Workshop on digitalisation and the environment Brussels, 3 April 2019 Mathieu Saujot, Research coordinator, IDDRI
The French case: what we did Alliance between several communities Popularizing the idea of the convergence of the two transitions Political and media momentum on the global topic (and not on a sectoral basis) 26 propositions Reducing the ecological footprint of digital technology Using digital technology to improve the design of environmental policies Supporting digital innovation for ecology Mobilising the potential of data for the ecological transition
What we learned Transitions²: a message that works for the public and the policymakers Value of connecting different communities: real effort that pays back A growing awareness on this topic but still a lack of maturity: too much hope placed in data and technologies. Political impacts Green IT policies: easier to directly follow-up with the ecology ministry BUT very slow progress… byproduct: a new alliance between sustainable ICT actors A new digital paradigm ? Innovation and digital policies: more difficult to impact the BAU and work with the administration A new political agenda ? Not sure 5. Soutenir le développement d’un label « numérique responsable » ==> CGDD et Ademe soutiennent l'initiative de label lancé par le Club Green IT. Le dossier est en cours de montage avec tous les partenaires nécessaires pour industrialiser la démarche. ==> En revanche, ce n'est pas un outil de l'Etat / des pouvoirs publics (comme peut l'être le référentiel général d'accessibilité RGAA). 6. Rendre obligatoire l’éco-conception des sites services numériques ==> pas d'avancée majeure. ==> Brune Poirson avec clairement dit non sur le caractère obligatoire (pas d'écologie punitive). On cherche encore comment faire avancer le sujet, notamment avec l'aide de Jean-Philippe Simmonet (CGDD). ==> Acculturation de quelques acteurs de la GreenTech Verte via une 1/2 journée de sensibilisation à l'écoconception et accessibilité des services numériques lundi dernier. En revanche, pas d'avancée sur : 1. Faire de la France et de ses territoires les champions de la réparation et du réemploi. 2. Allonger à cinq ans la durée de garantie des équipements numériques. 3. Être exemplaires en renforçant les démarches Green IT dans les administrations nationales et locales. 4. Définir une méthodologie commune d’évaluation des démarches Green IT en s’appuyant sur les travaux existants des acteurs de terrain. 7. Faire une revue de l’application effective de la Loi contre l’obsolescence programmée. >>généralisation d'un affichage de la durabilité des produits > nous n'avons ps obtenu la mise en place d'un indicateur de durabilité, mais il y a bien l'engagement de mise en place en 2020 d'un indicateur de réparabilité avec des groupes de travail mis en place depuis l'an dernier MAIS on est très loin d'un indice durabilité (ex. batterie soudée, MAJ et obsolescence) 'Institut du Numérique Responsable (INR) qui a vocation à fournir un cadre de collaboration / co-construction d'outils, etc. à l'ensemble des parties prenantes de la communauté du numérique responsable (sustainable ICT) via des collèges : entreprises utilisatrices (Club Green IT), spécialistes de l'écoconception (Collectif conception numérique responsable), ONG, collectivités territoriales, etc. Il s'agit donc de formaliser et instutionaliser la communauté du numérique responsable. Le livre blanc a, effectivement, joué le rôle d'accélérateur. Growing awareness: including journalist, more and more a critical approach. But still; moreover digital means growth and progress so…