Question rédactionnelle Donnez les signes distinctifs de tumeur osseuse maligne et bénigne sur les clichés standard...
Question rédactionnelle Décrivez les signes de radiologie standard des trois types d’arthropathie périphérique...
QCM (2 réponses) Les signes radiologiques d’une arthrite inflammatoire sont : A. ostéophytose, B. pincement articulaire localisé, C. densification de l ’os sous-chondral, D. érosions périchondrales, E. déminéralisation épiphysaire Les signes radiologiques d’une arthrite inflammatoire sont : A. ostéophytose, B. pincement articulaire localisé, C. densification de l’os sous-chondral, D. érosions périchondrales, E. déminéralisation épiphysaire
QCM (1 réponse) Les signes radiologiques suivants appartiennent à l’arthrite septique sauf un, indiquez lequel : A. ostéophyte, B. pincement articulaire, C. géode en miroir D. déminéralisation sous-chondrale E. épaississement des parties molles Les signes radiologiques suivants appartiennent à l’arthrite septique sauf un, indiquez lequel : A. ostéophyte, B. pincement articulaire, C. géode en miroir D. déminéralisation sous-chondrale E. épaississement des parties molles
QCM (4 réponses) Devant une épaule douloureuse pseudo-paralytique, les examens utiles au diagnostic sont : A. radiographie standard face, profil B. arthrographie, C. épreuve de Leclerc, D. scintigraphie E. IRM d’épaule Devant une épaule douloureuse pseudo-paralytique, les examens utiles au diagnostic sont : A. radiographie standard face, profil B. arthrographie, C. épreuve de Leclerc, D. scintigraphie E. IRM d’épaule
QCM (4 réponses) Les signes radiologiques en faveur d’une rupture de la coiffe des rotateurs sont : A. hyperéchogénicité intratendineuse en échographie, B. amincissement du tendon et hyposignal franc en T2 en IRM, C. ascension de la tête humérale sur la radiographie standard D. ostéophytose trochitérienne et acromiale sur la radiographie standard, E. passage de produit de contraste dans la bourse sous-acromio-deltoïdienne en arthrographie Les signes radiologiques en faveur d’une rupture de la coiffe des rotateurs sont : A. hyperéchogénicité intratendineuse en échographie, B. amincissement du tendon et hyposignal franc en T2 en IRM, C. ascension de la tête humérale sur la radiographie standard D. ostéophytose trochitérienne et acromiale sur la radiographie standard, E. passage de produit de contraste dans la bourse sous-acromio-deltoïdienne en arthrographie
QCM (2 réponses) L’interligne de la hanche est pincé au cours de : A. la coxarthrose primitive, B. la nécrose de la tête fémorale, C. la coxite rhumatoïde D. l’alogdystrophie, E. tous les cas précédents L’interligne de la hanche est pincé au cours de : A. la coxarthrose primitive, B. la nécrose de la tête fémorale, C. la coxite rhumatoïde D. l’alogdystrophie, E. tous les cas précédents
QCM (1 réponse) Une encoche du condyle interne repérée sur la radiographie standard chez un jeune patient présentant des douleurs du genou de type mécanique fait évoquer : A . arthrose, B. ostéochondrite, C. algodystrophie, D. apophysite tibiale antérieure, E. chondromalacie. Une encoche du condyle interne repérée sur la radiographie standard chez un jeune patient présentant des douleurs du genou de type mécanique fait évoquer : A . arthrose, B. ostéochondrite, C. algodystrophie, D. apophysite tibiale antérieure, E. chondromalacie.
QCM (3 réponses) L’exploration des lésions méniscales se fait par : A. IRM, B. radiographie standard, C. arthrographie, D. arthroscanner, E. TDM L’exploration des lésions méniscales se fait par : A. IRM, B. radiographie standard, C. arthrographie, D. arthroscanner, E. TDM
QCM (3 réponses) Devant un pincement discal isolé, on retient en faveur d’une spondylodiscite infectieuse: A. un flou des plateaux vertébraux adjacents, B. un fuseau paravertébral, C. une géode intracorporéale D. une calcification discale, E. une syndesmophytose. Devant un pincement discal isolé, on retient en faveur d’une spondylodiscite infectieuse: A. un flou des plateaux vertébraux adjacents, B. un fuseau paravertébral, C. une géode intracorporéale D. une calcification discale, E. une syndesmophytose.
