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L’OUEST CANADIEN: LES MEILLEURES NOUVELLES TERRES 10 e année Février à juin 2016 Préparé par A. Berteau.

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1 L’OUEST CANADIEN: LES MEILLEURES NOUVELLES TERRES 10 e année Février à juin 2016 Préparé par A. Berteau

2 Comment la politique gouvernementale a-t- elle favorisé l’immigration dans l’Ouest? ■Pendant l’ère Laurier (1896 à 1911), l’économie canadienne était prospère. Elle a attiré des milliers d’immigrants au pays. ■C’est dans cette ère que les États-Unis ont mis fin à leur programme de concession gratuite des terres. ■Les terres de concession: les terres publiques données aux immigrants par le gouvernement, à la condition qu’elles soient utilisées pour l’agriculture. ■Le Canada est donc devenu une destination attrayante.

3 Le pouvoir de la publicité ■Comment attirer tous ces gens vers l’ouest? ■Par la publicité! ■Le ministère canadien de l’Immigration attirait des dizaines des milliers de colons dans l’Ouest canadien en leur offrant gratuitement des terres. ■On a fait publier des affiches, des annonces dans les journaux et des millions de prospectus. Des conférences publiques sont organisées et des bonis sont offerts aux promoteurs. ■Le ministre de l’Intérieur, Clifford Sifton, a aussi engagé des agents pour distribuer des affiches et des prospectus portant le titre L’Ouest canadien: les meilleures nouvelles terres. ■Fait intéressant à noter: toute référence au froid et à la neige en avait été bannie!

4 Analyse de la publicité

5 Les facteurs d’attrait et de nécessité dans la décision d’immigrer ■Les vastes mouvements migratoires se produisent pour deux raisons: 1.La nécessité de quitter son pays natal (facteur de nécessité) 2.L’attrait des possibilités qu’offre un autre pays (facteur d’attrait) ■Les gens considéraient le Canada comme un pays qui leur permettrait d’améliorer leur qualité de vie (facteur d’attrait). ■Certains fuyaient des gouvernements hostiles, la discrimination et la pauvreté (facteur de nécessité).

6 Figure 7-5. De grandes vagues de migrations se produisent lorsque les gens ressentent la nécessité de quitter leur pays ou l’attrait d’aller vivre dans un autre. De nos jours, la politique d’immigration canadienne favorise les immigrants hautement qualifiés, dont un grand nombre provient de pays en voie de développement. Que penses-tu de cette politique ?

7 Une politique de libre admission ■À l’époque de Laurier, les immigrants venaient principalement de: –La Grande-Bretagne, –Les États-Unis et –L’Europe. ■Sifton était critiqué parce qu’il encourageait l’immigration des colons d’Europe centrale et de l’Est. ■Il avait une raison principale derrière ce choix: ces fermiers avaient vécu dans un milieu semblable à celui des Prairies. Ils étaient habitués à ce climat et comprenaient la culture en milieu aride. ■La culture en milieu aride: une méthode d’agriculture qui se pratique dans les régions où il ne pleut pas beaucoup.

8 Une politique de libre admission (suite) ■Certains Canadiens avaient des préjugés sur ces gens dont la langue et les coutumes étaient si différentes des leurs. ■Un préjugé: un parti pris, une opinion préconçue, avoir un préjugé signifie porter un jugement avant de connaître les faits. ■Grâce à la politique de libre admission de Sifton, les colons qui s’installaient dans les Prairies provenaient de nombreux pays, notamment de la Russie, de la Pologne et de l’Ukraine. ■Une politique de libre admission: une politique d’immigration qui ne pose aucune restriction quant aux personnes qui peuvent immigrer.

9 Une politique de libre admission (suite) ■Les immigrants américains réussissaient beaucoup mieux que les immigrants britanniques à s’intégrer à la population fermière canadienne. ■Les Britanniques étaient pour la plupart des citadins de la classe ouvrière, peu habitués au style de vie rude de la prairie. ■Les Américains, certains d’entre eux tout au moins, savaient déjà comment cultiver la terre et ils possédaient plus d’argent que l’Européen moyen. ■L’Américain moyen qui arrivait dans les Prairies apportait 1 000 $ et de l’équipement pour la ferme. L’Européen moyen n’apportait que 15 $. ■Les colons américains préféraient l’Alberta, à tel point qu’en 1914, la population de la province était composée d’une majorité écrasante d’immigrants d’origine américaine.

10 L’accroissement de la population de 1891 à 1921

11 S’adapter à la vie dans les Prairies ■Chaque famille avait droit à un quart de section de 160 acres. ■La première tâche consistait à réunir 500 $ pour équiper la concession du minimum requis: une charrue, un chariot, un cheval et une vache laitière. ■Pour obtenir cette somme, il fallait travailler sur d’autres fermes ou dans des camps miniers ou forestiers.


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