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Valeur stylistique vis-à-vis de la signification lexicale Fait par docteur ès lettres maître de conférences I.A. Vyatkina.

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1 Valeur stylistique vis-à-vis de la signification lexicale Fait par docteur ès lettres maître de conférences I.A. Vyatkina

2 Contenu de la conférence 1. La notion de la valeur stylistique 2. Composante axiologique (affective) et sa position dans la structure de la signification lexicale 3. Composante imagée de la valeur stylistique. Forme interne, sa position dans la structure de la signification 4. Composante symbolique, sa position dans la structure de la signification lexicale

3 1. La notion de la valeur stylistique la valeur stylistique et la fonction stylistique: La valeur stylistique fait partie des unités linguistiques en tant qu'éléments d'un système où elle les différencie au point de vue axiologique, imagé et socio-symbolique. Elle se manifeste dans le système de la langue grâce aux relations paradigmatiques de ses éléments et peut aussi se réaliser en parole.

4 La fonction stylistique se rapporte au niveau de la parole, au processus même de communication et s’appuie plus sur les moyens d’expression à valeur stylistique, que sur les éléments linguistiques neutres.

5 la notion de connotation la connotation comme le terme le plus général embrasse à la fois la valeur et la fonction stylistiques et les dépasse même un peu.

6 La valeur stylistique comprend, entre autres, trois composantes les plus importantes et les plus stables: composante axiologique (appréciative ou dépréciative) composante imagée composante (ou marque) symbolique

7 Composante axiologique (affective) et sa position dans la structure de la signification lexicale Composante axiologique (affective) de la valeur stylistique c'est un caractère appréciatif ou dépréciatif ayant le statut d'un sème différentiel (identificateur) dans la structure de la signification lexicale. Le sème – est une composante minimale, c’est-à-dire une composante qu’on ne peut plus diviser à ce niveau de la signification.

8 Les composantes proprement émotives ne se réalisent que dans les actes de la parole et ce ne sont pas obligatoirement des moyens d’expression qui y sont destinés par le système de la langue. Par exemple: des mots tels que peur, joie, amour, haine etc. s’actualisent souvent sans exprimer ni provoquer chez le destinataire de phénomènes affectifs.

9 Par exemple: la phrase Je crois qu’elle a peur de son père, prononcée avec une intonation affirmative, ne véhicule qu’un jugement rationnel qui n’a rien à voir avec l’émotivité. L’axiologie rationnelle n’a pas de rapport avec la valeur stylistique.

10 Si un jugement de valeur joue un rôle informatif important dans la sémantique du mot il forme une composante axiologique affective. Si ce rôle est moindre, nous sommes en présence d’une «axiologie rationnelle».

11 axiologie affective soûlard pochard vachard axiologie rationnelle ivrogne méchant

12 Première colonne - les caractères axiologiques jouent un rôle prépondérent, identifient une classe d’objets Deuxième colonne - le caractère axiologique se rapporte au niveau générique de la structure de la signification

13 axiologie affective feignant flémmard cossard dégonflé foireux trouillard péteux axiologie rationnelle paresseux peureux

14 la deuxième colonne: les composantes «qualité morale, éthique» et «sa dépréciation» se rapportent au niveau générique, archisémique, font entrer ces dénominations dans un groupe large (dépréciation de toutes les qualités morales et éthiques considérées comme négatives)

15 Le niveau différentiel de ces dénominations contient des composantes précisant les traits particuliers de la qualité visée (goût pour l’oisiveté; absence de fermeté devant un danger) L’appréciation rationnelle porte un caractère très général, ce qui en fait des dénominations neutres.

16 la première colonne: Le niveau différentiel comporte des caractères supplémentaires: «intensité de la qualité» et «sa dépréciation très forte». Ces deux composantes sont accéntuées par la marque familière ou populaire de ces synonymes et par leur forme interne apportant une composante imagée.

17 La qualité (le goût pour l’oisiveté ou l’absence de fermeté) nous apparaît ici avec le plus d’intensité. Ces composantes sont très informatives au niveau d’identification - elles constituent la spécificité sémantique des synonymes stylistiques en les opposant aux dénominations neutres.

