Forum sécurité des patients - 27 novembre

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Transcription de la présentation:

Forum sécurité des patients - 27 novembre 2013 -

Introduction Dr Sandrine Segovia Kueny directeur général adjoint en charge de la santé publique et environnementale, Agence régionale de santé

Présentation du programme ‘Sécurité patient’ Dr Isabelle Verheyde Directrice Réseau santé qualité

Le patient co-acteur de sa sécurité Claude Rambaud Présidente, Collectif interassociatif sur la santé Delphine Dufourny patiente atteinte de la sclérose en plaques Lahanissa Abed-Madi représentante départementale de l’APF

Les bactéries multi-résistantes : information pour le patient et sa famille Dr Karine Blanckaert coordonnatrice, ARLIN Mr Pierre-Marie Lebrun Président, Collectif Interassociatif Sur la Santé NPDC

Outils d’information des patients porteurs de bactéries multirésistantes… Dr Karine Blanckaert Médecin Coordonnateur Antenne Régionale de Lutte contre les Infections Nosocomiales Nord-Pas de Calais

De nombreuses recommandations …. Un point commun : information - des services de soins - des patients

BMR, BHR, BHRe….. Bactéries Résistantes à de Multiples antibiotiques … Site de portage Transmission croisée Contamination de l’environnement Diffusion en ville Staphylococcus aureus ( SARM) Nez peau +++ ++ + Entérobactérie productrice de βlse Tube digestif +++ ++++ +++ Bactéries Résistantes à de Multiples antibiotiques … Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques … ne sont pratiquement plus sensibles aux antibiotiques….impasse thérapeutique en médecine de ville ….

Résistance bactérienne : données hospitalières

Pourquoi parler BMR en soins de ville ? Les patients sont transférés d’un centre de soins à un autre puis rentre à domicile en restant porteurs… cela génère de la crainte Détection de la BMR chez des patients après leur sortie de l’hôpital fréquent en Maison de retraite , en HAD etc.… Augmentation de la pression de sélection par des antibiotiques largement prescrits par les médecins de ville dans les infections communautaires

Situation en ville???? Nord Pas de Calais = Région de France où l’on consomme plus d’ATB… Absence de surveillance épidémiologique de la résistance bactérienne en ville ….

Programme national de sécurité des patients Le programme national pour la sécurité des patients fait de l’information du patient et des aidants un axe prioritaire. Actions proposées : Diffusion auprès des usagers d’outils d’aide à la communication avec les professionnels (HAS, Etablissements de santé, URPS) Utilisation d’outils de standardisation pour la communication entre professionnels de santé, intégrant les éléments concernant la sécurité et notamment les questions du patient

Elaboration d’un document d’information des patients? Groupe de pilotage ARS/URPS ML/assurance maladie sur la thématique moindre usage des antibiotiques : expression du besoin Des documents élaborés par le Réseau CCLIN/ARLIN depuis 2003…. Des expériences similaires… Recommandations HAS… Elaboration d’un support.. Collaboration avec les usagers ….

Le document…..

Perspectives??? Diffusion : site internet URPS, CCLIN Paris Nord , CISS… Tester … améliorer …. ( selon les recommandations de la HAS)

L’usager et la prise en charge médicamenteuse en établissement de santé Dr Monique Yilmaz pharmacien coordinateur, Omédit Nord-Pas-de-Calais

L’usager et la prise en charge médicamenteuse en établissements de santé. http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2011-11/guide_outil_securisation_autoevalusation_medicaments_complet_2011-11-17_10-49-21_885.pdf M YILMAZ JOURNEE REGIONALE 2013 SEMAINE SECURITE DES PATIENTS 27 11 2013

L’OMéDIT: L’Observatoire des Médicaments, Dispositifs Médicaux et Innovations Thérapeutiques Par sa transversalité régionale, ses missions d’évaluation et d’expertise et son rôle d’appui auprès des professionnels de santé, contribue à mettre en œuvre une : politique coordonnée de bon usage, et de bonnes pratiques dans le champ du circuit des produits de santé en terme de qualité, sécurité, efficience. Le champ initial des Assurer la sécurité des patients usagers Vous connaissez les instances hospitalières / CLAN –CLIN-CLUD- COVIRIS ou CQSS, vous connaissez les réseaux , et peut être l’ARLIN ou le RSQ parmi les structures externes aux ES figure une structure que vous allez peut être découvrir par cette présentation .

