QCM- 1 Sur l’anthropologie

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Transcription de la présentation:

QCM- 1 Sur l’anthropologie A :Les cadres qui façonnent nos existences et nos expériences quotidiennes sont d’abord collectifs avant de devenir individuels. B :Une culture est composée de biens matériels et idéels. C :En Angleterre, à la fin du 19ème siècle, on utilisait de manière générale les termes d’« ethnology » et de « social anthropology », alors qu’en France, on employait essentiellement le terme d’anthropologie. D : Ethnologie est surtout un terme employé en France pour définir des recherches transversales à différentes sociétés. E : L’anthropologie cherche à comprendre l’individu psychologique, culturel et social.

QCM 2. A :Le corps est un instrument du social, un objet façonné par le social ou utilisé par lui. Par conséquent il est un élément de lecture du monde social, de son fonctionnement, de ses changements. B : Une société est composée d’éléments essentiellement immatériels. C : Les relations entre individus participent à fonder une société dans sa dimension dynamique. D :Statuts, rôles, définissent pour chacun de nous, un cadre de relations possibles aux autres. E : Une culture comprend une dimension matérielle.

QCM 3 Questions diverses A :La culture inclut des savoirs, des formes de rationalités. B : Les éléments de culture sont des ressources, pour les individus. C : L’idée d’ordre social incorporé au point de paraître naturel va être travaillée par nombre d’anthropologues et de sociologues, notamment par Bourdieu. D : Les valeurs sont des traits culturels stables. E : En méthodologie, nous produisons des connaissances en partant du vécu des individus qui composent une société, ou un groupe social.

QCM 4. Sur les auteurs A : M. Bury a parlé des techniques du corps. B :A. Van Gennep a analysé la douleur en anthropologie. C : C. Lévi Strauss a travaillé sur l’alimentation. D : B. Good a travaillé sur la formation des médecins en France. E :« Biographical disruptions » (ruptures biographiques) est une expression qui a été proposée par M. Bury.

QCM 5 : Itinéraires thérapeutiques A- Pour les anthropologues, l'itinéraire thérapeutique est un outil d'analyse du recours aux soins. B- Dans l’analyse des itinéraires thérapeutiques, la question « qui ou quoi » a produit la maladie correspond à la recherche de l’agent, pour la biomédecine. C- Un itinéraire thérapeutique décrit un processus en plusieurs phases. D- Dans l'analyse des itinéraires thérapeutiques, la question « pourquoi » renvoie à la recherche de la cause efficiente ou immédiate. E- Les itinéraires thérapeutiques peuvent être analysés quels que soient les contextes culturels dans lesquels évoluent les individus.

C : Le corps est en partie naturel et en partie culturel. QCM 6. Sur le corps A :Le corps est objet de rapports constants entre le biologique et le social. B : Les mythes peuvent porter sur le corps, sur l’alimentation, sur les maladies etc. C : Le corps est en partie naturel et en partie culturel. D : Le corps est en partie naturel et en partie social. E : Morgan et Tylor ont étudié le corps.

QCM 7 :Sur les rites de passage : Un rite de passage permet de faire passer un individu d’une situation déterminée à une autre. B- Les rites de marge sont compris dans la phase post-liminaire du rite de passage. C- Les fonctions des rites de passage sont de souligner le changement qui survient pour une personne, tout en l’amenant à intégrer ce changement. D- Le diagnostic d’insuffisance rénale chronique peut s’apparenter à la phase liminaire d’un rite de passage. E- La place des symboles est importante dans les rites.

QCM 8. Sur les itinéraires thérapeutiques  A :Dans la séquence de construction d’un sens face à l’occurrence d’un problème de santé, la recherche de la “cause instrumentale” correspond à la recherche des “mécanismes” qui ont potentiellement produit la maladie. B : La biomédecine recherche la cause efficiente, c’est-à-dire l’origine de la maladie. C : La recherche des événements ayant pu jouer un rôle dans l’occurrence d’une maladie correspond à une réflexion sur l’origine pour les médecines dites traditionnelles. D : La question du « pourquoi cette maladie », renvoie à la recherche des agents potentiellement à l’origine d’une maladie, pour les médecines dites traditionnelles. E : il y a plusieurs systèmes d’interprétation des maladies et de leurs causes. Dans ces systèmes il y a universalité des opérations, mais singularité de leur usage et association en fonction des cultures et des systèmes de soin.