18 Conclusion: des deux composantes axiologiques - rationnelle et affective - seule la dernière, ayant le statut d'un sème différentiel dans la structure de la signification, fait partie de la valeur stylistique.

19 Classez les mots suivants en deux colonnes: amitié, rossard, malhonnête, avare, veinard, chançard, généreux, superchouette, rat

20 rossard veinard chançard superchouette rat amitié malhonnête avare généreux

21 L'axiologie affective se combine généralement avec une composante imagée et (ou) une composante symbolique qui maintiennent son statut de caractère différentiel. Si l'image originelle, mise à la base de la forme interne, tombe dans l'oubli et entraine sa disparition, la composante axiologique s'efface à son tour.

22 Pour garder son statut de sème différentiel, le caractère axiologique qui n'est plus étayé par la forme interne, doit être accompagné d'une marque symbolique. Par exemple Par exemple: bringue (f) (femme de haute taille, hommasse ou niaise)

23 Ce mot contient une composante dépréciative d’une grande intensité:  le statut d’un sème différentiel  se concrétise par la précision du type de qualité à évaluer (qualités physiques, psychologiques et esthétiques)

24 La sémantique de cette unité lexicale comprend des caractères particuliers étymologiquement liés à l’image initiale (n’est plus saisie dans l’état contemporain de la langue, parce que la forme interne de ce mot s’est effacée). Sa signification primaire (cheval mal bâti) est sorti d’usage = femme hommasse, trop grande et mal faite

25 La disparition du sens primaire entraîne l’effacement de la forme interne Une composante affective qui résulte d’une forme interne, aujourd’hui effacée, subsiste dans la sémantique de l’unité lexicale grâce au support d’une marque symbolique qui met en évidence l’opposition du mot neutre et du mot à valeur stylistique.

26 Si le caractère axiologique n'est soutenu par aucune autre composante de la valeur stylistique, il perd petit à petit son rôle informatif et tend à disparaitre. Par exemple: les verbes gazouiller, roucouler, craquer, susurrer, vrombir, etc.

27 Ces verbes ont à leur origine une onomatopée, dont la composante axiologique est tombée dans l’oubli. Par contre, la dénomination tacot (= vieille automobile, de tac), garde sa composante dépréciative, ironique, qui se combine dans sa valeur stylistique avec une marque symbolique. Le verbe boumer (de boum) - l’axiologie affective est soutenue par une marque populaire (ça boume = on va bien).

28 3. Composante imagée de la valeur stylistique. Forme interne, sa position dans la structure de la signification le caractère imagée d’une dénomination est toujours associé à sa forme interne la forme interne est une image initiale qu’on trouve à l’origine d’une dénomination et qui persiste encore dans la sémantique du mot sous forme de sa composante imagée

29 les traces de l'image sont maintenues par des caractéristiques formelles du mot et par ses rapports (sémantiques et formels) avec d'autres éléments de la langue Comparons:

30 maison, forêt, papa le caractère imagé n'est qu'une propriété individuelle, virtuelle de la perception du mot pique-assiette, poupée, môme, pantouflard le caractère imagé fait partie de la structure sémantique et devient obligatoire

31 Facteurs qui rendent la composante imagée obligatoire: 1) L'unité lexicale garde les traces de l'image initiale dans sa forme même (pique- assiette, lèche-cul ). 2) L'image initiale se fait sentir dans la relation de motivation sémantique qui existe entre le sens primaire et le sens secondaire du mot (aubergine – légume; auxiliaire féminine de la police parisienne)

32 Facteurs qui rendent la composante imagée obligatoire: 3) La perception de l'image initiale devient possible grâce aux rapports paradigmatiques de la dénomination toute entière et des éléments employés pour sa formation (pique-assiette - piquer, assiette, plat, manger, fourchette) 4) La composante imagée propre à la forme interne y est toujours associée à une composante axiologique (leur relation réciproque constitue l'essence de la forme interne)

33 Facteurs qui rendent la composante imagée obligatoire: 5) La composante imagée de la forme interne n'entre pas dans le noyau conceptuel de la signification, parce qu’elle est logiquement incompatible avec ses caractères principaux d'identification

