La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Introduction : D’après les estimations des nations unies, il y a plus de 1,2 milliard d’êtres humains qui se trouvent aujourd’hui menacés par la sécheresse.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Introduction : D’après les estimations des nations unies, il y a plus de 1,2 milliard d’êtres humains qui se trouvent aujourd’hui menacés par la sécheresse."— Transcription de la présentation:

1

2

3 Introduction : D’après les estimations des nations unies, il y a plus de 1,2 milliard d’êtres humains qui se trouvent aujourd’hui menacés par la sécheresse et l’un de ses effets le plus important est le phénomène de désertification. Cela signifie une baisse de productivité des terres, d’où la nécessité de lutter contre ce fléau afin de réaliser deux objectifs essentiels : 1-La préservation des ressources naturelles existantes. 2-Un développement économique intégré du monde rural. L’Algérie, comme beaucoup de pays menacés par ce phénomène accorde une importance particulière à la lutte par le biais de divers programmes et procédures techniques appropriées. Devant cette situation, jugée menaçante de l’avenir de la population à long et moyen terme, nous avons opté pour l’étude des différentes procédures de lutte contre le phénomène de Désertification, pratiquées dans la wilaya de Naama et leurs effets positifs afin de les apprécier, valoriser, vulgariser car la steppe est un écosystème fragile.

4  Chapitre I  I-1- la situation géographique :  Naâma, wilaya steppique frontalière avec le royaume du Maroc, fait partie des hautes plaines du sud oranais qui s’étend de 32° 08’ à 34° 22’ latitude nord et de 0° 36’ est à 0°46’ ouest de longitude.  Elle est limitée :  Au nord par les wilayates de Tlemcen et sidi Bel bel abbés.  A l’est par la wilaya d’el- bayadh  Au sud par la wilaya de Bechar  A l’ouest par le royaume marocain

5  I-2- paysage morphologique  La wilaya de Naama d’une superficie totale de 2 951 410 ha, se caractérise par trois grands espaces géographiques homogènes :  Une zone steppique au nord occupant 74 % de la superficie de la wilaya soit 2 184 046 Ha.  Une zone montagneuse représentant 12% de la superficie du territoire de la wilaya soit 354 171 Ha.  Une zone présaharienne au sud qui s’étend sur 14 % restant de la wilaya soit 413 197 Ha.L’agriculture est pratiquée principalement au niveau de cette zone, à travers les oasis - vallées et piémonts.

6 Les formations dunaires : Sont relativement importantes dans l’espace de la wilaya de Naama, les dunes mobiles y sont signalées principalement au niveau de Magroun, Ain Sefra, Sidi Brahim, Dermel et El biodh. 1.2/-Aspect pédologique : A – le sol : Les sols de la zone d’étude peuvent être regroupés comme suit : Les sols minéraux bruts : Sols calci magnésiques : Cette classe renferme trois groupes de sols o Groupe des sols rendzine o Groupe des sols bruns calcaires *Sols peu évolués, appartenant au groupe des sols d’apport alluvial, ils sont assez profonds, et sont pauvres en matière organique

7  II-1 /- LE CLIMAT :  Notre étude climatique s’est basée sur les données recueillies à partir de la station météo de Ain Sefra pour deux raisons essentielles :  La représentativité écologique.  L’accès aux informations.  II-2 /-précipitations :  La pluviosité moyenne calculée sur 12 ans (1982 à 1993) est de à 143.53 mm à la station de Ain Sefra.  L’année agricole peut être divisée en 2 périodes : Une période humide allant du mois de novembre à avril. une période sèche allant de mai à octobre

8  II-3- Températures  L’analyse des données permet de déduire la synthèse suivante :  Pour la moyenne des maximum, juillet reste le mois le plus chaud de l’année de l’ordre de 47.4 ° c.  L’effet de ces températures est souvent renforcé par le sirocco qui ajoute son action desséchante à celle de la chaleur, ce qui limite encore les possibilités de certaines cultures peu résistantes à la chaleur.  II.4- LE VENT  les particularités des vents de sable de Ain Sefra sont actives au contact du sol, ils sont responsables des champs de dunes et regs dans cette région.  Les vents prédominants sont ceux du nord ouest et sud ouest.

