RÉUNION PROJET AVIGNON le 27 Mai 2014
Ordre du jour la reforme de la formation professionnelle E-Missions Pack Permanents Mission Jeune
La Réforme de la formation Professionnelle
Les points clés de la réforme qui font système Une augmentation des sommes mutualisées par les entreprises Une simplification de la gestion administrative de la formation La contribution Obligatoirement Mutualisée passe de 0,7 % à 1% -> le « 1% Formation » Une augmentation des dépenses de formation au service de la solidarité et des parcours Une collecte unique Vers la disparition des contrôles d’imputabilité sur les dépenses au titre du Plan de formation … pour libérer du temps pour les dimensions plus qualitatives de la fonction Formation … et permettre le financement d’actions plus larges Les 5 points clés de la loi pour les entreprises Un nouvel enjeu autour de l’évaluation et de la qualité de l’offre de formation De nouveaux droits individuels Des obligations sociales renforcées pour les employeurs S’assurer de la capacité des opérateurs de formation à assurer une prestation de qualité Mettre en place des process Qualité (OPCA) : standard, processus et outils, Optimisation / maitrise des coûts de la formation et adaptabilité / réactivité offre de formation Expertise du FAF.TT sur les territoires L’acte III de la décentralisation place le territoire (Région) comme le principal lieu de décision et de financement des politiques emploi-formation. Objectif : devenir un acteur majeur voire un opérateur incontournable des pouvoirs publics dans leur lutte contre le chômage, le risque de désinsertion sociale et professionnelle et leur action en faveur de l’accès à un 1er niveau de qualification des publics fragiles (jeunes notamment) A un moment ou les régions réitèrent leur volonté de contractualiser davantage avec les outils de branche que sont les OPCA plutôt qu’avec les entreprises. Devenir un acteur majeur nécessite de marketer nos offres de services dans une démarche globale d’appui à la valorisation de l’action de la profession au profit de la sécurisation des parcours professionnels et personnels des intérimaires. Notre démarche a changé. Nous n’allons plus rencontrer un Conseil Régional en vendant des dispositifs, nous allons rencontrer un Conseil Régional en ayant analysé les objectifs de sa politique emploi formation et en articulant tous nos outils au profit de ces objectifs. Pour le FAF.TT, accompagner le développement économique des territoires C’est se positionner comme « un capteur » d’informations sur les besoins de compétences des territoires C’est être un acteur partenaire, parfois initiateur et ensemblier, parfois facilitateur. C’est s’inscrire dans une réponse aux enjeux des politiques publiques dans un rapport gagnant/gagnant pour l’ensemble des acteurs avec un fort enjeu de cofinancement pour le FAF.TT et les agences d’emploi. Pour les agences d’emploi il s’agit bien au final d’un enjeu de marché. Nous avions déjà avec vous une longueur d’avance dans les pratiques développées autour des OPAL : Réunion de diagnostic OPAL Intégration des acteurs comme les Dirrecte, les CR, Pôle Emploi à ces réunions. Il s’agit aujourd’hui de passer à la vitesse supérieure : en renforçant la présence du FAF.TT dans les actions de GTEC et en mettant les informations à votre disposition, en proposant la mise à disposition de diagnostics sectoriels territoriaux, en construisant avec vous des réponses adaptées et cofinancées. Le FAF.TT multiplie sa présence sur l’ensemble des territoires en participant à l’ensemble des projets de GTEC et en proposant des offres de services aux plateformes de mutations économiques. Denis vous illustre une des actions auxquelles nous participons en Haute Normandie : L’éolien offshore en Haute Normandie Création du CPF Un droit individuel, universel et transférable … qui vise une ambition qualifiante … et opposable dans certains cas Création du Conseil en évolution professionnelle Une obligation de formaliser l’entretien professionnel … … Complétée par un bilan de parcours tous les 6 ans Négociation sur la GPEC élargie aux orientations et objectifs du Plan de formation et au CPF (entr + 300)