Les Moyens d’action à faire connaître des usagers Le CBUMPP contrat de bon usage des médicaments produits et prestation CONTRAT de PROMOTION d’une POLITIQUE GLOBALE INTEGREE de SECURITE de la Prise en charge médicamenteuse = PECM Signé par le directeur de l’ES, après avis de la CME , il constitue une feuille de route pour progresser au sein de l’ES dans les domaines de qualité et sécurité Il comporte des indicateurs ou critères assortis d’ objectifs chiffrés échelonnés dans le temps Au sein des établissements, le circuit des médicaments est un des processus de soins les plus transversaux et structurants. La santé et la sécurité des patients peuvent être mis en jeu à chaque étape si des dysfonctionnements ou erreurs se produisent Toutes les actions menées pour les prévenir participent à l’amélioration de la sécurité du patient et à l’efficience des coûts consacrés à la prise en charge des ses pathologies. Elles visent à : Soutenir les Commissions Qualité et Sécurité des Soins (CQSS) des établissements de santé concernés de la région ; Sensibiliser les professionnels de santé par des actions de formation et d’information ; Promouvoir les vigilances sanitaires et la politique de gestion des risques; Participer à la lutte contre les affections iatrogènes ; Favoriser le bon usage des produits pharmaceutiques par l’élaboration et la diffusion de recommandations Il propose et conduit des actions d’accompagnement des établissements pour l’amélioration de leurs résultats qui propose des outils d’aide aux établissements - Groupes de travail ou commissions Audits croisés Documents cartographie des risques

P E C M : Prise en Charge médicamenteuse MANAGEMENT INSTITUTIONNEL de la QUALITE ENSEMBLE DE L’ENVIRONNEMENT HOSPITALIER CONTINUITE de la PRISE en CHARGE INTERVENTIONS MULTI/PLURIPROFESSIONNELLES IMPORTANCE des FONCTIONS SUPPORT : LOGISTIQUES - TECHNIQUES - INFORMATIQUES …. ANALYSE PHARMACEUTIQUE INFORMATION SUR LE BON USAGE DISPENSATION / DELIVRANCE DES PRODUITS DE SANTE MEDECIN(s) d’autre service / BIOLOGISTE RADIOLOGUE : (Examens complémentaires) PRESCRIPTION MEDICAMENTEUSE ACTES DE SURVEILLANCE PHARMACIEN HOSPITALIER INFIRMIERE(s) / UNITES DE SOINS SUIVI SURVEILLANCE DU PATIENT PREPARATION ADMINISTRATION DES MEDICAMENTS ENREGISTREMENT d’ACTES MEDECIN(s) HOSPITALIER(s) ANESTHESISTE CHIRURGIEN DIAGNOSTIC / ACTES Le circuit des médicaments est un des processus de soins les plus transversaux et structurants dans les établissements de santé Santé et sécurité peuvent être mis en jeu à chaque étape si des erreurs ou dysfonctionnements se produisent La SECURISATION du CIRCUIT des PRODUITS de SANTE vise à : - Minimiser les erreurs - En retirer les enseignements pour éviter qu’elles ne se reproduisent PATIENT FAMILLE -ENTOURAGE Conciliation Prescription de sortie MEDECIN TRAITANT / MEDECIN SPECIALISTE PHARMACIEN REFERENT CIRCUIT DES PRODUITS CIRCUIT D’INFORMATIONS

Domaines ciblés par les objectifs L’Amélioration et la Sécurisation du circuit des produits de santé lors du processus de PECM : Le Management de la qualité et la maitrise des risques L’informatisation La dispensation à délivrance nominative Ex Culture de la qualité et de prévention et Maitrise du risque patients Au sein des établissements, le circuit des médicaments est un des processus de soins les plus transversaux et structurants. La santé et la sécurité des patients peuvent être mis en jeu à chaque étape si des dysfonctionnements ou erreurs se produisent Toutes les actions menées pour les prévenir participent à l’amélioration de la sécurité du patient et à l’efficience des coûts consacrés à la prise en charge des ses pathologies. Elles visent à : Soutenir les Commissions Qualité et Sécurité des Soins (CQSS) des établissements de santé concernés de la région ; Promotion des vigilances sanitaires et la politique de gestion des risques; Participation à la lutte contre les affections iatrogènes ; Élaboration et diffusion de recommandations pour favoriser le bon usage des produits de santé Sensibiliser les professionnels de santé par des actions de formation et d’information ; Promouvoir les vigilances sanitaires et la politique de gestion des risques; Participer à la lutte contre les affections iatrogènes ; Favoriser le bon usage des produits pharmaceutiques par l’élaboration et la diffusion de recommandations Il propose et conduit des actions d’accompagnement des établissements pour l’amélioration de leurs résultats qui propose des outils d’aide aux établissements - Groupes de travail ou commissions Audits croisés Documents cartographie des risques : L’Observation, le Suivi et l’Analyse des pratiques de prescription des produits innovants et coûteux La Communication par les actions de Sensibilisation et d’Information tablissements de santé (MCO) a été étendu aux autres établissements des secteurs sanitaires et médicaux sociaux, en cohérence avec la LOI « HPST » et ses implications en terme de parcours coordonné des patients. Le programme GDR 2012 a introduit le thème de la prise en charge médicamenteuse en EHPAD: Enjeu de santé publique et prévu l’implication des OMEDITs Ex : Diffusion d’informations sur un site internet de l’OMEDIT http://omeditnpdc.free.fr/ Élaboration et diffusion de « Chartes » (présentées aux URPS ) qui, pour les prescriptions , visent à améliorer les liens et la communication entre professionnels de santé dans la coordination du parcours de soins des patients

