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Durabilité et équité : Un meilleur avenir pour tous

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Présentation au sujet: "Durabilité et équité : Un meilleur avenir pour tous"— Transcription de la présentation:

1 Durabilité et équité : Un meilleur avenir pour tous
Nom Lieu Date Bonjour…. L’année dernière le Rapport sur le développement humain montrait les progrès significatifs (et remarquables) du développement humain qui ont eu lieu au cours des dernières décennies. Mais, malgré tout ce qui a pu être accompli, le progrès en développement dans les pays les plus pauvres au monde pourrait être freiné, ou pire renversé, si d’ici la moitié de ce siècle des mesures drastiques ne soient pas prises pour ralentir le changement climatique, prévenir les futurs dangers environnementaux et réduire les inégalités entre les nations. Ce Rapport explore les défis d’un progrès durable et équitable. Ces deux objectifs sont évidemment liés et l’on montre dans ce Rapport : Comment les dégradations environnementales intensifient les inégalités, particulièrement auprès des populations les plus défavorisées, et comment les inégalités affectent négativement l’environnement. Il met en lumière les différents canaux par lequel les défis écologiques ont un impact négatif sur le développement humain à l’échelle des ménages. L’importance de promouvoir des voies de développement qui allient à la fois durabilité et équité. Nous sommes concernés par la durabilité car les futures générations doivent au moins avoir les mêmes possibilités que les populations ont aujourd’hui.

2 Pourquoi la durabilité et l’équité ?
Comment peut-on : Poursuivre le progrès de manières équitables qui ne nuisent pas à l’environnement ? Répondre aux aspirations de développement des pauvres dans le monde entier ? Promouvoir des politiques publiques qui permettent de progresser à la fois en équité et en durabilité ? Nous explorons cette année les relations croisées entre la durabilité environnementale et l’équité, aussi essentielles l’une que l’autre à une justice distributive, car les plus vulnérables sont les plus affectés par les conséquences liées a la détérioration environnementale. Nous répondons aux questions principales suivantes : Comment peut-on : Poursuivre le progrès de manières équitables qui ne nuisent pas a l’environnement ? Répondre aux aspirations de développement des pauvres dans le monde entier ? Promouvoir des politiques publiques qui permettent de progresser a la fois en équité et en durabilité ? (référence au diagramme). Le but est de rompre la fausse idée commune qu’il existe un dilemme entre l’un et l’autre, en démontrant que si l’on combine durabilité et équité, il est possible d’atteindre des niveaux de développement humain plus élevés. Notre objectif est de promouvoir la durabilité en tant que problème de justice sociale autant pour les générations présentes que pour celles à venir.

3 Les tendances en matière d’écologie et d’inégalités menacent le progrès en développement humain

4 Les tendances environnementales menacent le progrès en développement humain
D’ici 2050, l’IDH mondial serait : 19% plus élevé qu’aujourd’hui. La plus forte augmentation aurait lieu dans les PED (24%). 44% pour l’ Afrique subsaharienne et 36% pour l’Asie du Sud. Retrait de l’IDH de 8% dans un scénario de « défi écologique ». 12% en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne. Régression de 15% dans un scénario de « catastrophe environnementale » Conséquences dramatiques pour les PED. Régression de 24% pour l’Afrique subsaharienne et 22% pour l’Asie du Sud. Notre point de départ, qui était un thème-clé du Rapport 2010 , est l’immensité des progrès accomplis au cours des dernières décennies en matière de développement humain. D’ici 2050, les simulations utilisées pour ce Rapport font apparaître une hausse de l’IDH de 19 % . La plus grande augmentation aurait lieu dans les pays en développement (24%). 44% pour l’ Afrique subsaharienne et 36% pour l’Asie du Sud. Cependant, dans un scénario de « défi écologique » (c’est-à-dire où le réchauffement climatique affecte négativement la production agricole, l’accès à l’eau salubre, à un meilleur assainissement et au degré de pollution), il y aurait un retrait de l’IDH de 8 % par rapport au scénario de base (retrait de 12 % en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne). Dans les conditions encore plus graves d’un scénario de « catastrophe environnementale » (vastes déforestations et dégradations des sols, déclin dramatique de la biodiversité, et multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes), cette régression de l’IDH serait de 15 % par rapport à l’hypothèse de base. - Comprenant des conséquences dramatiques pour les pays en développement, et - Régression de 24% pour l’ Afrique subsaharienne et 22% pour l’Asie du Sud. Ces différents scénarios montrent l’ampleur des pertes et des risques que nos petits-enfants devront affronter si rien n’est fait pour arrêter le renversement des tendances d’ici à 2050.