L’entretien Professionnel Cet entretien n’a rien à voir avec le précédent. Il n’est plus inclus dans l’entretien annuel. Il a pour objet de passer en revue les perspectives d’évolution professionnelle, ce qui en fait un entretien RH et non managérial. Il créé un droit pour tous les salariés : A suivre une formation au moins tous les 6 ans A avoir une progression salariale ou professionnel tous les 6 ans Et à défaut avoir obtenu des éléments de certification Il ne s’agit donc pas d’une simple obligation procédurale (obligation de moyens) mais d’une obligation de résultats dans 2 domaines sur 3. A défaut la sanction est automatiquement prévue par la loi pour les entreprises de 50 salariés et plus, mais elle pourrait être créée par le juge (au minimum dommages et intérêts) pour toutes les entreprises).. Expertise du FAF.TT sur les territoires L’acte III de la décentralisation place le territoire (Région) comme le principal lieu de décision et de financement des politiques emploi-formation. Objectif : devenir un acteur majeur voire un opérateur incontournable des pouvoirs publics dans leur lutte contre le chômage, le risque de désinsertion sociale et professionnelle et leur action en faveur de l’accès à un 1er niveau de qualification des publics fragiles (jeunes notamment) A un moment ou les régions réitèrent leur volonté de contractualiser davantage avec les outils de branche que sont les OPCA plutôt qu’avec les entreprises. Devenir un acteur majeur nécessite de marketer nos offres de services dans une démarche globale d’appui à la valorisation de l’action de la profession au profit de la sécurisation des parcours professionnels et personnels des intérimaires. Notre démarche a changé. Nous n’allons plus rencontrer un Conseil Régional en vendant des dispositifs, nous allons rencontrer un Conseil Régional en ayant analysé les objectifs de sa politique emploi formation et en articulant tous nos outils au profit de ces objectifs. Pour le FAF.TT, accompagner le développement économique des territoires C’est se positionner comme « un capteur » d’informations sur les besoins de compétences des territoires C’est être un acteur partenaire, parfois initiateur et ensemblier, parfois facilitateur. C’est s’inscrire dans une réponse aux enjeux des politiques publiques dans un rapport gagnant/gagnant pour l’ensemble des acteurs avec un fort enjeu de cofinancement pour le FAF.TT et les agences d’emploi. Pour les agences d’emploi il s’agit bien au final d’un enjeu de marché. Nous avions déjà avec vous une longueur d’avance dans les pratiques développées autour des OPAL : Réunion de diagnostic OPAL Intégration des acteurs comme les Dirrecte, les CR, Pôle Emploi à ces réunions. Il s’agit aujourd’hui de passer à la vitesse supérieure : en renforçant la présence du FAF.TT dans les actions de GTEC et en mettant les informations à votre disposition, en proposant la mise à disposition de diagnostics sectoriels territoriaux, en construisant avec vous des réponses adaptées et cofinancées. Le FAF.TT multiplie sa présence sur l’ensemble des territoires en participant à l’ensemble des projets de GTEC et en proposant des offres de services aux plateformes de mutations économiques. Denis vous illustre une des actions auxquelles nous participons en Haute Normandie : L’éolien offshore en Haute Normandie Spécificité Travail Temporaire : Comme tous les dispositifs liés à l’ancienneté : définition des conditions d’ancienneté La sanction légale d’abondement de 100 heures du CPF ne s’applique qu’aux salariés qui ont une ancienneté de 6 ans.
De nouvelles obligations sociales Négociation GPEC (+ 300) En plus des thèmes de négociation légaux, négociation sur l’abondement du CPF par l’entreprise Si pas d’accord de GPEC, consultation du CE sur tous les thèmes de la négociation Consultation du Comité d’entreprise (+ 50) Un accord d’entreprise peut définir le calendrier de consultation du CE sur la formation La consultation sur la stratégie de l’entreprise (avec impacts sur les activités, les emplois, les compétences) est applicable en 2014 (loi de sécurisation) La Base de Données Unique (BDU) d’information des IRP doit être mise en place au 15 juin 2014 (+ 300) ou au 15 juin 2015 (50 à 300). Elle comporte les prévisions économiques et sociales dont la formation à 3 ans Expertise du FAF.TT sur les territoires L’acte III de la décentralisation place le territoire (Région) comme le principal lieu de décision et de financement des politiques emploi-formation. Objectif : devenir un acteur majeur voire un opérateur incontournable des pouvoirs publics dans leur lutte contre le chômage, le risque de désinsertion sociale et professionnelle et leur action en faveur de l’accès à un 1er niveau de qualification des publics fragiles (jeunes notamment) A un moment ou les régions réitèrent leur volonté de contractualiser davantage avec les outils de branche que sont les OPCA plutôt qu’avec les