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Pourquoi et comment traiter l’air d’une piscine couverte ?

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Présentation au sujet: "Pourquoi et comment traiter l’air d’une piscine couverte ?"— Transcription de la présentation:

1 Pourquoi et comment traiter l’air d’une piscine couverte ?
ECOENERGIE ® 505, Avenue Jean Monnet - ZI Domitia BEAUCAIRE Tél : / Fax :

2 Budget HT moyen pour la construction d’une nouvelle piscine en France
7 millions d’euros Budget HT moyen pour la construction d’une nouvelle piscine en France (hors foncier et hors aménagements de quartier ou de zone)

3 Budget HT annuel moyen de fonctionnement d’une piscine en France
Entre et euros Budget HT annuel moyen de fonctionnement d’une piscine en France (hors investissements exceptionnels et hors disfonctionnements techniques importants) (les coûts d’exploitation représentent environ 8 à 12% du coût des travaux)

4 et remplacement de petit matériel  60 à 70 %
Répartition des coûts d’exploitation Salaires  Energie et eau  Consommables et remplacement de petit matériel  60 à 70 % 20 à 30% 5 à 15%

5 des besoins calorifiques
Répartition moyenne des besoins calorifiques C’est donc bien la déshumidification et le chauffage du hall bassins et non le chauffage de l’eau des bassins qui est le poste le plus énergivore et sur lequel il faut, en priorité, opter pour des solutions performantes.

6 ECOENERGIE ® Le spécialiste français du traitement de l’air et de la déshumidification des piscines couvertes depuis 1980

7 Systèmes ECOENERGIE

8 ECOENERGIE Systèmes pour le traitement de l’air, le contrôle de l’hygrométrie et la déshumidification à haute performance énergétique et climatique depuis 1980 ECO SUD - Siège social à Beaucaire (30) ECO NORD - Bureaux à Mouscron (Belgique) Sites ECOENERGIE : 1  ECO SUD - Siège social historique à Beaucaire (30) 2  ECO CENTRE - Antenne commerciale à Garches (92) 3  ECO NORD - Bureaux commerciaux et techniques à Mouscron (Belgique) ECOENERGIE compte à ce jour plus de 1000 références actives, principalement sur le territoire français et en Belgique.

9 Nos 3 engagements 1 2 3 ECOENERGIE, la culture du résultat durable
Efficacité énergétique garantie Bien-être, confort , hygiène, santé, et sécurité Respect du bâti et des équipements 1 2 3

10 Notre conviction L’énergie la moins chère et la moins polluante… …est celle que l’on ne consomme pas !

11 Piscines Musées Patinoires Industries
Nos 4 grands domaines d’activité Piscines Musées Patinoires Industries

12 Les enjeux du traitement de l’air en piscine
Un système de traitement d’air et de déshumidification dédié au hall basins d’une piscine publique doit assurer … 1 =► Gestion des évaporations (déshumidification) pour le maintien d’une hygrométrie constante, 2 =► Apport d’air neuf hygiénique pour tous les occupants (nageurs et MNS) mais aussi pour le bâtiment et les équipements, 3 =► Maintien d’un taux de brassage suffisant pour une bonne homogénéité de l’air dans le hall bassins, 4 =► Gestion de la température de l’air pour couvrir les déperditions statiques du bâtiment en hiver et éviter les phénomènes de surchauffe en été, … afin de garantir durablement, par ordre de priorité, en toutes saisons et quelle que soit la fréquentation … 1. CONFORT, BIEN-ETRE, HYGIENE, SANTE ET SECURITE, 2. RESPECT ET LONGEVITE DU BATIMENT ET DES EQUIPEMENTS, 3. MAITRISE DES CONSOMMATIONS ENERGETIQUES (kWh) ET DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE (CO2).

13 1) L’évaporation

14 Les bassins intérieurs sont toujours sujets à l'évaporation de grands volumes d'eau qui se condensent et peuvent avoir des conséquences négatives graves et impacter la fréquentation et la rentabilité générale de l’établissement : Pollution de l’air intérieur =► santé, confort et bien-être des occupants forte concentration en trichloramines (NCl3)* et en chloroforme (CHCl3) dans l’air, sensations de froid…) Dégradation des structures =► image, solidité et longévité de l’établissement et impact sur la santé des occupants (dégagement de COV) Surconsommation énergétique =► forts enjeux économiques (surconsommations de kWh) et écologiques (surémissions de CO2) NCl3 : les trichloramines sont formées dans l’eau par réaction entre le chlore et la matière azotée amenée par les baigneurs (cheveux, peau, urée, sueur, résidus de cosmétiques, crèmes solaires...) et se répandent dans l’air du hall bassin à travers l’évaporation.