9 II.5 Synthèse climatique : D’après la classification de Bagnouls et Gaussen, il ressort que notre zone d’étude est située à l’étage bioclimatique semi aride inferieur. II.6/- Conclusion : D’une manière générale, l’année climatique de la wilaya est subdivisée en deux grandes saisons, une saison froide et relativement humide qui s’étend de novembre à avril et une saison chaude et sèche allant de mai à octobre. En général, la pluviométrie demeure faible et irrégulière, elle est hétérogène dans le temps et l’espace ; La période des basses températures, allant de novembre à février est à l’origine de l’intensité des gelées hivernales qui peuvent se traduire par des dégâts végétatifs.

10  Chapitre II  II- LE PHENOMENE DE LA DESERTIFICATION  I /- Définition :  Désertification : dégradation des terres dans les zones arides, semi arides et subhumides, issue des différents facteurs comprenant les variations climatiques et les activités humaines.  I-1- problématique de la wilaya  Ces dernières décennies, nous assistons à une dégradation des ressources végétales au profit d’une prolifération démesurée des phénomènes d’ensablement. Cette nouvelle situation résulte d’un ensemble de facteurs biotique et abiotique à savoir :  surpâturage, piétinement, faible recouvrement végétal, sécheresse.  La conjugaison de tous ces facteurs associés aux paramètres vents ont favorisé le déclenchement des processus éoliens qui ont engendré les mécanismes suivants : mobilisation, transport et dépôt de sédiments sur des sites d’obstacles.

11 II Facteurs de la désertification : D eux types de causes sont à l’origine ou susceptibles de mener à la désertification. Les causes directes qui sont les variantes du climat et les activités humaines, et les causes indirectes (exemple le déplacement des populations pendant les périodes de disette ). II-1 – LES FACTEURS DIRECTS : II/1-1 : Les variations du climat : l’aridité : la persistance des températures élevées favorisent l’apparition de sécheresse qui bloque les cycles et le développement de la végétation. II /1-2 : Activités humaines : Les régions arides, semi arides et subi humides sèches sont caractérisées par des écosystèmes extrêmement fragiles, à sols pauvres et à faible productivité. L’état actuel de l’exploitation a conduit à la dégradation du couvert végétale et des sols.

12 Les activités humaines liées aux systèmes d’exploitation des sols ; Quatre catégories de causes : -Le déboisement : l’abattage pour la recherche de bois à brûler. -Les systèmes de culture : les labours illicites et la pratique de défrichements, sont responsables de la désertification. -La surexploitation des parcours. -Les mauvaises pratiques en matière d’irrigation. II–2 /-LES FACTEURS INDIRECTS : Ce sont les facteurs étroitement liés aux pratiques destructives des terres qui constituent les facteurs indirectes (sociaux,économiques ), Ces pressions ou facteurs indirectes peuvent être réunies en 4 groupes :

13  II-2-1/- La pression démographique :  Dans la plupart des cas, les sociétés choisissent d’accroître les superficies cultivées en épuisant souvent les terres marginales ou fragiles fortement susceptibles à la dégradation.  II-2-2/- La pression de la pauvreté :  Le manque de capital et de protection sociale oblige les pauvres à répondre à leurs besoins souvent par une exploitation à court terme qui peut compromettre la stabilité à long terme des ressources. ce qui favorise la désertification.  II-2-3/- Pauvreté et migration de masses :  Les régions menacées par la désertification sont obligées de se déplacer généralement vers les agglomérations. Ce qui a pour conséquences essentielles :  La limitation des potentialités naturelles.  La réduction des productions agricoles.  L’aggravation de la surexploitation des ressources naturelles.  D’après une étude faite au niveau de la wilaya de Naama, plus de 58% de la superficie est sensible à la désertification.

