GT informatique phase 1 Atelier informatique phase 2 GTs informatiques GT informatique phase 1 Atelier informatique phase 2
Quelques chiffres Phase I ~ 35 personnes Phase II ~ 10/15 personnes (+5/10 online) Pour un ensemble de ~ 50 personnes dans les services informatiques
Quelques rappels De nombreuses collaborations Au sein des laboratoires P2IO Au sein de l’IN2P3 Dans tout les métiers de l’informatique Ces collaborations ne concernent qu’une partie de l’informatique de nos laboratoires Pour nous, la question n’était pas tant « Y a t il un intérêt à travailler ensemble ? » mais plutôt « Comment améliorer les collaborations existantes ? »
Nous voulons travailler mieux et plus ensemble, mais … Extrait du rapport du GT info phase 1
Développement Techniques / Online / Scientifique Nécessitent de plus en plus de synergies avec d’autres domaines Infrastructure d’acquisition de plus en plus complexe (stockage, réseau, …) nécessitant une expertise dans ces domaines Besoin de renforcer le soutien aux physiciens Diversité accrue des technologies de calcul (GPU, multi-thread, …) Nouvelles approches d’analyse (Machine Learning) Nouvelles infrastructures de calcul (Spark) Porteurs et/ou acteurs dans de nombreux projets
« ASR »s Support utilisateurs / Gestion d’infrastructures Mise en œuvre de systèmes plus complexes et plus virtualisés. Infrastructure de calcul (Grille, Cloud, Spark, …) Infrastructure de stockage (Grille, CEPH, …) Infrastructure de service (Active Directory, Virtualisation des services, …) Le support de proximité aux utilisateurs reste une mission essentielle des services informatiques. Augmentation de la menace « numérique » Accès aux services numériques est devenu primordial Proposer des outils correspondant aux contraintes inhérentes à nos conditions de travail par rapport aux outils grand public.
Problématiques communes 17 bâtiments / N halls expérimentaux / K expériences , projets Réinventer la proximité. Développer le travail collaboratif Les trois grands groupes de métiers informatiques présents dans nos laboratoires (« online », « offline », ASR) sont de plus en plus interdépendants et il devient crucial de collaborer de manière plus systématique. Il semble important de ne pas créer de barrières artificielles avec les autres groupes techniques afin de laisser possible un maximum d'interactions.
Réflexion sur les organigrammes possibles La notion de famille des métiers de l’informatique a un sens, mais, il est indispensable d’avoir une certaine porosité entre métier mais LE « responsable de service » ne semble pas nécessaire. La piste du pilotage du « service » par un comité est intéressante. Un pilotage plus fonctionnel (coordinateur) que hiérarchique (chef). Le responsable hiérarchique naturel est le responsable d’une structure de 10- 15 personnes. Les échelons hiérarchiques supplémentaires sont vus comme des facteurs de perte de souplesse et de réactivité.