5 Les tendances environnementales menacent le progrès en développement humain
HDI Nous nous concentrons ici spécialement aux pays en développement où il est évident que les progrès en matière de développement humain souffrent un risque significatif. (Noter la ligne aplatie dans le cas d’une catastrophe écologique.)

6 … et les écarts de développement seront plus durs à resserrer
D’ici 2050 : Sans défi écologique : les inégalités devraient décroître. Scénario de défi écologique : la réduction des inégalités devrait ralentir. Scenario de catastrophe écologique : augmentation des inégalités, renversement des tendances. Cette figure illustre que: Sans défi écologique majeur, les inégalités entre les pays vont poursuivre leur régression. Cependant, si nous faisions face à un défi écologique, les inégalités existantes persisterons. Et dans le cas de défi écologique plus sévère, on pourrait connaître un accroissement des inégalités, ce qui renverserait les tendances actuelles.

7 également le progrès futur
Les inégalités provoquent des pertes en développement humain et menacent également le progrès futur L’IDH ajusté aux inégalités est de 23% plus faible que l’IDH “classique” à l'échelle mondiale. Les disparités en santé et éducation diminuent, alors que les inégalités de revenus s’empirent. Les inégalités de revenus au niveau des pays ont augmenté d’environ 20% entre 1990 et 2005. Plus l’indice d’inégalités de genre (IIG) est élevé, plus la durabilité est faible. La résolution des carences en matière de planification familiale avant 2050 abaisserait les émissions mondiales de carbone de 17 %. 1.5 milliard de personnes ne disposent pas d'électricité, 2.6 milliards n’ont pas accès à l’assainissement de base. Si les tendances actuelles se poursuivent, le nombre de personnes sans accès aux énergies modernes sera plus important en 2030 qu’aujourd’hui. Si l’on regarde les tendances de l'évolution de l’IDH ajusté aux inégalités, nous faisons face à une perte agrégée au niveau mondial de 23 % en développement humain due aux inégalités. L’aggravation des inégalités de revenues n’est pas compensée par les progrès d'inégalités en matière d’éducation et de santé. Les inégalités de revenus au niveau des pays ont augmenté d’environ 20 % entre 1990 et 2005 Plus l’indice d’inégalités de genre (IIG) est élevé, plus les indicateurs de durabilité montrent des valeurs faibles. La résolution des carences en matière de planification familiale avant 2050 abaisserait les émissions mondiales de carbone de 17 %. Accès aux services basiques : -1,5 milliard de personnes dans le monde - plus de 1 sur 5 – ne disposent pas d’électricité. -2.6 milliards n’ont pas accès à l’assainissement de base… ce qui affecte leur productivité, leur santé et la dignité humaine. Si les tendances actuelles se confirment, le nombre de personnes sans accès aux énergies modernes sera plus important en 2030 qu’aujourd’hui.

8 Les enjeux environnementaux sont largement répandus et leurs effets sont accrus pour les plus pauvres, aussi bien au niveau macro…