14 Impact de la désertification sur l’environnement : Le dépérissement et la disparition du couvert végétal exposent les sols des régions arides et semi arides à l’érosion éolienne et hydrique, à l’inondation et à la salinisation. Les vents de sable deviennent plus fréquents et plus intenses d’où une détérioration de la qualité de l’air qui devient chargé d’aérosols. V – intérêt de la steppe Dans l’économie pastorale, la steppe constitue le pays du mouton. Par ailleurs et compte tenu de la vocation de la wilaya de Naama qui est à dominance pastorale, il s’avère nécessaire la mise en place d’une stratégie de développement qui aura pour objectifs : La préservation des ressources naturelles. Le développement et la valorisation des potentialités existantes.

15 VI- OCCUPATION DU SOL VI – 1 /-Végétation : La majeure partie des formations steppiques de la wilaya de Naama appartient aux formations steppiques par opposition aux faibles formations forestières principalement sur les reliefs montagneux. Les formations végétales sont représentées comme suit : Formation naturelle (les parcours) : Ils représentent 74 % de la surface totale de la wilaya localisés en majeure partie au nord. On note 05 types de parcours : Les parcours à lygium spartum (sengha) Occupant une superficie de 618 000 ha très affectés par la sécheresse. les parcours à stipa tenacissima ( alfa) Occupant une superficie de 436 250 ha dans un état très avancé de dégradation, localisée au nord du chott el Gharbi. Les parcours à artemésia Herba alba (armoise) Evaluées à 15 150 ha, en voie de disparition, localisés à l’ouest de Gaaloul. les parcours Hamada Scoparia ( remt). D’une superficie de 560 000 ha localisées principalement dans le sud de la wilaya et ont tendance à remonter vers le nord signe d’une avancée du désert. -Les parcours hétérogènes : D’une superficie de 553 040 ha sont très dégradés

16 VII – CONSTAT ET DIAGNOSTIC GENERAL SUR LA WILAYA : L’espace steppique connait une dégradation de plus en plus accrue et témoigne d’un processus accéléré du phénomène de la désertification, affectant les ressources naturelles, socio économiques. En effet, plus de 80 % de la superficie de la wilaya est touchée par ce fléau à titre d’exemple la superficie alfatière a regressé de 800 000 ha (1976) à 436 260 ha actuellement

17 Chapitre III III- LES PROCEDURES DE LUTTE I /- LE REBOISEMENT : Le patrimoine forestier de la wilaya s’étalant sur une superficie de plus de 137 000 ha est constitué principalement de 92 % de maquis matorral occupant les monts des Ksours et les reliefs isolés, et 08 % de peuplement artificiel sous forme de bandes ; ceintures, boisement de masse et fixation de dunes. Nous citons le cas de la ceinture verte d’El biodh, avec une bonne croissance des plantations dues au caractère superficiel du plan d’eau de la nappe phréatique et les conditions édaphiques favorables.

18  Evaluation des contraintes :  1 /-contraintes climatiques :telles que la faiblesse des précipitations  2/- Contraintes sociales :notamment la pression du cheptel 3/-Contraintes techniques : Nous citons l’inadaptation de l’espèce de pin d’alep

19 II/- Le boisement par les arbres et les arbustes fourragers : La lutte contre la désertification se fait aussi par la diminution de la pression sur la végétation spontanée afin de lui permettre de se régénérer et aussi de s’adapter aux effets du pacage parmi les espèces plantées Le caroubier (caratona saliqua) Févier d’Amérique (gledischia Tricanthos) Le pistachier de l’atlas (pistachia atalantica)

