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SONATRACH & GDF QUELQUES REPERES

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Présentation au sujet: "SONATRACH & GDF QUELQUES REPERES"— Transcription de la présentation:

1 SONATRACH & GDF QUELQUES REPERES
Maximization of shareholder value, business environment, and governance in the gas industry: A comparative report of the business models development strategy and long term capital management policies at SONATRACH in Algeria and GDF in France

2 Problématique Le marché de l’énergie est pour le moment encore un secteur très fermé ou un petit nombre de producteurs qui on eu la chance d’avoir sue le sol ou plutôt dans leur sous-sol des réserves de produits énergétiques tel que le pétrole, le gaz naturel, le charbon, …, vendent à un très grand nombre ( le monde entier). Mais plus que cela, il est depuis longtemps un secteur très protégé par l’État. Dans un soucis de protection et dans une volonté de rendre le pays autonome et indépendant des entreprises et surtout des entreprises étrangères , le secteur de l’énergie est dans beaucoup de pays un domaine entre les mains de l’État, un monopole institutionnel : c’est la crise pétrolière qui impacte fortement le coût de notre production électrique, c’est l’avenement du gaz . Mais aujourd’hui la situation de ces enterprises a beaucoup changée, on ne peut plus parlé d’entreprise publique au sens de leur créaction après la deuxième guerre mondiale.On tend vers un capitalisme financier, après avoir expérimenter un capitalisme industriel. Le marché, c’est maintenant celui de la constitution d’un marché, ouvert à la concurrence. Voilà 20 ans que se développe dans le monde l'idéologie libérale de mise en cause du rôle de l'État dans l'économie, la dénonciation d'une soi-disant inefficacité totale  des entreprises publiques comparées aux privées, la mise en avant, comme un dogme, de la privatisation comme remède à ces "tares du public". Enfin c’est celui de l’effet de serre et de la préparation du renouvellement de la filière énergetique..

3 Présentation du marché mondial de l’énergie
Part des principales sources d’énergie Part des principales sources d'énergie dans la production mondiale d'énergie en pourcentage entre 1970 et 2002 Source : Secrétariat de la CNUCED d'après les données de l'Energy Information Administration du gouvernement américain

4 Le marché de l’énergie par grandes zones économiques
EVOLUTIONS ENTRE 1999 ET 2000 Amérique du nord : +2,7% Amérique Latine : +4,2% Europe : +1,1% Ex-URSS : +2,0% Moyen-Orient : +3,2 Afrique : +2,6% Asie Pacifique : +2,1%

5 Comparaison du marché du gaz et du pétrole
Consommation de gaz naturel de 1965 à 2003 Consommation primaire d'énergie par pays en millions de milliards de BTU Source : Secrétariat de la CNUCED d'après les données de l'Energy Information Administration du gouvernement américain

6 Le marché mondial du pétrole
Part des principaux pays exportateurs dans les exportations mondiales de pétrole brut sur la période Part des régions dans les réserves mondiales prouvées de pétrole brut en pourcentage

7 Évolution comparée de la production
Production de pétrole de 1960 à 2003 Production de gaz de 1960 à 2002 Production de gaz naturel en milliards de mètres cubes sur la période Source: World Energy Outlook 2000, International Energy Agency

8 Étude comparée des prix
Prix nominaux d'une moyenne des prix du Brent FOB UK, du WTI FOB USA Gulf et du DUBAÏ FOB Dubaï septembre 2004 (en dollars par baril)

9 La filière et la route du pétrole
Source: Secrétariat de la CNUCED selon les données de Energy Information Administration Carte des principales routes du pétrole

10 Les marchés européen et américain du gaz
La structure de l'offre de gaz naturel ainsi que le système de transport en Europe sont présentés dans le graphique ci-après : Le graphique suivant schématise le fonctionnement du marché du gaz naturel aux Etats-Unis en 1998 : Source: Energy Information Administration

11 Les évolutions comparées
Source: Energy Information Administration

12 Quelques données clés du marché du gaz
Les données chiffrées: Les réserves ont doublé aux cours des vingt derniers années et en 2000 les réserves s’évaluées à 150,19 trillions de m3 La production mondiale totale en 2000 était de 2422,3 milliards de mètres cubes en croissance de 4,3% par rapport à l'année précédente. Les principaux pays producteurs sont: états unis, fédération de Russie, canada, royaume unie, Algérie, Indonésie, Iran, Pays-Bas, Norvège, … La consommation mondiale s’élève à 2000 milliards de m3 en 2002 Consommation finale en industrie augmente de 9,3% La consommation finale total augmente de 3,9% Le commerce mondiale s’élève à 456 milliards de m3 en 2000 Les prix ont peu baissés Instruments de régulation: NYmex International petroleum exchange Kansa city board of trade

