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Dynamique du Réseau Trophique de L’Ecosystème Sénégambien Par SAMB Birane(1) et MENDY Asberr(2) 1CRODT, BP. 2241 Dakar Senegal 2 Fisheries.

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1 Dynamique du Réseau Trophique de L’Ecosystème Sénégambien Par SAMB Birane(1) et MENDY Asberr(2) CRODT, BP Dakar Senegal 2 Fisheries Department, Banjul, The Gambia

2 Objectifs de l’étude - Entreprendre une étude sur la structure trophique de l’écosysteme de l’upwelling SENEGAMBIEN - Discuter des résultats - Présenter des résultats de simulation par ECOSIM

3 Présentation de la zone d’étude du Sénégal

4 Caractéristiques de l’écosystème sénégambien
1. Conditions hydrologiques Vent moteur de la circulation avec : Alizé maritime, Alizé continental et vent de mousson 2. Courant Courant des canaries Contre courant équatorial

5 Caractéristiques de l’écosystème sénégambien
3. Saisons marines - une saison froide à faible intensité (novembre à janvier). - une saison froide à forte intensité (février à mai) avec des vents forts (5 à 7 m/s) - une saison chaude homogène (juin-août) - une saison chaude instable (septembre-octobre)

6 IMPORTANCE DU SECTEUR DE LA PECHE
- Premier secteur d’exportation - Occupe une place centrale pour la fourniture de protéines animales emplois indirects au Sénégal -15% de la proportion de main d’oeuvre active -Consommation annuelle de poissons 26kg/an/ha alors qu’au niveau de l’Afrique la consommation est de 8.2kg /an/ha

7 PECHERIE 700 km de côte Une pêche artisanale étant l’une des plus importante de l’Afrique Une pêche industrielle avec une composante nationale et une composante étrangère opérant dans le cadre d’accords de pêche

8 Apercu sur quelques contraintes du secteur
- Plus de d’habitants avec presque 50% de la population dans la zone côtière - Pêcherie multispécifique et multiengins - Conflits entre pêcheries et avec les pays voisins - Surexploitation des ressources démersales côtières et raréfaction de certaines espèces - Accès libre pour la pêche artisanale en croissance perpétuelle

9 Méthode Approche développée par Christensen et Pauly (1992b) sera utilisée. Il s’agira de modéliser un écosystème utilisant simultanément autant d’équations linéaires qu’il y a de groupes fonctionnels. Un groupe peut être défini comme une ou plusieurs espèces

10 La relation suivante devra être vérifiée pour chaque groupe (i):
Production de i = toute la prédation sur i + pertes de biomasses non liées à la prédation + captures par pêches du groupe i + autres pertes de biomasses comme l’émigration.

11 La relation peut être traduite plus généralement par l’équation suivante :
Bi * Pi/B* EEi – Somme (Bj* Qj/Bj * Dcji) - Exi=0

12 avec : Bi * Pi/B* EEi = Production de i Somme (Bj* Qj/Bj * Dcji) = toute la prédation sur i = Exi = autres pertes de biomasses dont pêches, émigration.... Bi = Biomasse de i Pi/Bi : rapport production sur biomasse de l’espèce i qui dans certaines conditions représente la mortalité totale Z ; Bj = Biomasse du prédateur j ; Qj/Bj : Consommation annuelle relative cad la quantité consommée Q par unité de biomasse B ; EEi : Rendement écotrophique qui est une fraction de la production totale d’un compartiment consommé par tous les prédateurs au sein du système DCji : Fraction de proies i en poids dans la moyenne de l’alimentation du prédateur j ; Exi : somme des prises de i et de l’émigration vers d’autres écosystèmes.

13 En terme d’énergie cette équation devient pour chaque groupe fonctionnel
Consommation= Production + Respiration +Nourriture non Assimilée.

14 Données de base du modèle
1.Définition de la zone Plateau continental sénégalogambien soit km2 2. Définition de la période Periode upwelling côtier soit de Novembre a Juin

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16 3. Définition des différents groupes
Oiseaux marins Mammifères marins Thonidés du large Thonidés côtiers Requins Raies Céphalopodes Démersaux cotiers Sardinelle ronde Sardinelle plate Autres pélagiques Zooplancton Meiobenthos Macrobenthos Producteurs benthiques Phytoplancton Rejets Détritus

17 Introduction des données du modèle
1.Biomasse: Les contraintes du modèle imposent l’introduction de la biomasse en t\km2 soit les biomasses totales en tonnes obtenues par exemple lors des campagnes sont divisées par la superficie totale du plateau sénégambien.