20  III/ – LA FIXATION DE DUNES :  III-1/-Fixation Biologique :  C’est la méthode la plus efficace, Les projets de fixation de dunes qui constituent un volet du programme de reforestation dans cette région, ont été entamées depuis la création de la wilaya en 1985.  Cette forme de plantation réalisée à base de Tamarix est destinée à la fixation des voiles dunaires qui menacent les agglomérations, les infrastructures routières et les exploitations agricoles, a prouvé dans plusieurs impacts son efficacité de protection (Ain Ben khellil, El biodh, Ain sefra, Mekmen ben amar etc..)  Parmi les espèces de Tamarix plantées dans la wilaya de Naama nous citons le tamarix Afila - Gallica.  Le choix de ces espèces est justifié par les caractéristiques botaniques et physiologiques qui leur permettent une bonne adaptation avec les conditions de milieu les plus défavorables telles que la sécheresse prolongée, les gelées les mauvaises conditions édaphiques.  Parmi les caractéristiques du tamarix sa grande résistance à la sécheresse, sa croissance rapide, sa bonne régénération.

21  III-2/- La fixation mécanique de dunes :  Le principe de cette action est de freiner la vitesse des vents et d’éviter le déplacement du sable, en utilisant une maille plastique ou en palmes séches  Cette méthode est moins utilisée car elle est coûteuse et par conséquent très limitée.  III/-La plantation de brises vent :  La mise en place de brise-vent est une opération indispensable, qui doit précéder toute mise en culture notamment en milieu steppique.  Actuellement, les espèces qui ont prouvées une bonne efficacité sont le Casuarina et le Cyprès Fig 10 ).

22  IV /-Les plantations d’alignement :  Ce type de plantation demeure restreint et limité dans l’espace, et mérite une extension à travers tous les axes routiers et au sein des tissus urbains.  Les espèces utilisées principalement sont : le tamarix, le robinier et le frêne.  La réussite était importante notamment au niveau de la zone de Horchaya,zone à croissance rapide de l’eucalyptus.

23 IV/- LA MISE EN DEFENS : C’est un aménagement des parcours par la mise en repos pendant une période précise de 3 à 5 ans selon le cas afin de permettre une régénération du couvert végétal, ce qui favorise par la suite une augmentation de l’offre fourragère des parcours. C’est un instrument efficace de la régénération des steppes V- 1/- Mise en défens au niveau de la wilaya de Naama La mise en défens des zones dégradées à la wilaya de Naama s’étale sur une superficie de 741 400 ha repartie en 23 impacts touchant ainsi la totalité des communes de la wilaya, soit 30 %.

24 .   IV- 2/ -Contraintes :  Le manque de respect des mises en défens par les éleveurs, ceci se justifie par le pacage du cheptel au sein de certains périmètres et aussi la pratique des labours illicites.  La faiblesse du dispositif de gardiennage comparativement à l’étendue des zones mises en défens qui sont très vastes.  V/- Plantations pastorales :  C’est une opération qui consiste en l’introduction d’un matériel végétal rustique adapté au milieu steppique et garantissant une offre fourragère au cheptel local sans omettre son rôle dans la lutte contre la désertification (

25 Contraintes : Pacage illicite du cheptel, notamment durant la phase juvénile du végétal, cet acte reste le plus gênant au développement végétatif des plantations pastorales. La gamme de choix des espèces pastorales est limitée aux atriplex en raison de leur adaptation aux conditions de milieu les plus difficiles. La sécheresse et l’éloignement des sites, limitent en particulier l’opération d’arrosage.

26  VI / - MISE EN VALEUR RATIONNELLE :  La mise en valeur des terres en milieu steppique constitue un moyen efficace de lutte contre la désertification dans le cas ou elle est gérée d’une façon rationnelle.  Néanmoins certaines pratiques accentuent le phénomène de désertification, Alors une attention particulière à cette activité devra être attirée afin de préserver les ressources naturelles, on peut citer dans ce sens :

27 VI- 1 /- Utilisation des bonnes pratiques agricoles : Pour conserver la productivité des sols, il faut adopter des pratiques durables à long terme et ce en : *Respectant la capacité de charges des sols : * Diversifier les productions :en pratiquant un système de rotation adéquat *Utiliser les bonnes techniques d’irrigation Dans le but de pratiquer les techniques d’irrigation économisatrices il existe deux méthodes principales : *Le système d’irrigation localisé ou goutte à goutte. *Le système d’irrigation par aspersion ● Eviter la pratique de la céréaliculture en sec, à l’exception des zones d’épandage.