QCM (1 réponse) L’absence d’un pédicule sur une radiographie de vertèbre de face fait évoquer : A. une métastase osseuse, B. une séquelle de traumatisme, C. un spina bifida, D. une maladie de Paget, E. une ostéoporose L’absence d’un pédicule sur une radiographie de vertèbre de face fait évoquer : A. une métastase osseuse, B. une séquelle de traumatisme, C. un spina bifida, D. une maladie de Paget, E. une ostéoporose
QMC (2 réponses) Parmi les propositions suivantes concernant les caractéristiques de l’image de la hernie au scanner, lesquelles sont exactes ? A. sa densité est de l’ordre de 60 à 120 UH, B. elle déborde le disque en arrière de façon régulière et symétrique, C. sa densité est voisine de celle de la graisse épidurale avec laquelle elle se confond, D. elle apparaît comme refoulant plus ou moins le sac dural et la racine, E. l’absence d’anomalie permet d’écarter toute suspicion de hernie discale Parmi les propositions suivantes concernant les caractéristiques de l’image de la hernie au scanner, lesquelles sont exactes ? A. sa densité est de l’ordre de 60 à 120 UH, B. elle déborde le disque en arrière de façon régulière et symétrique, C. sa densité est voisine de celle de la graisse épidurale avec laquelle elle se confond, D. elle apparaît comme refoulant plus ou moins le sac dural et la racine, E. l’absence d’anomalie permet d’écarter toute suspicion de hernie discale
QCM (2 réponses) Parmi les propositions suivantes concernant la saccoradiculo-myélographie, lesquelles sont exactes ? A. elle présente l’avantage de pouvoir être réalisée en position debout, B. elle doit être demandée en première intention dans une sciatique paralysante ou lorsqu’on suspecte la possibilité d’une tumeur intrarachidienne, C. elle permet de voir l’image directe de la hernie discale, D. elle est particulièrement démonstrative en cas de hernie discale latérale, E. il existe souvent des « faux négatifs » à l’étage L5S1. Parmi les propositions suivantes concernant la saccoradiculo-myélographie, lesquelles sont exactes ? A. elle présente l’avantage de pouvoir être réalisée en position debout, B. elle doit être demandée en première intention dans une sciatique paralysante ou lorsqu’on suspecte la possibilité d’une tumeur intrarachidienne, C. elle permet de voir l’image directe de la hernie discale, D. elle est particulièrement démonstrative en cas de hernie discale latérale, E. il existe souvent des « faux négatifs » à l’étage L5S1.
QCM (2 réponses) Parmi les maladies suivantes, lesquelles peuvent être responsables d’une spondylopathie pouvant éventuellement poser un problème de diagnostic différentiel radiologique avec une spondylodiscite infectieuse A. ostéomalacie, B. spondylarthrite ankylosante, C. maladie de Paget D. chondrocalcinose, E. arthrose érosive. Parmi les maladies suivantes, lesquelles peuvent être responsables d’une spondylopathie pouvant éventuellement poser un problème de diagnostic différentiel radiologique avec une spondylodiscite infectieuse A. ostéomalacie, B. spondylarthrite ankylosante, C. maladie de Paget D. chondrocalcinose, E. arthrose érosive.
QCM (2 réponses) Parmi les affirmations suivantes concernant la biopsie vertébrale au trocart, radioguidée, laquelle ou lesquelles sont fausses ? A. elle peut être réalisée sur un disque radiologiquement intact, si d ’autres arguments cliniques ou paracliniques (scintigraphie, IRM…) permettent de suspecte à ce niveau l ’existence d’une spondylodiscite débutante, B. la biopsie est inutile si l’examen radiologique est très évocateur d’une spondylodiscite infectieuse, C. les prélèvements peuvent être effectués tant au niveau du disque qu’au niveau de l’os, D. cette technique permet la réalisation à la fois d’un examen bactériologique et d’un examen anatomopathologique, E. l’absence de germes à la ponction biopsie vertébrale permet d’éliminer le diagnostic de spondylodiscite infectieuse Parmi les affirmations suivantes concernant la biopsie vertébrale au trocart, radioguidée, laquelle ou lesquelles sont fausses ? A. elle peut être réalisée sur un disque radiologiquement intact, si d ’autres arguments cliniques ou paracliniques (scintigraphie, IRM…) permettent de suspecte à ce niveau l ’existence d’une spondylodiscite débutante, B. la biopsie est inutile si l’examen radiologique est très évocateur d’une spondylodiscite infectieuse, C. les prélèvements peuvent être effectués tant au niveau du disque qu’au niveau de l’os, D. cette technique permet la réalisation à la fois d’un examen bactériologique et d’un examen anatomopathologique, E. l’absence de germes à la ponction biopsie vertébrale permet d’éliminer le diagnostic de spondylodiscite infectieuse
QCM (1 réponse) Parmi les circonstances suivantes, laquelle ou lesquelles constituent des indications d’une chimionucléolyse A. lombalgie chronique par discarthrose, B. sciatique par hernie discale, prouvée au scanner, résistant depuis 15 jours au repos et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, C. sciatique par hernie discale, prouvée au scanner, récidivante dès le lever, après traitement par repos, anti-inflammatoires, injections épidurales, tractions et lombostat plâtré, D. suspicion de hernie discale exclue responsable d’une sciatique rebelle au traitement médical depuis 3 mois, E. récidive de sciatique postopératoire en relation avec un fragment discal résiduel Parmi les circonstances suivantes, laquelle ou lesquelles constituent des indications d’une chimionucléolyse A. lombalgie chronique par discarthrose, B. sciatique par hernie discale, prouvée au scanner, résistant depuis 15 jours au repos et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, C. sciatique par hernie discale, prouvée au scanner, récidivante dès le lever, après traitement par repos, anti-inflammatoires, injections épidurales, tractions et lombostat plâtré, D. suspicion de hernie discale exclue responsable d’une sciatique rebelle au traitement médical depuis 3 mois, E. récidive de sciatique postopératoire en relation avec un fragment discal résiduel
QCM (3 réponses) En cas de suspicion de spondylodiscite et en l’absence d’argument radiologique sur les clichés standards, quel complément d’examen peut-on réaliser A. scintigraphie, B. saccoradiculographie, C. biopsie à l’aveugle, D. IRM, E. discographie En cas de suspicion de spondylodiscite et en l’absence d’argument radiologique sur les clichés standards, quel complément d’examen peut-on réaliser A. scintigraphie, B. saccoradiculographie, C. biopsie à l’aveugle, D. IRM, E. discographie