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TIC- préparation aux concours administratifs

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Présentation au sujet: "TIC- préparation aux concours administratifs"— Transcription de la présentation:

1 TIC- préparation aux concours administratifs
18 mai 2009 CONCLUSION Objectif 1 : réduire l'extrême pauvreté et la faim Chacun des Objectifs du Millénaire pour le Développement se décompose en plusieurs cibles. Le premier objectif repose sur trois cibles. Elle consiste à réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la part des individus vivant avec moins d'un dollar par jour. La Banque mondiale estime qu'en 2005, 1,4 milliard d'individus vivaient dans une pauvreté extrême. La crise alimentaire, conséquence de la hausse du prix des matières premières (dont agricoles) pousse environ 100 millions de personnes en plus dans une situation d'extrême pauvreté. Si cet objectif semble à portée, c'est principalement en raison de la croissance économique de l'Asie, alors que la zone de l'Afrique sub-saharienne semble stagner [1]. Fournir un emploi décent et productif à tous, femmes et jeunes inclus. Ces dix dernières années, la productivité dans les pays d'Asie et de la CEI a été multipliée par quatre, contribuant à faire baisser le nombre de travailleurs pauvres. En revanche, l'Afrique sub-saharienne reste en retard sur cet objectif, avec plus de 50% de travailleurs vivant avec moins d'un dollar par jour [2]. Réduire de moitié entre 1990 et 2015 la part des individus souffrant de la faim (malnutrition, sous-nutrition). La hausse des prix des matières premières, mais également les changements dans les régimes alimentaires, l'urbanisation, l'utilisation des parcelles pour la production de biocarburants ou encore le problème des subventions aux agricultures développées, rendent cette cible difficile à atteindre. L'Asie du Sud et l'Afrique sub-saharienne sont les zones les plus touchées par la sous-nutrition infantile. Objectif 2 : assurer l'éducation primaire pour tous Le deuxième objectif vise à ce que tous les enfants, garçons et filles, puissent bénéficier d'ici 2015 d'une scolarisation primaire complète. En 2006, 570 millions d'enfants étaient scolarisés, ce qui laisse 73 millions d'enfants en âge de l'être hors de l'école. 88% des enfants des pays en voie de développement sont scolarisés, ce qui laisse penser que l'objectif est atteignable d'ici En Afrique sub-saharienne, le taux de scolarisation des enfants atteignaient 71% en 2006, et en Asie du Sud, 90%. L'expérience prouve que la scolarisation augmente sensiblement quand les frais d'inscription sont abolis (cas de nombreux États de l'Afrique) [3].

2 Rappels

3 Rappels : le cours Objectif : préparer aux épreuves écrites de l’ENA et de l’INET, et à l’épreuve orale obligatoire de l’INET 14 séances : 1 séance d’introduction, présentant le programme, les principes des épreuves, le programme des cours 2*6 séances de cours 1 séance de conclusion et d’évaluation du cours 2 intervenants travaillant dans la FPE et la FPT, avec des cultures professionnelles et des méthodes différentes

4 Rappels : Le programme INET (oral)
« Épreuve orale sur les éléments fondamentaux en matière d'organisation informatique, de logiciels de base et de nouvelles technologies de l'information » 1. Les aspects techniques : notions générales Notions générales sur les différents types de réseaux, les principales fonctions des ordinateurs, les terminaux et les périphériques ; Les logiciels : notions générales sur les systèmes d'exploitation et les différents types de logiciels : logiciels propriétaires, logiciels libres ; les fichiers ; L'internet : notions générales et principales fonctionnalités. 2. L'informatique et les nouvelles technologies de la communication dans la fonction publique Informatique et relations du travail ; Informatique et organisation des services ; Informatique et communication interne ; Informatique et relations avec les usagers et le public. 3. La société de l'information : Les politiques publiques de l'informatique et des nouvelles technologies ; L'économie des NTIC ; La sociologie des NTIC : impact sur les compétences et les emplois ; Le droit des NTIC : maîtrise d'ouvrage et d'oeuvre. Propriété intellectuelle ; Informatique et libertés.

5 Le programme INET (écrit)
* Technologies de l'information et de la communication * La composition est destinée à vérifier que le candidat est apte : - à juger un dossier d'équipement en informatique et télécommunication ainsi qu'à piloter un projet de développement et de mise en oeuvre ; - à prendre en compte les opportunités offertes par les nouvelles technologies de l'information et de la communication dans la résolution des problèmes de l'administration en influant sur ses structures et ses processus. 1. Domaines de connaissances Les équipements : réseaux ; ordinateurs ; terminaux ; Les logiciels : architecture des réseaux : systèmes d'exploitation ; langages de programmation ; système de gestion de base de données ; logiciels propriétaires,logiciels libres ; Les services : interface homme/machine ; transactionnel ; gestion de données ; services standards de réseaux ; systèmes temps réel ; commerce électronique ; simplification des relations avec les clients et les administrés ; échange de documents informatisés. 2. Éléments méthodologiques Théories des systèmes et des organisations ; Schéma directeur ; Méthode de conception des processus de gestion et des systèmes d'information ; Approche orientée objet pour la construction des logiciels ; Modélisation des données ; Vérification-validation des grands systèmes ; Méthode de déploiement et d'insertion dans l'organisation. 3. La société de l'information Economie des NTIC : coût d'appropriation, coût logistique, valeur ajoutée de la mise en réseau ; Sociologie des NTIC : impact sur les compétences et les emplois ; Droit des NTIC : maîtrise d'ouvrage et d'oeuvre. Propriété intellectuelle ; Responsabilité civile et pénale. Informatique et liberté.