entreprises. Devenir un acteur majeur nécessite de marketer nos offres de services dans une démarche globale d’appui à la valorisation de l’action de la profession au profit de la sécurisation des parcours professionnels et personnels des intérimaires. Notre démarche a changé. Nous n’allons plus rencontrer un Conseil Régional en vendant des dispositifs, nous allons rencontrer un Conseil Régional en ayant analysé les objectifs de sa politique emploi formation et en articulant tous nos outils au profit de ces objectifs. Pour le FAF.TT, accompagner le développement économique des territoires C’est se positionner comme « un capteur » d’informations sur les besoins de compétences des territoires C’est être un acteur partenaire, parfois initiateur et ensemblier, parfois facilitateur. C’est s’inscrire dans une réponse aux enjeux des politiques publiques dans un rapport gagnant/gagnant pour l’ensemble des acteurs avec un fort enjeu de cofinancement pour le FAF.TT et les agences d’emploi. Pour les agences d’emploi il s’agit bien au final d’un enjeu de marché. Nous avions déjà avec vous une longueur d’avance dans les pratiques développées autour des OPAL : Réunion de diagnostic OPAL Intégration des acteurs comme les Dirrecte, les CR, Pôle Emploi à ces réunions. Il s’agit aujourd’hui de passer à la vitesse supérieure : en renforçant la présence du FAF.TT dans les actions de GTEC et en mettant les informations à votre disposition, en proposant la mise à disposition de diagnostics sectoriels territoriaux, en construisant avec vous des réponses adaptées et cofinancées. Le FAF.TT multiplie sa présence sur l’ensemble des territoires en participant à l’ensemble des projets de GTEC et en proposant des offres de services aux plateformes de mutations économiques. Denis vous illustre une des actions auxquelles nous participons en Haute Normandie : L’éolien offshore en Haute Normandie Impact sur la formation Identification des emplois, métiers et compétences qui évoluent 2 indicateurs : l’investissement formation et les publics concernés
Le Compte Personnel de Formation (CPF) Acquisition des heures Acquisition proportionnelle au temps de travail Compte plafonné à 150 h (mais pouvant aller jusqu’à 250 h si non- respect de l’entretien pro) Formations éligibles uniquement les formations : Conduisant à un tire RNCP Conduisant à un CQP Permettant d’acquérir une certification ou habilitation personnelle Relevant du socle de connaissances et de compétences (contenu défini par décret) Figurant sur une liste Etablie par les CPNE Etablie par le CNFPE (niveau national) Etablie par le CPRFPE (niveau régional) Pour les DE, seules les priorités nationales, interprofessionnelles et régionales s’appliquent. Expertise du FAF.TT sur les territoires L’acte III de la décentralisation place le territoire (Région) comme le principal lieu de décision et de financement des politiques emploi-formation. Objectif : devenir un acteur majeur voire un opérateur incontournable des pouvoirs publics dans leur lutte contre le chômage, le risque de désinsertion sociale et professionnelle et leur action en faveur de l’accès à un 1er niveau de qualification des publics fragiles (jeunes notamment) A un moment ou les régions réitèrent leur volonté de contractualiser davantage avec les outils de branche que sont les OPCA plutôt qu’avec les entreprises. Devenir un acteur majeur nécessite de marketer nos offres de services dans une démarche globale d’appui à la valorisation de l’action de la profession au profit de la sécurisation des parcours professionnels et personnels des intérimaires. Notre démarche a changé. Nous n’allons plus rencontrer un Conseil Régional en vendant des dispositifs, nous allons rencontrer un Conseil Régional en ayant analysé les objectifs de sa politique emploi formation et en articulant tous nos outils au profit de ces objectifs. Pour le FAF.TT, accompagner le développement économique des territoires C’est se positionner comme « un capteur » d’informations sur les besoins de compétences des territoires C’est être un acteur partenaire, parfois initiateur et ensemblier, parfois facilitateur. C’est s’inscrire dans une réponse aux enjeux des politiques publiques dans un rapport gagnant/gagnant pour l’ensemble des acteurs avec un fort enjeu de cofinancement pour le FAF.TT et les agences d’emploi. Pour les agences d’emploi il s’agit bien au final d’un enjeu de marché. Nous avions déjà avec vous une longueur d’avance dans les pratiques développées autour des OPAL : Réunion de diagnostic OPAL Intégration des acteurs