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21 janvier 2011 LE MONDE La musique dans le trio de tête des activit é s culturelles pr é f é r é es des Fran ç ais Selon un sondage diffus é jeudi 20.

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1 21 janvier 2011 LE MONDE La musique dans le trio de tête des activit é s culturelles pr é f é r é es des Fran ç ais Selon un sondage diffus é jeudi 20 janvier et r é alis é, entre le 26 novembre et le 11 d é cembre 2010, par l institut OpinionWay pour la (Sacem), en partenariat avec la station de radio France inter et le quotidien Le Parisien-Aujourd hui en France, pr è s d un Fran ç ais sur deux (47%) d é clare que la musique est l une des activit é s culturelles « dont il pourrait le moins se passer ». Ce qui place la musique en troisi è me position derri è re la lecture (54%) et la t é l é vision (64%). Le temps pass é quotidiennement à é couter de la musique est en moyenne d 1 h 10, un r é sultat trois fois inf é rieur au temps moyen pass é devant la t é l é vision (3 h 25 en 2009, selon M é diam é trie) mais qui reste important. « Cette place de la musique parmi les loisirs culturels favoris des Fran ç ais est relativement stable », commente Claire Giraudin, responsable des é tudes et de la communication ext é rieure de la Sacem. La disponibilit é tr è s importante de la musique et sa facilit é d acc è s d é multipli é e ces derni è res ann é es pouvaient laisser craindre un « effet de saturation » aupr è s du public. « La musique est partout, c est vrai, mais le d é sir de musique n est pas pour autant affect é, ajoute Mme Giraudin. D ailleurs la musique suscite toujours une importante adh é sion affective puisqu elle est d é crite par 80% des Fran ç ais comme une passion ou un plaisir. » Interrog é s sur leur support favori pour é couter de la musique, plus d un Fran ç ais sur trois (36%) opte pour la radio. La cha î ne hifi arrive ensuite (31%), loin devant la t é l é vision (seulement 8%). Dans leur ensemble, les nouvelles technologies ne suscitent pas une adh é sion tr è s prononc é e. Les baladeurs num é riques, Internet et les t é l é phones portables seraient encore des modes d é coute marginaux : pour 6% des sond é s, les baladeurs sont le premier mode d é coute ; même r é sultat pour Internet ; et pour 4% il s agit du t é l é phone. Des r é sultats qui peuvent para î tre bas pour toute personne vivant au contact d adolescents ou de jeunes adultes mais qui peuvent s expliquer par l é chantillon des sond é s : « 2010 personnes, repr é sentatives de la population fran ç aise âg é e de 15 ans et plus, constitu é selon la m é thode des quotas ». En effet, lorsque le sondage s int é resse à la tranche d âge 15-24 ans, les supports nomades arrivent en revanche en tête, avec 27% pour les baladeurs num é riques et 13% pour le t é l é phone portable. L é tude r é v è le aussi que la radio reste le m é dia pr é f é r é des Fran ç ais pour d é couvrir de nouveaux artistes. 70% d entre eux affirment que c est sur les ondes qu ils d é couvrent de nouvelles chansons ou de nouveaux artistes, devant la t é l é vision, cit é e par 58% des sond é s. Enfin, pour plus d un Fran ç ais sur deux (51%) le genre pr é f é r é est la chanson fran ç aise, suivi de la musique classique (34%) à é galit é avec la vari é t é internationale (34%). Marie Slavicek (avec Sylvain Siclier)