6 Rappels : Cours et programme
Un programme vaste, et transversal,  tous les sujets ne peuvent être approfondis en cours, L’objectif du cours consiste ainsi à : couvrir l’ensemble du programme, en vous permettant de comprendre les enjeux et le vocabulaire des TIC, d’identifier les thématiques d’actualité, de définir le périmètre de vos recherche, de vous apporter des documents, etc. et SURTOUT DE VOUS APPORTER LES METHODES DE TRAVAIL ET D ANALYSE nécessaires. Des zooms ont été faits sur les sujets les plus complexes. Les thématiques TIC/SI sont susceptibles d’être réutilisées dans d’autres matières Note de synthèse (pour les propositions du 2b) Culture G Droit et gestion des collectivités Finances Etc. Rappels des 5 cours spécifiques collectivités: TIC et organisation TIC et communication TIC et services publics (2 cours) TIC, conduite de projet et accompagnement du changement

7 Rappels : les conseils méthodologiques pour l’oral
Définir les termes du sujet Traiter le sujet systématiquement sous les angles: Grandes « collectivités » versus « petites » Territoires urbains versus ruraux Directions et services « fonctionnels » versus directions et services « opérationnels » À tous les niveaux de la chaîne hiérarchique (des élus, à la Direction générale, aux agents utilisateurs…) Juridiques, financiers, RH, organisationnels et managériaux Et aussi : quels liens sur les relations des collectivités avec leurs usagers?avec les partenaires ? Essayer d’étayer votre exposé d’exemples concrets

8 Les sujets 2008 (mis à jour) 1 – Droits et obligations pour les utilisateurs de messagerie professionnelle? 2 – L’e-administration : quels risques pour les usagers : comment les éviter? 3 – Les systèmes d’information géographiques?  4 – Réseaux câblés et réseaux sans fil 5 – Informatique et libertés individuelles  6 – La CNIL      7 –internet, intranet et extranet : quelles interactions? 8 – Le SI : un outil de management? 9 – Les collectivités doivent-elles adopter les logiciels libres ? 10 – Comment assurer la sécurité des informations d’un réseau informatique ? 11- L’intranet peut-il être un outil de management ? 12- Le système d’information d’une collectivité 13 : Les logiciels libres « open source » : avantages et inconvénients 14 : secret des correspondances et messagerie électronique. Bilan satisfaisant Tous les sujets ont été vus en cours.

9 Les sujets 2008 (suite) On compte sur vous l’an prochain pour nous transmettre vos sujets d’oraux!!! 15 : informatique et télécoms : quels liens stratégiques ? 16 – La cartographie du SI 17 – Le plan Besson 18 – L’informatique, un outil d’organisation pour les CL. 19 – Systèmes d’informations géographiques et SI. 20 – Avantages et inconvénients des logiciels sous licence.  21 – Peut-on externaliser toutes les missions d’une DSI ? 22 – Pourquoi les CT n’ont elles pas adoptées en masse les logiciels libres ? 23 – La téléphonie sous IP . 24 – Conduite du changement et projet informatique. 25 – Quelle place pour la direction des SI dans l’organigramme d’une collectivité ? 26 – La carte de vie citoyenne, avantages et inconvénients pour les collectivités et leurs usagers. 27 – Comment contrôler l’usage du web ? 28 – Diffusion de l’information et droit d’accès

10 A suivre d’ici les oraux : les sujets très en vogue…
Vidéosurveillance et libertés publiques Les antennes relais Les TICE TIC, pilotage et performance publique TIC et droit électoral TIC, politique culturelle et droits d’auteurs TIC et plan de relance TIC et développement durable TIC et commande publique TNT/ télévisions locales Mise en œuvre du Plan France Numérique 2012 (à compléter)

11 Vos questions encore en suspens

12 Vos questions toujours en suspens
Des questions : De définition D’explication du fonctionnement technique des TIC D’illustration( « à quoi ça ressemble »). Pour trouver les réponses … Des sites : Commentcamarche Wikipedia Etc. Des ouvrages : - « Pour s’initier à l’informatique »,ed. Dunod (T. O’Leary, L. O’Leary,D. Hevey, J-C. Nadeau) « Un ordinateur, comment ça marche ? », ed. Vuiber, (Henri Lilen) N’hésitez pas à surfer ou à feuilleter différents ouvrages pour approfondir vos connaissances ! Définitions à traiter par JA : Ordinateur M »moires serveur* Réseau d’entreprise Modem Cpl Connexion par satellite Hub