comme les Dirrecte, les CR, Pôle Emploi à ces réunions. Il s’agit aujourd’hui de passer à la vitesse supérieure : en renforçant la présence du FAF.TT dans les actions de GTEC et en mettant les informations à votre disposition, en proposant la mise à disposition de diagnostics sectoriels territoriaux, en construisant avec vous des réponses adaptées et cofinancées. Le FAF.TT multiplie sa présence sur l’ensemble des territoires en participant à l’ensemble des projets de GTEC et en proposant des offres de services aux plateformes de mutations économiques. Denis vous illustre une des actions auxquelles nous participons en Haute Normandie : L’éolien offshore en Haute Normandie Suppression du DIF au 31 décembre 2014 Les heures ne sont pas reprises dans les compteurs CPF mais sont utilisables à ce titre (heures acquises jusqu’au 31/12/2014) La caisse des dépôts et consignations est l’organisme gestionnaire du CPF Elle tient un portail dématérialisé sur lequel chaque personne peut consulter son compte (information sur le solde, liste des formations accessibles, mention de la possibilité d’utiliser le crédit DIF)
Le Compte Personnel de Formation (CPF) Financeur Pivot OPCA pour les salariés Pôle emploi ou Fongecif/Opacif pour les demandeurs d’emploi Le CPF ne se limite pas au financement des formations d’une durée de 150h. Il est conçu pour pouvoir s’adosser aux autres dispositifs existants et ainsi augmenter et faciliter le nombre de formations qualifiantes. Il devient la clé de mobilisation de tous les autres dispositifs. Abondements possibles : Par l’employeur (volontairement ou par obligation dans le cadre d’un accord d’entreprise ou de branche) Par l’OPCA au titre d’un autre dispositif (professionnalisation, plan) Par l’OPCA au titre de financements conventionnels, Par l’OPACIF au titre du CIF ou CIF CDD Par le bénéficiaire Par Pôle emploi, l’Etat, un Conseil Régional, l’AGEFIPH, tout autre financeur public Expertise du FAF.TT sur les territoires L’acte III de la décentralisation place le territoire (Région) comme le principal lieu de décision et de financement des politiques emploi-formation. Objectif : devenir un acteur majeur voire un opérateur incontournable des pouvoirs publics dans leur lutte contre le chômage, le risque de désinsertion sociale et professionnelle et leur action en faveur de l’accès à un 1er niveau de qualification des publics fragiles (jeunes notamment) A un moment ou les régions réitèrent leur volonté de contractualiser davantage avec les outils de branche que sont les OPCA plutôt qu’avec les entreprises. Devenir un acteur majeur nécessite de marketer nos offres de services dans une démarche globale d’appui à la valorisation de l’action de la profession au profit de la sécurisation des parcours professionnels et personnels des intérimaires. Notre démarche a changé. Nous n’allons plus rencontrer un Conseil Régional en vendant des dispositifs, nous allons rencontrer un Conseil Régional en ayant analysé les objectifs de sa politique emploi formation et en articulant tous nos outils au profit de ces objectifs. Pour le FAF.TT, accompagner le développement économique des territoires C’est se positionner comme « un capteur » d’informations sur les besoins de compétences des territoires C’est être un acteur partenaire, parfois initiateur et ensemblier, parfois facilitateur. C’est s’inscrire dans une réponse aux enjeux des politiques publiques dans un rapport gagnant/gagnant pour l’ensemble des acteurs avec un fort enjeu de cofinancement pour le FAF.TT et les agences d’emploi. Pour les agences d’emploi il s’agit bien au final d’un enjeu de marché. Nous avions déjà avec vous une longueur d’avance dans les pratiques développées autour des OPAL : Réunion de diagnostic OPAL Intégration des acteurs comme les Dirrecte, les CR, Pôle Emploi à ces réunions. Il s’agit aujourd’hui de passer à la vitesse supérieure : en renforçant la présence du FAF.TT dans les actions de GTEC et en mettant les informations à votre disposition, en proposant la mise à disposition de diagnostics sectoriels territoriaux, en construisant avec vous des réponses adaptées et cofinancées. Le FAF.TT multiplie sa présence sur l’ensemble des territoires en participant à l’ensemble des projets de GTEC et en proposant des offres de services aux plateformes de mutations économiques. Denis vous illustre une des actions auxquelles nous participons en Haute Normandie : L’éolien offshore en Haute Normandie Les abondements ne sont pas inscrits dans le CPF. Ils sont mobilisés lors de sa mise en œuvre.