34 Traits de la forme interne: 1. La forme interne est une des parties d’une signification (≠ sens étymologique du mot). 2. Elle comprend une composante imagée accompagnée d’une composante affective (≠caractère rationnel, affectif ou imagé) 3. La nature imagée de la forme interne et son association avec l’acte de dénomination la distinguent d’un phénomène de motivation synchronique

35 Traits de la forme interne: 4. La composante imagée est obligatoire:  la forme interne se manifeste dans la sémantique d’une dénomination par l’intermédiaire de la forme du mot et de ses rapports dans le système de la langue.  L’incompatibilité logique de la composante imagée avec le noyau conceptuel l’empêche de l’intellectualiser

36 la définition de la forme interne: la forme interne est une composante imagée (accompagnée d'une composante affective) mise à la base de la dénomination et saisie comme telle par les usagers de la langue en raison de la spécificité formelle et sémantique du mot assurant ses rapports avec l'unité motivante.

37 L'intensité de la composante imagée de la forme interne dépend du degré de son incompatibilité logique avec le noyau conceptuel de la signification. Plus cette incompatibilité est évidente, plus l’image est vive. Comparons: cogne (m), hirondelle (f) et vache à roulettes (f) – agent de police

38 cogne:  A son origine se trouve le verbe cogner (= battre).  Sa composante imagée n’est pas en contradiction logique avec son noyau conceptuel (les fonctions officielles d’un agent de police n’excluent pas l’application de la force physique)  la composante imagée se manifeste avec peu d’intensité et cède le pas à l’affectivité, à la dépréciation

39 hirondelle et vache à roulette:  Leur composante imagée se manifeste avec beaucoup plus d’intensité.  Leurs images initiales se mettent en contradiction avec le noyau conceptuel de la signification et ne s’accordent pas avec leurs sèmes principaux.  C’est l’image, et non la composante axiologique, qui prédomine dans la sémantique de ces noms

40 L'effacement de la forme interne commence aussi par l'image: le sens primaire de bringue (=cheval) sort d'usage, la dénomination secondaire (= femme) perd sa forme interne. La disparition des liens formels et sémantiques entre l'unité motivée et sa base motivante peut aussi conditionner l'oubli de la forme interne.

41 Par exemple  adjectif coquet,-ette et ses derivés (coquette, coqueter, coquetterie, coquettement) remontent étymologiquement au diminutif de coq – coquet.  Avec la disparition du sens étymologique de coquet l'adjectif coquet et tous ses dérivés perdent le lien sémantique avec le mot coq ce qui entraine l'oubli de leur forme interne.

42 des expressions phraséologiques La forme interne des expressions phraséologiques résiste mieux aux facteurs de l'oubli que celle des mots: la phraséologie résulte toujours d'une dénomination figurée ce qui accorde à l'image un rôle particulièrement important dans la sémantique de ces unités leur caractère analytique facilite la perception de l'image

43 Par exemple: Quand on appelle un raseur un robinet d'eau tiède, la forme interne de l'expression se reconstruit sans peine (l'image de l'eau qui découle sans cesse et avec monotonie du robinet et qui donne sur les nerfs).

44 La disparition complète de la forme interne des expressions phraséologiques n'est possible que dans le cas de l'archaïsation définitive d'une ou de toutes leurs composantes par exemple par exemple, ni sou ni maille, à huis clos où les éléments maille et huis ne véhiculent plus aucun contenu

45 Les facteurs sociaux, historiques et purement situationnels exercent une influence importante sur la perception de l'objet Par exemple Par exemple, l'expression C'est un vrai concierge (en parlant d'une personne bavarde) reflète le statut particulier et les traits psychologiques des concierges français.