13 Qu’est – ce qu’un ordinateur
=un boîtier + un bloc système+ un moniteur+un clavier+ une souris+ des possibilités de connexion à des périphériques Le « bloc système » regroupe les éléments essentiels au fonctionnement de l’ordinateur : La carte maîtresse Le microprocesseur La mémoire L’horloge système Le bus Par extension : le ventilateur Et aussi Les cartes d’extension Les ports d’accès Qui ne sont pas indispensables au fonctionnement mais qui permettent d’assurer la connexion avec les périphérique L’ordinateur se présente souvent sous forme d’un boîtier dans lequel se trouve le bloc système au complet ainsi qu’un bloc d’ailmentation qui convertiru et distribue le courant à tous les composants, et aussi un ventilateur interne pour éviter la surchauffez. Il yb a aussi des périphériques interne comme un disque dur, un modem, un lecteur de disquette, de cédérom, de dvd. Ds le cas d’un poortable, l’écran et le clavier sont également intégrés au bopîtier. 13

14 Boîtier et moniteur Moniteur : écran relié à un ordinateur
Code opération Champ opérande Le nombre d'octets d'une instruction est variable selon le type de donnée (l'ordre de grandeur est de 1 à 4 octets). Les instructions peuvent être classées en catégories dont les principales sont : Accès à la mémoire : des accès à la mémoire ou transferts de données entre registres. Opérations arithmétiques : opérations telles que les additions, soustractions, divisions ou multiplication. Opérations logiques : opérations ET, OU, NON, NON exclusif, etc. Contrôle : contrôles de séquence, branchements conditionnels, etc. Registres Lorsque le processeur exécute des instructions, les données sont temporairement stockées dans de petites mémoires rapides de 8, 16, 32 ou 64 bits que l'on appelle registres. Suivant le type de processeur le nombre global de registres peut varier d'une dizaine à plusieurs centaines. Les registres principaux sont : le registre accumulateur (ACC), stockant les résultats des opérations arithmétiques et logiques ; le registre d'état (PSW, Processor Status Word), permettant de stocker des indicateurs sur l'état du système (retenue, dépassement, etc.) ; le registre instruction (RI), contenant l'instruction en cours de traitement ; le compteur ordinal (CO ou PC pour Program Counter), contenant l'adresse de la prochaine instruction à traiter ; le registre tampon, stockant temporairement une donnée provenant de la mémoire. Moniteur : écran relié à un ordinateur Port : interface électronique dirigée par un programme pilote du système d’exploitation. Il achemine les informations à l’un connecteur situé à l’extérieur du bloc système ce qui permet de brancher un périphérique. Plusieurs sortes : parallèle, sériel, usb, agp, firewire Ports parallèles : pour faire circuler peu de données sur de courtes distance : ex. pour relier une imprimante Sériels : pour relier une souris, un clavier, un modem, etc. ils devraient disparaître Ports usab : (universal serial bus) : vise à remplacer les ports parallèles et sériels par un mécanisme plus souple , permettant de connecter plusieurs types de périphériques Port agp : accelerated graphic port : placé à l’extrémité du bus agp, transmet à très haut débit l’information graphique vers le conencteur video. Port fire wire (ou IEEE 1394) : permet de connecter des périphériques à très haut débit comme des caméras numériques. Surtout destiné au multimédia.

15 Carte mère Plus d’informations:
Carte maîtresse (ou carte système ou « carte mère »): regroupe nombre de puces et de connecteurs de toutes sortes e en plastique comportant . Tous ces éléments sont reliés par un bus, sorte de réseau intégré de microfils électroniques qui permet la circulation des données. Le cœur de la carte maîtrise (« chipset ») est un jeu de puces intégrées qui permet la circulation des données entre les composants de la carte et définit le type et le nombre de composants qu’on peut y mettre. La carte maîtresse : le point de ralliement pour tous les composants essentiels ou nom de l’ordinateur qui doivent y être directement ou indirectement raccordés. Il existe plusieurs types de cartes qui déterminent la puissance de l’ordinateur.s puce ( également appelées « semi-conducteurs » ou « circuits intégrés »): ensemble de circuits électriques gravés sur une pastille de silicium Plus d’informations:

16 Carte mère (détails) processeur (ou unité centrale de traitement : uct, ou unité centrale) : partie de l’ordinateur qui exécute les instructions des programme . Dans un micro-ordinateur, tient sur une seule puce : le microprocesseur. 3 parties : l’unité de commande et de contrôle (ucc) L’unité arithmétique et logique (ual) Les registres L’ucc dicte aux autres unités de l’ordinateur la façon d’exécuter les instructions des programmes. Dirige le mouvement de signaux électroniques entre la mémoire (qui contient temporairement les données, les insctructions et les résultats du traitement) et l’ual. L’ucc dirige, sont essentiels au trair aussi les flux des signaux électroniques entrel’uct et les dispositifs d’entrée-sortie. L’ual : exécute les opérations arithématiques et logiques (comparaisons), peut aussi extraire un élément d’une info (ex. date de naissance d’un étudiant)à Les registres: contenus ds l’uct Sont essentiel au traitement d très rapide directement reliés au circuit de traitement et contiennent temporairement les données et les instructions pendant le traitement s données. Ce sont des petites cases de mémoire Le contenu des registres peut être utilisé bcp plus vite que celui de la mémoire car les registres font partie intégrante de l’unioté centrale

