DOSSIER 13 – Interprétation de l’information comptable de synthèse
DOSSIER 13 Problématique
Problématique Les documents de synthèse représentent l’aboutissement de la comptabilité financière. La structure commune de ces documents pour toutes les entreprises favorise naturellement leur compréhension par les différents lecteurs. Les documents de synthèse sont largement diffusés. Les informations véhiculées sont nombreuses mais il faut savoir les interpréter convenablement. Il est d’usage de dire que le bilan et le compte de résultat de l’entreprise, s’ils ne permettent pas de répondre à toutes les questions, permettent en revanche de poser les bonnes questions.
DOSSIER 13 Activité 1 – La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ?
La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com
La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com Le bénéfice est distribué aux actionnaires de la société sous forme de dividendes. En généralisant, le résultat de l’entreprise appartient au(x) propriétaire(s) de l’entreprise et constitue un revenu. Ce dernier justifie le placement financier du ou des propriétaires qui ont investi leur argent personnel pour donner naissance à l’entreprise. 01. Qui le bénéfice de l’entreprise rémunère-t-il ? Quel nom porte généralement ce revenu ?
02. Expliquez la phrase soulignée. La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com Le bénéfice est distribué aux actionnaires de la société sous forme de dividendes. En généralisant, le résultat de l’entreprise appartient au(x) propriétaire(s) de l’entreprise et constitue un revenu. Ce dernier justifie le placement financier du ou des propriétaires qui ont investi leur argent personnel pour donner naissance à l’entreprise. 02. Expliquez la phrase soulignée.
La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com À quantité égale, il est évident qu’une augmentation du prix de vente génère automatiquement une marge commerciale supérieure. Cependant, il est souvent (toujours ?) difficile de vendre plus cher, à cause de la loi de l’offre et de la demande du marché. En effet, les consommateurs seront-ils disposés à acheter plus cher ? Une partie des clients ne va-t-elle pas se détourner au profit des concurrents ? Le prix de vente est donc une variable délicate que l’entreprise fixe, certes, librement, mais dans le respect de nombreuses contraintes. 03. Pourquoi est-il difficile d’agir sur le prix de vente pour faire augmenter la marge commerciale ?
04. Comment peut-on diminuer le coût d’achat des marchandises ? La recherche de bénéfice : pourquoi placer son argent dans une entreprise ? Une entreprise est une organisation dont le but est de générer du profit grâce à une activité permettant de fournir des produits et/ou des services […] Certaines entreprises sont cotées en Bourse. Dans ce cas, le pouvoir des actionnaires majoritaires est important. Si l’investisseur (vous, moi, toute personne qui a de l’argent) décide de placer son argent dans une entreprise plutôt que le garder sous son lit, c’est que l’argent placé dans l’entreprise rapporte. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant, l’argent placé est retiré, et l’entreprise s’effondre. Une entreprise dont les profits sont faibles trop longtemps n’a pas de justification économique : elle doit soit être fermée, soit être rachetée. Comment génère-t-on des bénéfices ? De manière simplifiée, la rentabilité d’une activité s’obtient en vendant le plus possible et en dépensant le moins possible. La marge commerciale, calculée par différence entre le prix de vente et le coût des marchandises vendues, représente donc une contribution essentielle au bénéfice de l’entreprise. Pour augmenter cette marge, il existe uniquement deux leviers : Augmenter le prix des marchandises vendues (ce qui est rarement possible) ; Diminuer le coût d’achat des marchandises vendues. www.guajara.com Les moyens d’action sur le coût d’achat des marchandises sont divers : la négociation avec les fournisseurs pour baisser les prix d’achat ; l’augmentation des quantités commandées pour obtenir des remises ; la recherche de nouveaux fournisseurs ; la diminution des coûts générés par l’achat : coûts de transport, de stockage… 04. Comment peut-on diminuer le coût d’achat des marchandises ?
Activité 2 – L’analyse du bénéfice de la SARL B2i DOSSIER 13 Activité 2 – L’analyse du bénéfice de la SARL B2i
L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 05. Complétez le tableau ci-contre en justifiant vos calculs. 298 477 – 154 621 = 143 856 143 856
L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 05. Complétez le tableau ci-contre en justifiant vos calculs. 143 856 – 25 845 = 118 011 118 011
L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 05. Complétez le tableau ci-contre en justifiant vos calculs. 118 011 – (6 210 + 59 741) = 52 060 52 060
L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 52 060 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 06. L’entreprise a-t-elle créé davantage de richesses en N ? La création de richesses d’une entreprise est mesurée par la valeur ajoutée. Celle-ci a augmenté de 30 560 € (118 011 – 87 451).
L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 52 060 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 07. Son activité a-t-elle été plus performante en N ? L’entreprise a été plus performante en N car le résultat d’exploitation est aussi en progression. Ce dernier a même fortement augmenté puisqu’il était de 16 073 € en N-1 pour atteindre 52 060 € en N.
L’analyse du bénéfice de la SARL B2i La connaissance du seul résultat net de l’exercice est insuffisante pour porter une appréciation sur la performance. En distinguant différents niveaux dans les produits et les charges, on peut calculer, pour chaque niveau, une fraction du résultat global, appelée « solde intermédiaire de gestion » […]. - La valeur ajoutée (VA) : cet indicateur fondamental exprime la création de richesse, c’est-à-dire l’accroissement de valeur que l’entreprise apporte aux biens et services provenant des tiers. - Le résultat d’exploitation (RE) : le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation. Il permet de mesurer les performances de l’entreprise réalisées du fait de son activité. www.chez.com/controlegestion En fait, cette situation est sans doute liée aux éléments financiers et/ou exceptionnels de l’entreprise. Par exemple, l’entreprise avait peut-être réalisé, l’an dernier, une importante plus-value suite à la vente d’immobilisations. Ce gain à caractère exceptionnel majorait le bénéfice de l’année. Par contre, la précédente analyse a montré que la performance de l’entreprise sur la réalisation de son métier est meilleure cette année. Il est donc nécessaire d’étudier avec attention la formation du résultat et de ne pas se limiter à une lecture globale. Voici certains postes de gestion de la SARL B2i pour ces deux dernières années : 08. L’évolution du bénéfice est-elle en contradiction avec la réponse précédente ? Pourquoi ? Exercice N Exercice N-1 Ventes de marchandises 298 477 237 123 Achats de marchandises 154 621 115 782 Marge commerciale 143 856 121 341 Autres charges externes 25 845 33 890 Valeur ajoutée 118 011 87 451 Impôts et taxes 6 210 5 123 Charges de personnel 59 741 66 255 Résultat d’exploitation 52 060 16 073 Résultat de l’exercice 38 841 51 212 Oui car, à la simple connaissance du résultat, on pouvait logiquement penser que l’activité exercée par l’entreprise était en déclin : baisse de 24 % du bénéfice [(38 841 – 51 212) / 51 212].