46 le français et le russe révèlent beaucoup d'analogies au niveau de la forme interne:  une cocotte-minute  une tortue  une chiffe  des trous de mémoire  sa mémoire est une passoire  donner le feu vert  une poule mouillée  mettre des batons dans les roues  сraindre comme la peste  «скороварка»  «черепаха», медлительный человек  «тряпка» (о человеке)  провалы в памяти  «дырявая голова», «сито»  дать зеленую улицу  мокрая курица  вставлять палки в колёса  бояться, как чумы

47 Une série d'expressions phraséologiques formées dans les deux langues à partir d'une même image (celle de la «langue»): avoir la langue bien pendue – иметь хорошо подвешенный язык une mauvaise langue – злые языки une langue de vipère – гадюка, язык-змеиное жало se mordre la langue – прикусить язык avaler sa langue – проглотить язык ne pas savoir tenir la langue – не уметь держать язык за зубами

48 Les noms d'animaux employées comme termes de tendresse présentent une forme interne analogue en frangais et en russe: mon chat, ma chatte, ma poule, mon poulet, ma poulette, mon petit lapin, etc. ont presque tous des equivalents exacts dans la langue russe.

49 4. Composante symbolique, sa position dans la structure de la signification lexicale. La composante symbolique est un sème «signalétique» indiquant les conditions situationnelles d'emploi des unités lexicales qu'elle marque et s'associant à une composante axiologique dans leur structure sémique.

50 Seules les unités lexicales neutres sont privées de sème signalétique Cette composante précise la sphère et les conditions communicatives dans lesquelles ce lexique est généralement employé Sa fonction est non seulement symbolique, mais aussi régulatrice, car cette marque dicte certaines règles d'emploi du lexique.

51 L'information véhiculée par la composante symbolique est saisie par les usagers grâce à l'opposition des mots neutres aux mots stylistiquement marqués: Par exemple: mourir – décéder – avaler son extrait de naissance

52 Mourir - verbe neutre, emploi courant Décéder - employé dans un style officiel Avaler son extrait de naissance - langage populaire, différences substantielles par rapport au verbe neutre Ces différences signalent la sphère et les conditions communicatives: communication officielle pour décéder et le style populaire pour avaler son extrait de naissance

53 Il y a au moins deux caractères sémantiques dans la structure de la signification conditionnés par la marque symbolique:  Le caractère obligatoire du sème signalétique se confirme par l’inacceptabilité de tout énoncé où l'on observe une confusion de marques symboliques (la phrase Après une longue maladie le poète décédait ce matin deviendrait inacceptable si l'on substituait au verbe décéder l'expression avaler son extrait de naissance)

54  Ce sème ne participe pas à l'identification de la classe d'objets ou de phénomènes, il contenant une information non sur l'objet, mais sur le mode d'emploi de l'unité lexicale → ce sème est le plus périphérique au niveau différentiel La spécificité de la sphère et des conditions communicatives s'exprime dans une tonalité générale de la parole (on peut distinguer le lexique élevé et bas).

55 Dans décéder - une attitude respectueuse et solennelle à l'égard de la mort Dans avaler son extrait de naissance - une attitude ironique

56 La marque symbolique est représentée même par deux sèmes: un sème signalétique une autre composante dont la nature peut varier: dans les mots livresques, le lexique familier, populaire et argotique elle a un caractère axiologique dans les termes scientifiques et techniques il complète et concrétise l'information objective

57 la marque symbolique a le statut d'un sème générique et non différentiel les deux autres composantes de la valeur stylistique se rapportent au niveau différentiel Par exemple Par exemple, cogne, vache à roulette: le sème signalétique les oppose à leurs synonymes neutres (agent de police); les composantes axiologiques et imagées explicitent leur distinction sémantique des synonymes neutres.

58 Un sème signalétique peut acquérir le statut d'un caractère différentiel. Par exemple Par exemple, la sémantique de bagnole perd d'abord l'image, ensuite, dans l'usage populaire, le caractère dépréciatif → le sème signalétique (pop) représente dans ces circonstances l'unique composante qui distingue l'unité lexicale de son synonyme neutre voiture. Cette composante devienne différentielle dans la sémantique de bagnole.

59 Une autre voie: une dénomination peut modifier sa composante axiologique tout en conservant le même sème signalétique. Par exemple Par exemple, le sens figuré du verbe bouffer résulte d'une transformation de sa signification étymologique (= souffler en gonflant les joues), aujourd'hui sortie d'usage. La forme interne - l'image d'une personne qui gonfle les joues s'associe à l'idée de manger gloutonnement → un jugement dépréciatif.