15 a) L’évaporation liée au plan d’eau tranquille : plan d’eau sans baigneur
24 heures sur 24, 365 jours sur 365, le plan d’eau évapore une certaine quantité d’eau en fonction de sa température et de sa surface de contact avec l’air. Plus la surface du bassin est grande et plus la température de l’eau est élevée, plus la quantité d’eau évaporée est importante.

16 L’agitation de l’eau créée par les baigneurs provoque
b) L’évaporation liée au plan d’eau agité : en fonction des mouvements de l’eau créée par les baigneurs L’agitation de l’eau créée par les baigneurs provoque une augmentation très importante de l’évaporation qui vient s’ajouter à celle du plan d’eau tranquille.

17 c) L’évaporation liée aux baigneurs :
Une autre source d’évaporation est celle provoquée par le baigneur qui sort et rentre dans l’eau. Le baigneur va répandre de l’eau sur les plages (création « mini bassins ») en sortant du bassin ou en plongeant. De plus, de par sa température corporelle, le baigneur va faire évaporer la pellicule d’eau qui recouvre son corps.

18 d) L’évaporation liée aux jeux d’eau :
Chaque jeu d’eau, en fonction de ses caractéristiques et du niveau d’agitation de l’eau qu’il provoque, va évaporer une certaine quantité d’eau. Exemples de jeux d’eau : toboggans, machine à vagues ou boule à vagues, rivières, fontaines, champignons parapluie, jets d’eau…

19 =► L’évaporation est directement liée à la fréquentation de la piscine
Évaporation en kg/h L’évaporation totale à traiter est celle issue du plan d’eau tranquille ajoutée à celle du plan d’eau agité (toujours bien > à celle du plan d’eau tranquille).

20 Calcul des évaporations
Les différents types d’évaporations a) L’évaporation liée au plan d’eau tranquille : plan d’eau sans baigneur Plus la surface du bassin est grande et plus la température de l’eau est élevée, plus l’évaporation est grande 24 h / 24, 365 jours / 365, le plan d’eau évapore une certaine quantité d’eau en fonction de sa température et de sa surface de contact avec l’air b) L’évaporation liée au plan d’eau agité : en fonction des mouvements de l’eau créée par les baigneurs L’agitation de l’eau créée par les baigneurs provoque une augmentation très importante de l’évaporation qui vient s’ajouter à celle du plan d’eau tranquille c) L’évaporation liée aux baigneurs : Tous les baigneurs, en sortant du bassin, de par leurs températures corporelles, vont évaporer la pellicule d’eau qui recouvre leurs corps et vont répandre de l’eau sur les plages d) L’évaporation liée aux jeux d’eau : Exemples : toboggans, machine à vagues ou boule à vagues, rivières, fontaines, champignons parapluie, jets d’eau… Chaque jeu d’eau, en fonction de ses caractéristiques et du niveau d’agitation de l’eau qu’il provoque, va évaporer une certaine quantité d’eau. L’évaporation totale à traiter est celle issue du plan d’eau tranquille ajoutée à celle du plan d’eau agité et celle liée aux jeux d’eau. Évaporation en kg/h

21 Si l’évaporation n’est pas maîtrisée, cette eau sous forme de vapeur entraine…
CONDENSATION SUFFOCATION Provoquant des dégradations importantes au niveau des revêtements et des structures En créant un climat tropical humide et « suffocant » source d’inconfort et de problèmes sanitaires

22 Problèmes liées à une mauvaise qualité de l’air (évaporation non maîtrisée) :
Les odeurs ou gênes diverses dues à des composants chimiques ou biologiques et/ou à un mauvais équilibre entre l’humidité relative et la température de l’air intérieur : gênes respiratoires (suffocation), sensations de froid et/ou de courant d’air froid, odeurs désagréables. 2) Les symptômes pathologiques qui peuvent toucher en priorité les maîtres nageurs (présence prolongée en ambiance), les personnes les plus sensibles (allergiques) et les plus faibles (enfants et personnes âgées) : fatigue, maux de tête, vertiges, étourdissements, allergies, irritations particulièrement des yeux et au niveau des voies respiratoires supérieures (sinus, appareil broncho-pulmonaire => otites, sinusites, asthme…). 3) La dégradation des structures et la décomposition des matériaux de construction favorisent la libération de produits chimiques nocifs dans l’air intérieur : le formaldéhyde (colles, résines, mousses isolantes en polyuréthanes...) et les Composés Organiques Volatiles (COV). =► Impact sur la fréquentation, sur les conditions de travail du personnel et donc sur la rentabilité générale de l’établissement.

