dégaine l’arme du référendum, cinq mois seulement après son élection… C’est une chose de redonner la parole au peuple. C’en est une autre d’organiser à la hâte un vote sur des propositions qui ne font pas encore l’objet d’un accord, histoire de peser sur le cours d’une négociation. L’Europe a besoin de se réinventer, oui. Mais pas à pile ou face. Ni sur tapis vert. ……../…….

23 Par Nanou et Stan 17/07/2015


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