Quels bilans pour quelles pathologies ? La lithiase ASP Écho rénale TDM : sans injection, uroscanner Analyse SPIR Bilan métabolique a minima BU Évaluation de la fonction rénale Quels bilans pour quelles pathologies ?
Quels bilans pour quelles pathologies ? Les symptômes du bas appareil urinaire IPSS BU RVPM : échographie de l’appareil urinaire En cas d’IPSS pathologique ou d’élément de gravité : consultation d’urologie
HBP Problème de santé publique Problème de prise en charge Conduit à un nombre d’hospitalisation accrue Problème de prise en charge Tardive parfois trop Problème masculin Tendance à minimiser
HBP Rôle des généralistes dans cette prise en charge Quelles questions posées pour dépister/débrouiller les troubles mictionnels Quels examens à prévoir pour préciser l’importance du trouble
HBP Quelle prise en charge en première intention Quand référer le patient au spécialiste Que peut on lui proposer
Quels bilans pour quelles pathologies ? Les symptômes du bas appareil urinaire IPSS BU RVPM : échographie de l’appareil urinaire En cas d’IPSS pathologique ou d’élément de gravité : ttt médical puis consultation d’urologie
HBP Nouveautés dans la prise en charge chirurgicale de l’adénome Résection bipolaire Vaporisation Laser
Quels bilans pour quelles pathologies ? Pathologie tumorale rénale L’échographie est l’examen de « dépistage » du cancer du rein (70-80% de découverte fortuite) Peut-être dans la majorité des cas complétée par un scanner : complément d’imagerie loco- régionale + bilan à distance TDM TAP
Quels bilans pour quelles pathologies ? Tumeur du testicule Marqueurs : AFP, HCG avec ss unité béta libre, LDH Échographie scrotale TDM TAP : si tumeur confirmée
Quels bilans pour quelles pathologies ? Pathologie vésicale : hématurie macro ECBU Échographie de l’appareil urinaire Uroscanner si lésion responsable d’une urétérohydronéphrose Cytologie urinaire La fibroscopie : CS
Quels bilans pour quelles pathologies ? Détection précoce du cancer de la prostate IPSS BU PSA (avec modération, pas en période de troubles mictionnels exacerbés, plus après un certain âge, pas sans TR,…) Échographie de l’appareil urinaire Pas d’IRM en première intention
Quels bilans pour quelles pathologies ? Infection urinaire Chez la femme En cas d’infection urinaires récidivantes : échographie réno-vésicale Chez l’homme Nécessite une évaluation du bas appareil urinaire par interrogatoire et échographie de l’appareil urinaire Nécessité en deuxième intention un avis spécialisé : débitmétrie, fibroscopie, cytologie urinaire
Quoi de neuf docteur ? M GORIS JG LOPEZ CH VALENCE SOIREE du 25 MARS 2011 Quoi de neuf docteur ? M GORIS JG LOPEZ CH VALENCE Ce n'est plus de la recherhce domaine pratique mais avancées récentes technologiques place dans l'arsenal therapeutique
URETERO-RENOSCOPIE SOUPLE MALE-SLING TOXINE BOTULIQUE Et bien d’autres ... À orésenter sous forme de menu à la carte 3 plats au choix .
Lithiase urinaire Quel examen radiologique permet de voir tous types de lithiases urinaires, quelle que soit la localisation ? ASP Echo UIV TDM IRM Pet-scan Tous Aucun
Un patient présente un calcul enclavé dans le bas uretère pelvien et son traitement comporte AINS et AA. Que peut-on ajouter pour optimiser le ttt ? Diurétique Ca + vit D Antibiotique Alpha-bloquant Inhibiteur de la 5 alpha réductase
Un patient présente un calcul caliciel inférieur du rein droit de 5 mm de nature oxalo-calcique. Une LEC a été réalisé avec échec au contrôle radiologique. Que peut-on lui proposer ? Abstention surveillance Endoscopie rénale par voie per cutanée Lombotomie Alcalinisation des urines Endoscopie rénale par voie rétrograde
L’urétérorénoscopie souple est utilisée pour : Explorer la voie excrétrice Traiter des lithiases urinaires Traiter des tumeurs de la voie excrétrice Traiter des sténoses urétérales Traiter des sd de la JPU
Uretero-renoscopie souple Principes techniques Présentation du matériel Indications Tout erst dit dans le nom de la technique ureteroscopie renoscopie scopie retrograde souple opposition à l'ureteroscopie rigide
VOIE EXCRETRICE SUPERIEURE
LITHIASES URINAIRES URETEROSCOPIE RIGIDE Uretère iliaque ou pelvien sinon
Indications Calcul rénal Tumeur urothéliale Sténose urétérale
lithiase dormia
lésion voie excrétrice
sténose secondaire JPU
Vous adressez votre patient à l’urologue pour un calcul rénal Vous adressez votre patient à l’urologue pour un calcul rénal. Il lui demande un psa , lui détecte un cancer de la prostate et l’opère en réalisant une prostatectomie radicale par voie périnéale. Le patient a toujours son calcul. Est-ce possible ? Oui Non
Afin d’évaluer au mieux les fuites il est demandé : Après 6 mois le patient présente des fuites urinaires invalidantes et vous l’adressez alors dans le service du Pr A Ruffion. Afin d’évaluer au mieux les fuites il est demandé : De compter le nombre de slip utilisé par jour De compter le nombre de gouttes au sol à la toux De peser ses couches après un effort De réaliser un parcours physique d’évaluation D’effectuer une spirodébitmétrie
Si l’exploration confirme le problème quelles solutions peut-on être amené à lui proposer ? Greffe de prostate Greffe de sphincter Sphincter artificiel Implantation de ballonnet péri-urétral Injection de pâte type macroplastik Bandelette TOT Étude pré-clinique d'injection trans urétrale de myoblastes autologues permettrait une régénaration du rhabdosphincter (strié) étude comparant cette technique aux injections de collagène
MALE-SLING la bandelette pour nous les hommes Principes Matériels Indications Résultats
Indications Incontinence urinaire d'effort modérée 1-5 protections par jour Pad-test <200g /1h Post-opératoire : PVT ou REUP Persistance d'une activité sphinctérienne
Résultats 40% secs 40% améliorés 20% échecs
TOXINE BOTULIQUE (info ou intox) Neurotoxine produite par Clostridium Botulinum Blocage de la neurotransmission au niveau de la plaque motrice par fixation aux récepteurs pré-synaptiques des terminaisons nerveuses cholinergiques
Indications Dysynergie vésico-sphinctérienne Incontinence
DVS Déf. : absence de relaxation ou renforcement de la contraction du sphincter strié lors de la contraction du detrusor presque 100% des blessés médullaires 70% des SEP hyperactives Indications limitées tétraplégique SEP auto-sondage impossible
Injection par voie périnéale si possible sous contrôle électromyographique durée d ’efficacité 3 mois principale critère d ’efficacité : RVPM
Toxine botulique et incontinence hyperactivité détrusorienne échec des traitements anti-cholinergiques injection dans la paroi vésicale sous contrôle cystoscopique délai d ’action : 5-20j durée d ’action : 9 mois ré-injections régulières nécessaires pas d ’apparition de résistance après injections répétées
Toxine botulique et incontinence Effets indésirables : pas de complications sévères Quelques cas de faiblesse musculaire transitoire Risque de rétention nécessitant pratique des auto-sondages
Toxine botulique et incontinence résultats Efficacité clinique par diminution des épisodes de fuites Amélioration des paramètres urodynamiques Amélioration de la qualité de vie