28 VI-2 / - Plantations fruitières La plantation fruitière constitue un moyen efficace de lutte contre le phénomène de la désertification car l’installation d’une culture pérenne permet la fixation du sol, un revenu économique aux agriculteurs, et L’amélioration de l’écosystème. D’après les services de l’agriculture (DSA) de Naama, la stratégie actuelle est orientée vers les plantations rustiques et en première position se place l’olivier, qui se justifiée par : - La résistance de l’espèce à la sécheresse. - Le déroulement de la phase floraison après la période des gelées.

29 VII./ - GESTION DURABLE DES ESPACES PASTORAUX : Une gestion durable des espaces pastoraux dépend des modes d’exploitation des ressources naturelles par les populations usagères d’où la nécessité d’alléger la pression sur les aires de pâturage Certaines mesures s’imposent : Système de rotation des parcours Cette procédure de gestion des parcours assure une régénération continue du couvert végétal en adaptant un système de pacage limité dans le temps et dans l’espace. Le système de rotation des parcours non dégradés demeure le plus adapté aux conditions écologiques des zones arides et semi arides. L’amélioration des conditions de vie des éleveurs constitue un enjeu de taille qu’il ne faut pas sous estimer dans toute politique de développement en zone steppique et le soutien des prix de l’aliment en cas d’année sèche..

30  V.III/- LA VULGARISATION :  Dans le but de transférer les procédures ayant comme objectifs la lutte contre la désertification, il s’avère nécessaire de suivre les recommandations :  Elaboration d’un programme économique visant la mobilisation rationnelle des ressources naturelles en vue d’améliorer les conditions de vie des populations rurales à travers des actions soutenues par l’état.  Prévoir un dispositif de soutien pour l’alimentation du bétail afin de préserver le couvert végétal des parcours mis en défens.  Mobilisation rationnelle de la ressource hydrique et développement de l’hydraulique pastorale (infrastructures de stockage de surface :ced, Djboub).  Etablir un programme spécifique de vulgarisation destiné au monde rural relatif à la lutte contre la désertification.

31  CONCLUSION :  Pour la steppe l’expression "dégradation des terres" désigne en particulier la dégradation des parcours,  Il reste bien entendu que la steppe est la plus sensible au phénomène de désertification.   A travers notre étude des différentes procédures de lutte nous avons constaté sur terrain une nette amélioration du milieu écologique des zones ayant fait l’objet de projets en adoptant les procédures de lutte.   On peut citer à titre d’exemple :  1-La fixation biologique des dunes de Sidi Bouadjadj ( Naama ).  2-La Plantation pastorale de Touifza – Naama.  3-La Mise en défens de Nouffikha ( Sfissifa ).  4-La mise en valeur en pleine dune à Dzira (Ain Sefra ).   Néanmoins, nous avons essayé d’attirer l’attention des usagers de la steppe du danger que présentent les mauvaises pratiques notamment les labours illicites, le défrichement des arbustes steppiques, les malfaçons culturales tel que la plantation de roseaux comme brise- vent.   De ce qui précède, nous souhaiterons la multiplication des efforts visant la lutte contre le phénomène de désertification par touts les moyens, jugés adéquats et efficaces. 

32

33 Nous vous remercions pour votre aimable attention


Télécharger ppt "Introduction : D’après les estimations des nations unies, il y a plus de 1,2 milliard d’êtres humains qui se trouvent aujourd’hui menacés par la sécheresse."

Présentations similaires


Annonces Google