23 La sauvegarde de la structure dans le temps
La structure devra être conçue pour supporter des températures de rosée élevées =► Malgré les revêtements spécifiques, si l’évaporation n’est pas maîtrisée, la vapeur d’eau migrera tôt ou tard dans les murs. INTERIEUR EXTERIEUR Tendance à la migration de vapeur d’eau Condensation si la température de surface (ts) est < à la température de rosée (tr) Pare vapeur Isolant Mur

24 2) Le confort

25 Respect du confort = respect des 4 équilibres
Equilibre Humithermique + Equilibre Aéraulique + Equilibre Calcocarbonique + Equilibre Hydraulique = Confort respecté en toutes saisons et quelle que soit la fréquentation Traitement de l’air Interactions / Interdépendances Traitement de l’eau

26 Le confort humithermique
Conditions optimales à zéro mètre d’altitude : Air : =► température = 27°C =► humidité = 15 gr Evaporation baigneurs 133 (We-Wa).N Neutralité thermique hors de l’eau évaporation plan d'eau tranquille 16 (We-Wa).S ts => Egalité entre la production de chaleur du corps et la dissipation de chaleur par le corps. (PO FANGER) Eau : =► température = 28°C évaporation Wa radiation convection V ts tr 20,2°C Agrément à l’immersion dans l’eau ts int. ts ext.

27 La zone de confort = satisfaction de plus de 90% des usagers
Humidité relative (%) Température résultante sèche (°C) 40 50 60 70 80 90 100 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 confort sec confort mouillé confort sec et mouillé Humidité spécifique à 15 g/kgas 90%

28 Critères de confort (En France, à 0 mètre d’altitude)
Activité dans la piscine Température de l’eau Température de l’air Humidité relative Humidité spécifique Bassin dans résidence privée, Thermes 29°C 28°C 63 % 15 gr/kgas Bassin de natation, waterpolo 25 à 28°C 27°C 67 % Bassin d’apprentissage 27 à 28°C Piscine à vagues, bassin ludique Fosse de plongée 27 à 32°C Spa, bain bouillonnant 34°C 60 % Rivière lente et rapide Bébé nageur et pataugeoire 32°C Vestiaires - 24°C 54 % 10 gr/kgas

29 Equilibre humithermique (à 0 m d’altitude)
Température eau minimale (°C) Température sèche de l'air (°C) humidité spécifique (g/kgas) Degré hygrométrique (%) Température de rosée (°C) 27.5° 27° 26.5° 66 19.30 67 20.20 14 15 16 HIVER 28.5° 72 20.80 INTERSAISON 28° AIR ÉTÉ 27.5° EAU Le respect du couple humithermique sera assuré grâce à un équipement permettant de combattre l'évaporation liée à celui-ci

30 Equilibre humithermique (à 0 m d’altitude)
(w) Hr 100% % Te = 28°C 7 6 = Humidité saturante We =24gr Tr = 27°C Evaporation Humidité spécifique Tr = 20,2°C Condensation Wa =15gr 0°C 20,2°C 27°C 28°C °C Air Eau

31 Température sèche de l'air (°C)
Equilibre humithermique (à 1850 m d’altitude) Température sèche de l'air (°C) Degré hygrométrique (%) humidité spécifique (g/kgas) Température de rosée (°C) 27.5° 27° 26.5° Température eau minimale (°C) 48.5 15.70 53.5 16.80 14 15 16 HIVER 28.5° 56.9 17.30 INTERSAISON 28° AIR ÉTÉ 27.5° EAU Le respect du couple humithermique sera assuré grâce à un équipement permettant de combattre l'évaporation liée à celui-ci

32 Equilibre humithermique (à 1850 m d’altitude)
(w) Hr 100% % 3 Te = 28°C 5 = Humidité saturante We =30.5 gr Tr = 27°C Evaporation Humidité spécifique Tr = 16,8°C Condensation Wa =15 gr 0°C 16.8°C 27°C 28°C °C Air Eau

33 Equilibre aéraulique L’équilibre aéraulique dépendra
de la nature de l’enveloppe du bâtiment (perméable ou pas) afin d’éviter les entrées d’air parasites sources d’inconfort, de la diffusion de l’air en périphérie pour neutraliser le rayonnement froid, de l’homogénéité de l’air en tous points du hall en assurant un taux de brassage mini de 4 volumes horaires (idéalement 5 vol/h) pour éviter les ponts thermiques et la stratification, de la reprise de l’air au plus près des sources de pollution (bain bouillonnants, bassins d’apprentissage…) des émanations consécutives à la désinfection de l’eau Attention : le traitement de l’air des vestiaires (tout air neuf) peut venir perturber l’équilibre aéraulique et confiner les trichloramines dans le hall bassin. Il est donc important d’étudier la possibilité d’adopter un système assurant la qualité de l’air et le taux d’humidité pour éviter les courants d’air par les passages pédiluves (conditions idéales pour un vestiaire piscine = 25°C / 10gr/kgas)

34 Soufflage et extraction d’air dans le hall bassins
Soufflage le long des parois froides (effet pare-brise) Taux de brassage > 4 volumes par heure au minimum (idéalement 5 vol/h) 2) Reprise en partie haute pour chasser le CO2 1) Reprise le plus prêt des émanations Configuration idéale Attention : Soufflage et Reprise uniquement en partie haute ou uniquement en partie basse sont des configurations à éviter !