DOSSIER 13 Activité 3 – Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif
Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes.
Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Pour un banquier, le risque principal est que le client ne soit pas capable de rembourser l’argent que la banque lui a prêté sous forme d’emprunt. Pour mesurer la capacité de remboursement d’une entreprise, il faut surveiller sa solvabilité. Le bilan permet de savoir si les liquidités de l’entreprise couvriront le montant des dettes à payer. Une première approche des liquidités d’une entreprise consiste à prendre en compte le niveau des disponibilités (en caisse et en banque), auquel on peut ajouter le montant des créances car les clients devront les régler dans les prochains jours ou semaines. Les spécialistes parlent parfois de « trésorerie potentielle ». 09. Pourquoi M. Alban insiste-t-il sur le risque d’insolvabilité des clients de la banque ?
Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Prenons les postes « Immobilisations corporelles » et « Créances clients ». Ce dernier poste est placé plus bas car il est plus « liquide », dans la mesure où il se transformera très rapidement en monnaie, au fur et à mesure que les clients paieront leurs dettes. Par contre, les immobilisations sont moins liquides car il faut les vendre (ce n’est pas la destination première, elles sont destinées à rester dans l’entreprise) et attendre que l’acquéreur paie le prix de cession. 10. En choisissant deux postes éloignés de l’actif, illustrez la phrase soulignée.
Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Prenons les postes « Emprunt » et « Dettes fournisseurs ». Ce dernier poste est placé plus bas car il est plus exigible, dans la mesure où l’entreprise doit payer ses fournisseurs dans des délais très courts. Par contre, la date d’échéance pour le remboursement d’un emprunt est plus lointaine dans le temps. En fait, le remboursement s’échelonne sur plusieurs années, on parle parfois de dettes à long terme pour les opposer aux autres dettes, à plus court terme (placées plus bas dans le passif). 11. En choisissant deux postes éloignés du passif, illustrez la phrase soulignée.
Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. Réponse B : Actif – Dettes. Le patrimoine d’une entreprise (comme celui d’un particulier) se mesure à partir des biens et des droits possédés (actif du bilan), après avoir retranché l’ensemble des sommes dues par l’entreprise (dettes qui se trouvent en bas du passif). 12. Comment détermine-t-on le patrimoine d’une entreprise ? A. Actif – Passif B. Actif – Dettes C. Actif + Dettes.
Séminaire des directeurs d’agence Extrait du discours de Robert Alban, président du groupe Crédit Coopératif ? Les documents de synthèse sont tous présentés de la même façon car ils doivent respecter des règles communes appelées « normes ». Celles-ci sont définies par le plan comptable général, qui impose les mêmes méthodes dans la construction de l’information comptable. Cette situation favorise la comparaison : dans le temps, car les méthodes restent identiques d’une année à l’autre. Cela permet de calculer des variations et de déterminer si l’évolution constatée est favorable ou non ; dans l’espace, car les entreprises respectent la même présentation dans leurs documents de synthèse. Ainsi, les immobilisations se trouveront toujours en haut de l’actif et respectent les mêmes critères de classification, alors que les dettes à court terme se placeront toujours en bas du passif ; Il est évident que ces règles communes facilitent le travail des utilisateurs de l’information comptable tels que les banquiers. Séminaire des directeurs d’agence […] Attention aux arbres qui cachent la forêt. Une entreprise peut dégager un bénéfice tout en présentant une situation financière fragile. L’élément fondamental qui doit nous préoccuper à juste titre est la solvabilité de nos clients. Pour cela, il ne faut pas négliger l’analyse du bilan : Pour anticiper un risque de cessation de paiement*, qui précède la disparition de l’entreprise, il est primordial d’étudier le bas de ce bilan. L’actif circulant peut se transformer rapidement en argent liquide mais il doit être suffisant pour couvrir les dettes à court terme. Il faut savoir que l’échéance d’une dette sera d’autant plus courte que le poste est bas dans le passif. Parallèlement, à l’actif, plus un poste est bas et plus il est liquide ; Pour évaluer le patrimoine de l’entreprise, il faut évaluer l’ensemble des biens et des droits qu’elle détient. Il faudra ensuite retrancher toutes ses obligations, c’est-à-dire ses dettes. Toutes ces informations sont présentes dans le bilan. A ce propos, la norme comptable nous rend bien service car elle impose une présentation commune pour l’ensemble des entreprises françaises, ce qui nous facilite les comparaisons […] * Situation où la trésorerie disponible ne permet pas de payer les dettes. 13. Expliquez la dernière phrase du discours.
Activité 4 – L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? DOSSIER 13 Activité 4 – L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ?
L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? Chiffre d’affaires 195 600 € Résultat de l’exercice 13 688 € Total du bilan 56 081 € 14. Les indicateurs de l’exercice N (voir tableau ci-contre) sont-ils satisfaisants ? Pourquoi est-ce difficile de se prononcer ? Il est difficile d’affirmer que ces indicateurs sont satisfaisants sans disposer des chiffres réalisés par le passé. À la limite, la présence d’un bénéfice cette année est favorable en soi, mais rien ne dit que le résultat de l’an dernier n’était pas supérieur. Ces informations sur les précédents exercices permettent de porter un jugement sur l’évolution de l’entreprise.