Développement de l’Informatisation MOYENS PROMUS pour minimiser les erreurs INFORMATISATION des PRESCRIPTIONS SECURITE et TRACABILITE entre professionnels PRESCRIPTEURS au sein du même secteur de soin SOIGNANTS PHARMACIENS BIOLOGISTES au sein d’autres secteurs et lors des PRESCRIPTEURS transferts de patients PRESCRIPTEUR SOIGNANTS Alertes sur les posologies ou les facteurs de risques Prescriptions : Lisibilité – Qualité Gain de temps - Sérénité Gain de temps de saisie des prescriptions Traçabilité des actes d’administration ou données spécifiques patients Protocoles formalisés / réflexion sur pertinence Homogénéisation des pratiques , modalités de mise en œuvre – raccourcis (solvants validés au plan compatibilité et stabilité ) BENEFICIAIRES de ces AMELIORATIONS = PATIENTS

Suivi du respect des Bonnes pratiques INDICATEURS (certains suivis par la HAS…) Par tous les Professionnels intervenants Prescripteurs : anesthésistes, chirurgiens, médecins…. qualité des prescriptions et tenue du Dossier patient Pharmaciens : qualité des analyses pharmaceutiques - informations Infirmières : qualité de l’exécution des actes(audit de traçabilité) Biologistes qualité des examens et des transmissions Radiologues … qualité des explorations et des transmissions L’INFORMATISATION aide à la sécurité – traçabilité des actes

Développement de l’Assurance qualité 30/03/2017 Respect des référentiels et recommandations : Les référentiels sont des systèmes d’aide à la décision comme tous systèmes experts ils sont faits pour guider et faire le tri entre les cas clairs et les cas difficiles Développement des pratiques pluridisciplinaires ou en réseau Promotion des RCP (cancérologie et hors cancérologie) Promotion des avis de centres de référence ou de compétence pour les traitements de maladies rares La cancérologie pluridisciplinaire par nécessité est probablement la discipline la plus avancée en termes d’organisation conjuguée. C’est à ce titre qu’elle a constitué un modèle : -pluridisciplinarité d’emblée elle permet des -angles de vue multiples , associée à une -rupture de l’isolement de la pratique médicale et progressivement des -homogénéisations de pratiques professionnelles accompagnées de discours au patient adapté suite aux RCP par les dispositifs d’annonce Fédération des acteurs et travail en réseau

Développement de la Dispensation à délivrance nominative Préparation des doses à administrer : Priorité chimiothérapies / préparations en URCC Sécurité pour les patients et personnels Doses individuelles des patients en piluliers - Personnel spécifiquement formé, qui travaille en environnement dédié, sans être perturbé ou dérangé lors des préparations, sous responsabilité pharmaceutique. - Équipements de préparations qui contribuent à la stérilité et /ou à la qualité des informations ( étiquetage de qualité) - Contrôles pharmaceutiques avant libération

Cercle vertueux de la gestion des risques Dysfonctionnement: E MEDICAMENTEUSE Recherche des facteurs en cause ANALYSE CREX: Pourquoi-comment l’EI est survenu? Développement de compétences en gestion du risque Actions correctives proposées : Nouvelles barrières Mise an place des actions ( calendrier - suivi - évaluation) Amélioration du système Evaluation des bénéfices Partage des leçons de l’EI Baisse du niveau de risque Cercle vertueux de la gestion des risques