13 Réserve et production Les réserves mondiales de gaz naturel ont plus que doublé au cours des vingt dernières années et s'élevaient en 2000, à 150,19 trillions de mètres cubes Les réserves de gaz naturel en Europe de l'ouest sont limitées. Elles comptent pour moins de 5% des ressources globales. Les ressources de gaz naturel sont abondantes et très largement distribuées à travers le monde. On estime qu'une quantité significative de gaz naturel reste encore à découvrir. L'ex Union soviétique et le Moyen-Orient se partagent à eux deux environ les trois quart des réserves mondiales de gaz naturel (respectivement 38% et 35% du total). Aujourd'hui, et en particulier depuis les crises pétrolières des années 70, le gaz naturel est devenu une source importante d'énergie dans le monde Production de gaz selon les zones géographiques Source: Secrétariat de la CNUCED selon les données de BP Amoco, Statistical Review of World Energy juin 2004

14 La consommation Part de la consommation de gaz PHLatimer@aol.com
Le graphique suivant représente une illustration de l'emploi du gaz naturel Part de la consommation de gaz Source : Secrétariat de la CNUCED selon les données de Cedigaz

15 Consommation mondiale
Consommation moyenne par personne de gaz naturel en équivalent tonne de pétrole Source : secrétariat de la CNUCED selon des données de BP, Statistical Review of World Energy 2003

16 L’importance du commerce international
Carte interactive des flux d'exportations montrant les destinations de gaz naturel en pipeline et en en gaz liquéfié, en milliards de mètres cubes Selon Cedigaz, seuls 26,3% de la production commercialisée a fait l'objet d'échanges internationaux La proportion très faible des échanges internationaux s'explique notamment par l'éloignement des sites de production par rapport aux lieux de consommation et aux coûts élevés du transport. C'est un secteur qui exige des investissements importants, la construction et l'exploitation de gazoducs et qui posent également de nombreux problèmes juridiques et logistiques.

17 L’importance du commerce régional
Source: BP Amoco, Statistical Review of World Energy Juin 2004

18 La synthèse du marché du gaz
Le secteur énergétique européen se caractérise à la fois par une profonde mutation du cadre réglementaire avec l'ouverture à la concurrence des marchés de l'énergie, mais aussi par une progression soutenue du marché du gaz naturel appelé à jouer un rôle croissant, notamment pour la production d'électricité.

19 Problématique de la création de richesse dans l’industrie du gaz
Dans ce contexte, plusieurs stratégies sont développées par les acteurs du marché gazier : • Les opérateurs de l’aval tentent une intégration en amont. • Les producteurs de gaz et les compagnies d’électricité renforcent leurs positions dans l’aval. • Les acteurs historiques misent sur le développement des services gaziers. • L’internationalisation. • La diversification. Les principaux secteurs abordés par les acteurs du gaz sont la production et la distribution d’électricité et les télécommunications. Les opérateurs historiques sont pris entre les feux de deux groupes d’acteurs à la surface financière nettement supérieure à la leur. La reconfiguration du secteur est en cours. La question ici posée est de savoir comment dans un secteur monopolisé comme celui du gaz et de l’énergie plus généralement, l’on peut-on créer de la valeur actionariale, on parle alors de capitalisme industriel et lus seulement financier. Résultat net

20 problématique L’immobilisme, c’est condamner nos entreprises à perdre des clients sur leur marché domestique sans pouvoir les compenser : en France en développant des activités de service énergétique, en Europe en prenant des clients aux concurrents. L’immobilisme, c’est condamner nos entreprises à rester soumises à un principe de spécialité qui les empêche de vendre respectivement du gaz et de l’électricité ainsi que des services, accélérant le processus de perte de parts de marché. L’immobilisme, c’est condamner EDF à financer son développement exclusivement par l’endettement comme elle l’a fait sous la précédente majorité – 15 Md€ en 3 ans - mais comment aurait-elle pu faire autrement ? Comment s’étonner surtout qu’EDF présente aujourd’hui un endettement très élevé : 24 Md€ de dette auquel il conviendrait d’ajouter les engagements de retraite et les provisions nucléaires, pour 19 Md€ de fonds propres ? On ne peut à la fois vouloir participer au monde de la concurrence et ne pas en accepter les règles. Ce sont aujourd’hui deux champions nationaux. Ils doivent avoir les moyens juridiques et financiers de devenir deux champions européens, de se développer à l’extérieur de nos frontières, et en France même de faire face avec efficacité à la concurrence. Dans le même temps que se préparera l’augmentation de capital sera également mis au point le projet de l’entreprise. Ses investissements, son rôle dans le développement économique national, ses options à l’international, devront être définies, et là aussi dans la transparence. C’est un autre point qui devra retenir la commission consultative