35 Prise d’air neuf Une mauvaise localisation de la prise d’air neuf peut engendrer de sérieux problèmes car : - La prise d'air extérieur doit impérativement aspirer de l'air de bonne qualité et le plus sec possible. Elle ne peut donc être trop près d’une grille d'évacuation de l'air vicié, d’un parking ou de garages, d’une cheminée, d’un stockage de déchets, du niveau de la rue, d’une pelouse (problèmes aspiration de gazon lors de la tonte et problèmes liées à la rosée matinale, d’une grille de caniveau ou d’un caillebotis. - L'encrassement des grilles d'amenée d'air doit impérativement être surveillé très régulièrement. Neige, feuilles mortes, papiers, poussières ou encore nids d'oiseaux … risquent de faire chuter les débits de ventilation sous les minima nécessaires. - La prise d’air neuf devrait être située à 8 m de toutes sources de pollution (l’extraction de l’air vicié par exemple) et être abrité de la pluie (attention au grilles d’air neuf horizontales). Constat fréquent : prise d’air neuf cours anglaise, aspirant le dioxyde d’azote et les particules fines des voitures passant à proximité, le chlore s’échappant du local de stockage mal ventilé ou encore les trichloramines provenant la fosse de relevage dont le caillebotis les laissent s’échapper à chaque lavage de filtres…

36 Equilibre Calcocarbonique
(liée au traitement de l’eau)

37 Equilibre hydraulique (liée au traitement de l’eau)
L’équilibre hydraulique dépendra de l’homogénéité physico-chimique de l’eau en tous points du bassin, de la capacité des bacs tampons à absorber le volume déplacé par les baigneurs, du bon dimensionnement et de l’auto-vidage des goulottes Les bacs tampons devront avoir une capacité liée au nombre de baigneurs accueillis dans le bassin considéré et non suivant un ratio lié à la capacité de celui-ci. Ils devront en outre être équipés d’un remplissage automatique qui sera fonction du nombre de baigneurs pour respecter la norme hygiénique qu’il faut porter à un facteur 2 soit 60l/baigneur et non pas en fonction du manque d’eau qui n’est pas un critère significatif et ne correspond pas à la norme hygiénique. Ils devront également être équipés d’un système d’écrémage automatique puisqu’il est le réceptacle de toutes les pollutions.  

38 La règle des 4

39 MAITRISE DES INTERACTIONS PERENNITE DES STRUCTURES
Les 4 équilibres Les 4 critères MAITRISE DES INTERACTIONS CONFORT CALCO CARBONIQUE HYGIENE HUMITHERMIQUE SECURITE Les 4 résultats AERAULIQUE PERENNITE DES STRUCTURES HYDRAULIQUE REUSSITE AGREMENT ECONOMIE SATISFACTION TOTALE (des usagers et du personnel - du maître d'ouvrage - de l’exploitant)

40 3) Les 4 procédés (et leurs variantes) existant pour le traitement d’air et la déshumidification d’une piscine 1) Tout air neuf = TAN 2) Modulation d’air neuf = MAN (MAN+) 3) Déshu à Détente Directe = DD (DD+ avec caloduc intercalé) 4) Déshu Thermodynamique = THERMO (THERMO+ et THERMO++)

41 1) Tout Air Neuf (TAN) Evaporation
Cette solution technique n’est aujourd’hui plus proposée en raison des très fortes consommations énergétiques qu’elle engendre et des difficultés pour assurer le confort des usagers en toutes saisons mais certaines piscines en France (± 10%) sont encore équipées d’un tel système. 2) On rejette cet air extrait en totalité vers l’extérieur 3) On prend de l’air extérieur froid et moins chargé en humidité spécifique Extraction Air Vicié Soufflage Air Neuf 4) On chauffe l’air neuf 1) On extrait de l’air ambiant chaud, humide et pollué sur toute la hauteur du hall 5) On souffle l’air « sec », chaud et sain le long des parois froides Evaporation