QCM 9 : Questions diverses : A- Les quatre temps de la formation d’un médecin selon Hughes sont : 1/ La séparation du futur professionnel d’avec le monde profane 2/ Le passage à travers le miroir 3/ Le dédoublement de soi 4/ Une identification complète au rôle professionnel, c’est-à-dire l’intégration de sa nouvelle identité. B- Selon les anthropologues et les sociologues qui ont étudié la profession médicale, on peut parler d’acquisition d’une culture médicale pour les étudiants en médecine parce qu’ils suivent un apprentissage formel. C- E. Evans-Pritchard a produit des recherches qui servent de référence sur la profession médicale. D- Acquérir des dispositions, c’est notamment apprendre et désapprendre à la fois. E- L’existence d’un « univers non visible » selon les anthropologues, peut inclure virus, parasites, génies, êtres anthropomorphes.

QCM 10 : Questions diverses A : Une société est composée de plusieurs groupes sociaux qui interagissent entre eux. Ces interactions sont étudiées par les anthropologues. B : Une société a une durée de vie largement supérieure à celle des individus qui la composent. C : F. Laplantine a parlé d’excroissance monstrueuse de la pensée, face à la maladie et ses causes. D : Notre environnement socioculturel nous permet de classer tous les aliments potentiels en consommable/non consommable. E : L’anthropologue ne travaille pas sur des réalités matérielles.

QCM 11 : Sur la maladie A : Le classement d’une affection comme maladie est relative à chaque culture. B : Le classement d’une affection comme maladie est relative à chaque société. C : Illness concerne le savoir profane collectif sur une maladie. D : Sickness concerne le savoir profane collectif sur une maladie. E : Disease fait appel, dans sa construction, au savoir du médecin.

QCM 12 : En anthropologie de la santé et de la maladie A : Lorsqu’un malade est identifié au sein d’une société traditionnelle, il y a 2 solutions dans sa prise en charge selon que la maladie est interprétée comme isolée, ou lorsqu’elle prend une forme atypique. B : Une fracture , une diarrhée sont classées dans les formes atypiques. C : La durée d’une maladie la fait rentrer dans une maladie atypique, qui nécessite un soin particulier, souvent rituel. D : Le rituel thérapeutique adopte une forme que l’on retrouve de manière stéréotypée dans différentes cultures. E : Dans les prises en charge rituelles, le groupe n’intervient pas.

QCM 13 : sur les rites : A :Les séances divinatoires permettent d’identifier les agents à l’origine d’une maladie. B : Mourir symboliquement peut faire partie d’une prise en charge rituelle d’une maladie. C : Un rite de passage est structuré en 4 temps. D : A. Van Gennep a étudié les rites de passage. E : Pour A. Van Gennep, la notion de séquence cérémonielle correspond à l’ensemble des actes d’un rituel, considérés dans leur ordre de succession.

QCM 14 : Questions diverses A : Les normes et les valeurs sociales évoluent dans toutes les sociétés. Aussi, leurs fonctions évoluent. Elles servent de moins en moins à établir un cadre moral à l’action. B : Un rite de passage définit un processus. C : Un rite de passage reflète un changement d’état pour la personne qui le vit. D : Un rite de passage reflète un changement d’état chez l’anthropologue. E : Le rite de séparation est la 2ème phase d’un rituel.

QCM 15 : Sur les rituels A : Le rite de séparation est un rite préliminaire. B : Le rite de marge est aussi appelé rite liminaire. C : Le rite d’agrégation est aussi appelé rite préliminaire. D : Le rite post-liminaire correspond au rite d’agrégation, 4ème phase du rituel. E : Le rite d’agrégation est aussi appelé rite post-liminaire.