L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? Chiffre d’affaires 195 600 € Résultat de l’exercice 13 688 € Total du bilan 56 081 € 15. Vous disposez d’informations sur les cinq dernières années. Mettez à jour ce graphique pour l’exercice N.
L’exercice N : un bon cru pour la SARL B2i ? 15. Prononcez-vous sur la performance de cette année. Exercice N Chiffre d’affaires 195 600 € Résultat de l’exercice 13 688 € Total du bilan 56 081 € En fait, sur ce graphique, il apparaît clairement que l’évolution est favorable. Toutes les courbes remontent sur cet exercice N, et en particulier celle du chiffre d’affaires. Le bénéfice a augmenté, même s’il reste inférieur au bénéfice « record » qui s’élève à 20 000 € lors de l’exercice N-3.
Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. Document 2 – Tableau d’analyse des charges indirectes du mois de janvier N Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Fournitures 1 000 200,00 150,00 50,00 180,00 220,00 Services extérieurs 30 000 1 500,00 2 400,00 5 400,00 9 000,00 10 200,00 Charges de personnel 80 000 8 000,00 12 000,00 35 600,00 11 200,00 7 600,00 5 600,00 Autres charges 15 000 600,00 2 700,00 4 500,00 3 300,00 Dotations aux amortissements 24 000 1 200,00 3 600,00 10 800,00 4 800,00 Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 %
Le coût de production des stylos fabriqués Matières premières consommées Matières plastiques : 1 500 kg pour les stylos bleus et 1 000 kg pour les rouges ; CMP : 3 € ; Encre pour les stylos bleus : 5 000 kg ; CMP : 3,20 € par kg ; Encre pour les stylos rouges : 3 450 kg CMP : 4 € par kg. Main-d’œuvre directe : 1 000 heures concernent les stylos bleus et 600 heures concernent les stylos rouges. L’heure de main-d’œuvre directe coûte 15 €. Le centre « Moulage » traite 6 500 kg de matières pour les stylos bleus et 4 000 kg pour les rouges. Le centre « Montage » participe activement à la production ainsi que le centre « Moulage ». Le coût de production des stylos fabriqués 1 500 kg 3 € L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. Document 3 – Coût de production des stylos bleus (janvier N) Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 500 3,00 4 500 - Encre bleue 5 000 3,20 16 000 Main d’œuvre directe (MOD) 1 000 15,00 15 000 Charges indirectes : Moulage 6 500 0,60 3 900 Montage 8,00 8 000,00 Coût de production 60 000 0,79 47 400 01. Expliquez chaque ligne du document 3. Vous rechercherez notamment l’origine des informations. Ce tableau nous montre que les stylos bleus ont nécessité 1 500 kg de matières plastiques à 3 € le kg ; d’où un coût total pour les matières plastiques de 4 500 €.
Le coût de production des stylos fabriqués Matières premières consommées Matières plastiques : 1 500 kg pour les stylos bleus et 1 000 kg pour les rouges ; CMP : 3 € ; Encre pour les stylos bleus : 5 000 kg ; CMP : 3,20 € par kg ; Encre pour les stylos rouges : 3 450 kg CMP : 4 € par kg. Main-d’œuvre directe : 1 000 heures concernent les stylos bleus et 600 heures concernent les stylos rouges. L’heure de main-d’œuvre directe coûte 15 €. Le centre « Moulage » traite 6 500 kg de matières pour les stylos bleus et 4 000 kg pour les rouges. Le centre « Montage » participe activement à la production ainsi que le centre « Moulage ». Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. 5 000 kg 3,20 € Document 3 – Coût de production des stylos bleus (janvier N) Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 500 3,00 4 500 - Encre bleue 5 000 3,20 16 000 Main d’œuvre directe (MOD) 1 000 15,00 15 000 Charges indirectes : Moulage 6 500 0,60 3 900 Montage 8,00 8 000,00 Coût de production 60 000 0,79 47 400 01. Expliquez chaque ligne du document 3. Vous rechercherez notamment l’origine des informations. Ils ont aussi consommé 16 000 € d’encre bleue (5 000 kg d’encre bleue à 3,20 € le kg).
Le coût de production des stylos fabriqués Matières premières consommées Matières plastiques : 1 500 kg pour les stylos bleus et 1 000 kg pour les rouges ; CMP : 3 € ; Encre pour les stylos bleus : 5 000 kg ; CMP : 3,20 € par kg ; Encre pour les stylos rouges : 3 450 kg CMP : 4 € par kg. Main-d’œuvre directe : 1 000 heures concernent les stylos bleus et 600 heures concernent les stylos rouges. L’heure de main-d’œuvre directe coûte 15 €. Le centre « Moulage » traite 6 500 kg de matières pour les stylos bleus et 4 000 kg pour les rouges. Le centre « Montage » participe activement à la production ainsi que le centre « Moulage ». Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. 1 000 h Document 3 – Coût de production des stylos bleus (janvier N) 15 € Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 500 3,00 4 500 - Encre bleue 5 000 3,20 16 000 Main d’œuvre directe (MOD) 1 000 15,00 15 000 Charges indirectes : Moulage 6 500 0,60 3 900 Montage 8,00 8 000,00 Coût de production 60 000 0,79 47 400 01. Expliquez chaque ligne du document 3. Vous rechercherez notamment l’origine des informations. Les stylos bleus ont aussi nécessité 1 000 heures de main-d’œuvre directe, à 15 € l’heure ; ce qui donne donc un coût total de main-d’œuvre directe de 15 000 €.
Le coût de production des stylos fabriqués Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. Document 3 – Coût de production des stylos bleus (janvier N) 0,60 Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 500 3,00 4 500 - Encre bleue 5 000 3,20 16 000 Main d’œuvre directe (MOD) 1 000 15,00 15 000 Charges indirectes : Moulage 6 500 0,60 3 900 Montage 8,00 8 000,00 Coût de production 60 000 0,79 47 400 6 500 01. Expliquez chaque ligne du document 3. Vous rechercherez notamment l’origine des informations. Le centre Moulage a traité 6 500 kg de matières pour les stylos bleus ; on a donc imputé 6 500 unités d’œuvre à 0,60 € l’unité, soit un montant de 3 900 €.