Le Compte Personnel de Formation (CPF) Mobilisation du CPF par les salariés De droit : Sur le temps de travail : Socle de compétence Accompagnement VAE Formations prévues par accord 100 h de pénalités pour non gestion du parcours sur 6 ans Hors temps de travail : Toute formation éligible au CPF Mobilisation du CPF par les salariés Avec l’accord de l’entreprise : Hors temps de travail : Accord nécessaire de l’entreprise si l’entreprise abonde la formation Sur le temps de travail : Accord nécessaire pour toute formation n’ouvrant pas un droit opposable Spécificités travail temporaire Le financement du 0,2 % ne concerne que les coûts pédagogiques et les frais annexes : pas de financement de la rémunération pour l’utilisation du CPF en contrat de mission Si utilisation entre 2 missions, se pose la question du statut : en tant que demandeur d’emploi, le financement relève t-il de Pôle emploi ou du FAF.TT en qualité d’intérimaire (définition des conditions d’accès à cette qualité) Si le FAF.TT finance des formations en intermissions hors temps de travail (temps personnel), articulation avec Pôle emploi pour éviter les radiations du fait dune indisponibilité pour la recherche d’emploi Expertise du FAF.TT sur les territoires L’acte III de la décentralisation place le territoire (Région) comme le principal lieu de décision et de financement des politiques emploi-formation. Objectif : devenir un acteur majeur voire un opérateur incontournable des pouvoirs publics dans leur lutte contre le chômage, le risque de désinsertion sociale et professionnelle et leur action en faveur de l’accès à un 1er niveau de qualification des publics fragiles (jeunes notamment) A un moment ou les régions réitèrent leur volonté de contractualiser davantage avec les outils de branche que sont les OPCA plutôt qu’avec les entreprises. Devenir un acteur majeur nécessite de marketer nos offres de services dans une démarche globale d’appui à la valorisation de l’action de la profession au profit de la sécurisation des parcours professionnels et personnels des intérimaires. Notre démarche a changé. Nous n’allons plus rencontrer un Conseil Régional en vendant des dispositifs, nous allons rencontrer un Conseil Régional en ayant analysé les objectifs de sa politique emploi formation et en articulant tous nos outils au profit de ces objectifs. Pour le FAF.TT, accompagner le développement économique des territoires C’est se positionner comme « un capteur » d’informations sur les besoins de compétences des territoires C’est être un acteur partenaire, parfois initiateur et ensemblier, parfois facilitateur. C’est s’inscrire dans une réponse aux enjeux des politiques publiques dans un rapport gagnant/gagnant pour l’ensemble des acteurs avec un fort enjeu de cofinancement pour le FAF.TT et les agences d’emploi. Pour les agences d’emploi il s’agit bien au final d’un enjeu de marché. Nous avions déjà avec vous une longueur d’avance dans les pratiques développées autour des OPAL : Réunion de diagnostic OPAL Intégration des acteurs comme les Dirrecte, les CR, Pôle Emploi à ces réunions. Il s’agit aujourd’hui de passer à la vitesse supérieure : en renforçant la présence du FAF.TT dans les actions de GTEC et en mettant les informations à votre disposition, en proposant la mise à disposition de diagnostics sectoriels territoriaux, en construisant avec vous des réponses adaptées et cofinancées. Le FAF.TT multiplie sa présence sur l’ensemble des territoires en participant à l’ensemble des projets de GTEC et en proposant des offres de services aux plateformes de mutations économiques. Denis vous illustre une des actions auxquelles nous participons en Haute Normandie : L’éolien offshore en Haute Normandie
Le Conseil en Evolution Professionnelle 5 Opérateurs du CEP OPACIF, APEC, POLE EMPLOI, Cap Emploi, Missions Locales + Organismes désignés par les Conseils Régionaux Un cahier des charges national du CEP sera défini par arrêté ministériel Spécificités Travail Temporaire L’accès au CEP est conçu comme un droit et n’est pas fléché : le bénéficiaire s’adresse à l’organisme de son choix Ce principe d’accès n’exclut pas que pour favoriser l’accès à la prestation la mieux adaptée, des accords soient conclus entre opérateurs. Les spécificités du TT et des droits des intérimaires devrait conduire à orienter préférentiellement vers les FAF.TT les intérimaires Ces accords devront être conclus sous l’égide des Conseils Régionaux qui ont en responsabilité la coordination du CEP dans le cadre du SPRO. Expertise du FAF.TT sur les territoires L’acte III de la décentralisation place le territoire (Région) comme le principal lieu de décision et de financement des politiques emploi-formation. Objectif : devenir un acteur majeur voire un opérateur incontournable des pouvoirs publics dans leur lutte contre le chômage, le risque de désinsertion sociale et professionnelle et leur action en faveur de l’accès à un 1er niveau de qualification des publics fragiles (jeunes notamment) A un moment ou les régions réitèrent leur volonté de contractualiser davantage avec les outils de branche que sont les OPCA plutôt qu’avec les entreprises. Devenir un acteur majeur nécessite de marketer nos offres de services dans une démarche globale d’appui à la valorisation de l’action de la profession au profit de la sécurisation des parcours professionnels et personnels des intérimaires. Notre démarche a changé. Nous n’allons plus rencontrer un Conseil Régional en vendant des dispositifs, nous allons rencontrer un Conseil Régional en ayant analysé les objectifs de sa politique emploi formation et en articulant tous nos outils au profit de ces objectifs. Pour le FAF.TT, accompagner le développement économique des territoires C’est se positionner comme « un capteur » d’informations sur les besoins de compétences des territoires C’est être un acteur partenaire, parfois initiateur et ensemblier, parfois facilitateur. C’est s’inscrire dans une réponse aux enjeux des politiques publiques dans un rapport gagnant/gagnant pour l’ensemble des acteurs avec un fort enjeu de cofinancement pour le FAF.TT et les agences d’emploi. Pour les agences d’emploi il s’agit bien au final d’un enjeu de marché. Nous avions déjà avec vous une longueur d’avance dans les pratiques développées autour des OPAL : Réunion de diagnostic OPAL Intégration des acteurs comme les Dirrecte, les CR, Pôle Emploi à ces réunions. Il s’agit aujourd’hui de passer à la vitesse supérieure : en renforçant la présence du FAF.TT dans les actions de GTEC et en mettant les informations à votre disposition, en proposant la mise à disposition de diagnostics sectoriels territoriaux, en construisant avec vous des réponses adaptées et cofinancées. Le FAF.TT multiplie sa présence sur l’ensemble des territoires en participant à l’ensemble des projets de GTEC et en proposant des offres de services aux plateformes de mutations économiques. Denis vous illustre une des actions auxquelles nous participons en Haute Normandie : L’éolien offshore en Haute Normandie
Un système de collecte simplifié : un collecteur unique APRES Une collecte simplifiée avec une réduction par plus de 4 du nombre de collecteurs (46) AVANT Une collecte éclatée versée à un très grand nombre de collecteurs (193) 20 OPCA 54 OCTA NATIONAUX ENTREPRISES plan + professionnalisation +congé individuel de formation + compte personnel de formation + taxe d’apprentissage 26 OCTA RÉGIONAUX Plan + professionnalisation Taxe d’apprentissage ENTREPRISES Taxe d’apprentissage Congé individuel de formation Taxe d’apprentissage 20 OPCA / OCTA 26 FONGECIF 93 OCTA REGIONAUX FONGECIF
La plate forme d’échanges du FAFTT
Des espaces collaboratifs Objectifs : Diminuer le nombre de mails et de réunions en présentiel, Faciliter les échanges à travers les outils disponibles (sondage, calendrier, explorateur de documents, etc.), Centraliser l’information relative à un projet ou une région dans un espace de travail commun à tous les participants.
Un espace régional Un Espace « Région » public : Partage de diagnostics territoriaux, Planification de réunions sur le territoire, etc. Documents : comptes rendus, supports de réunions, diagnostics territoriaux, etc. Calendrier : réunions de diagnostic de territoire, animations, réunions institutionnelles, etc. Conversations : discussions animées par le conseiller et les chargés de missions FAF.TT
Un ou des espaces dédié a un projet de territoire Un ou plusieurs Espace(s) « Projet » privé(s) : Partage des programmes de formation, du tableau d’analyse comparative des offres, Sondage de choix de l’organisme de formation, Planification des bilans intermédiaire et final, etc.
Process Opérations collectives Diagnostic de territoire Compte-rendu et supports de réunion Ouverture du ou des Espace(s) « Projet » Validation du cahier des charges Choix de l’OF Positionnements sur le projet Informations à inclure dans la DRF Bilan intermédiaire Bilan final Légende : Réunion en présentiel Espace « Région » Espace(s) « Projet »
ACCES A E-MISSIONS sare@faftt.fr Envoi automatique du mail d’invitation (activation par le SARE) Passage par le tunnel d’inscription pré-rempli Envoi d’un mail de confirmation d’inscription avec les codes d’accès Ouverture de E-Missions sare@faftt.fr