9 Les enjeux environnementaux sont entraînés par le changement climatique et les menaces environnementales chroniques Les températures mondiales augmentent. Les températures ont en moyenne augmenté de 0.75°C par rapport au début du XXe siècle. Le niveau de la mer augmente. Aujourd’hui, 20 centimètres plus élevé qu’en 1870. La probabilité de catastrophes naturelles augmente. En 25 ans, leur nombre annuel a doublé en moyenne. La perte de surface forestière menace les moyens de subsistance et la biodiversité. Les pays à faible IDH souffrent de pertes plus importantes (11%). Les principaux facteurs du changement climatique représentent des menaces écologiques chroniques. Les températures ont en moyenne augmente de 0.75°C par rapport au début du XXe siècle. Certaines des augmentations les plus fortes prennent part dans des climats déjà chauds des pays en développement. L'activité humaine joue un rôle essentiel : consommation d’énergies fossiles et déforestations participent à l’augmentation des émission de carbone. Le niveau de la mer augmente. Aujourd’hui, il est de 20 centimètres plus élevé qu’en 1870 et le taux de croissance s’est accéléré. Pour les petits Etats insulaires –comme il y en a en Asie de l’Est et dans le Pacifique et qui sont particulièrement exposés- cela représente des menaces potentiellement dévastatrices. La probabilité de catastrophes naturelles a augmenté. En 25 ans, leur nombre annuel a doublé en moyenne. Ce nombre est plus élevé dans les pays à IDH faible et moyen. La perte de surface forestière menace les moyens de subsistance et la biodiversité. Les pays à faible IDH souffrent de pertes plus importantes (11 % en moyenne depuis 1990). Les tendances écologiques des décennies passées montrent une détérioration présente dans divers aspects, particulièrement forte pour les millions de personnes qui tirent des ressources naturelles leur revenu et leurs moyens de subsistance.

10 Les pays les plus pauvres sont les plus affectés par les changements en précipitations
Le déclin général des précipitations est supérieur à 4%. La variabilité des précipitations a augmenté. L’Afrique sub-saharienne a connu la plus forte baisse en précipitations, plus de 7%. Comme nous le pouvons voir : Les pays à faible IDH sont les plus affectés. Ils ont connu une baisse des précipitations de 4 %. ……..et une hausse de leur variabilité. L’Afrique sub-saharienne a connu la plus forte baisse en précipitations, plus de 7 %.

11 … qu’au niveau des ménages
Malgré les progrès en développement humain ces dernières années, la distribution des revenus s’est empirée, des disparités de genres importantes persistent encore, et la destruction de l’environnement amène a un « double fardeau de privations » pour les ménages et les communautés les plus pauvres.

12 Les enjeux environnementaux ont un impact négatif sur les ménages pauvres
Education : Les défis environnementaux ralentissent la progression de l’éducation et abaissent les taux de scolarisation. Moyens de subsistance : Risques significatifs pour 350 millions de personnes qui vivent dans la forêt, ou à proximité, et en tirent leur subsistance et leurs revenus. Risques similaires pour les 45 millions de personnes (dont 6 millions sont des femmes) qui vivent de la pêche. Santé : La pollution de l’air intérieur tue 11 fois plus de gens dans les pays à faible IDH. Chaque année, 3 millions d’enfants meurent avant l’âge de 5 ans de pathologies associées à l’environnement. Au niveau des ménages : Education: Les défis environnementaux restreignent à la fois la scolarisation et les progrès des enfants scolarisés (du au besoin de collecte du bois de cuisson/chauffage et d’autres ressources). Souvent, les filles subissent encore plus cette situation parce qu’elles sont davantage impliquées dans les tâches de collecte. Le manque d’accès à l’électricité diminue le temps d’étude.  Mais en agissant, ces problèmes peuvent être résolues. Au Viet Nam, par exemple, le taux de scolarisation a augmenté de plus de 15 % en 3 ans dans les communes qui étaient reliées directement au réseau électrique. Moyens de subsistances : Il existe des risques significatifs pour 350 millions de personnes qui vivent dans la forêt ou à proximité et en tirent leur subsistance et leurs revenus. Pareillement pour 45 millions (dont 6 millions sont des femmes) qui pêchent pour vivre. Leur vulnérabilité est double : les pays les plus menacés sont aussi ceux qui dépendent le plus du poisson comme source de protéines, comme moyen d’existence et pour l’exportation. Santé : La pollution de l’air intérieur et extérieur, l’eau insalubre et l’assainissement déficient sont des facteurs propices aux maladies dans les pays pauvres. La pollution de l’air intérieur tue 11 fois plus dans les pays a faible IDH. Chaque année, les pathologies associées à l’environnement – dont les affections respiratoires aiguës et les diarrhées – tuent au moins 3 millions d’enfants âgés de moins de cinq ans.