17 Microprocesseur Plus d’informations:
Inventé en 1971 par Ted Hof Le processeur (CPU, pour Central Processing Unit, soit Unité Centrale de Traitement) est le cerveau de l'ordinateur. Il permet de manipuler des informations numériques, c'est-à-dire des informations codées sous forme binaire, et d'exécuter les instructions stockées en mémoire. Le premier microprocesseur (Intel 4004) a été inventé en Il s'agissait d'une unité de calcul de 4 bits, cadencé à 108 kHz. Depuis, la puissance des microprocesseurs augmente exponentiellement. Quels sont donc ces petits morceaux de silicium qui dirigent nos ordinateurs? FonctionnementLe processeur (noté CPU, pour Central Processing Unit) est un circuit électronique cadencé au rythme d'une horloge interne, grâce à un cristal de quartz qui, soumis à un courant électrique, envoie des impulsions, appelées « top ». La fréquence d'horloge (appelée également cycle, correspondant au nombre d'impulsions par seconde, s'exprime en Hertz (Hz). Ainsi, un ordinateur à 200 MHz possède une horloge envoyant de battements par seconde. La fréquence d'horloge est généralement un multiple de la fréquence du système (FSB, Front-Side Bus), c'est-à-dire un multiple de la fréquence de la carte mère A chaque top d'horloge le processeur exécute une action, correspondant à une instruction ou une partie d'instruction. L'indicateur appelé CPI (Cycles Par Instruction) permet de représenter le nombre moyen de cycles d’horloge nécessaire à l’exécution d’une instruction sur un microprocesseur. La puissance du processeur peut ainsi être caractérisée par le nombre d'instructions qu'il est capable de traiter par seconde. L'unité utilisée est le MIPS (Millions d'Instructions Par Seconde) correspondant à la fréquence du processeur que divise le CPI. Instruction Une instruction est l'opération élémentaire que le processeur peut accomplir. Les instructions sont stockées dans la mémoire principale, en vue d'être traitée par le processeur. Une instruction est composée de deux champs : le code opération, représentant l'action que le processeur doit accomplir ; le code opérande, définissant les paramètres de l'action. Le code opérande dépend de l'opération. Il peut s'agir d'une donnée ou bien d'une adresse mémoire. Plus d’informations:

18 L’horloge interne Horologe système : cristal de quartz qui agit comme oscillateur pour synchroniser les opérations d’un ordinateur (en Mhz ou Ghz) Mhz : un million de cycles par seconde Ghz : un millard Un ordinateur doté d’une horloge à la fréquence plus élevée traitera l’information plus rapidement qu’un ordinateur doté d’une horloge de plus basse fréquence Bus : (parfois aussi appelé caln) : relie les composants du bloc système les uns aux autres. C’est la route par laquelle transite les informations. Il a aussi une fréquence, qui conditiionne la rapidité de traitement des données.s

19 Carte son Les cartes d’extension : permet de connecter des périphériques de toutes sortes à un ordinateur afin d’en multiplier les capacités. S’insèrent dans les fentes d’extension ou « logements » de la carte maîtresse. Les fentes sont spécifiques à un type de carte. Carte graphique /video Carte son ou multimédia: permet de lie des cd ou de connecteur des hauts parleurs, micro, Carte de communication ou carte réseau : sert à connecter un ordinateur à un ou plusieurs autres pour former un réseau de communicatiin. Carte PC/TV: pour brancher une télé ou un magnétoscope Carte pc : carte de taille réduite , qui peuvent être installées par l’exétieur du boitier. Il en existe différents types, qui servent à des fins variées. Surtout pour les ordinateurs qui n’ont pas la place dans le boîtier pour l’inserton de ces cartes. Au début de la micro informatique les cartes maîtresses des ordinateurs ne contenaient pas de contrôleur graphique,, de ùodem ou de carte son. On ne pouvait donc y connecteur directement ni moniteur, ni modem, ni haut parleurs. On appelle « carte d'extension » un matériel électronique sous forme de carte pouvant être raccordé à un ordinateur par l'intermédiaire de l'un de ses connecteurs d'extension (ISA, PCI, AGP, PCI Express, etc.). Il s'agit de composants connectés directement à la carte mère et situés dans l'unité centrale, permettant de doter l'ordinateur de nouvelles fonctionnalités d'entrée-sortie. Les principales cartes d'extension sont notamment : La carte graphique ; La carte son ; La carte réseau.