QCM 16 : Sur les rites A : Chaque rite est décomposé en phases : phase de marge, phase d’agrégation etc. B : L’accomplissement d’un rite de passage peut s’accompagner du franchissement réel d’un seuil (une porte, etc.) pour signifier l’idée de passage. C : Le rite d’initiation des jeunes est souvent considéré comme le prototype des rites de passage. D : L’un des rites de passage les moins étudié est celui qui concerne l’initiation des jeunes. E : Les symboles sont très présents dans tous les rites sauf dans le rite de passage.

QCM 17 : Suite : A : L’idée de rupture est présente dans les rites : rupture avec son histoire antérieure, ou son ancien état de malade, par exemple. B : La mort est symboliquement présente dans nombre de rites. C : Le rite d’initiation implique toujours l’idée de rupture. Il y a forcément, dans le changement de statut de l’individu, l’idée de perte qui se dessine, et donc de rupture avec sa vie d’enfant. D : L’une des fonctions du rite, c’est de souligner un changement, tout en l’intégrant dans sa biographie. E : P. Erny a produit des recherches sur les rites.

QCM 18 : Rite suite : A : On peut dire qu’un rite de passage constitue une manipulation physique du temps. B : Face à la maladie, les individus peuvent ritualiser leurs comportements pour garder une maîtrise de ce qui leur arrive. C : Ritualiser son comportement, signifie l’ajuster aux attentes médicales. D : L’insuffisance rénale chronique peut donner lieu à des formes de ritualisation. On peut supposer que cela concerne aussi d’autres maladies. E : Les rituels peuvent être considérés en anthropologie comme un soin.

QCM 19 questions diverses A : La transplantation rénale peut parfois être vécue comme une renaissance. B : Les séances d’hémodialyse peuvent apparaitre à l’anthropologue comme chargées de dimensions rituelles. C : La séance de dialyse peut être associée à la phase de marge d’un rite. D : La dimension sociale d’une représentation intervient dans le processus de construction d’une pensée individuelle, et dans la production finale (dans le produit de la pensée), c’est-à-dire dans le réel. E : La matière première des dynamiques sociales, c’est l’action des individus.

QCM 20 Questions diverses A : Les grandes structures générales des sociétés relèvent du registre de l’acquis, non de l’inné. B : La douleur est plutôt un concept médical, la souffrance est plutôt un concept social. Aussi on repère que l’expression individuelle de la souffrance emprunte des formes ritualisées : dans certaines cultures, il est, par exemple, de rigueur d’endurer sa souffrance sans se plaindre car la plainte encourt la réprobation du groupe. C : En quoi consistent les différences entre cultures ? C’est une question que ne peuvent se poser les anthropologues, car il est impossible d’y répondre. D : Les cultures sont des ensembles de connaissances et de sens localisés. Mais bien que localisées, toutes les cultures sont potentiellement perméables les unes aux autres. E : Le débranchement de la personne dialysée, après le temps de la dialyse, peut s’apparenter à la phase de réintégration d’un rite, soit la dernière phase.

A : Les malades IRC peuvent se représenter leur traitement par hémodialyse comme une routine, qui est une représentation négative. B : L’hémodialyse peut aussi être vécue comme un fardeau. C : Face à la représentation de l’hémodialyse comme un fardeau, tous les patients adoptent le même traitement. D : Ritualiser ce temps de dialyse peut passer par le fait de porter toujours le même vêtement. E : Face à la représentation de l’hémodialyse comme un fardeau, l’hémodialyse peut constituer une épreuve.

A : L’hémodialyse Routine, Fardeau, Rite sont trois manières de se représenter et de vivre ce phénomène. B : La transplantation rénale peut être vécue comme une renaissance. C : La transplantation rénale est toujours vécue comme une renaissance. D : Les actes propitiatoires sont habituellement définis comme des comportements qui ont pour but de s’attirer les faveurs d’un Dieu. E : Le respect précis et quasi ritualisé des prescriptions médicales après une greffe peut s‘apparenter à une tendance à la propitiation.