21 Le système de filiale régionale et concentration
FILIALES D’GDF FILIALES SONATRACH Exploration production Transport stockage distribution Achat vente service Allemagne 3 France 2 10 9 Grande-Bretagne 3 filiales Grande Bretagne Italie Norvège 1 filiale Espagne 1 Belgique Pays bas 2 filiales GB Pologne Amont Transport commercial aval GCB 100% ENAC 100% NAFTAL NAFTEC ENTP 51% COZIC 100° HELIOS ENSP SNTM ENIP ENAFOR ENAGEO

22 Filiales internationales et concentration
Filiale de GDF Filiale de Sonatrach Exploration production Transport distribution service Finance Cote d’ivoire 1 Mexique 6 Russie 4 Égypte 2 Canada Algérie Inde Uruguay Amont Aval Transport commercial finance SIPEX 100% SPIC SIPCO 99% SPC SPASA Sonatrading SOPEC SPI SPTC PROP TMPC SPMC SGIC SGCC ISGSS SAMCO 50% REUNOZA TGP MED GAZ MEDLNG ISGL

23 La valorisation les capitaux propres
Principales données financières de GDF

24 VALEUR FINANCIERE DE SONATRACH
Principales dettes Principales données bilancielles Principales créance de sonatrach

25 Principales holding de Sonatrach

26 Privatisation et recettes
Dans le nouveau capitalisme actionnarial, la Bourse est supposée jouer un triple rôle. D'abord, financer les entreprises  ; La deuxième fonction de la Bourse est de valoriser les entreprises ; Enfin, la Bourse est supposée favoriser les restructurations industrielles, les actions servant de monnaie d'échange à l'occasion des OPE. Actionnaires possibles Recette espéré en cas de privatisation

27 La question des obligations
COTATION DE GDF Montant en millions de dinards Source: Source: ; la question est de mieux contrôler leur développement et de mettre en cause une politique d'acquisition impériale à coups de milliards de ses usagers dans des opérations qui ne correspondent pas toutes à leurs missions d'intérêt général. ACHAT VENTE PRIX PIVOT- MARGE PRIX PIVOT+ MARGE Prix pivot =cours pivot+ cours coupon cotation SONATRACH entre 101,5% et 101,4% Cotation GDF : 105,16 aujourd’hui Soit + 6,64% depuis Janvier Soit + 5,64 depuis un an

28 La gouvernance d’État: vers un désengagement
D'un point de vue changement de propriétaire et de rémunération d'actionnaire c'est oui. Mais il existe depuis bien longtemps une autre privatisation que la privatisation " financière " c'est la privatisation " industrielle ". Rémunérer des actionnaires est contraire à notre mission de service public de " vente au moindre coût " et payer les profits de toutes les entreprises sous traitantes est aussi une manière détournée de ne pas vendre au moindre coût et de rendre le service public dépendant du privé. Il y a donc bien deux modes de privatisation complémentaires. Un mode industriel par la sous-traitance et un mode institutionnel juridique et financier. Il devient urgent de lutter pour " ré internaliser " un certain nombre d'activités pour garantir la maîtrise du développement du service public. EDF et GDF ont perdu plus de 4200 emplois depuis le début d'année. Le changement de Statut juridique permettra donc l'ouverture du capital ? Oui, mais. Il y a entre les deux opérations, qui sont intimement liées, d'autres conditions à réunir. 1946: nationalisation de GDF août 2000: 1 ère directive européenne, autorisant les clients éligibles à choisir leur fournisseur de gaz Juillet 2003: direction de la directive européenne accélérant l’ouverture du marché Juillet 2004: tous les clients professionnels et collectivités ont le choix de leur fournisseur Juillet 2007: cette mesure s’étend aux particuliers 1946 août 2000 Juillet 2004 Juillet 2007

29 Le développement de l’investissement
Taux d’investissement de GDF L’investissement en millions de dinars source: Source:

30 Le désir de dépendance énergétique: les réserves
Orientation  stratégique : Produire 15 % des besoins de gaz naturel du Groupe à terme. Valeur ajoutée brute - richesses propres créées par l'entreprise

31 Vers un désengagement de l’État
C'est une autre conception de l'entreprise qu'il faut défendre : non un "objet" appartenant à ses actionnaires, mais une "communauté d'intérêts" dont la finalité n'est pas de faire des profits, mais de créer des emplois et de la richesse. Il faut en finir avec une conception de la gestion tournée exclusivement vers "la création de valeur pour l'actionnaire". Conception traditionnelle des entreprises publique Conception capitaliste