13 Dans les ménages pauvres, les privations environnementales sont répandues
Les pauvres, selon l’IPM, souffrent de multiples privations environnementales. 80% subissent deux privations ou plus 29% subissent les trois. Près de 90% n’ont pas accès à des combustibles modernes de cuisson, 80% n’ont pas d’assainissement adéquat, et 35% n’ont pas d’eau propre. En Asie du Sud et Afrique sub-saharienne : 90% n’ont pas accès à des combustibles modernes de cuisson. 85% n’ont pas d’assainissement de meilleure qualité. Dans plusieurs pays arabes, plus de 60% font face à des pénuries d’eau. Un aspect-clé réside dans le fait que les populations les plus défavorisées subissent une double charge. Plus vulnérables aux effets les plus larges de la dégradation de l’environnement, elles sont aussi confrontées aux menaces sur leur environnement immédiat dues à la pollution de l’air intérieur, aux eaux polluées et aux déficiences de l’assainissement. Notre indice de pauvreté multidimensionnelle (IPM) – introduit dans le Rapport 2010 et calculé cette année pour 109 pays – fournit une vision précise de ces carences, permettant d’identifier les endroits où elles sont les plus marquées. Au sein de ces populations, la plupart des gens souffrent de privations cumulées : 8 personnes sur 10 en subissent au moins deux et 1 personne sur 3 (29%) est confrontée aux trois.  Exemples de privations multidimensionnelles : Près de 90% n’ont pas accès à des combustibles modernes de cuisson, 80% n’ont pas d’assainissement adéquat, et 35% n’ont pas d’eau propre. Dans plusieurs pays arabes, plus de 60% font face a des pénuries d’eau. Dans la plupart des pays en développement, c’est le manque d’accès aux combustibles qui est le plus important, bien que le manque d’eau salubre soit un problème majeur dans plusieurs États arabes. (Résumé) Comme nous l’avons vu, les défis écologiques et les inégalités ont des effets directs et de grande ampleur sur le développement humain aujourd'hui comme demain. Cet impact est important et affecte plus fortement les plus pauvres et les démunis. Nous ne pouvons pas ignorer ces menaces potentielles – il y a un besoin urgent d’actions substantielles.

14 Les aspirations de développement des pauvres doivent être comblées dans un cadre de durabilité globale et locale.

15 Relever les défis politiques au niveau local
Repenser notre modèle de développement vers une production et une consommation durables. Un environnement propre et sain : un droit, non un privilège. Promouvoir une participation qui inclue les populations les plus vulnérables aux risques environnementaux dans le processus de décision politique. Couvrir les besoins de développement des pauvres tout en préservant l’environnement. Des exemples prometteurs de politiques gagnantes-gagnantes existent déjà au niveau national. L’ampleur du défi requiert un investissement substantiel simultané et de l’innovation. Pour relever les défis énumérés, il nous faut des solutions qui prennent en compte la viabilité environnementale et l'équité pour promouvoir le développement humain. Nous plaidons pour des politiques qui permettent une production et une consommation durable qui incluent les problèmes environnementaux dans les décisions quotidiennes. Un environnement propre et sain : un droit, non un privilège. Promouvoir une participation des populations les plus vulnérables aux risques environnementaux plus inclusive dans le processus de décision politique. Couvrir les besoins de développement des pauvres tout en préservant l’environnement. Des exemples prometteurs de politiques gagnant-gagnant existent déjà au niveau national. Exemple : Il existent des exemples de petites centrales hydrauliques avec des réseaux électriques de petite taille. On en trouve de plus en plus comme une source d’énergie renouvelable au Brésil, en Chine et en Inde. Des programmes locaux comme celui de Himachal Pradesh en Inde a permis d’établir, par le biais de la communauté, l'accès à des toilettes publiques pour plus de 3 millions de gens. L’ampleur du défi requiert un investissement substantiel simultané et de l’innovation.

16 Cela est possible, mais une approche incrémentale n’est pas suffisante
Cela est possible, mais une approche incrémentale n’est pas suffisante. Un changement macro est nécessaire.

