{A ; B ; C} est un triplet babylonien : C’est-à-dire, il vérifie l’égalité A² + C² = 2B² Géométriquement, B est la longueur de la transversale qui partage le trapèze de bases C et A en deux trapèzes de même aire. Voici la représentation dans le cas d’un trapèze isocèle « parfait » {A ; B ; C} est un triplet babylonien : Càd A² + C² = 2 B² Géométriquement, B est la longueur de la transversale qui partage le trapèze isocèle de base C et A en deux trapèzes de même aire.
Considérons un tel trapèze et . . . Prenons-en quatre identiques
Considérons un tel trapèze et prenons-en trois autres identiques. Prenons-en quatre identiques
En les assemblant, on obtient trois carrés emboîtés de côtés respectifs A ; B et C. En les assemblant, on obtient trois carrés de côtés respectifs A ; B et C
Les longueurs A ; B ; C vérifient l’égalité A² + C² = 2 B² En les assemblant, on obtient trois carrés de côtés respectifs A ; B et C
Mais revenons à nos carrés. Partageons la longueur C et la longueur A en 2.
Ceci nous permet de dessiner 2 nouveaux carrés : Un petit carré de côté (C – A)/2 et un grand carré de côté (C + A)/2
Le petit carré est découpé en deux triangles rectangles isocèles . . . Le petit carré est découpé en deux triangles rectangles isocèles que . . .
Le petit carré est découpé en deux triangles rectangles isocèles que l’on déplace là.
Drôle de figure, n’est-il pas ? Mais . . .
Drôle de figure, n’est-il pas Drôle de figure, n’est-il pas ? Mais il apparaît alors deux grands trapèzes qui . . . . . . Il apparaît alors deux grands trapèzes qui . . .
Drôle de figure, n’est-il pas Drôle de figure, n’est-il pas ? Mais il apparaît alors deux grands trapèzes qui sont de même aire que les deux petits trapèzes. . . . Sont de même aire que les deux petits trapèzes
Drôle de figure, n’est-il pas Drôle de figure, n’est-il pas ? Mais il apparaît alors deux grands trapèzes qui sont de même aire que les deux petits trapèzes. . . . Sont de même aire que les deux petits trapèzes
Ce qui reforme ainsi le carré de côté B Ce qui forme ainsi le carré de côté B
Ainsi la somme des aires de 2 carrés de côtés respectifs (C + A)/2 et ((C – A)/2 est égale à l’aire d’un carré de côté B. Ainsi la somme des aires de 2 carrés de côtés respectifs (C + A)/2 et ((C – A)/2 est égale à l’aire d’un carré de côté B. Le triplet {(C + A)/2 ; (C – A)/2 ; B} vérifie l’égalité de Pythagore ((C + A)/2)² + ((C – A)/2)² = B² .
Le triplet {(C + A)/2 ; (C – A)/2 ; B} vérifie ainsi l’égalité de Pythagore