Le coût de production des stylos fabriqués Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. Document 3 – Coût de production des stylos bleus (janvier N) 8,00 Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 500 3,00 4 500 - Encre bleue 5 000 3,20 16 000 Main d’œuvre directe (MOD) 1 000 15,00 15 000 Charges indirectes : Moulage 6 500 0,60 3 900 Montage 8,00 8 000,00 Coût de production 60 000 0,79 47 400 1 000 01. Expliquez chaque ligne du document 3. Vous rechercherez notamment l’origine des informations. Les stylos bleus ont utilisé 1 000 heures de main-d’œuvre directe. On leur a donc imputé 1 000 unités d’œuvre du centre Montage à 8 € l’unité. On a donc imputé aux stylos bleus 8 000 € de charges indirectes venant du centre Montage.
Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. Document 3 – Coût de production des stylos bleus (janvier N) Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 500 3,00 4 500 - Encre bleue 5 000 3,20 16 000 Main d’œuvre directe (MOD) 1 000 15,00 15 000 Charges indirectes : Moulage 6 500 0,60 3 900 Montage 8,00 8 000,00 Coût de production 60 000 0,79 47 400 01. Expliquez chaque ligne du document 3. Vous rechercherez notamment l’origine des informations. Les 60 000 stylos bleus ont, en additionnant tous les éléments, un coût total 47 400 €, ce qui donne un coût unitaire de 0,79 € (47 400 / 60 000).
Le coût de production des stylos fabriqués Matières premières consommées Matières plastiques : 1 500 kg pour les stylos bleus et 1 000 kg pour les rouges ; CMP : 3 € ; Encre pour les stylos bleus : 5 000 kg ; CMP : 3,20 € par kg ; Encre pour les stylos rouges : 3 450 kg CMP : 4 € par kg. Main-d’œuvre directe : 1 000 heures concernent les stylos bleus et 600 heures concernent les stylos rouges. L’heure de main-d’œuvre directe coûte 15 €. Le centre « Moulage » traite 6 500 kg de matières pour les stylos bleus et 4 000 kg pour les rouges. Le centre « Montage » participe activement à la production ainsi que le centre « Moulage ». 3 € L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. 1 000 kg 3 000,00 Coût de production des stylos rouges (janvier N) Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique - Encre rouge Main d’œuvre directe (MOD) Charges indirectes : Moulage Montage Coût de production 02. Déterminez, dans un tableau, le coût de production des stylos rouges.
Le coût de production des stylos fabriqués Matières premières consommées Matières plastiques : 1 500 kg pour les stylos bleus et 1 000 kg pour les rouges ; CMP : 3 € ; Encre pour les stylos bleus : 5 000 kg ; CMP : 3,20 € par kg ; Encre pour les stylos rouges : 3 450 kg CMP : 4 € par kg. Main-d’œuvre directe : 1 000 heures concernent les stylos bleus et 600 heures concernent les stylos rouges. L’heure de main-d’œuvre directe coûte 15 €. Le centre « Moulage » traite 6 500 kg de matières pour les stylos bleus et 4 000 kg pour les rouges. Le centre « Montage » participe activement à la production ainsi que le centre « Moulage ». L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. 3 450 kg 4 € 13 800,00 Coût de production des stylos rouges (janvier N) Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 000 3,00 3 000,00 - Encre rouge Main d’œuvre directe (MOD) Charges indirectes : Moulage Montage Coût de production 02. Déterminez, dans un tableau, le coût de production des stylos rouges.
Le coût de production des stylos fabriqués Matières premières consommées Matières plastiques : 1 500 kg pour les stylos bleus et 1 000 kg pour les rouges ; CMP : 3 € ; Encre pour les stylos bleus : 5 000 kg ; CMP : 3,20 € par kg ; Encre pour les stylos rouges : 3 450 kg CMP : 4 € par kg. Main-d’œuvre directe : 1 000 heures concernent les stylos bleus et 600 heures concernent les stylos rouges. L’heure de main-d’œuvre directe coûte 15 €. Le centre « Moulage » traite 6 500 kg de matières pour les stylos bleus et 4 000 kg pour les rouges. Le centre « Montage » participe activement à la production ainsi que le centre « Moulage ». L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. 9 000,00 600 h 15 € Coût de production des stylos rouges (janvier N) Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 000 3,00 3 000,00 - Encre rouge 3 450 4,00 13 800,00 Main d’œuvre directe (MOD) Charges indirectes : Moulage Montage Coût de production 02. Déterminez, dans un tableau, le coût de production des stylos rouges.
Le coût de production des stylos fabriqués Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. 2 400,00 Coût de production des stylos rouges (janvier N) 0,60 Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 000 3,00 3 000,00 - Encre rouge 3 450 4,00 13 800,00 Main d’œuvre directe (MOD) 600 15,00 9 000,00 Charges indirectes : Moulage Montage Coût de production 4 000 02. Déterminez, dans un tableau, le coût de production des stylos rouges.
Le coût de production des stylos fabriqués Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. Coût de production des stylos rouges (janvier N) 4 800,00 8,00 Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 000 3,00 3 000,00 - Encre rouge 3 450 4,00 13 800,00 Main d’œuvre directe (MOD) 600 15,00 9 000,00 Charges indirectes : Moulage 4 000 0,60 2 400,00 Montage Coût de production 600 02. Déterminez, dans un tableau, le coût de production des stylos rouges.