2 Les pratiques des Fran ç ais en mati è re de musique num é rique Les enseignements cl é s d un sondage r é alis é par IFOP pour le SNEP (janvier 2011). 45 % des fran ç ais (dont 74 % des 15-24 ans) consomment de la musique en ligne (t é l é chargement/streaming) 31 % de la consommation en ligne des 15-24 ans est r é alis é e à partir d un mobile. Le streaming audio est le mode de consommation le plus pl é biscit é notamment chez les 15-24 ans Ecoute en streaming : 61 % (dont 77 % pour les 15-24 ans) T é l é chargement : 44 % Visionnage de vid é omusicales : 42 % Les consommateurs de musique en ligne sont tr è s satisfaits des services propos é s 90 % sont satisfaits de la facilit é d utilisation des services (ergonomie et portabilit é ) 86 % sont satisfaits de la disponibilit é des titres recherch é s 87 % sont satisfaits de la qualit é audio 74 % sont satisfaits du rapport qualit é /prix Seulement 5 % des consommateurs de musique num é rique connaissent bien la carte musique et ses avantages 59 % n en ont jamais entendu parler, 36 % en ont entendu parler sans en conna î tre pr é cis é ment les avantages.

3 LES CLASSEMENTS DES MEILLEURES VENTES DE L ANNEE 2010 Les classements 2010 pr é sent é s cette ann é e sont fusionn é s, c est- à -dire qu ils sont r é alis é s en comptabilisant à la fois les ventes physiques et les ventes num é riques. La hi é rarchie des titres/albums vendus tient donc compte de l ensemble de leurs modes de distribution. Meilleure vente de titres/singles : Shakira : « Waka Waka » Sony Music Jive Epic Group Meilleure vente d albums : Christophe Ma é : « On trace la route » Warner Les meilleures ventes de titres/singles en 2010 : Ren é la Taupe, Justin Bieber et Christophe Ma é : class é s dans le top 5 physique et absents du top 5 num é rique, Sexion d Assaut et Ke$ha : class é s dans le top 5 num é rique et absents du top 5 physique. Les 100 meilleures ventes de titres/singles ont repr é sent é en 2010 un volume de 9 millions d unit é s dont 12 % dans la distribution physique et 88 % en t é l é chargement (web et mobile). Les meilleures ventes d albums en 2010 : Seul Christophe Ma é se classe à la fois dans le top 5 physique et le top 5 num é rique pour être la meilleure vente de l ann é e au sein du top fusionn é. Les 200 meilleures ventes d albums ont repr é sent é en 2010 un volume de 17 millions d unit é s dont 94 % dans la distribution physique et 6 % en t é l é chargement (web et mobile).

4 MARCHE DE LA MUSIQUE ENREGISTREE EN 2010 : Ventes é diteurs de CD/DVD musicaux (nettes de remises) et revenus num é riques En 2010, le march é de gros de la musique enregistr é e a repr é sent é 554.4 millions d euros, contre 589.3 millions d euros en 2009 soit une baisse de 5.9 % par rapport à 2009. le march é num é rique : 88.1 millions d euros, en hausse de 14.1 %. le march é physique : 466.3 millions d euros, en baisse de 8.9 %. Il s agit n é anmoins d une baisse en trompe l œ il puisque l ann é e 2009 avait é t é dop é e par les fortes ventes de Michael Jackson disparu en juin 2009. Hors effet Michael Jackson, le march é n aurait chut é que de 2.5 %.

