EPILEPSIE REFRACTAIRE : Symptomatologie UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Faculté de Médecine Cours de neurologie du 18.03.2015 EPILEPSIE REFRACTAIRE : Symptomatologie Dr LEMAHAFAKA Jemissair Glorien Interne des hôpitaux en neurologie Laboratoire des neurosciences Antsakaviro
Epilepsie réfractaire Destination : étudiant en médecine, interne en neurologie, médecin généraliste Pré-requis : épilepsie, cortex cérébrale, physiologie nerveuse Objectifs : énumérer les signes cliniques et paracliniques d’une épilepsie réfractaire
Introduction Symptomatologie Conclusion Plan Introduction Symptomatologie Conclusion
Introduction Epilepsie : un trouble cérébral caractérisé par une prédisposition durable à générer des crises. Crise épileptique : présence transitoire de signes et/ou symptômes due à une activité neuronale corticale excessive ou synchrone. Epilepsie réfractaire : lorsque deux antiépileptiques conduits de façon adéquate échouent à contrôler les crises secondaires à une décharge anormale, excessive et hypersynchrone de neurones.
Type de description 1/3 de l’adulte, l’incompétence des médecins, deux médicaments pendant 2ans avec 6mois de rémission (contrôlée), adulte épileptique rechercher une crise temporale interne. Agression initiale : état de mal, altération des canaux ioniques, dépolarisation ( au repos la membrane est – 70mv), dépolarisation : canaux sodique et calcique, repolarisation canaux potassique et chlore. Conséquence signal électrique entraine libération des neurotransmetteurs devenu signal chimique, la cellule souffre, phénomène inflammatoire (phénomène de suppléance ou protection), destruction d’une cellule. Cellule limite le dégât hypervascularisation, phagocytose. Réparation non parfaite, régénération imparfaite avec prolifération du fibre glutamaérgique (fibre bouchu), partie réparé raréfaction du fibre gabaergique.
Symptomatologie TDD : épilepsie temporale réfractaire de l’adulte jeune CDD : répétition de la crise avec traitement correcte, une absence d’amélioration d’un examen EEG lors du contrôle ou résistant lors de la première test au benzodiazépine Atcd crises fébriles ou familiaux épilepsies Exploration de ce patient c’est IRM qui montre la modification du signal, atrophie. Pour le scanner détecte la pauvreté de cellule gabaergique. Bicampound, détection presclérose, test de WADA préciser l’hémisphère dominant. Spect
Symptomatologie Crises partielles simples avec manifestation psychiques, phénomènes sensorielles, olfactifs, ou auditifs, trouble du langage (hémisphère dominant). Crises partielles complexes précédés d’une sensation épigastrique, ascendante initiale, d’automatismes oro-alimentaires, avec manifestations végétatives. Durée : 1mn et confusion postcritique prolongée, EPILEPSIE PARTIELLE BENIGNE : épilepsie de l’enfant le vrai bénigne c’est l’épilepsie à paroxysme rolandiques, à la lecture, à paroxysme occipitaux. Epilepsie à paroxysme rolandiques (bénigne) c’est un jeune 8 à 10ans souvent le matin en s’élevant, clonie du visage, tombe l’objet de la main, maladroit qui casse la verre tous le matin. Occipital : voie des flash, clonie au niveau du visage,. A la lecture survient à la lecture (clonie, baisse de la vigilance, rares)
Symptomatologie EEG intercritique : normal ou anomalie uni-bilatérale EEG critique : interruption uni-bilatérale de l’activité de fond avec activité rapide de bas voltage, pointes rythmiques et ondes lentes rythmiques IRM : hippocampe médialisé et/ou pyramidale, sillon corticale verticalisé, perte de la visibilité de la structures internes ou signe de sclérose hippocampique le reflet d’un niveau d’excitabilité trop élevé dans la région focale, pouvant en tout temps dégénérer en une crise épileptique
Symptomatologie
Symptomatologie
Symptomatologie Forme chez l’enfant surtout à l’âge de 6ans : un arrêt d’activité avec regard apeuré et version de la tête et des yeux, une régression neurologique et cognitive incluant une faiblesse, une ataxie et une perte d’intérêt face à son entourage, retard du développement, EEG : normal dans 20% des cas en intercritiques, foyer irritatif lobaire avec anomalie paroxystique en phase critique L’IRM : atrophie corticale et sous corticale modérée
Conclusion Epilepsies récidivantes après traitement correcte Symptomatologie atypique : crises focales secondairement généralisées, partielles complexes ou à manifestations végétatives ou psychiatriques EEG en intercritique : normal ou foyer épileptogène temporale ou lobaire IRM : anomalie temporale, atrophie ou sclérosé
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