Etat des Inscriptions Nom Prénom Entreprise Fonction Téléphone E-mail Inscrit / Absent excusé E-MISSIONS Catherine MARTINET BAT'INSERIM 84 Chargée de mission 06 77 71 56 94 cathy.martinet@unageiqbtp84.com Inscrit Admin : Déjà sur le portail Sophie BATTIPAGLIA CAP EMPLOI 84 06 71 27 72 13 sophie.battipaglia@capemploi84.fr Micheline SIEKEL ACTUAL Responsable d'agence 06 37 11 62 45 micheline.siekel@groupeactual.eu Murielle BAILLE ATHMOS Directrice formation 04 42 60 86 40 murielle.baille@athmos.fr Mélissa JEANNOT SYNERGIE 04 90 80 70 70 avignon.tertiaire@synergie.fr Pierre-Bernard DUTHOIT RAS INTERIM 04 90 85 19 05 pb.duthoit@ras-interim.fr Envoi invit le 26 mai Cécile MARCHAND POLE EMPLOI Chargée d'affaires 06 63 31 44 82 cécile.marchand@pole-emploi.fr Daniel HARIVELO TRINOME 04 90 84 08 52 responsable.avignon@trinome.fr Déjà sur le portail Coline GUILLET REFLEX INSERIM Responsable de parcours insertion 04 90 24 33 93 c.guillet@gedpaca.com
GEDEXTRA Formation Animation le 24 juin à 14 h 30 au NOVOTEL MARSEILLE AEROPORT a VITROLLES Un constat L’intérim occupe une part importante auprès des publics confrontés au chômage et aux difficultés d’accès à l’emploi (en particulier pour les jeunes, les séniors et les personnes non qualifiées). Concernant les jeunes (Données PRISEMPLOI): En 2012, ils représentent une part importante de la population intérimaire : 27% ont moins de 25 ans et 37% ont moins de 30 ans Ils ont souvent un premier niveau de qualification. les jeunes représentaient près de 50% des dispositifs de formation des intérimaires Et 70% d’entre eux trouvaient un contrat six mois après la fin de leur formation. Ils sont plus nombreux que les autres tranches d’âge à accéder au CDI. Pour les jeunes en mission d’intérim, ils ont des missions plus qualifiées, et la fréquence et la durée de ces missions se sont nettement améliorées 60% d’entre eux considèrent que c’est grâce à la formation qu’ils sont en emploi. Par ailleurs, une enquête sur les motivations pour entrer dans l’intérim: « Regards croisés sur l‘intérim » - (OME, Décembre 2012) met en avant les points suivants: - 59 % des intérimaires espèrent avoir un emploi rapidement - 36 % sont en Intérim parce qu’ils n’ont pas avoir trouvé un emploi en CDD ou en CDI - 27 % pour disposer d’une première expérience et 27 % pour avoir différentes expériences professionnelles - Et 18 % Trouver un emploi dans les entreprises où sont effectuées les missions Partant du constat que l’intérim constitue ainsi un levier important de mobilisation, d’insertion des jeunes, de professionnalisation mais surtout une voie d’accès à la vie active, une opportunité d’insertion et un tremplin vers l’emploi Et afin de poursuivre l’objectif de la branche de «développer la professionnalisation pour l'insertion professionnelle sur le marché du travail de publics spécifiques», le FAF.TT a réfléchi à une ingénierie spécifique pour renforcer l’accompagnement des jeunes et de les emmener progressivement vers l’emploi durable en balisant leur parcours. Avec l’accord des partenaires sociaux, le FAF.TT a lancé un plan d’action renforcé auprès des jeunes afin de mutualiser les expertises
PACK PERMANENTS Un constat L’intérim occupe une part importante auprès des publics confrontés au chômage et aux difficultés d’accès à l’emploi (en particulier pour les jeunes, les séniors et les personnes non qualifiées). Concernant les jeunes (Données PRISEMPLOI): En 2012, ils représentent une part importante de la population intérimaire : 27% ont moins de 25 ans et 37% ont moins de 30 ans Ils ont souvent un premier niveau de qualification. les jeunes représentaient près de 50% des dispositifs de formation des intérimaires Et 70% d’entre eux trouvaient un contrat six mois après la fin de leur formation. Ils sont plus nombreux que les autres tranches d’âge à accéder au CDI. Pour les jeunes en mission d’intérim, ils ont des missions plus qualifiées, et la fréquence et la durée de ces missions se sont nettement améliorées 60% d’entre eux considèrent que c’est grâce à la formation qu’ils sont en emploi. Par ailleurs, une enquête sur les motivations pour entrer dans l’intérim: « Regards croisés sur l‘intérim » - (OME, Décembre 2012) met en avant les points suivants: - 59 % des intérimaires espèrent avoir un emploi rapidement - 36 % sont en Intérim parce qu’ils n’ont pas avoir trouvé un emploi en CDD ou en CDI - 27 % pour disposer d’une première expérience et 27 % pour avoir différentes expériences professionnelles - Et 18 % Trouver un emploi dans les entreprises où sont effectuées les missions Partant du constat que l’intérim constitue ainsi un levier important de mobilisation, d’insertion des jeunes, de professionnalisation mais surtout une voie d’accès à la vie active, une opportunité d’insertion et un tremplin vers l’emploi Et afin de poursuivre l’objectif de la branche de «développer la professionnalisation pour l'insertion professionnelle sur le marché du travail de publics spécifiques», le FAF.TT a réfléchi à une ingénierie spécifique pour renforcer l’accompagnement des jeunes et de les emmener progressivement vers l’emploi durable en balisant leur parcours. Avec l’accord des partenaires sociaux, le FAF.TT a lancé un plan d’action renforcé auprès des jeunes afin de mutualiser les expertises