Le coût de production des stylos fabriqués L’entreprise Compte de Cib fabrique, entre autres, des stylos rouges et des stylos bleus. A cours du mois de janvier N, elle a fabriqué 60 000 stylos bleus et 30 000 stylos rouges. 30 000 Coût de production des stylos rouges (janvier N) 33 000,00 Éléments Quantités Coût unitaire Montant Matières premières : Plastique 1 000 3,00 3 000,00 - Encre rouge 3 450 4,00 13 800,00 Main d’œuvre directe (MOD) 600 15,00 9 000,00 Charges indirectes : Moulage 4 000 0,60 2 400,00 Montage 8,00 4 800,00 Coût de production 1,10 02. Déterminez, dans un tableau, le coût de production des stylos rouges.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. Fiche de stock des stylos bleus pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 6 000 0,90 5 400 Entrée (production) 60 000 0,79 47 400 Sortie (vente) 63 000 0,80 50 400 Stock final 3 000 2 400 TOTAUX 66 000 52 800 03. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. En début de période (d’après l’énoncé), il restait en stock 6 000 stylos bleus valorisés à 0,90 € l’unité. Le stock initial avait donc une valeur de 5 400 €.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. Fiche de stock des stylos bleus pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 6 000 0,90 5 400 Entrée (production) 60 000 0,79 47 400 Sortie (vente) 63 000 0,80 50 400 Stock final 3 000 2 400 TOTAUX 66 000 52 800 03. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. Au cours de la période ont été produits (et sont donc rentrés en stock) 60 000 stylos bleus pour un coût total de 47 400 €, ce qui donne 0,79 € par stylo. Ces informations découlent du calcul du coût de production.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. Fiche de stock des stylos bleus pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 6 000 0,90 5 400 Entrée (production) 60 000 0,79 47 400 Sortie (vente) 63 000 0,80 50 400 Stock final 3 000 2 400 TOTAUX 66 000 52 800 03. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. Au total, l’entreprise disposait donc de 66 000 stylos (6 000 au départ, plus les 60 000 fabriqués), qui ont coûté au total 52 800 € (5 400 + 47 400). Cela donne un coût moyen unitaire pondéré (CMP) de 0,80 € (52 800 € / 66 000 stylos).
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. Fiche de stock des stylos bleus pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 6 000 0,90 5 400 Entrée (production) 60 000 0,79 47 400 Sortie (vente) 63 000 0,80 50 400 Stock final 3 000 2 400 TOTAUX 66 000 52 800 03. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. Les 63 000 stylos vendus (d’après l’énoncé) – donc sortis du stock – vont être valorisés au CMP (0,80 €). Le coût de production des produits vendus s’élève donc à 50 400 € (63 000 0,80 €).
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. Fiche de stock des stylos bleus pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 6 000 0,90 5 400 Entrée (production) 60 000 0,79 47 400 Sortie (vente) 63 000 0,80 50 400 Stock final 3 000 2 400 TOTAUX 66 000 52 800 03. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. On disposait de 66 000 stylos, on en vend 63 000. Il reste donc en stock 3 000 stylos, valorisés au CMP (0,80 €). Le stock final de stylos bleus a donc une valeur de 2 400 €.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. Fiche de stock des stylos bleus pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 6 000 0,90 5 400 Entrée (production) 60 000 0,79 47 400 Sortie (vente) 63 000 0,80 50 400 Stock final 3 000 2 400 TOTAUX 66 000 52 800 04. Que représentent les 50 400 € ? Les 50 400 € représentent le coût de production des produits vendus.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. 3 000 1,00 3 000 Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial Entrée (production) Sortie (vente) Stock final TOTAUX 05. Réalisez la fiche de stock des stylos rouges. Soulignez dans la fiche de stock le coût de production des stylos rouges vendus.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. 1,11 30 000 33 300 Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 3 000 1,00 Entrée (production) Sortie (vente) Stock final TOTAUX 05. Réalisez la fiche de stock des stylos rouges. Soulignez dans la fiche de stock le coût de production des stylos rouges vendus.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. 1,10 Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 3 000 1,00 Entrée (production) 30 000 1,11 33 300 Sortie (vente) Stock final TOTAUX 33 000 36 300 05. Réalisez la fiche de stock des stylos rouges. Soulignez dans la fiche de stock le coût de production des stylos rouges vendus.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. 35 310 32 100 Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 3 000 1,00 Entrée (production) 30 000 1,11 33 300 Sortie (vente) Stock final TOTAUX 33 000 1,10 36 300 1,10 05. Réalisez la fiche de stock des stylos rouges. Soulignez dans la fiche de stock le coût de production des stylos rouges vendus.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. 990 Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 3 000 1,00 Entrée (production) 30 000 1,11 33 300 Sortie (vente) 32 100 1,10 35 310 Stock final TOTAUX 33 000 36 300 900 1,10 05. Réalisez la fiche de stock des stylos rouges. Soulignez dans la fiche de stock le coût de production des stylos rouges vendus.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. 1,10 Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 3 000 1,00 Entrée (production) 30 000 1,11 33 300 Sortie (vente) 32 100 1,10 35 310 Stock final 900 990 TOTAUX 33 000 36 300 33 000 36 300 05. Réalisez la fiche de stock des stylos rouges. Soulignez dans la fiche de stock le coût de production des stylos rouges vendus.
Le coût de production des stylos vendus Les stylos fabriqués sont stockés avant d’être vendus. Les fiches de stock des stylos sont tenues en utilisant la méthode du coût moyen pondéré en fin de période. Au début du mois de janvier, il restait en stock 6 000 stylos bleus évalués à 0,90 € l’unité et 3 000 stylos rouges évalués à 1 € l’unité. Au mois de janvier, on a produit 60 000 stylos bleus pour un coût total de production de 47 400 € et 30 000 stylos rouges pour un coût de production total de 33 300 €. On a vendu 63 000 stylos bleus et 32 100 rouges. Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 3 000 1,00 Entrée (production) 30 000 1,11 33 300 Sortie (vente) 32 100 1,10 35 310 Stock final 900 990 TOTAUX 33 000 36 300 05. Réalisez la fiche de stock des stylos rouges. Soulignez dans la fiche de stock le coût de production des stylos rouges vendus.
Le coût de revient des stylos et son commentaire Tableau de calcul du coût de revient des stylos bleus Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 63 000 0,80 50 400 Charges indirectes de distribution 6 % 3 024 Charges indirectes d’administration 4 % 2 016 Coût de revient 0,88 55 440 06. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. Le coût de production des produits vendus est obtenu grâce à l’établissement de la fiche de stock. Il correspond au nombre de stylos vendus valorisés au CMP (63 000 0,80 € = 50 400 €).