5 La fili è re musicale entend r é agir aux propos inadmissibles du SRN sur la diversit é de la programmation des r é seaux musicaux Contrairement à ce qu indique le SRN, les repr é sentants de la fili è re musicale ne reprochent pas aux radios de violer la r é glementation sur les quotas mais d en faire une application totalement d é voy é e. Ce d é voiement, contraire à l esprit de la r è glementation dont la principale finalit é é tait de garantir une diversit é musicale sur les ondes, se traduit notamment par : De tr è s fortes rotations sur un nombre de plus en plus restreint de nouveaut é s francophones et de nouveaux talents : en 2010, 90% des diffusions de nouveaut é s francophones ont é t é concentr é s sur 15 titres, seulement 11 nouveaux talents francophones figurent parmi les 100 plus fortes rotations en 2010 (hors duos) soit 56% de moins qu en 2009, la part des titres francophones sur les 100 plus fortes rotations n est plus que de 30 % en 2010, soit 28% de moins qu en 2007, une baisse de 10% des titres entr é s en programmation, soit 300 titres de moins qu en 2009. Une ghetto ï sation des nouveaut é s et titres francophones aux heures d é coute peu significatives. Les productions francophones sont principalement diffus é es le week-end entre 6 h 30 et 8 h 30. Dans cette tranche horaire, la pr é sence de la musique est 75 % le week-end contre 44 % en semaine. Pire encore, la part de la chanson francophone au sein des diffusions musicales est 3 fois sup é rieure le week-end qu en semaine pour cette même tranche horaire. Une diffusion tronqu é e des titres francophones pour satisfaire les quotas au m é pris du droit moral des artistes et des auteurs/compositeurs. Les pratiques g é n é ralis é es consistant à ne diffuser qu une minute d un titre pour satisfaire les quotas sont inacceptables. Outre l atteinte au droit moral des auteurs et des artistes, comment dans ces conditions assurer une exposition des nouveaux artistes sans permettre aux auditeurs d é couter leurs œ uvres en int é gralit é ? La crise é conomique qui frappe la fili è re musicale ne saurait justifier une concentration extrême des programmations. Malgr é la crise, les producteurs ont envoy é en 2010 aux radios plus de 2 185 nouveaut é s diff é rentes (Source : Bya) dont 713 francophones ! Cette diversit é n est malheureusement pas repr é sent é e dans les diffusions des radios musicales. La fili è re musicale en appelle au CSA et au Ministre le Culture pour que ces d é rives, contraires à l esprit de la loi, cessent. Communiqu é de presse du 27 janvier 2011

6 SRN - "C'est l'industrie musicale qui semble d é laisser les artistes francophones" R é pondant aux critiques du SNEP, qui reproche aux radios musicales de contourner la loi sur les quotas de chansons fran ç aises, et tandis que la SACEM r é clame "une meilleure exposition des r é pertoires francophones et des nouveaut é s à la radio", le SRN a renvoy é les maisons de disques dans les cordes. "En v é rit é, c'est l'industrie musicale qui semble d é laisser les artistes francophones", a r é torqu é le syndicat qui rassemble 8 r é seaux musicaux nationaux. Le SRN ajoute que "les radios musicales sont toujours le meilleur vecteur pour les nouveaut é s musicales", soulignant que les radios respectent leurs quotas de diffusion de chansons fran ç aises, é tudes à l'appui. Il a d é plor é la "tarissement" de l'offre musicale francophone. Il y a quelques jours, David El Sayegh, directeur g é n é ral du SNEP (Syndicat National de l' É dition Phonographique), avait vivement critiqu é la politique des stations musicales en mati è re de respect des quotas de chansons fran ç aises (lire RadioActu du 21/01/2011). Estimant que ces derni è res contournent les dispositions l é gales en la mati è re, il avait expliqu é que "la radio n'est pas le vecteur le plus performant pour assurer la diversit é musicale". Ce mercredi 26 janvier, le SRN (*) (Syndicat des R é seaux radiophoniques Nationaux) - à l'exception de Skyrock - a adress é une r é ponse cinglante au SNEP. "Les radios musicales sont toujours le meilleur vecteur pour les nouveaut é s musicales", estime le syndicat, expliquant que "la politique de programmation des radios en France ne constitue en rien un pr é tendu frein aux ventes d'albums francophones et au d é veloppement de la production musicale fran ç aise." Selon le SRN, "les productions é trang è res ne repr é sentent que 30% des disques vendus en France". Mises en cause par le SNEP sur la question du respect des quotas, les stations musicales r é unies au sein du SRN indiquent qu'elles "respectent scrupuleusement ou d é passent même leurs engagements de diffusion de musique francophone et de nouvelles productions", s'appuyant notamment sur les rapports mensuels et annuels de contrôle du CSA et les rapports de l'Observatoire de la Musique. Le SRN ajoute que les radios "sont un acteur majeur de la diversit é musicale", une position qui se serait renforc é e ces derni è res ann é es "avec le choix des radios de se diff é rencier davatge les unes des autres", explique le syndicat. Ainsi, selon un sondage r é alis é par la SACEM et publi é le 23 janvier, 70% des fran ç ais d é couvrent de nouveaux titres ou artistes à la radio. "La mont é e en puissance ces derni è res ann é es de formats musicaux th é matiques joue un rôle majeur en faveur de la diversit é musicale", estime le SRN. "La sp é cialisation de certaines radios, qui s'accompagne de d é couvertes musicales, permet d'augmenter la diversit é des genres musicaux et des artistes expos é s sur les radios", ajoute le SRN. Le syndicat indique ainsi que le nombre de titres diff é rents programm é s sur les radios musicales a progress é de 15% entre 2009 et 2010. Le SRN a renvoy é le SNEP dans les cordes, estimant que "en v é rit é, c'est l'industrie musicale qui semble d é laisser les artistes francophones". Citant les chiffres du march é 2009 communiqu é s par le SNEP lui-même, le SRN souligne que le nombre d'albums d'artistes francophones commercialis é s en France a chut é de 49% entre 1999 et 2009, passant de 402 à 205 en 10 ans. De même, le nombre de singles francophones commercialis é s a recul é de 76% sur la même p é riode, passant de 268 à 63 entre 1999 et 2009. Le SRN ajoute que le nombre de nouvelles signatures s' é levait à 171 pour seulement 75 contrats rendus en 2002, alors qu'en 2008 ont comptait 84 contrats rendus pour seulement 69 nouvelles signatures. En 2009, 88 contrats ont é t é rendus pour seulement 70 nouvelles signatures. "Le solde s'est d é sormais invers é et d é montre de mani è re flagrante que les producteurs de disques ne font plus leur m é tier de d é couvreurs de talents et d'investisseurs", estime le SRN, entra î nant un tarissement de l'offre de nouveaux talents et de nouvelles productions de langue fran ç aise, constate le syndicat. Dans ce contexte, les radios restent malgr é tout soumises à la loi leur imposant un quota de 40% de diffusion de chansons francophones. Un taux "qui s'av è re de plus en plus difficile à tenir vu la diminution de l'offre musicale", d é plore le SRN. (*) Ch é rie FM, Fun Radio, Nostalgie, NRJ, RFM, Rire & Chansons, RTL2 et Virgin Radio. Thibault Leroi (thibault.leroi_at_radioactu.com) pour RadioActu