MISSION JEUNES réunion projet le 12 juin à 9 h 30 Un constat L’intérim occupe une part importante auprès des publics confrontés au chômage et aux difficultés d’accès à l’emploi (en particulier pour les jeunes, les séniors et les personnes non qualifiées). Concernant les jeunes (Données PRISEMPLOI): En 2012, ils représentent une part importante de la population intérimaire : 27% ont moins de 25 ans et 37% ont moins de 30 ans Ils ont souvent un premier niveau de qualification. les jeunes représentaient près de 50% des dispositifs de formation des intérimaires Et 70% d’entre eux trouvaient un contrat six mois après la fin de leur formation. Ils sont plus nombreux que les autres tranches d’âge à accéder au CDI. Pour les jeunes en mission d’intérim, ils ont des missions plus qualifiées, et la fréquence et la durée de ces missions se sont nettement améliorées 60% d’entre eux considèrent que c’est grâce à la formation qu’ils sont en emploi. Par ailleurs, une enquête sur les motivations pour entrer dans l’intérim: « Regards croisés sur l‘intérim » - (OME, Décembre 2012) met en avant les points suivants: - 59 % des intérimaires espèrent avoir un emploi rapidement - 36 % sont en Intérim parce qu’ils n’ont pas avoir trouvé un emploi en CDD ou en CDI - 27 % pour disposer d’une première expérience et 27 % pour avoir différentes expériences professionnelles - Et 18 % Trouver un emploi dans les entreprises où sont effectuées les missions Partant du constat que l’intérim constitue ainsi un levier important de mobilisation, d’insertion des jeunes, de professionnalisation mais surtout une voie d’accès à la vie active, une opportunité d’insertion et un tremplin vers l’emploi Et afin de poursuivre l’objectif de la branche de «développer la professionnalisation pour l'insertion professionnelle sur le marché du travail de publics spécifiques», le FAF.TT a réfléchi à une ingénierie spécifique pour renforcer l’accompagnement des jeunes et de les emmener progressivement vers l’emploi durable en balisant leur parcours. Avec l’accord des partenaires sociaux, le FAF.TT a lancé un plan d’action renforcé auprès des jeunes afin de mutualiser les expertises
Vos besoins en compétences Un constat L’intérim occupe une part importante auprès des publics confrontés au chômage et aux difficultés d’accès à l’emploi (en particulier pour les jeunes, les séniors et les personnes non qualifiées). Concernant les jeunes (Données PRISEMPLOI): En 2012, ils représentent une part importante de la population intérimaire : 27% ont moins de 25 ans et 37% ont moins de 30 ans Ils ont souvent un premier niveau de qualification. les jeunes représentaient près de 50% des dispositifs de formation des intérimaires Et 70% d’entre eux trouvaient un contrat six mois après la fin de leur formation. Ils sont plus nombreux que les autres tranches d’âge à accéder au CDI. Pour les jeunes en mission d’intérim, ils ont des missions plus qualifiées, et la fréquence et la durée de ces missions se sont nettement améliorées 60% d’entre eux considèrent que c’est grâce à la formation qu’ils sont en emploi. Par ailleurs, une enquête sur les motivations pour entrer dans l’intérim: « Regards croisés sur l‘intérim » - (OME, Décembre 2012) met en avant les points suivants: - 59 % des intérimaires espèrent avoir un emploi rapidement - 36 % sont en Intérim parce qu’ils n’ont pas avoir trouvé un emploi en CDD ou en CDI - 27 % pour disposer d’une première expérience et 27 % pour avoir différentes expériences professionnelles - Et 18 % Trouver un emploi dans les entreprises où sont effectuées les missions Partant du constat que l’intérim constitue ainsi un levier important de mobilisation, d’insertion des jeunes, de professionnalisation mais surtout une voie d’accès à la vie active, une opportunité d’insertion et un tremplin vers l’emploi Et afin de poursuivre l’objectif de la branche de «développer la professionnalisation pour l'insertion professionnelle sur le marché du travail de publics spécifiques», le FAF.TT a réfléchi à une ingénierie spécifique pour renforcer l’accompagnement des jeunes et de les emmener progressivement vers l’emploi durable en balisant leur parcours. Avec l’accord des partenaires sociaux, le FAF.TT a lancé un plan d’action renforcé auprès des jeunes afin de mutualiser les expertises