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Présentation au 64e congrès de l’ACELF Atelier A-13

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Présentation au sujet: "Présentation au 64e congrès de l’ACELF Atelier A-13"— Transcription de la présentation:

1 Présentation au 64e congrès de l’ACELF Atelier A-13 Passerelle et transition vers l’université… Johanne Bourdages, Sylvie Lamoureux, Jean-Paul Gagnier et Alain Malette le 30 septembre 2011

2 Survol de notre présentation
Importance de passerelle et transition Perspective d’un établissement postsecondaire Perspective d’une école secondaire/conseil scolaire Description du projet pilote Collaboration initiale avec le CSDECSO Groupes de discussions Élargissement du projet : régions ciblées Transition, accueil et accompagnement cohorte 2011 Prochaines étapes.. Du projet et de la recherche De la perspective de l’école secondaire/du conseil scolaire De la perspective de l’établissement postsecondaire

3 Importance de la transition/passerelle: perspective d’un établissement postsecondaire
Mission de l’Université d’Ottawa Plan stratégique – Vision 2020 Les étudiants au cœur de notre mission éducative. La responsabilité de faire la promotion du bilinguisme et de la francophonie. Une reconnaissance du rôle essentiel de nos partenariats dans la réalisation de notre mission.

4 Importance de la transition/passerelle: perspective d’un établissement postsecondaire
Importance de la qualité de la première année universitaire pour la rétention et le succès scolaire (Kuh, 2008; Upcraft, Gardner & Barefoot, 2005; Zepke, Leach and Prebble, 2003) Accueil des étudiants Compréhension des motivations, des expériences antérieures et des défis des nouveaux étudiants Engagement des étudiants (scolaire et social) Encadrement des étudiants

5 Importance de la transition/passerelle: perspective d’une école secondaire/conseil scolaire
Mise en œuvre de l’axe vitalité institutionnelle (PAL) Informer nos partenaires des réalités locales et des forces et besoins de nos anciens Modifier ou réaligner la programmation scolaire et la mise en oeuvre de certains programmes en fonction des expériences de nos anciens Améliorer la rétention dans le système de langue française Assurer la vitalité de la communauté linguistique locale

6 Le projet

7 Pourquoi avoir un projet de transition/passerelle ?
Taux de persévérance 5 à 10% plus bas pour francophones de régions éloignées Défis liés à la distance manque de réseau social Impact financier accru Défis liés aussi à la langue d’enseignement Entrants provenant de milieux socioculturels variés et hétérogènes (unilingue, plurilingue, nouveaux arrivants)

8 Un aperçu du CSDECSO Conseil catholique du Sud-Ouest → Windsor, Sarnia, London, Paincourt, etc Nous les avons visité à l’été 2010 afin de mieux comprendre les enjeux pour cette région. Quelques faits saillants environ 35 à 40 entrants par année (total de 150 dans nos facultés d’accueil) 70% des élèves parlent une langue autre que le français à la maison (couples exogames, communauté arabe, etc…donc notion d’insécurité linguistique) Construction identitaire: priorité au CSDECSO depuis 2004

9 Les premiers balbutiements du projet pilote avec le CSDECSO
Embauche à l’automne 2010 de 3 anciennes du CSDECSO présentement à uOttawa et à titre de mentores régionales (Chantal Labonté, Gabrielle Papineau, Chloé Hinch) Les trois ont tous été identifiées comme des leaders par le CSDECSO Les trois ont travaillé auprès des 12e année lors de l’année afin de les renseigner/informer sur leurs choix Message clé: faire un choix informé, le meilleur choix pour soi Les trois ont animé des focus groups….

10 Composante focus group
Focus groups organisés avec les anciens du CSDÉCSO pour mieux apprendre leurs défis d’intégration au niveau des cours de langue obligatoire, la distance, etc. Les invitations: par les étudiants, pour les étudiants. Pas d’approche corporative Taux de participation très élevé > 30% Groupe tellement large qu’il fut scindé en 4 sous-groupes Les questions s’inspiraient de la recherche, légèrement adaptées selon réalité des régions Sous-groupes majoritairement animés par les mentores Répétée avec 3 autres régions en

11 Composante focus group: les sujets de discussion
Pourquoi ils ont choisi uOttawa? Quels éléments ont marqué leur première session, leurs premières semaines? Quelle est la langue de leur programme? La langue dans laquelle ils suivent leurs cours? Comment choisissent-ils la langue des cours? Les plus grands obstacles et/ou défis pour eux? Les cours obligatoires de langue et leur préparation préalable Leur identité francophone et la relation avec les autres francophones sur le campus

12 Le Sud de l’Ontario

13 Le Sud de l’Ontario Ils ont choisi uOttawa → pour le bilinguisme de la ville et de l’université , pour préserver et améliorer leur français, pour la possibilité d’avoir des emplois bilingues, et dans certains cas pour des programmes précis Les 3 grands éléments qui ont marqué leur premier semestre : la vie en résidence – catalyseur de réseau social, impact sur les études La semaine d’accueil – catalyseur social mais ils se sentent dépassés par surplus d’information et besoin d’adaptation La visibilité des services sur le campus – ne les connaissent tout simplement pas

14 Le Sud de l’Ontario (Centre-Sud et Sud-Ouest)
Langue de programme → lien avec la notion de préserver et améliorer leur français, importance sur marché du travail, plusieurs ont changé vers un programme en anglais (correction; expérience dans certains cours; etc.) Obstacles pour ces jeunes → la distance et leur réseau d’appui, tout l’aspect financier (renouvellement des bourses), les défis académiques, et leur identité Les cours obligatoires de langue → ne répondent pas à leurs besoins Leur identité francophone → méconnue, remise en question (à approfondir)