Incitation aux Démarches qualité institutionnelles Management des risques ou Gestion des risques. Approche rationnelle de la sécurité par les cartographies des risques a priori ( regard systémique sur la sécurité des soins) Prévention des risques identifiés « spécifiques » de l’ES, par des plans d’action, au regard des priorités retenues Analyse approfondie des Evènements indésirables: CREX – REMED- RMM Politique institutionnelle : Management Approche globale et coordonnée Programme d’actions évolutif fonction des risques spécifiques de l’établissement des priorités retenues. Analyse approfondie des Evènements indésirables

LA PREVENTION DU RISQUE a priori PREVENTION DES RISQUES FUTURS Culture de sécurité Pousser les ES à aborder la notion de risque sous les 2 angles indissociables : En amont : LA PREVENTION DU RISQUE a priori En aval : LES TRAITEMENENTS DES INFORMATIONS pour des risques intervenus en vue de PREVENTION DES RISQUES FUTURS a posteriori Formation adaptée des professionnels Communication rétroinformation indicateurs de qualité Analyse des EI Définition des responsabilités – attributions RAQ Réseau de correspondants Prise en compte des résultats d’audits internes ou externes Point en CME sur la POLITIQUE ou GDR PECM

Communication régionale sur l’état d’avancée des Démarches qualité institutionnelles Lancement de l’enquête DGOS vers les ES Traitement des réponses et analyse par type de structure Retours aux ES de la synthèse régionale comparée au niveau national

TRADUCTION de la Démarche de gestion des risques a priori CARTOGRAPHIE des RISQUES selon une analyse par «  PROCESSUS » COMPLETEE de l’EVALUATION de CRITICITE: FREQUENCE GRAVITE ASSORTIE du PROGRAMME d’ACTION DECLINEE en FICHES PROJET précises SUIVI REGULIER des PROJETS Mises en œuvre de Bonnes Pratiques ( INDICATEURS) AUDITS promotion des outils INTERDIAG /MDTS –DM – SPECIFIQUES EHPAD VISITES de RISQUES menées par les sociétés d’assurance Analyse des signaux et repérage des « presqu’accidents »  

Prises de conscience du RISQUE IATROGENE Les Démarches d’audit croisé menées avec un double objectif : - Mesurer le niveau de risque Proposer des outils d’amélioration des pratiques Grilles d’audit élaborées à partir de référentiels Audits réalisés par des intervenants d’autres ES Résultats présentés pour analyse commune Cartographie exhaustive des risques liés au circuit Documents qualité «  standards » que les établissements doivent s’approprier EPP régionale sur la prise en compte des messages diffusés l’an dernier pour les troubles de déglutition et patient en nutrition entérale

SITUATIONS à risque spécifique Spécialités à risque: ex présence de remplaçants , stagiaires, juniors, réanimations , pédiatrie, gériatrie, dialyse …. Médicaments à risque: médicaments à marge thérapeutique étroite (faible écart entre dose active et toxique), dont les modalités de PP ou administration sont complexes, à fréquence particulière, ceux des «Never events » ou médicaments inappropriés chez les personnes âgées Ex : double contrôle lors de l’administration , masque et usage de SHA Patients à risque : ex IR, dénutris, vulnérables, âgés, enfants Application par les professionnels ou visiteurs de mesures spécifiques de surveillance ou de barrières : Documents qualité «  standards » que les établissements doivent s’approprier EPP régionale sur la prise en compte des messages diffusés l’an dernier pour les troubles de déglutition et patient en nutrition entérale

Démarche de gestion des risques a posteriori Analyse des dysfonctionnements du circuit des produits de sante ( logistique – non prise en compte de besoin – défaut ou retard de maintenance d’équipement, dispositif inadéquat utilisé pour l’administration ) Signalements dans le cadre des vigilances : Pharmacovigilance Matériovigilance Défauts de qualité des produits Informaticovigilance Analyse approfondie des erreurs dans le cadre des COMITES de RETOUR d ’ EXPERIENCE : CREX D’où l’intérêt des tableaux de bord d’indicateurs du circuit

Organisation « apprenante » et amélioration continue Erreur constatée - déclarée - analysée : CREX Dans le service, le personnel est informé des erreurs survenues, reçoit un retour d’information sur les actions mises en place, et discute des moyens possibles pour prévenir les erreurs. Les erreurs conduisent à des changements L’efficacité de ces changements est évaluée INSTRUCTION du 28 9 2012 relative à l’organisation des retours d’expérience dans le cadre de la gestion des risques associés aux soins et de la sécurisation de la prise en charge médicamenteuse en établissement de santé http://omeditnpdc.free.fr/Files/retex_organisation_retour_experience_dgos_28_09_2012.pdf

Ex de diffusion d’informations sensibilisations Voie d’administration pour produit de contraste iodés ( radiologie) Protocole de préparation de chimiothérapie