Le coût de revient des stylos et son commentaire Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % Le coût de revient des stylos et son commentaire 6 % Tableau de calcul du coût de revient des stylos bleus Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 63 000 0,80 50 400 Charges indirectes de distribution 6 % 3 024 Charges indirectes d’administration 4 % 2 016 Coût de revient 0,88 55 440 06. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. Les charges indirectes sont à rechercher dans le tableau de répartition de l'activité 1. Ici, il s’agit de calculer le coût de revient ; on prend donc uniquement les charges hors production (et plus particulièrement les charges liées à la distribution des produits). On a donc imputé 3 024 € de charges indirectes de distribution (50 400 € 0,06).
Le coût de revient des stylos et son commentaire Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % Le coût de revient des stylos et son commentaire 4 % Tableau de calcul du coût de revient des stylos bleus Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 63 000 0,80 50 400 Charges indirectes de distribution 6 % 3 024 Charges indirectes d’administration 4 % 2 016 Coût de revient 0,88 55 440 06. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. Le tableau d’analyse des charges indirectes montre que les charges indirectes d’administration sont réparties en fonction du coût de production des produits vendus avec un coût d’unité d’œuvre de 4 %. On a donc imputé 2 016 € de charges indirectes d’administration (50 400 € 0,04).
Le coût de revient des stylos et son commentaire Tableau de calcul du coût de revient des stylos bleus Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 63 000 0,80 50 400 Charges indirectes de distribution 6 % 3 024 Charges indirectes d’administration 4 % 2 016 Coût de revient 0,88 55 440 06. Expliquez la ligne du tableau. Vous justifierez l’origine des informations et les calculs effectués. Les 63 000 stylos bleus vendus ont donc coûté au total 55 440 € (50 400 + 3 024 + 2 016), ce qui donne un coût d e revient par stylo de 0,88 € (55 440 € / 63 000 stylos).
Le coût de revient des stylos et son commentaire Fiche de stock des stylos rouges pour le mois de janvier Libellés Entrées Sorties Quantité Coût unitaire Montant Quantité (kg) Stock initial 3 000 1,00 Entrée (production) 30 000 1,11 33 300 Sortie (vente) 32 100 1,10 35 310 Stock final 900 990 TOTAUX 33 000 36 300 32 100 1,10 35 310 Tableau de calcul du coût de revient des stylos rouges Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus Charges indirectes de distribution Charges indirectes d’administration Coût de revient 07. Calculez le coût de revient des stylos rouges.
Le coût de revient des stylos et son commentaire Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % 2 118,60 6 % Tableau de calcul du coût de revient des stylos rouges Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 32 100 1,10 35 310 Charges indirectes de distribution Charges indirectes d’administration Coût de revient 35 310 07. Calculez le coût de revient des stylos rouges.
Le coût de revient des stylos et son commentaire Total Gestion du personnel Approv. Moulage Montage Distribution Admin. Total répartition primaire 150 000 11 500,00 20 850,00 54 250,00 29 700,00 20 680,00 13 020,00 Gestion du personnel - 11 500,00 10 % 1 150,00 50 % 5 750,00 20 % 2 300,00 8 % 920,00 12 % 1 380,00 Totaux secondaires 0,00 22 000,00 60 000,00 32 000,00 21 600,00 14 400,00 Nature d’unité d’œuvre Le kg de matière achetée Le kg de matière traitée Heure de main-d’œuvre directe Coût de production des produits vendus Nombre d’unités d’œuvre 110 000 100 000 4 000 360 000 Coût d’unité d’œuvre 0,20 0,60 8,00 6 % 4 % 4 % Tableau de calcul du coût de revient des stylos rouges Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 32 100 1,10 35 310 Charges indirectes de distribution 6 % 2 118,60 Charges indirectes d’administration Coût de revient 1 412,40 35 310 07. Calculez le coût de revient des stylos rouges.
Le coût de revient des stylos et son commentaire 1,21 Tableau de calcul du coût de revient des stylos rouges Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 32 100 1,10 35 310 Charges indirectes de distribution 6 % 2 118,60 Charges indirectes d’administration 4 % 1 412,40 Coût de revient 32 100 38 841 07. Calculez le coût de revient des stylos rouges.
Le coût de revient des stylos et son commentaire Tableau de calcul du coût de revient des stylos bleus Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 63 000 0,80 50 400 Charges indirectes de distribution 6 % 3 024 Charges indirectes d’administration 4 % 2 016 Coût de revient 0,88 55 440 08. En vous aidant des informations complé-mentaires, commentez le coût de revient des stylos bleus et des stylos rouges. Tableau de calcul du coût de revient des stylos rouges Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 32 100 1,10 35 310 Charges indirectes de distribution 6 % 2 118,60 Charges indirectes d’administration 4 % 1 412,40 Coût de revient 1,21 38 841 Les stylos bleus sont bénéficiaires car ils sont vendus plus cher (1 €) que leur coût de revient (0,88 €). En revanche, les stylos rouges sont déficitaires car ils sont vendus moins cher que leur coût de revient (1,10 € de prix de vente pour un coût de revient de 1,21 €). Éléments Stylos bleus Stylos rouges Prix de vente 1,00 1,10 Coût de revient des stylos au mois de décembre N-1 0,99
Le coût de revient des stylos et son commentaire Tableau de calcul du coût de revient des stylos bleus Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 63 000 0,80 50 400 Charges indirectes de distribution 6 % 3 024 Charges indirectes d’administration 4 % 2 016 Coût de revient 0,88 55 440 08. En vous aidant des informations complé-mentaires, commentez le coût de revient des stylos bleus et des stylos rouges. Tableau de calcul du coût de revient des stylos rouges Éléments Quantité Coût unitaire Montant Coût de production des produits vendus 32 100 1,10 35 310 Charges indirectes de distribution 6 % 2 118,60 Charges indirectes d’administration 4 % 1 412,40 Coût de revient 1,21 38 841 Le coût de revient des stylos bleus baisse, passant de 0,99 € à 0,80 €. Celui des stylos rouges augmente, ce qui est inquiétant, passant de 1,10 € à 1,21 €. Cependant, nous ne connaissons pas les causes de ces évolutions (variation du prix des matières, modification des cadences ou des techniques de production et d’organisation…). Éléments Stylos bleus Stylos rouges Prix de vente 1,00 1,10 Coût de revient des stylos au mois de décembre N-1 0,99
Le résultat des stylos bleus Résultat des stylos bleus en janvier Éléments Quantité Coût Unitaire Montant Ventes 63 000 1 Coût de revient des produis vendus 0,88 55 440 Résultat 0,12 7 560 En décembre, le résultat unitaire était de 0,11 €. En moyenne, on estime que les entreprises concurrentes réalisent un bénéfice par stylo égal à 10 % du prix de vente. 9. Comment a été obtenu le résultat dégagé par la vente des stylos bleus ? Le résultat s’obtient en faisant la différence entre le montant des ventes et le coût de revient des produits vendus. Le résultat peut être global en faisant la différence entre le total des ventes et le coût de revient de tous les produits vendus (ici : 63 000 – 55 440). Le résultat unitaire de 0,12 € se calcule en divisant le résultat global obtenu par le nombre de stylos (ici : 7 560 / 63 000). Il peut aussi s’obtenir en faisant la différence entre le prix de vente unitaire et le coût de revient unitaire (ici : 1 - 0,88).