42 2) Modulation d’Air Neuf (MAN) sans récupérateur d’énergie (> 50% du parc français)
2) On rejette une partie de cet air repris vers l’extérieur 3) On prend de l’air extérieur froid et moins chargé en humidité spécifique et on le mélange à une partie de l’air ambiant extrait Air Vicié Air Neuf Section Modulation (ou de mélange) 4) On réchauffe le mélange d’air Reprise Soufflage 1) On reprend de l’air ambiant chaud, humide et pollué sur toute la hauteur du hall 5) On souffle l’air « sec », chaud et sain le long des parois froides Evaporation

43 2) Modulation d’Air Neuf (MAN) sans récupérateur d’énergie (> 50% du parc français)

44 Déshumidification de l’air par Modulation d’Air Neuf
(avec ou sans récupérateur d’énergie) Air 27°C 15g/kgas Air 13°C 7g/kgas Batterie de chauffage terminale (+) Air rejeté Air neuf Eau 60°C H2O H2O Air 27°C 15g/kgas Air 16°C 10g/kgas Air 35°C 10g/kgas Air repris Air soufflé NaCl3 NaCl3 Mélange Air repris Eau 80°C (chaudière) Etape 1 : MELANGE ENTRE AIR NEUF ET AIR REPRIS Etape 2 : CHAUFFAGE DE L’AIR

45 - + 2’) Modulation d’Air Neuf (MAN+) avec récupérateur d’énergie
3) On prend de l’air extérieur froid et moins chargé en humidité spécifique, on le chauffe puis on le mélange à une partie de l’air ambiant extrait 2) On récupère la chaleur sur une partie de l’air repris avant de le rejeter froid à l’extérieur Récupération Restitution + Air Vicié Transfert d’énergie Air Neuf Section de Modulation (ou de mélange) 4) On réchauffe le mélange d’air Reprise Soufflage 1) On reprend de l’air ambiant chaud, humide et pollué sur toute la hauteur du hall 5) On souffle l’air « sec », chaud et sain le long des parois froides Evaporation

46 Technologie privilégiée et améliorée par ECOENERGIE
Chaque technologie a ses avantages et ses inconvénients … Technologie privilégiée et améliorée par ECOENERGIE Caloducs (par gravité ou par effet de mèche) Echangeurs à batterie à eau glycolée (simples ou à haute performance) Echangeurs à plaques (simples ou doubles, avec refroidissement adiabatique indirect) Echangeurs rotatifs (à roues non hygroscopiques, à clapets simples ou multiples)

47 2’) Modulation d’Air Neuf (MAN+) avec récupérateur d’énergie – Basique 4 (*)
(*) Configuration superposée Système de traitement d’air et de déshumidification par modulation d’air neuf (MAN+) de type « ECOMODUL G+ », avec récupérateur d’énergie optimisé sur l’air extrait et restitution sur l’air neuf introduit (récupérateur enthalpique équilibré = REE).

48 2’) Modulation d’Air Neuf (MAN+) avec récupérateur d’énergie – Basique 3 (*)
(*) Configuration alignée Système de traitement d’air et de déshumidification par modulation d’air neuf (MAN+) de type « ECOMODUL G+ », avec récupérateur d’énergie optimisé sur l’air extrait et restitution sur l’air neuf introduit (récupérateur enthalpique équilibré = REE).

49 Gain 69 % Efficacité énergétique : 15% < gain < 25%
2’) Modulation d’Air Neuf (MAN+) avec récupérateur d’énergie Récupérateur Enthalpique équilibré (REE) Soit 69 % de réduction sur les consommations énergétiques pour le réchauffage de l’air neuf. Gain 69 % 1 – Conditions d’air neuf 2 – Conditions de sortie de batteries de restitution 3 – Condition d’entrée de batteries de récupération 4 – Conditions de sortie de batteries de récupération Efficacité énergétique : 15% < gain < 25%

50 3) Détente directe (DD) = parfois appelée Thermodynamique de façon abusive
Type de système non commercialisé par ECOENERGIE Energie sous forme de chaleur 2) 3) 4) On réchauffe le mélange d’air en partie grâce à l’énergie de la section thermodynamique Section de modulation (ou de mélange) Section à détente directe Reprise Condensats sans polluants 1) On reprend de l’air ambiant chaud, humide et pollué sur toute la hauteur du hall 5) On réchauffe le mélange d’air Soufflage 6) On souffle l’air « sec », chaud et sain le long des parois froides Reprise Evaporation