18 Estimation des biomasses
Groupes Biomasse t/km2 Sources Oiseaux marins Littérature Mammifères marins Littérature Thonidés du large ICCAT Thonidés côtiers ICCAT Requins Travaux CRODT Raies Travaux CRODT Céphalopodes Travaux CRODT Démersaux côtiers Campagne chalutage Sardinelle ronde Campagne d’écho-intégration Sardinelle plate Campagne d’écho-intégration Autres pélagiques Campagne d’écho-intégration Zooplancton Littérature Meiobenthos Littérature Macrobenthos Littérature Producteurs benthiques Littérature Phytoplancton Littérature Rejets estimation Détritus Littérature

19 2. Rapport P/B: Les mortalités totales Z sont annuelles
2. Rapport P/B: Les mortalités totales Z sont annuelles. Pour un groupe fonctionnel donné, une mortalité totale annuelle est estimée à partir de la moyenne de celles des espèces où cette valeur est connue. Des améliorations devraient donc être apportées à ces estimations: 3. Le rapport de la consommation sur la biomasse (Q\B dans le modèle) correspond au nombre de fois que le groupe consomme son propre poids durant l’année. Ces valeurs sont estimées pour les besoins du modèle à partir des estimations de "key fact" de Fishbase 1999. 4. Les captures annuelles par groupes ramenées au km2 sont indiquées pour la totalité de la pêcherie. 5. La composition alimentaire par groupe fonctionnel est fournie à partir de la bibliographie disponible, des connaissances empiriques et des expériences.

20 Développement du modèle
La mise en oeuvre du modèle donne des résultats dont l’analyse permet de se rendre compte de la situation d’équilibre: Des ajustements sur les données d’entrée (biomasse, mortalité et composition alimentaire) sont faits jusqu’à l’obtention de valeurs EE (rendement écotrophique de chaque groupe) soit comprise entre 0 et 1.

21 Données d’entrée

22 Données d’entrée

23 Résultats

24 Résultats

25 Résultats

26 Résultats

27 CONCLUSION - Teichmann, 1998 a réalisé la premiere étude dans la zone de l’écosystème NW africain sous influence du courant des canaries. - Mise en évidence de l’importance et du rôle des poissons pelagiques principalement la sardine dans la structure trophique décrite. - zone Sénégalogambienne les espèces dominantes sont les deux sardinelles. - La modélisation fait apparaitre des similitudes avec nombres d’écosystemes mais un niveau trophique bas des captures en considérant les estimations dans d’autres zones. .

28 - Cette zone d’étude connait une surexploitation de la plupart des especes démersales côtieres
- un report d’effort sur d’autres espèces comme les sardinelles, dont l’abondance et la relative stabilité sont réguliérement mises en évidence par des campagnes de prospection acoustique, doit etre mieux analysé eu égard au rôle de ces espèces dans le maintien de la chaine trophique. - Par ailleurs, nécessité de réactualiser au fur et à mesure de la disponibilite des données en matiere d’évaluation des biomasses des espèces démersales. - ce travail suggère l’importance de collecter de nouvelles données et d’entreprendre des travaux en vue d’augmenter les groupes. -Des investigations tenant compte du caractère migratoire de plusieurs espèces devront également être explorées

29 Modélisation ECOSIM Dans le cadre de cette étude il est loisible d’explorer des schémas d’aménagement et d’anticiper sur les conséquences  A titre illustratif quatre scénarii sont présentés - Le gel de l’effort de pêche artisanal à son niveau actuel et un accroissement durant six ans de l’effort de pêche industriel jusqu’à ce qu’il atteigne le double de son effort de pêche actuel (scénario 1).  - Le gel de l’effort de pêche industriel à son niveau actuel et un accroissement durant six ans de l’effort de pêche artisanal jusqu’à ce qu’il atteigne le double de son effort de pêche actuel (scénario 2).

30  - Le gel de l’effort de pêche artisanal à son niveau actuel et une diminution durant six ans de l’effort de pêche industriel jusqu’à ce qu’il atteigne la moitié de son effort de pêche actuel (scénario 3).  - Le gel de l’effort de pêche industriel à son niveau actuel et une diminution durant six ans de l’effort de pêche artisanal jusqu’à ce qu’il atteigne la moitié de son effort de pêche actuel (scénario 4).

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35 Conclusion sur la simulation
Les résultats de la simulation indiquent qu’il est indispensable de réduire l’effort de pêche notamment artisanal en vue d’éviter l’effondrement voire l’extinction de certaines espèces comme les démersaux côtiers.

36 Merci de votre attention


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