Madame la secrétaire générale , mesdames et messieurs les ambassadeurs ,
nous voilà réunis en assemblée générale pour débattre de la résolution de la question de l’Afrique et principalement de la scolarisation des filles.
Nous rappelons que depuis la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, l’éducation constitue un droit fondamental pour tous les peuples.
Nous constatons que les deux tiers de 774 milliers d’analphabètes dans le monde sont des femmes.
Nous savons que la scolarité totale des enfants africains est loin d’être une réalite qui se traduit par les données suivantes :
- ce sont près de 28 millions de filles agées de 6 à 15 ans qui sont privées de l’éducation en Afrique .
38 % des adultes africains soit environ 153 millions sont analphabètes et les 2/3 d’entre eux sont des femmes.
Nous sommes convaincus , grâce à des nombreuses études que l’éducation des filles a un impact positif sur la réduction de la pauvreté :
les filles instruites sont plus productives et ont des emplois mieux renumérés.
Nous pouvons affrimer que l’éducation des filles leurs donnent accès à la connaissance ;
les armes contre l’ignorance leur donne la possibilité de se forger une opinion en tant que femmes plus libres et plus autonomes.
Nous déclarons haut et fort avec l’UNICEF <allez les filles> !
Quand on éduque une fille , on instruit une future mère qui à son tour transmettra sa conviction et son savoir à ses enfants.
Nous tenons à signaler que la difficulté de la scolarisation des filles en Afrique , contre bien des idées recues , n’est pas d’origine culturelle.
C’est la pauvreté donc une cause économique qui engendre ce phénomène.
nous souhaitons que les pays s’engagent pour l’éducation obligatoire et gratuite à l’ecole primaire. Et que les repas soient aussi gratuits donc les cantines scolaires.
nous suggérons donc que les états multiplient la construction d’internats régionaux et dans les lycées l’apprenstisage de l’anglais pour un meilleur accès aux nouvelles technologies et à la mondialisation.
L’éduction des filles reste un défi majeur à relever en Afrique.
La Scolarisation des filles sera toujours un combat, sans cesse menacé par la pauvreté , le manque d’engagement des gouvernements , les conflits religieux , le poids des traditons culturelles .
Gardons a l’esprit MALALA , la jeune pakistanaise, qui a su résister et à prouver qu’une fille éduquée devenait une femme forte.
Quel beau symbole pour toutes les filles du monde !!