51 3) Détente directe (DD) = parfois appelée Thermodynamique de façon abusive
Type de système non commercialisé par ECOENERGIE Evaporateur à détente directe Condenseur à détente directe H2O H2O 5°C 50°C Air 27°C 15g/kgas Air 14°C 10g/kgas Air 40°C 10g/kgas Air repris Air soufflé NaCl3 NaCl3 Bac à condensats Risque de surchauffe H2O Air repris Zoom sur la section à détente directe Etape 1 : DESHUMIDIFICATION DE L’AIR Etape 2 : PRE-CHAUFFAGE DE L’AIR PUIS CHAUFFAGE TERMINAL

52 4) Thermodynamique associée à une Modulation d’Air Neuf (THERMO,+ et ++)
2) 3) 4) On réchauffe le mélange d’air en partie grâce à l’énergie de la section thermo dynamique Section de Modulation (ou de mélange) Reprise modulation Air modulé Energie sous forme de chaleur Section thermodynamique Reprise thermo Air nettoyé Très forte évacuation de polluants via les condensats 1) On reprend de l’air ambiant chaud, humide et pollué sur toute la hauteur du hall 5) On mélange en gaine l’air modulé avec l’air issue de la section thermodynamique 6) On souffle l’air « sec », chaud et très sain le long des parois froides Reprise Soufflage Evaporation

53 4) Thermodynamique associée à une Modulation d’Air Neuf (THERMO++)
Transfert d’énergie grâce au REE - + AR AN Récupération Restitution AE AS SECTION MAN SECTION THERMO+ Procédé « Du-Tr » (- - +) AE = Air Extrait du hall bassins AR = Air rejeté à l’extérieur AN = Air neuf introduit AS = Air soufflé dans le hall bassins

54 Section de déshumidification (Du) associée à une MAN
4) Système THERMO ECOENERGIE : « ECODUG » ou « ECODUF » ECODUG permet, en utilisant simultanément la puissance frigorifique et la puissance calorifique restitué de l’unité thermodynamique, par l’intermédiaire d’une centrale de traitement d’air équipée d’une batterie froide (Du) d’une part, et de deux batteries de restitution et d’échangeurs en acier inoxydable raccordés au condensateur d’autre part : => d’éliminer 75 % des dégagements de vapeur d’eau des plans d’eau tranquilles sans surchauffe, et plus en fonction des montages basiques, => d’assurer, suivant la priorité, le réchauffage de l’air, le réchauffage de l’eau des bassins et le préchauffage de l’eau chaude sanitaire. Section de déshumidification (Du) associée à une MAN

55 4’) Thermodynamique associée à une Modulation d’Air Neuf (THERMO+)
ECOPMP + permet, en utilisant simultanément la puissance frigorifique et la puissance calorifique restituée de l’unité thermodynamique, par l’intermédiaire d’une centrale de traitement d’air équipée d’une batterie DuTr (source froide) d’une part, et d’une batterie de restitution et d’échangeurs en acier inoxydable raccordés au condenseur d’autre part : =► d’éliminer % des dégagements de vapeur d’eau des plans d’eau tranquilles et plus en fonction des montages basiques, =► d’assurer, suivant la priorité, le réchauffage de l’air ambiant, le réchauffage de l’eau des bassins et le préchauffage de l’eau chaude sanitaire. Le découplage entre la puissance produite à l’évaporateur et la différence d’enthalpie par l’adjonction d’une batterie de transfert de chaleur sensible (Tr) permet : =► de réchauffer l’air déshumidifié en gagnant 29 % de transfert de chaleur sensible =► un gain d’enthalpie de 29 % (réduction de la puissance compresseur) soit un gain total de 58 % Section de déshumidification optimisée (Du-Tr = - - +) associée à une MAN

56 Haute efficacité énergétique : gain 46 %
4’) Système THERMO+ d’ECOENERGIE Eau 21°C DU Tr H2O Air 27°C 15g/kgas Air 40°C 7g/kgas 100 kW Air 9°C 7g/kgas Air 20°C 7g/kgas H2O -29 kW NaCl3 Eau 16°C Etape 2 : RECHAUFFAGE DE L’AIR PRE-CHAUFFE « GRATUITEMENT » Eau 5°C Eau 11°C H2O 70 litres/h Evaporateur E = 71kW Compresseur = 21 kW NaCl3 Condenseur C = 92 kW Groupe Thermodynamique Zoom sur la section thermodynamique Haute efficacité énergétique : gain 46 %

57 4’) Thermodynamique associée à une Modulation d’Air Neuf
Schéma hydraulique conçu, dimensionné et fournit à l’installateur par ECOENERGIE pour chaque projet

58 Le dimensionnement idéal afin d’optimiser le confort et les bilans
Traitée par la section de modulation d’air neuf ajustée aux besoins liés à la fréquentation grâce à une régulation spécifique (ECOTRONIC) Évaporation en kg/h Fréquentation Traitée par la section thermodynamique Plan(s) d’eau tranquille(s) 24 H

59 La déshumidification thermodynamique permet :
Une déshumidification active, indépendante des conditions météo et de la fréquentation, Un lavage de l’air en condensant les polluants contenus dans l’air traité, Une approche très économique et écologique, en évitant le rejet massif de calories à l’extérieur ainsi qu’une réduction importante des émissions de CO2.