Le résultat des stylos bleus Résultat des stylos bleus en janvier Éléments Quantité Coût Unitaire Montant Ventes 63 000 1 Coût de revient des produis vendus 0,88 55 440 Résultat 0,12 7 560 En décembre, le résultat unitaire était de 0,11 €. En moyenne, on estime que les entreprises concurrentes réalisent un bénéfice par stylo égal à 10 % du prix de vente. 10. Que représente ce résultat ? Le résultat des stylos bleus, qui est positif, indique que l’entreprise vend ses stylos à un prix de vente supérieur à leur coût de revient. Elle réalise un bénéfice de 0,12 € par stylo, soit un gain total de 7 560 €.
Le résultat des stylos bleus Résultat des stylos bleus en janvier Éléments Quantité Coût Unitaire Montant Ventes 63 000 1 Coût de revient des produis vendus 0,88 55 440 Résultat 0,12 7 560 En décembre, le résultat unitaire était de 0,11 €. En moyenne, on estime que les entreprises concurrentes réalisent un bénéfice par stylo égal à 10 % du prix de vente. 11. Commentez ce résultat. Il faut tout d’abord constater que ce résultat est positif. Les stylos bleus dégagent un bénéfice de 0,12 € par stylo, soit 12 % (0,12 / 1 100) du prix de vente. Ce résultat est en hausse par rapport à la période précédente (0,11 €) et la marge bénéficiaire par stylo est plus importante que ses concurrents.
Activité 5 – Calculs et commentaire du résultat des stylos rouges DOSSIER 17 Activité 5 – Calculs et commentaire du résultat des stylos rouges
Calculs et commentaire du résultat des stylos rouges 36 410 En, janvier, 33 100 stylos rouges sont vendus à 1,10 € HT l’unité. En décembre, le prix de vente était de 1,20 € et le bénéfice par stylo était de 10 centimes. Le coût de revient unitaire est de 1,21 en janvier. 33 100 1,10 12. Calculez le résultat des stylos rouges. Éléments Quantité Coût Unitaire Montant Ventes Coût de revient des produis vendus Résultat
Calculs et commentaire du résultat des stylos rouges 40 051 En, janvier, 33 100 stylos rouges sont vendus à 1,10 € HT l’unité. En décembre, le prix de vente était de 1,20 € et le bénéfice par stylo était de 10 centimes. Le coût de revient unitaire est de 1,21 en janvier. 33 100 1,10 12. Calculez le résultat des stylos rouges. Éléments Quantité Coût Unitaire Montant Ventes 33 100 1,10 36 410 Coût de revient des produis vendus Résultat
Calculs et commentaire du résultat des stylos rouges - 0,11 Calculs et commentaire du résultat des stylos rouges - 3 641 En, janvier, 33 100 stylos rouges sont vendus à 1,10 € HT l’unité. En décembre, le prix de vente était de 1,20 € et le bénéfice par stylo était de 10 centimes. Le coût de revient unitaire est de 1,21 en janvier. 33 100 12. Calculez le résultat des stylos rouges. Éléments Quantité Coût Unitaire Montant Ventes 33 100 1,10 36 410 Coût de revient des produis vendus 1,21 40 051 Résultat
Calculs et commentaire du résultat des stylos rouges En, janvier, 33 100 stylos rouges sont vendus à 1,10 € HT l’unité. En décembre, le prix de vente était de 1,20 € et le bénéfice par stylo était de 10 centimes. Le coût de revient unitaire est de 1,21 en janvier. Éléments Quantité Coût Unitaire Montant Ventes 33 100 1,10 36 410 Coût de revient des produis vendus 1,21 40 051 Résultat - 0,11 - 3 641 13. Commentez ce résultat. Ce résultat est négatif. La perte des stylos rouges s’élève à 3 641 €, soit 0,11 € par unité. Cette perte s’explique par une baisse du prix de vente et une hausse du coût de revient.
Activité 6 – Comment calculer le juste prix de mes produits ? DOSSIER 17 Activité 6 – Comment calculer le juste prix de mes produits ?