7 Un bien culturel sur dix achet é sur internet, boom du t é l é chargement musical publi é le 14/02/2011 à 19:55 PARIS - Pr è s d'un bien culturel sur dix achet é en France, du disque au livre en passant par les jeux vid é o, a é t é t é l é charg é sur internet en 2010, la musique ayant à elle seule battu tous les records avec des t é l é chargements quasiment é gaux aux achats "physiques", a annonc é lundi GfK. Sur un march é global du divertissement proche des 8,4 milliards d'euros, "les contenus d é mat é rialis é s -- t é l é chargements payants-- ont repr é sent é pr è s de 700 millions d'euros de chiffre d'affaires, en croissance de plus de 30% par rapport à 2009", indique l' é tude. Selon GfK, ce march é d é mat é rialis é devrait même approcher le milliard d'euros en 2011. A eux seuls, les t é l é chargements musicaux ont atteint des sommets: "l' é quilibre des ventes entre les actes d'achat physique et num é rique a é t é quasiment atteint avec 54 millions de CD vendus et 52 millions d'actes de t é l é chargement", souligne GfK, parlant de "tournant dans l'histoire du march é de la musique". Les ventes "physiques" de musique sont en baisse (-11,7% en valeur) et s' é l è vent à 719 millions d'euros, tandis que le march é du t é l é chargement internet et mobile augmente dans le même temps de +23,9%, pour atteindre 93 millions d'euros. Quant à la vid é o, l'ann é e 2010 a é t é marqu é e "par le succ è s incontestable d'Avatar, qui a cumul é 2,1 millions d'unit é s vendues toutes é ditions et tous formats confondus (hors kiosque)". Le march é s'incrit "en tr è s l é g è re progression de 0,1%" sur un an avec un chiffre d'affaires de 1,385 milliard d'euros, indique GfK. Par AFP


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