60 Haute efficacité énergétique : gain 46 %
Absorp-dynamique ECOENERGIE Eau 21°C DU Tr H2O Air 27°C 15g/kgas Air 40°C 7,4g/kgas 100 kW Air 9°C 7,4g/kgas Air 20°C 7,4g/kgas H2O -30 kW NaCl3 Eau 16°C Etape 2 : RECHAUFFAGE DE L’AIR PRE-CHAUFFE « GRATUITEMENT » Eau 7°C Eau 12,5°C H2O 68 litres/h Evaporateur E = 70kW +100 kW NaCl3 Bouilleur Condenseur C = 170 kW Exclusivité brevetée ECOENERGIE Groupe à absorption Haute efficacité énergétique : gain 46 %

61 Principe du cycle à absorption
Diluant Réfrigérant Concentré Réfrigérant

62 Système THERMO+ Un système THERMO+ permet, en utilisant simultanément la puissance frigorifique et la puissance calorifique restituée de l’unité thermodynamique, par l’intermédiaire d’une section thermodynamique optimisée (THERMO+) équipée du procédé breveté de batterie de déshumidification « Du-Tr » (source froide) d’une part, et d’une batterie de restitution (Re) et d’échangeurs en acier inoxydable raccordés au condenseur (source chaude) d’autre part de :  Eliminer 70 à 90 % des dégagements de vapeur d’eau des plans d’eau tranquilles (= hors occupation),  Assurer, suivant la priorité, le réchauffage de l’air modulé, le réchauffage de l’eau des bassins et le réchauffage de l’eau chaude sanitaire. Le découplage entre la puissance produite à l’évaporateur et la différence d’enthalpie par l’adjonction d’une batterie de transfert de chaleur sensible (Tr) permet :  de réchauffer l’air déshumidifié en gagnant 29 % de transfert de chaleur sensible,  un gain d’enthalpie de 29 % (réduction de la puissance compresseur) soit un gain total de 58 %. Section de déshumidification optimisée (Du-Tr = - - +) associée à une MAN

63 PAC électrique (THERMO)
4’’) Système THERMO++ ECOENERGIE : « ECOPMP++ » ou « ECODAD++ » Récupérateur Enthalpique Equilibré (REE) PAC électrique (THERMO) ou PAC gaz (ABSO) Section de déshumidification optimisée (Du-Tr = - - +) associée à une MAN+  Entre 5 et 10% de gains énergétiques supplémentaires vs un système THERMO+ grâce au REE positionné sur la section MAN (qui devient une MAN+ donc)

64 4’) Thermodynamique optimisée associée à une MAN+ (THERMO++)
DESHUMIDIFICATEUR THERMODYNAMIQUE A EAU GLACEE DOUBLEMENT OPTIMISE (Du-Tr et REE  THERMO++) Les systèmes de traitement d’air et de déshumidification ECOPMP++ ou ECODAD++ qui associent les technologies d’économie d’énergie éprouvées de nos systèmes ECOPMP+ / ECODAD+ (THERMO+) et ECOMODUL G+ (MAN+), sont les solutions techniques les plus optimales de notre gamme de systèmes pour les piscines en terme de consommation énergétique, de confort et de protection du bâti et des équipements. Grâce à l’intégration d’un récupérateur enthalpique équilibré (REE) optimisé (technologie exclusive ECOENERGIE) sur la section de modulation d’air neuf (MAN) associée qui réalise le complément de déshumidification et l’apport d’air neuf hygiénique nécessaires en fonction de la fréquentation, l’ECOPMP++ ou l’ECODAD++ permettent également de : - Récupérer l’énergie totale (latente + sensible) sur l’air rejeté au profit de l’air neuf introduit avec une efficacité énergétique de 69 % sur l’air neuf, - Rafraîchir l’ambiance par l’air neuf afin d’assurer le confort en intersaison et en période estivale grâce à l’arrêt du récupérateur en fonction de l'écart de température entre l'intérieur et l'extérieur, - Assurer une qualité d’air neuf optimale car celui-ci n'emprunte jamais le même circuit que l'air rejeté chargé de polluants (trichlorures d'azote, haloformes etc...) (= surfaces d’échanges différentes  pas de recyclage d’air vicié involontaire).