Risques du parcours des patients : interfaces entre diverses phases de PECM et CONCILIATION MEDICAMENTEUSE Entrée du patient depuis la ville vers l’hôpital Sortie du service hospitalier vers un service de soin de suites , long séjour ou domicile Incitation pour les sujets âgés sortant de court séjour à l’utilisation d’un outil validé en groupe : la fiche « mon traitement », expliquée au patient et communiquée au médecin traitant Proposition de « messages types » partagés pour la surveillance à adapter

Le PATIENT participe à sa SECURITE MESSAGES de COMMUNICATION formalisés adaptés et partagés pour la surveillance des patients Travail concerté avec l’URPS Ex Message général Valide pour tout traitement médicamenteux Toute chute doit être signalée au médecin traitant. Tout arrêt de médicament doit être signalé au médecin traitant. Ne jamais pratiquer d’automédication sans avis médical y compris pour les médicaments en vente libre en officine, ou présents dans la pharmacie familiale ou de prescriptions antérieures tels que anti-inflammatoire ou antalgiques (Ex : Ibuprofène, Aspirine…) Rappeler l’importance de l’observance, du respect de la posologie et de l’heure d’administration.  

Messages spécifiques pour différentes classes thérapeutiques fréquentes Diurétiques, IEC et ARA II Ne jamais prendre d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris ibuprofène. Arrêter le traitement en cas de diarrhée, canicule, déshydratation et prévenir votre médecin. Surveiller régulièrement votre poids. (Le médecin Traitant explique pourquoi) Signaler l’apparition de crampe ou de confusion. Anti-hypertenseurs En cas de chute, malaise, vertige : prendre votre tension si vous disposez d’un appareil et appeler votre médecin.   pour la surveillance et les risques de certaines classes thérapeutiques de médicaments Proposition de messages principaux simples, non exhaustifs, adaptés à la compréhension des personnes âgées Tout arrêt de médicament doit être signalé au médecin traitant. Toute chute doit être signalée au médecin traitant. Message général pour tout traitement médicamenteux : Ne jamais pratiquer d’automédication sans avis médical. Diurétiques, IEC et ARA II Surveiller régulièrement votre poids. Arrêter le traitement en cas de diarrhée, canicule, déshydratation et prévenir votre médecin. Ne jamais prendre d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris ibuprofène. Signaler l’apparition de crampe. En cas de chute, malaise, vertige : prendre votre tension si vous disposez d’un appareil et appeler votre médecin. Anti-hypertenseurs Sous cordarone : Anti-arythmiques Faire un bilan thyroïdien. En cas de malaise ou vertige, prendre votre pouls. Attention à l’exposition au soleil. En cas de déshydratation, arrêter la prise du médicament et appeler votre médecin. Sous digoxine  Faire une surveillance biologique de la fonction rénale. Anti-vitamine K (AVK) Faire un suivi régulier de l’INR. En cas de saignement, arrêter la prise du médicament et appeler votre médecin. Pas de Daktarin, gel buccal. Vous devez tenir à jour votre carnet d’information et de suivi des AVK (accessible sur le site internet de l’ANSM). Vous devez connaitre votre INR Cible. Anti-agrégants plaquettaires Ne jamais prendre ce médicament avec un anti-inflammatoire non stéroïdien. Signaler à votre médecin les brûlures ou saignements d’estomac. Surveiller votre poids. Sous biguanide : arrêter le traitement en cas d’examen radiologique ou de diarrhée ou de canicule. Prévenir votre médecin. Hypoglycémiants Faire un suivi biologique régulier de la fonction rénale et de l’hémoglobine glyquée. Savoir reconnaître les signes d’hypoglycémie : sueurs, tremblements, fringales. Avoir 3 morceaux de sucre sur soi. Ne pas prendre de psychotropes de façon prolongée. Risque de chutes, somnolences et troubles confusionnels. Psychotropes « Essayer de s’en passer ».

PATIENT ACTEUR DE SA SECURITE Par son comportement En dehors des ES : SUPPORT D’INFORMATION général Diffusé ce jour (validé ARS –URPS Pharmaciens) RESPONSABILITE lors des hospitalisations Identification : identito-vigilance Information : Signalement du pharmacien référent, Signalement des traitements habituels, Signalement d’allergies, de troubles , d’effets 2 aires De doute sur les médicaments fournis Apprentissage ( ET) et respect des recommandations

MERCI DE VOTRE ATTENTION

Fin de la matinée 12h30 – Déjeuner libre A partir de 13h30 – Pause café