Comment calculer le juste prix de mes produits ? La question n’est pas anodine. […] Les réponses sont plus compliquées qu’il n’y paraît, car le prix n’est pas le seul élément déterminant. Le prix est avant tout fonction des attentes du client. Pour résumer, un litre d’eau vaudra beaucoup plus sur une île déserte que sur un linéaire de supermarché […] Si les attentes sont fortes, et le produit (ou service) procure beaucoup d’avantages à son utilisateur, le prix de vente peut être élevé et sans relation directe avec le coût de revient. Si ces attentes et ces avantages sont plus faibles, et le produit (ou service) se situe dans un environnement très concurrentiel […] le prix dépend alors de deux critères principaux : le coût de revient et le prix des concurrents. Ensuite se pose la question de la durée de vie du produit. On peut faire des efforts au démarrage sur un produit à l’espérance de vie de cinq ou six ans (ou plus), mais pas sur des produits de mode, qui doivent être immédiatement rentables. […] Enfin, le prix doit être compatible avec le prix de revient, appréhendé comme une limite basse à ne pas franchir. Il n’y a pas de limite haute en théorie. Le produit doit rapporter. Le prix de vente sera donc le plus proche possible de la limite maximale acceptable par le client. « L’avis des experts », L’Entreprise, n° 191, septembre 2001.
Comment calculer le juste prix de mes produits ? La question n’est pas anodine. […] Les réponses sont plus compliquées qu’il n’y paraît, car le prix n’est pas le seul élément déterminant. Le prix est avant tout fonction des attentes du client. Pour résumer, un litre d’eau vaudra beaucoup plus sur une île déserte que sur un linéaire de supermarché […] Si les attentes sont fortes, et le produit (ou service) procure beaucoup d’avantages à son utilisateur, le prix de vente peut être élevé et sans relation directe avec le coût de revient. Si ces attentes et ces avantages sont plus faibles, et le produit (ou service) se situe dans un environnement très concurrentiel […] le prix dépend alors de deux critères principaux : le coût de revient et le prix des concurrents. Ensuite se pose la question de la durée de vie du produit. On peut faire des efforts au démarrage sur un produit à l’espérance de vie de cinq ou six ans (ou plus), mais pas sur des produits de mode, qui doivent être immédiatement rentables. […] Enfin, le prix doit être compatible avec le prix de revient, appréhendé comme une limite basse à ne pas franchir. Il n’y a pas de limite haute en théorie. Le produit doit rapporter. Le prix de vente sera donc le plus proche possible de la limite maximale acceptable par le client. « L’avis des experts », L’Entreprise, n° 191, septembre 2001. 14. Le résultat d’un produit dépend de deux éléments. Lesquels ? Le résultat d’un produit dépend de son prix de vente et de son coût de revient. Si l’entreprise souhaite agir sur le résultat, elle doit donc prendre en compte ces deux éléments. Elle peut ainsi se demander : puis-je diminuer mon coût de revient ? Puis-je augmenter mon prix de vente ?
Comment calculer le juste prix de mes produits ? La question n’est pas anodine. […] Les réponses sont plus compliquées qu’il n’y paraît, car le prix n’est pas le seul élément déterminant. Le prix est avant tout fonction des attentes du client. Pour résumer, un litre d’eau vaudra beaucoup plus sur une île déserte que sur un linéaire de supermarché […] Si les attentes sont fortes, et le produit (ou service) procure beaucoup d’avantages à son utilisateur, le prix de vente peut être élevé et sans relation directe avec le coût de revient. Si ces attentes et ces avantages sont plus faibles, et le produit (ou service) se situe dans un environnement très concurrentiel […] le prix dépend alors de deux critères principaux : le coût de revient et le prix des concurrents. Ensuite se pose la question de la durée de vie du produit. On peut faire des efforts au démarrage sur un produit à l’espérance de vie de cinq ou six ans (ou plus), mais pas sur des produits de mode, qui doivent être immédiatement rentables. […] Enfin, le prix doit être compatible avec le prix de revient, appréhendé comme une limite basse à ne pas franchir. Il n’y a pas de limite haute en théorie. Le produit doit rapporter. Le prix de vente sera donc le plus proche possible de la limite maximale acceptable par le client. « L’avis des experts », L’Entreprise, n° 191, septembre 2001. 15. Est-ce le coût de revient qui détermine le prix de vente ? Justifiez votre réponse. Non, le coût de revient ne détermine pas uniquement le prix de vente. Le coût de revient est une contrainte, il détermine une limite basse. Si le prix de vente est fixé en dessous du coût de revient, le produit est déficitaire, ce qui est rarement acceptable.
Comment calculer le juste prix de mes produits ? La question n’est pas anodine. […] Les réponses sont plus compliquées qu’il n’y paraît, car le prix n’est pas le seul élément déterminant. Le prix est avant tout fonction des attentes du client. Pour résumer, un litre d’eau vaudra beaucoup plus sur une île déserte que sur un linéaire de supermarché […] Si les attentes sont fortes, et le produit (ou service) procure beaucoup d’avantages à son utilisateur, le prix de vente peut être élevé et sans relation directe avec le coût de revient. Si ces attentes et ces avantages sont plus faibles, et le produit (ou service) se situe dans un environnement très concurrentiel […] le prix dépend alors de deux critères principaux : le coût de revient et le prix des concurrents. Ensuite se pose la question de la durée de vie du produit. On peut faire des efforts au démarrage sur un produit à l’espérance de vie de cinq ou six ans (ou plus), mais pas sur des produits de mode, qui doivent être immédiatement rentables. […] Enfin, le prix doit être compatible avec le prix de revient, appréhendé comme une limite basse à ne pas franchir. Il n’y a pas de limite haute en théorie. Le produit doit rapporter. Le prix de vente sera donc le plus proche possible de la limite maximale acceptable par le client. « L’avis des experts », L’Entreprise, n° 191, septembre 2001. Le prix dépend principalement du marché, c’est-à-dire des clients et des concurrents. Le prix que le client est prêt à payer dépend de ce que lui apporte le produit. La présence de concurrents proposant les mêmes produits et répondant aux mêmes attentes va souvent contraindre à un alignement des prix. La durée de vie du produit joue aussi : un produit ayant une durée de vie courte devra être rentable rapidement. Enfin, le prix doit tenir compte du coût de revient, car un produit a vocation à être rentable . 16. Quels sont les éléments à prendre en compte pour fixer un prix de vente ?
Sources : Éditions Nathan Technique Collection : Equilibre Première STG Gestion Diaporama adapté et automatisé par M. Grard (enseignant) Sources : Éditions Nathan Technique Collection : Equilibre Retour vers les liens