15 Le Nord de l’Ontario

16 Le focus group du Nord Ils nous ont choisi → pour le bilinguisme de la ville et de l’université , car ils ont des parents, frères et sœurs, ou amis qui sont déjà venus à uOttawa ou sont ici, pour continuer en français, pour la possibilité d’avoir des emplois Les 3 grands éléments qui ont marqué leur premier semestre : la vie en résidence – catalyseur de réseau social, impact sur les études La semaine d’accueil – catalyseur social mais ils se sentent dépassés par surplus d’information et besoin d’adaptation La visibilité des services sur le campus – ne les connaissent tout simplement pas

17 Le focus group du Nord - suite
Langue de programme → lien avec continuer en français, importance sur marché du travail Obstacles pour ces jeunes → la distance, tout l’aspect financier, les défis académiques Les cours obligatoires de langue → ne répondent pas à leurs besoins Leur identité francophone → parfois remise en question (à approfondir)

18 Les Acadiens du Nouveau-Brunswick

19 Le focus group des Acadiens
Ils nous ont choisi pour → le bilinguisme de la ville et de l’université, pour nos bourses, et des programmes précis (criminologie pas offert à Moncton). Mais les différences avec les conseils du Sud : veulent vivre nouvelle expérience, pas Moncton, la notion de préserver et maintenir le français ne ressort pas. Les 3 grands éléments qui ont marqué leur premier semestre : la vie en résidence – catalyseur de réseau social, impact sur les études La semaine d’accueil – catalyseur social mais ils se sentent dépassés par surplus d’information et besoin d’adaptation La visibilité des services sur le campus – ne les connaissent tout simplement pas

20 Le focus group des Acadiens - suite
Langue de programme → principalement en français, importance pour marché du travail. Mais les différences avec les conseils du Sud : beaucoup moins dans des programmes et cours anglophones. En fait, ne se sentent pas en mesure de prendre les cours en anglais Obstacles pour ces jeunes → la distance, tout l’aspect financier (renouvellement des bourses), les défis académiques. Les cours obligatoires de langue → ne répondent pas à leurs besoins Leur identité francophone → identité acadienne est bien ancrée, mais est remise en question (à approfondir)

21 Transition

22 Suite aux focus groups: travail des mentors cet été
Pour et par les jeunes Embauche de 4 mentor(e)s (Nord de ON, Sud- Ouest de ON, Centre-Sud de ON, et Acadie) Ateliers d’inscription/choix de cours dans leurs anciennes écoles avec les entrants En communication constante et au service des jeunes de leurs régions tout au long de l’été (groupe facebook, courriels, accueil à l’occasion sur campus lors de visites, etc)

23 Présentation faite par les mentors dans leurs régions à la fin de l’été (entrants et parents ciblés)
Guide d’entrée établit en fonction de matériel existant mais aussi inspiré de leur expérience

24 Accueil

25 Accueil sur le campus et tournée des salles de cours
Cartes étudiantes – établir réseaux Rencontres informelles « drop-in » Contacts proactifs pour diminuer ou évacuer insécurité linguistique

26 Accompagnement

27 Automne 2011 Rencontres sociales pour consolider et élargir leurs réseaux sociaux (e.g., 5 à 7 franco sur campus) Rencontre avec d’autres anciens de leur conseil pour les mettre en contact avec d’autres qui ont vécu cette transition Ateliers ciblés pour les familiariser avec nos services d’appui au succès scolaire – le centre d’aide à la rédaction, présentation du logiciel Antidote, visite des centres de mentorat facultaire, etc.) Un objectif est d’essayer de les amener à former des réseaux par programmes et intérêts

28 Prochaines étapes

29 Prochaines étapes : Projet de recherche
Importance d’apprendre pour aider les prochains Documenter toutes les étapes, de la perspective de tous les participants Mentorés Mentors Équipe de recherche Outils variés : saturation de données et triangulation Terrain continu, recherche participative avec acteurs sociaux engagés Identifier l’unicité régionale et les points de convergence En collaboration avec partenaires

30 Recherche: mise à jour Collectes terminées Session d’automne
Sondage mentorés novembre 2011 Groupes de discussion Mentorés Mentors Collecte et analyse artefacts Sous composante Antidote Sondage pré accueil Ateliers inscriptions Pertinence du mentor Satisfaction Mentors: Journal, Artefacts Groupe de discussion Groupes de discussions

31 Conclusion: Perspective du conseil/école secondaire
Confirme la valeur ajoutée de la programmation CI au sein du Conseil scolaire (valider le choix de nos modèles accessibles) Explorer autres possibilités de partenariats (MHS) Occasionner des discussions courageuses au sein des écoles secondaires au niveau de la programmation (ex : cours de français) Session avec les parents (l’importance d’une garde partagée; conseil scolaire et UO) L’importance pour et par les gens de la région “nos anciens sont votre présent mais notre avenir…”

32 Conclusion – Perspective de l’Université d’Ottawa
Faciliter la transition entre les études secondaires et universitaires. Assurer le succès scolaire et la diplomation. Assurer la rétention des étudiants dans le système francophone. Offrir une expérience étudiante riche, engageante et mémorable. Contribuer au développement de la communauté francophone. «Nous sommes tous gagnants!»

33 Nos jeunes mentores et mentors…

34 Merci de votre écoute ! À vous la parole…
Pour renseignements additionnels:


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