17 Pour un changement macro, il faut des innovations globales
Le financement du développement courant est insuffisant et noté d’un accès inégal (pour les pays et secteurs). Nouvelles sources de financement : taxe sur les opérations de change. Faisabilité de son implémentation et infrastructure de haut niveau déjà présente. Réformes pour une meilleure équité et accès à la finance. Rôle de l’Etat pour catalyser les ressources privées. Dispositifs de flux financiers pour le climat – pour fournir un accès équitable aux financements publics internationaux. Fonds nationaux pour le climat pour promouvoir une diversité des ressources. Le financement du développement limite la transition équitable vers un modèle de développement durable sur deux fronts. Premièrement, il est insuffisant pour combler les besoins mondiaux. Deuxièmement, les pays et secteurs ont un accès inégal. Nous nécessitons : Nouvelles sources de financement : taxe sur les opérations de change L’infrastructure réglementaire des échanges de devises étant aujourd’hui plus organisée, centralisée et standardisée, la faisabilité de la mise en place de la taxe apparaît sous un nouveau jour. Elle remporte une forte adhésion, y compris auprès du Groupe pilote sur les financements innovants pour le développement, comprenant 63 pays parmi lesquels la Chine, la France, l’Allemagne, le Japon et le Royaume-Uni. Aux Nations Unies, le Groupe consultatif de haut niveau sur le financement de la lutte contre le changement climatique a récemment proposé que 25 à 30 % des produits d’une telle taxe soit affectés à l’adaptation au changement climatique et à son atténuation dans les pays en voie de développement.  Afin d’apporter des résultats efficaces au long-terme et une responsabilisation des populations locales et des partenaires, les outils suivants sont requis : • Stratégies de basse émission et de résistance au changement climatique – pour aligner les objectifs en matière de développement humain, d’équité et de changement climatique. • Partenariats public / privé – pour catalyser les capitaux provenant des entreprises et des ménages. • Dispositifs de flux financiers pour le climat – pour fournir un accès équitable aux financements publics internationaux. • Coordination de la mise en œuvre, du contrôle et des systèmes d’évaluation et de vérification – pour assurer à long terme des résultats efficaces et une responsabilisation aux populations locales aussi bien qu’aux partenaires.

18 Pour un changement macro, il faut des innovations globales
Implémentation rapide de l’initiative « énergie durable pour tous » des Nations Unies. Campagne mondiale. Lever les barrières à la diffusion des technologies. Soutien aux stratégies de développement nationales fondées sur de basses émissions et résistance au changement climatique. Réaliser cet objectif n’augmenterait que de 0,8% les émissions de CO2. L’investissement annuel requis pour assurer l’accès universel aux énergies modernes est estimé à moins d’un huitième des subventions allouées aux énergies fossiles. Implémentation rapide de de l’initiative « énergie durable pour tous » des Nations Unies. Campagne mondiale Lever les barrières à la diffusion des technologies Soutien aux stratégies de développement nationales fondées sur de basses émissions et résistance au changement climatique. La fourniture de services énergétiques de base à tout le monde n’augmenterait que de 0,8 % les émissions de CO2 compte tenu des engagements politiques généraux adoptés. L’investissement annuel requis pour assurer l’accès universel aux énergies modernes est estimé à moins d’un huitième des subventions allouées aux énergies fossiles.

19 Promouvoir le développement humain doit s’accompagner de la promotion de la durabilité.
Cela est possible et doit se faire de manière équitable et vers une autonomisation accrue. (Finalement) Ce Rapport met en lumière les liens entre la durabilité et l’équité, tout en expliquant comment le développement humain peut devenir plus durable et plus équitable. Il montre comment la dégradation de l’environnement fait souffrir plus particulièrement les groupes pauvres et vulnérables. et décrit l’impact des inégalités sur les progrès en développement humain. En regardant l’impact des défis écologiques sur les ménages, nous avons trouvé des privations importantes, largement répandues et des privations environnementales multiples qui affectent les plus pauvres et les plus vulnérables dans le monde. Fournir des opportunités saines et des choix équitables pour tous est un des objectifs majeurs du développement humain. Le défi est important et requiert un effort particulier. Nous avons une responsabilité collective envers les plus moins favorisés d’entre nous aujourd’hui et de demain dans le monde entier – et nous pouvons y répondre en s’attachant désormais a fournir un environnement durable et un engagement de progrès équitable pour tous .

20 Merci


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