20 Les différentes mémoires…
Mémoire : partie de l’ordinateur qui contient temporairement les données, les instructions et les résultats au cours d’un traitet informatique Mémoire cache : petite quantité de mémoire vive intégrée au microprocesseur, ou intercalée entre le microprocesseur et la mémoire centrale, servant à stocker un bloc d’instruction et de données du programme en cours d’exécution Mémoire vive (ram) : (random-access memory) : mémoire temporaire non rémanente utilisée pour contenir les données et les programmes en cours de traitement Mémoire morte (rom) (read only memory) : puces qui contiennent des programmes et des données qui ont été imprimées en usine et ne peuvent pas être effacées. Mémoire non rémanente (voltaile storage) : mémoire permanente, effaçable ou non, utilisée pour conserver des programmes et des données. La méémoire : mémoire interne, ou principale, ou centrale : c’est la composante de l’ordinateur qui contiennt : Les données à traiter Les instructions dirigeant le traitement des données (programme) Les résultats du traitement qui seront dirigés vers un périphérique de stockage ou de sortie (moniteur ou imprimante). Une grande partie de la mémoire est enregistrée de façon temporaire, c’est-à-dire tant que l’ordinateur est allumé.s Mémoire électronique : support de stockage entièrement électronique (ex; carte mémoire et mémoire usb) Mémoire usb : support de stockage électronique qui se branche directement sur un port usb Mémoire non rémanente : dont le contenu est effacé quand l’interruption électrique est interrompute, ou remplacé lorsque de nouvelles données y sont inscrites Mémoire flash : type de mémoire vive rémanente pouvant conserver les informations sans besoin de tension électrique Mémoire virtuelle : caractéristique d’un système d’exploitation qui augmente la capacité de mémoire disponibkl pour l’exécution d’un programme par l’utilisation d’un disque dur

21 Le système d’exploitation
Système d’exploitation : ensemble intégré de programmes dont le rôle est de gérer les ressources d’un système informatique (manipulation des fichiers, exécution des programmes, contrôle du clavier et de l’écran) Généralités Les disques durs La façon de stocker les informations sur les différents supports fait appel aux procédés d'enregistrement et de lecture magnétique. Un matériau, en général à base d'aluminium, est recouvert d'une couche métallique magnétisable. Une "tête de lecture" vient y inscrire ou y lire des informations. Cette surface est magnétisée lors de l'écriture (positivement ou négativement) par l'intermédiaire d'un courant électrique généré par la tête.. Lors de la lecture, les zones magnétisées "positivement" ou "négativement" induisent (par phénomène d'induction) un courant électrique permettant de savoir s'il y a des informations correspondant à un "1" ou à un"0". Le principe de la technologie magnétique consiste donc à traduire des informations binaires (0 et 1) en champ magnétique ("positif" ou "négatif"). Les disques durs amovibles Ils gardent le même principe de lecture-écriture que les disques durs. On peut distinguer deux types de disques durs amovibles : - Syquest : le plateau est dans une cartouche protégée et fonctionne comme un disque dur. - Bernoulli : le principe consiste a faire tourner un disque flexible à grande vitesse près d'un plateau fixe. De la sorte, le disque devient rigide à grande vitesse (1500 tr/mn) lorsqu'il tourne au dessus d'une plaquelisse. La face en regard de cette plaque, appuyée sur une sorte de coussin d'air, peut alors être exploitée par une tête mobile.

22 Le disque dur Ce périphérique d'entrée-sortie se trouve à l'intérieur du boîtier. Le disque dur est l'organe du PC servant à conserver les données de manière permanente, contrairement à la RAM, qui s'efface à chaque redémarrage de l'ordinateur. (cf. supra)Il a été inventé au début des années 50 par IBM. Le fonctionnement interneUn disque dur est constitué non pas d'un seul disque, mais de plusieurs disques rigides (en anglais hard disk signifie disque dur) en métal, en verre ou en céramique empilés à une très faible distance les uns des autres. Ils tournent très rapidement autour d'un axe (à plusieurs milliers de tours par minute actuellement) dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Un ordinateur fonctionnant de manière binaire, il faut donc stocker les données sous forme de 0 et de 1 ; c'est pourquoi les disques sont recouverts d'une très fine couche magnétique de quelques microns d'épaisseur, elle-même recouverte d'un film protecteur. La lecture et l'écriture se font grâce à des têtes (head) situées de part et d'autre de chacun des plateaux (un des disques composant le disque dur). Ces têtes sont des électroaimants qui se baissent et se soulèvent (elles ne sont qu'à quelques microns de la surface, séparées par une couche d'air provoquée par la rotation des disques qui crée un vent d'environ 250km/h) pour pouvoir lire l'information ou l'écrire. De plus ces têtes peuvent balayer latéralement la surface du disque pour pouvoir accéder à un emplacement quelconque... L'ensemble de cette mécanique de précision est contenue dans un boîtier totalement hermétique, car la moindre particule peut détériorer l'état de surface du disque. Vous pouvez donc voir sur un disque des opercules permettant l'étanchéité, et la mention "Warranty void if removed" qui signifie littéralement "la garantie expire si retiré" car seul les constructeurs de disques durs peuvent les ouvrir (dans des salles "blanches" exemptes de particules).