32 Restructuration De plus, l'obligation faite à  EDF et GDF, devenues complètement privées, de rémunérer ses capitaux privées à un niveau exigé par les acteurs de la bourse, conduirait, mécaniquement et toutes choses égales par ailleurs, à une augmentation de leurs tarifs d'environ  10% Restructuration de GDF

33 La hausse des coûts

34 ACCORDS ENVIRONNEMENTAUX
LE PROTOCOLE DE KYOTO Le changement climatique est une question importante et très largement débattue à travers le monde. Des études montrent que l'activité humaine, dont le rejet de gaz à effet de serre fait partie, affecte le climat mondial. En ce sens, le Protocole de Kyoto peut être considéré comme l'un des instruments de prévention du réchauffement planétaire. Le protocole de Kyoto (1997) stipule que les parties en présence s'engagent à limiter voire à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, afin d'atteindre d'ici à , une réduction totale d'au moins de 5% des rejets polluants par rapport au niveau de Les objectifs se répartissent dans une échelle variant d'une réduction de 8% pour les pays de l'Union européenne et d'autres pays à une augmentation de 10% pour l'Islande. LA CHARTE SUR L'ENERGIE ( La charte sur l'énergie ainsi que le protocole sur l'efficacité de l'énergie et les aspects environnementaux associés furent signés en décembre 1994 et entrèrent en vigueur en avril Le Traité a été développé sur la base de la charte européenne de l'énergie de 1991 et a été signé par cinquante et un Etats en 2001Le but fondamental de ce traité est de renforcer la législation sur la question de l'énergie, en créant toute une série de règles du jeu applicables à l'ensemble des gouvernements participants. Il suit cinq grandes orientations : la protection et la promotion des investissements énergétiques étrangers, basée sur l'extension du traitement national, ou le traitement de la nation la plus favorisée, (suivant lequel des deux est le plus avantageux) ; le libre échange des matériaux énergétiques, des produits et équipements en relation avec le secteur énergie, basé sur les règles de l'OMC. La liberté de transit de l'énergie par des pipelines et des réseaux ; la mise en place de mécanismes de règlement des différends inter États ou d'Investisseur à État ; et l'efficacité énergétique et les aspects liés à l'environnement

35 La valorisation de l’environnement
www. Industrie-environnment.com

36 L’innovation et diversification
Les développements technologiques ont joué un rôle prépondérant en ce qui concerne les perspectives du gaz naturel dans le monde entier. Les innovations de l'industrie du gaz naturel ont lieu constamment à tous les stades de la filière et même concernant les applications du gaz naturel. Elles améliorent l'efficacité des marchés, économisent de l'énergie, aident à réduire les coûts et les incidences sur l'environnement et amènent le gaz à la porte de ses utilisateurs finaux Diversification des activités de Sonatrach

37 Élargir la gamme pour suivre la demande
Taux de croissance de la production et consommation d’énergies renouvelables

38 conclusion Les principaux rouages du capitalisme actionnarial sont en crise. Il faut réduire l'emprise dramatique de la finance de marché sur les entreprises et plus globalement sur l'économie. C'est une autre conception de l'entreprise qu'il faut défendre : non un "objet" appartenant à ses actionnaires, mais une "communauté d'intérêts" dont la finalité n'est pas de faire des profits, mais de créer des emplois et de la richesse. Il faut en finir avec une conception de la gestion tournée exclusivement vers "la création de valeur pour l'actionnaire". Cela implique une refonte du cadre juridique actuel pour reconnaître les droits de toutes les parties prenantes de l'entreprise, au premier rang desquels les salariés qui constituent la source de valeur fondamentale dans l'économie actuelle fondée sur les connaissances et qui doivent se voir reconnaître de nouveaux droits qui limitent ceux liés à la propriété du capital et redonnent au code du travail un pouvoir contraignant sur les stratégies des actionnaires. Il faut revenir sur la dérégulation excessive de la finance, pour borner son activité, en renforçant le pouvoir de contrôle de l'État (notamment maintien d'un secteur public fort), de ses autorités de tutelle, et en instaurant des instances de contrôles publiques efficaces à l'échelle européenne et internationale. Il est vain d'attendre que les gouvernements et les institutions internationales tirent spontanément le bilan de la situation actuelle et s'engagent sur la voie du bon sens en acceptant de remettre en cause les dogmes libéraux. Seul un grand mouvement social, construit à l'échelle nationale et internationale, sera capable d'imposer les réformes nécessaires.

39 conclusion


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