Sur l’hémodialyse A : La manière dont un patient supporte l’hémodialyse est un élément déterminant de la façon dont il supportera la transplantation. B : Le traitement par hémodialyse peut être assimilé par un patient à « la » maladie. C : La représentation de l’hémodialyse comme maladie repose sur l’exposition à la mort que les patients disent ressentir dans l’expérience du traitement. D : C’est le diagnostic d’insuffisance rénale qui constitue la « rupture biographique ». E : C’est l’imminence de la dialyse qui constitue la « rupture biographique ».

C’est la relation sujet-objet qui détermine l’objet lui-même. A : Le caractère asymptomatique de l’insuffisance rénale chronique, c’est-à-dire le fait de ne pas ressentir de symptômes habituellement liés à une maladie grave, peut expliquer le fait de ressentir la dialyse comme « la » maladie, et non l’insuffisance rénale. B : Dans les représentations collectives, l’insuffisance rénale terminale est très présente, et associée à la mort proche. C : Dans les représentations collective, c’est lorsque le corps est « bruyant » qu’il exprime sa bonne santé. D : Les critères médicaux qui permettent de définir les limites entre normal et pathologique peuvent être perturbés par les représentations individuelles. E : C’est la relation sujet pensant-maladie qui détermine ce qu’est l’IRC pour chacun de nous.

Sur la relation médecin malade : A : La relation médecin malade peut s’apparenter à une relation quotidienne entre deux personnes qui échangent des informations. B : La place de la parole est importante dans la relation médecin malade. C : L’échange entre un médecin et son malade est verbal et non verbal. D : Médecines « modernes » et « traditionnelles » reposent sur l’apprentissage de savoirs académiques. E : A. de Broca a analysé les tensions possible entre « savoir » et « croire ».

Questions diverses : A : Pour E. Tylor, la culture est « un ensemble complexe qui comprend les savoirs, les croyances, l’art, les mœurs, le droit, les coutumes, ainsi que toutes les autres aptitudes et habitudes qu’acquiert l’homme en tant que membre d’une société ». B : - Empathie et émotion sont deux ingrédients de la relation entre soi et l’autre, qui sont à questionner tant pour un médecin que pour un anthropologue. C : Savoir et croire vont toujours ensemble selon A. de Broca. D : L’empathie est un concept. E : l’empathie est un sentiment.

Sur l’empathie A : Carl Rogers a proposé une définition de l’empathie. B : L’empathie est une forme de relation entre un médecin et un malade. C : L’empathie implique une forme de confusion entre soi-même et l’autre. D : Une caractéristique essentielle de l’empathie réside dans la distinction entre soi et l’autre, en parallèle avec l’expérience d’un partage affectif, explique J. Decety. E : L’empathie se distingue de la sympathie.

Sur l’empathie suite : A : L’objet de l’empathie est la compréhension du vécu de l’autre. B : La formation médicale forme à l’exercice de l’empathie. C : B. Good explique que le monde de la médecine implique d’entrer dans une autre réalité que celle du monde ordinaire, tout en revenant vers ce monde ordinaire dans les pratiques quotidiennes. D : La technique participe à produire la mise à distance du patient. E : En médecine, la distanciation est un moyen et une finalité.

Questions diverses A : Distanciation et mise à distance peuvent être considérés comme deux modalités positives de l’empathie. B : La relation asymétrique entre un médecin et son malade caractérise les modalités de rencontre entre ces deux protagonistes. C : En anthropologie, le corps est considéré comme un reflet de processus sociaux à l’œuvre dans les sociétés. Il est aussi considéré comme un instrument de ces processus sociaux. Par son intermédiaire, par exemple, peuvent s’établir des relations de domination, ou la construction d’identité. D : Les corps sont des matières naturelles et pourtant aussi en partie normées par les savoirs de la biomédecine. Les pratiques corporelles (du sport, de la santé, les pratiques alimentaires..) peuvent donc être analysées sous l’angle de leur part sociale, en partie unique, et de leur part singulière. E : Une culture est l’héritage d’un groupe. Cela vaut pour la culture alimentaire, médicale etc.