23 Les périphériques 3 catégories
- d’entrée – sortie : le clavier, le moniteur, qui permettent d’échanger des données avec l’utilisateur De stockage (disques, cdroms, etc.) de données et de programme De communication (ex. modems) qui permettent d’échanger avec les autres ordinateurs On appelle « périphérique » un matériel électronique pouvant être raccordé à un ordinateur par l'intermédiaire de l'une de ses interfaces d'entrée-sortie (port série, port parallèle, bus USB, bus firewire, interface SCSI, etc.), le plus souvant par l'intermédiaire d'un connecteur. Il s'agit donc des composants de l'ordinateur externes à l'unité centrale. On distingue habituellement les catégories de périphériques suivantes : périphériques d'affichage : il s'agit de périphériques de sortie, fournissant une représentation visuelle à l'utilisateur, tels qu'un moniteur (écran). périphériques de stockage : il s'agit d'un périphérique d'entrée-sortie capable de stocker les informations de manière permanent (disque dur, lecteur de CD-ROM, lecteur de DVD-ROM, etc.) ; périphériques d'acquisition. Ils permettent à l'ordinateur d'acquérir des données telles particulières, telles que des données vidéo, on parle alors d'acquisition vidéo ou bien d'images numérisées (scanner) ; périphériques d'entrée : ce sont des périphériques capables uniquement d'envoyer des informations à l'ordinateur, par exemple les dispositifs de pointage (souris) ou bien le clavier. Carte d'extension

24 Les réseaux Réseau : Types de réseaux Protocole :
Élément assurant l’interconnexion entre plusieurs ordinateurs, et ainsi le partage de fichiers, de ressources (imprimantes, etc). Types de réseaux Il existe différents types de réseaux, utilisant des protocoles de communication différents, et ayant en conséquence des propriétés et des portées différentes. Protocole : Ensemble des règles que les ordinateurs doivent suivre lors d’une transmission d’informations. Réseau domestique : petit réseau local reliant les ordinateurs des membres d’une même famille à leur domicile Réseau en boucle : dans lequel chacun des ordinateurs est relié à deux ordinateurs, et ds lequel les messages circulent en bouclent jusqu’à leur destination Réseau en étoile (star network) : dans lequel tous les ordinateurs sont reliés à un ordinateur central (hôte) qui contrôle les communications Réseau en ligne (bus network) : ds lequel chaque ordinateur contrôle ses propres communications , sans système hôte, et où tous les signaux utilisent la même ligne de communication appelée « bus » Réseau local : reliant des ordinateurs situés à proximité les uns des autres Réseau maillé (hybrid network) : dans lequel les ordinateurs sont reliés de façon souple, permettant l’échange d’informations selon différents chemins possibles Réseau réparti (distributed network ) : qui utilise des relais et des satellites pour couvrir une plus grande distance 24

25 Les réseaux Type de réseau PAN LAN MAN WAN Personal Areal Network
= réseau personnel Local Area Network = réseau local Metropolitan Area Network= réseau national Wide Area Network Portée/couverture Faible Moyenne (immeuble) forte Mondial Protocoles de communication (ex.) Bluetooth 802.11a 802.11 GSM, GPRS, CDMA Usages Equipements personnels Réseaux privés ou d’entreprises entreprises communications Nœud : tt élément raccordé au réseau (ordinateur, périphérique de stockage, imprimante, etc.). Chaque noeuf possède une adresse ou un identificateur qui le spécifie. Serveur : nœud qui coordoone le partage des ressources et des télécommunications dans un réseau/ordinateur qui rend des services à d’autres ordinateurs Client : noeuf qui utilise le réseau pour traiter des données ou partager des ressources (ex; ordinateur). Le client demande au serveur d’exécuter une tâche, , le serveur effectue la tâche et transmet le résultat au serveur. Ordinateur hôte : ordinateur de grande capacité auquel un usager peut se connecter en s’identifiant au moyen d’un mot de passe Concentrateur (hub) : dispositif servant à raccorder les nœuds d’un réseau. Il peut s’agir d’un nœud ou d’un point de raccordement regroupant les câbles des autres nœuds Passerelle (gateway) : appareil( souvent un ordinateur) servant à relier deux réseaux dont les structures ou les protocoles différent. Routeur : équipement d’interconnexion qu’on installe sur un des nœuds d’un réseau et dont le rôle est de choisir le meilleur chemin pour transmettre les donénes Administrateur de système : personne dont la fonction est de gérer la configuration d’un système multiutilisateur (mots de passe, intstallation des interfaces utilisateurs,, des logiciels, d’applications de sauvegarde des données) 2 catégories de réseaux locaux: Poste à poste Client serveur Topologie en busUne topologie en bus est l'organisation la plus simple d'un réseau. En effet, dans une topologie en bus tous les ordinateurs sont reliés à une même ligne de transmission par l'intermédiaire de câble, généralement coaxial. Le mot « bus » désigne la ligne physique qui relie les machines du réseau. Cette topologie a pour avantage d'être facile à mettre en oeuvre et de posséder un fonctionnement simple. En revanche, elle est extrêmement vulnérable étant donné que si l'une des connexions est défectueuse, l'ensemble du réseau en est affecté. Topologie en étoileDans une topologie en étoile, les ordinateurs du réseau sont reliés à un système matériel central appelé concentrateur (en anglais hub, littéralement moyen de roue). Il s'agit d'une boîte comprenant un certain nombre de jonctions auxquelles il est possible de raccorder les câbles réseau en provenance des ordinateurs. Celui-ci a pour rôle d'assurer la communication entre les différentes jonctions.