65 Analyse des différents systèmes de traitement d’air existants
Emissions de CO2 en kg / m² de plan d’eau / an Consommation* en kWh / m² de plan d’eau / an Temps de retour par rapport à la Modulation d’Air Neuf « simple » prise en référence 1000 4000 Tout Air Neuf (TAN) Modulation d’Air Neuf (MAN) Référence 750 3000 Détente Directe (DD = pseudo Thermo) Modulation d’Air Neuf avec récupérateur d’énergie (MAN+) 4 à 6 ans 500 2000 Thermodynamique associée à une MAN Type ECOENERGIE (THERMO, THERMO+ ou THERMO++) 3 à 4 ans 250 1000 Mauvais Moyen Bon Très bon Hygiène, confort et qualité de l’air * : consommation énergétique totale liée au hall bassin Info : la durée de vie d’un système de traitement d’air de qualité, bien conçu et bien entretenu est de ans

66 Comparatif énergétique, écologique et financier des systèmes ECOENERGIE
Consommation énergétique en kWh/an Consommation énergétique en kWh/an MODULG MODUL G+ DUG DAD PMP+ MODUL G MODUL G+ DUG DAD PMP+ Emission de CO2 en tonnes/an Emission de CO2 en tonnes/an MODULG MODUL G+ DUG DAD PMP+ 540,6 487,3 369 389,9 311,7 DUG Coût énergétique en €/an 80 000 70 000 60 000 50 000 91 906 82 256 73 758 66 288 40 000 66 743 Coût énergétique en €/an 30 000 MODUL G MODUL G+ DUG DAD PMP+ 91 906 82 256 73 758 66 288 66 743 20 000 10 000 MODUL G MODUL G+ DUG DAD PMP+ (base juin 2010)

67 Gains et autofinancement
Gain confort => augmentation de la fréquentation + ou – 10% + amélioration des conditions de travail du personnel Gain écologique = nb d’année de vie du système x tonnes de CO2 économisées Autofinancement du système installé Gain financier = nb d’années après l’autofinancement x Gain financier annuel Consommation initiale ou conventionnelle Consommation Future avec un système THERMO+ ou THERMO++ = consommation actuelle – gain annuel de consommation Maintenance Maintenance + Interventions annuelles SPR De 3 à 4 ans De 15 à 20 ans an Mise en service Amortissement Réhabilitation Durée de vie d’un système THERMO+ ECOENERGIE = de 15 à 20 ans avant réhabilitation

68 5) Le contrôle de l’humidité spécifique (en gr/kg d’air sec) (ou contrôle du poids d’eau) plutôt que le contrôle de l’humidité relative en %

69 Pourquoi contrôler l’humidité spécifique et non l’humidité relative ?
 Cas n°1 : Montée en température Humidité Température 15 gr spécifique = 6 7 % Tr = 23.9°C Hr 100% Tr= 22°C 20.2°C 16.6 gr 18.7gr T = 27°C T = 29°C T = 31°C Condensation!! Suffocation!! 67 % Pour maîtriser l'évaporation, la condensation et les consommations et garantir toute l’année un bon niveau de confort, le contrôle de l’humidité spécifique est la seule variable significative.

70 Pourquoi contrôler l’humidité spécifique et non l’humidité relative ?
 Cas n°2 : Réduit de nuit Humidité Sur-évaporation = Surconsommation !!! Température 15 gr spécifique = 6 7 % Hr 100% 20.2°C T = 24°C T = 27°C 30.5 gr 67 % 12.3 gr Eau = 27°C L’objectif de réduction de consommation d’énergie par l’adoption de réduits de nuit ne peut être atteint si l’humidité spécifique n’est pas contrôlée (risque de sur-évaporation)

71 Confort / Humidité : Solutions ECOENERGIE
L’ECOTRONIC, un automate multirégulateur communiquant (compatible tous langages) permettant le contrôle de l’humidité spécifique L’automate multirégulateur ECOTRONIC assure une maîtrise totale de l’évaporation et donc un confort optimal en toute saison et quelle que soit la fréquentation

72 ECOTRONIC ®, l’Automate Multirégulateur exclusif ECOENERGIE
L’ECOTRONIC est un automate programmable capable de piloter tous les composants et actionneurs de nos systèmes afin de réguler l’humidité spécifique mais également la température. Tous les composants électroniques nécessaires à la régulation sont intégrés dans la même armoire, seuls les composants (caisson de ventilation, extracteurs, U.T…) ainsi que les sondes et actionneurs sont externes. Son afficheur Digital et sa roulette permettent de visualiser et d’ajuster les consignes climatiques, d’acquitter les alarmes, visualiser l’état du système et de gérer la boucle de régulation.

73 AVOTRE DISPOSITION POUR LA REUSSITE DE VOS PROJETS


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