60 Mais cette composante axiologique ne survit pas à l'effacement de la forme interne → bouffer acquiert une acception familière privée de caractère dépréciatif (= manger) qui diffère de celle de son symonyme neutre seulement par la présence d'un sème signalétique (fam.).

61 Sa spécificité: La marque symbolique, c'est une composante à la fois signalétique et régulatrice qui, comme les deux autres composantes de la valeur stylistique, fait partie de la signification lexicale, bien qu'elle y garde un statut particulier: se réalisant à travers une de ces composantes ou toutes les deux dont elle a besoin pour subsister, elle est de nature plus générale et se situe presque toujours au niveau catégoriel de la structure sémantique.

62 Conclusions 1. La distinction des trois composantes de la valeur stylistique n'est guère absolue. Elles se combinent le plus souvent dans la sémantique d'une dénomination (on peut quand même dégager la composante dominante). 2. La forme interne comprend à la fois une composante imagée et une composante axiologique. La composante imagée est, d'un côté, explicitée dans la structure morphologique et sémantique de l'unité lexicale et, de l'autre, logiquement incompatible avec le noyau conceptuel de la signification → elle est obligatoire et différentielle, mais occupe la position d'un sème périphérique.

63 3. La composante axiologique a une position plus libre dans la signification mais elle doit appartenir à son niveau différentiel pour garder le statut d'un caractère affectif, et non rationnel. 4. La marque symbolique est représentée par un sème signalétique qui symbolise la sphère et les conditions communicatives dans lesquelles s'emploie l'unité lexicale. Elle a le statut d'un caractère catégoriel.

64 5. La valeur stylistique se manifeste au moins par deux composantes. Sa manifestation la plus évidente c'est la forme interne qui contient elle- même deux composantes: imagée et axiologique, et se combine très souvent avec une marque symbolique. 6. Une signification qui comprend une ou quelques composantes de la valeur stylistique est appelée signification stylistiquement marquée, et celle qui n'en contient point — signification neutre.

65 7. Les composantes de la valeur stylistique sont enregistrées dans les dictionnaires de la langue française. La composante axiologique et la forme interne se reflètent dans les articles lexicographiques. C'est la marque symbolique qui est enregistrée dans les dictionnaires avec le plus de système et le plus de régularité.

66 Les marques les plus importantes qu'on trouve dans «Le Petit Robert» selon les sphères et les types de communication selon la valeur fonctionnelle dans le système lexico-sémantique de la langue contemporaine La marque symbolique: courants (cour.), familiers (fam.), populaires (pop.), vulgaires (vulg.), argotiques (arg.), enfantins (enfant.), poétique (poét.),littéraire (littér.) administratif (admin.),technique (techn.), scientifique (sc.), etc. → selon les sphères et les types de communication; des mots sortis d'usage (vx), en train de sortir d'usage (vieilli), peu fréquents (rare), le lexique courant (cour) → selon la valeur fonctionnelle dans le système lexico-sémantique de la langue contemporaine.

67 La composante axiologique: iron. – ironique, péj. – péjoratif et plais. – plaisant. Les articles du dictionnaire contiennent des indications supplémentaires concernant cette composante de la valeur stylistique, par exemple, terme de tendresse.

68 La composante imagée: fig. – figuré qui n'accompagne pas quand même toutes les dénominations concernées. Par exemple, les noms de l’agent de police dont le sens contient une composante imagée (hirondelle, vache à roulettes) sont dotés d’une seule marque: populaire.

69 Les caractères axiologiques et les éléments imagés qui n’ont pas de marques spéciales, sont présentés dans les définitions, dans les séries synonymiques et antonymiques, dans les exemples illustratifs et dans d'autres renseignements qu'on trouve dans les articles du dictionnaire.

70 Ouvrages de référence 1. Балли Ш. Французская стилистика. 2-е изд., стереотипное – М.: Эдиториал УРСС, 2001; 2. Хованская З.И., Дмитриева Л.Л. Стилистика французского языка: Учеб. для ин-тов и фак-тов иностр. яз. – М.: Высш.шк., 2004

71 Merci de votre attention


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