26 Les différentes configurations de réseaux locaux
Réseau en étoile Réseau en arbre Réseau en bus La topologie est nommée en fonction de la place du serveur dans le réseau Réseau maillé Contrairement aux réseaux construits sur une topologie en bus, les réseaux suivant une topologie en étoile sont beaucoup moins vulnérables car une des connexions peut être débranchée sans paralyser le reste du réseau. Le point névralgique de ce réseau est le concentrateur, car sans lui plus aucune communication entre les ordinateurs du réseau n'est possible. En revanche, un réseau à topologie en étoile est plus onéreux qu'un réseau à topologie en bus car un matériel supplémentaire est nécessaire (le hub). Topologie en anneauDans un réseau possédant une topologie en anneau, les ordinateurs sont situés sur une boucle et communiquent chacun à leur tour. En réalité, dans une topologie anneau, les ordinateurs ne sont pas reliés en boucle, mais sont reliés à un répartiteur (appelé MAU, Multistation Access Unit) qui va gérer la communication entre les ordinateurs qui lui sont reliés en impartissant à chacun d'entre-eux un temps de parole. Les deux principales topologies logiques utilisant cette topologie physique sont Token ring (anneau à jeton) et FDDI. Topologie en arbreAussi connu sous le nom de topologie hiérarchique, le réseau est divisé en niveaux. Le sommet, le haut niveau, est connectée à plusieurs nœuds de niveau inférieur, dans la hiérarchie. Ces nœuds peuvent être eux-mêmes connectés à plusieurs nœuds de niveau inférieur. Le tout dessine alors un arbre, ou une arborescence. Topologie mailléeUne topologie maillée, est une évolution de la topologie en étoile, elle correspond à plusieurs liaisons point à point. Une unité réseau peut avoir (1,N) connexions point à point vers plusieurs autres unités. Chaque terminal est relié à tous les autres. L'inconvénient est le nombre de liaisons nécessaires qui devient très élevé. Cette topologie se rencontre dans les grands réseaux de distribution (Exemple : Internet). L'information peut parcourir le réseau suivant des itinéraires divers, sous le contrôle de puissants superviseurs de réseau, ou grâce à des méthodes de routage réparties. L'armée utilise également cette topologie, ainsi, en cas de rupture d'un lien, l'information peut quand même être acheminée. Elle existe aussi dans le cas de couverture Wi-Fi. On parle alors bien souvent de topologie mesh mais ne concerne que les routeurs WiFi. Réseau en anneau

27 Serveur Serveur de fichiers : dispositif de disques rigides de grande capacité de mémorisation accessible à distance Serveur de noms : nœud du réseau internet qui continet et gère une base de données de noms de domaine et leur adrese IP correspondante. Serveur de stockage : pours stocker des données Serveur proxy : ordinateur qui filtre toutes les demandes d’information qui circulent de l’extérieur vers l’intérieur du réseau local, et vice versa. Serveur web : ordinateur relié a internet disposant d’un logiciel dont le rôle est de transmettre les pages web qui y sont localisées édifice intelligent : doté au sein des murs de câbles coaxiaux ou de câble de fibre optique pour faciliter l’établissement de communication Cable coaxial : cable de transmission à haute fréquence Cable de fibre optique : cable de transmission fait de filmanet de verre, et utilisant des impulsions lumineuses et résistant aux interférences électroniques Tous les ordinateurs peuvent jouer le rôle de serveur. Ce rôle est essentiel.un même sordinateur peut jouer différents rôles de serveurs (cf. supra) Système d’égal à égal (peer to peer) : réseau dans lequel les noeufs partagent de façon égale la responsabilité de coordonner les actvutés

28 Hub

29 Routeur Un routeur est un élément intermédiaire dans un réseau informatique assurant le routage des paquets. Son rôle est de faire transiter des paquets d'une interface réseau vers une autre, selon un ensemble de règles formant la table de routage.

30 Boîtier CPL http://www.cpl-france.org/modules.php?name=Faq
Bref historique des CPLLa technologie sur courants porteurs existe depuis longtemps, mais elle n'était utilisée pendant longtemps qu'à bas débit pour des applications de télécommande de relais, éclairage public et domotique. Le haut débit sur CPL n'a commencé qu'à la fin des années 2000 : premières expérimentations en France par EDF R&D et Ascom. Principe de fonctionnementEn effectuant la technologie CPL à Haut Débit, il est possible de faire passer des données informatiques sur le réseau électrique, et ainsi étendre un réseau local existant ou partager un accès Internet existant via les prises électriques grâce à la mise en place de boîtiers spécifiques. Le principe des CPL consiste à superposer au signal électrique de 50 Hz un autre signal à plus haute fréquence (bande 1,6 à 30 Mhz) et de faible énergie. Ce deuxième signal se propage sur l'installation électrique et peut être reçu et décodé à distance. Ainsi le signal CPL est reçu par tout récepteur CPL qui se trouve sur le même réseau électrique. Un coupleur intégré en entrée des récepteurs CPL élimine les composantes basse fréquence avant le traitement du signal. Cadre juridique et réglementationToute technologie qui travaille sur une bande de fréquence définie doit rentrer dans un cadre juridique. Les réseaux CPL sont à la fois des réseaux électriques et des réseaux de télécommunication, ce qui fait que les autorités ont du mal à définir leur cadre juridique. De plus il n'existe pas encore de réglementation précise pour les équipements et les réseaux CPL. Des travaux sont en cours, notamment avec le PLC Forum et l'ETSI, mais les résultats n'ont pas encore été publiés. Ainsi la mise en place de réseaux CPL est libre pour ce qui est des installations derrière un compteur privé (appelé « Indoor » ou « InHome »), sous réserve de ne pas créer de nuisances, auquel cas le matériel doit être retiré. Pour ce qui est des installations extérieures (appelé « outdoor ») où l'on injecte le signal au niveau du transformateur HTA /BT pour des créations de boucles locales électriques, des autorisations d'expérimentation sont à demander auprès de l'ART tant que la technologie n'est pas mature et les normes pas éditées. StandardisationUn seul standard existe et il est américain : le standard Homeplug V C'est un standard qui ne concerne que les installations « indoor » et qui n'est pas interopérable avec les solutions « outdoor » existantes à ce jour. D'autres standards devraient voir le jour sous quelques mois ou années.