Questions diverses : A : D’après LAPLANTINE, nous avons deux types de registres à notre disposition pour produire du sens sur un problème de santé : le registre des conceptions exogènes, et endogènes. B : Sur le diagnostic de la maladie, rechercher les forces actives correspondent à la recherche de la cause efficiente. C : Le monde pensé est un objet de recherche en anthropologie. C’est même l’objet au cœur de notre approche du monde social, des dynamiques sociales. D : Une anthropologie compréhensive est entendue comme une science de l’interprétation du sens que recouvrent les actions de chacun(e). E : Dans un itinéraire thérapeutique, rechercher la cause, c’est rechercher la cause instrumentale ou immédiate.

A : S. Sontag a travaillé sur le cancer. Sur les auteurs A : S. Sontag a travaillé sur le cancer. B : I. Théry a travaillé sur l’empathie. C : A. Strauss a travaillé sur la médecine en France. D : Morgan et Tylor sont des pères fondateurs de l’anthropologie E : P. Bourdieu a travaillé sur l’habitus.

Sur la relation professionnel patient A : On peut penser que l’appartenance sociale du malade est une variable qui influe sur la circulation de l’information entre professionnels et patients. B : Les modalités de la circulation de l’information entre professionnels et patients reposent en partie sur des modèles appris durant la socialisation des futurs médecins. C : La question de l’information du patient, comme la question de sa participation à sa prise en charge, renvoie à une pratique naturelle : apprendre au malade à devenir plus autonome dans la gestion de sa maladie. D : Pour un professionnel, raisonner à partir de critères (seuil, taux..) permet de repérer des « déviances » mais aussi de les construire en partie. E : Définir le normal et le pathologique est un processus marqué par le social.

Distance – Distanciation A : La distanciation est un élément compatible avec l’empathie. B : La mise à distance est un élément compatible avec l’empathie. C : La distanciation est apprise durant la socialisation. D : La mise à distance conduit à raisonner essentiellement autour du corps, ce qui n’est pas une bonne chose. E : La distanciation est un moyen et une finalité pour prendre en compte les sentiments des patients.

Questions diverses A : A. de Broca, pédiatre et spécialisé en éthique médicale, parle de déni lorsqu’un patient reçoit un savoir mais ne l’intègre pas dans son histoire. B : Pour A. de Broca, la rupture thérapeutique survient lorsqu’un patient croit à un problème, sans s’appuyer sur un savoir. C : Pour de Broca, le but d’une relation thérapeutique est d’arriver à ce que le patient croit à un problème de santé, avec ou sans le savoir. D : Pour de Broca, le but d’une relation thérapeutique est d’arriver à un savoir et croire. E : L’empathie est un mode de connaissance, la sympathie un mode de rencontre avec autrui, selon Morgan.

Questions diverses A : Les différents éléments de la culture constituent la part matérielle de notre existence. B : L’acculturation est un processus qui conduit à des changements dans une société. C : L’acculturation est une notion. D : L’individu n’est pas complètement libre car il agit à l’intérieur d’un cadre social. E : Chaque société a une conception de la santé qui lui est propre et qui change en même temps que la société change.

Questions diverses A : Selon I. Théry, les femmes séropositives sont moins excusables que les hommes concernant leur contamination par le VIH. Cela est dû à des valeurs associées à la sexualité féminine. B : « Disposition » est une notion opposée à « habitus ». C’est-à-dire que ces notions n’ont aucun élément en commun. C : En anthropologie on peut dire que le travail des médecins repose sur des savoirs scientifiques qui ont évacué toute représentation, toute symbolique. D : Pour l’anthropologie, la phase d’interprétation n’est pas nécessaire avant l’action, dans le domaine médical ou dans d’autres. E : L’approche compréhensive des conduites signifie partir des normes pour remonter vers les individus.

A : La représentation sociale est un reflet du réel. B : La représentation sociale est un reflet de la réalité. C : Le soin désigne un acte technique et relationnel répondant à un besoin. On peut considérer cette définition comme vraie. D : Le concept de soin permet des pratiques professionnelles très variées en fonction des histoires sociales des soignants. E : Etre médecin est un statut et un rôle.