31 Modem et internet par ADSL
                                                                                                                                                                    Le modem/routeur WiFi comme celui-ci de marque Trendnet permet de se connecter directement sur la ligne téléphonique pour accéder à Internet par l’ADSL. Grâce à l'ADSL, je peux téléphoner en même temps que je surfe sur Internet, car la communication entre mon ordinateur et Internet n'utilise pas les mêmes fréquences que celles utilisées lors des communications téléphoniques. La connexion à Internet en ADSL se fait sur les fréquences hautes du réseau téléphonique tandis que le téléphone fixe utilise les fréquences basses. Un "filtre ADSL" doit être branché sur la prise téléphone pour éviter les interférences. Le filtre ADSL sert à séparer les deux bandes de fréquences : les hautes fréquences vers la box et les basses fréquences vers le téléphone. Il existe plusieurs technologies ADSL : ADSL : offrant jusqu'à 8 mégas de débit (méga = Mbit/s) ADSL 2 : jusqu'à 12 mégas ADSL 2+ : jusqu'à 24 mégas Les débits ADSL annoncés sont souvent théoriques (ils dépendent de la distance entre l'abonné et le central téléphonique et des offres proposées par les différents Fournisseurs d'Accès à Internet, les "FAI").

32 Internet par satellite

33 Internet par Wimax

34 Évaluation du cours La lecture et l'écriture
Les têtes de lecture/écriture sont dites "inductives", c'est-à-dire qu'elles sont capables de générer un champ magnétique. C'est notamment le cas lors de l'écriture : les têtes en créant des champs positifs ou négatifs viennent polariser la surface du disque en une très petite zone, ce qui se traduira lors du passage en lecture par des changements de polarité induisant un courant dans la tête qui sera ensuite transformé par un convertisseur analogique numérique en 0 et en 1 compréhensibles par l'ordinateur. Les têtes commencent à inscrire des données à la périphérie du disque (piste 0), puis avancent vers le centre. Les données sont organisées en cercles concentriques appelés "pistes".Les pistes sont séparées en quartiers (entre deux rayons) que l'on appelle secteurs, c'est la zone dans laquelle on peut stocker les données (512 octets en général). On appelle cylindre l'ensemble des données situées sur une même pistes de plateaux différents (c'est-à-dire à la verticale les unes des autres) car cela forme dans l'espace un "cylindre" de données. On appelle cluster la zone minimale que peut occuper un fichier sur le disque. En effet le système d'exploitation exploite des blocs qui sont en fait plusieurs secteurs (entre 1 et 16 secteurs). Un fichier minuscule devra donc occuper plusieurs secteurs (un cluster). Les premiers disques durs commercialisés pour le grand public avaient une capacité de 10 Mo (années 80). Ils atteignent aujourd'hui des capacités de 80 Go, voire plus (pour des prix inférieurs aux 10 Mo d'antan…). En outre leurs dimensions sont très réduites, et ils peuvent facilement s'intégrer dans les portables.10 Mo = 7 disquettes 3'' 1/2 HD 2 Go = 1400 disquettes 3'' 1/2 HD 10 Go = 7000 disquettes 3'' 1/2 HD Avantages du disque dur : Sa grande capacité et sa rapidité Inconvénients : Il n'est pas transportable (mais pour remédier à cet inconvénient, il existe des racks amovibles ou des disques durs externes qui se connectent sur port USB2 ou firewire)

35 Qu’avez-vous pensé du cours?
Au terme de ces 14 séances, avez – vous le sentiment d’avoir : Compris les enjeux des TIC dans l’administration publique (Etat et collectivités) Couvert le programme ? Appris où chercher l’information pertinente ? Acquis le vocabulaire des TIC ? Compris la méthode pour traiter les différents sujets?  l’an prochain, recommanderiez-vous ce cours aux élèves qui souhaitent passer l’ENA? L’INET? Autres? Les points forts du cours ? Les points faibles ? Les pistes d’amélioration ? Diffuser les documents avant le cours (cours JA) Mieux différencier les documents à lire absolument, les documents à connaître, et les autres.

36 Merci pour votre attention!


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