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RESULTATS ENQUETE CAP 2009 GTZ BURUNDI Connaissances, Attitudes et Pratiques du personnel de la GTZ Burundi en relation à l’épidémie de VIH/SIDA Enquête.

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1 RESULTATS ENQUETE CAP 2009 GTZ BURUNDI Connaissances, Attitudes et Pratiques du personnel de la GTZ Burundi en relation à l’épidémie de VIH/SIDA Enquête anonyme auprès de 221 employés Réunion de rencontre et d’information des Personnes Focales MS VIH du 4 Juin 2010

2 Contenu Résultats chiffrés de l’enquête et constats :
Objectifs de l’enquête et méthodologie Connaissances générales : le VIH/SIDA Connaissances spécifiques : des différents modes de transmissions du VIH, et constat Connaissances spécifiques : sur le préservatif (avantages, inconvénients, utilisation), et constat Comportements à risque face au VIH Attitudes et Pratiques : face au dépistage du VIH, et constat Les PVVIH travaillant à la GTZ et discrimination Appréciations des prestations offertes par la GTZ Synthèse et conclusions Défis, et pistes pour les relever Défis à relever par l’équipe des P.F.

3 Objectifs de l’enquête et méthodologie
Mesurer l’impact des activités d’informations/ sensibilisation en termes de changement de comportement du personnel de la GTZ face au VIH/SIDA Identifier d’autres besoins d’informations Recueillir des suggestions pour améliorer les prestations dans le cadre du programme de lutte contre le VIH/SIDA pour le personnel de la GTZ Méthodologie : un questionnaire anonyme adressé à l’ensemble du personnel de la GTZ en août 2009. A finir

4 Connaissances générales : le VIH/SIDA (constat)
86% des femmes et 86% des hommes (X=86%) savent que le sida constitue un danger pour le pays (contre 86% en 2007) (et contre 95% en 2005) Rem : légère baisse de perception de ce niveau probablement grâce aux efforts déployés dans la prise en charge des PVVIH, réduisant ainsi les impacts du sida. 87% des femmes et 92% des hommes (X=89,5%) savent que le sida ne peut pas guérir complètement (contre 86% en 2007) (et contre 88% en 2005) 94% des femmes et 95% des hommes (X=94,5) savent qu’une personne bien portante peut être infectée par le VIH (nouvelle question) Constat : d’une façon générale, les employés de la GTZ, femmes et hommes ont de bonnes connaissances sur le VIH et sida, avec : Objectifs : informer sur les Perceptions en baisse ou des Perceptions améliorées / baisse du niveau de connaissance ou évolutions des connaissances

5 Connaissances spécifiques : des différents modes de transmissions du VIH
Les voies de transmissions sanguines semblent être biens connues : 94% des répondants savent qu’elle peut se faire via la transmission sanguine (sang infecté) (contre 91% en 2007) 90% des répondants savent qu’elle peut se faire via la transmission mère - enfant (contre 88% en 2007) Les voies de transmissions sexuelles semblent être assez bien connues : 80% des répondants savent que le sperme constitue un véhicule important du VIH (contre 72% en 2007) 76% savent que les secrétions vaginales constituent un véhicule important du VIH (contre 69% en 2007) Les voies de transmission impossibles semblent assez bien connues: 72% pour ce qui est des baisers simples (contre 66% en 2007) et 76% pour ce qui concerne les moustiques (contre 70% en 2007) Objectifs : informer sur les Perceptions en baisse ou des Perceptions améliorées / baisse du niveau de connaissance ou évolutions des connaissances

6 Connaissances spécifiques : des différents modes de transmission du VIH (Constat )
Quand on parle de : voie de transmission comme la voie sanguine, la voie mère-enfant   le taux de connaissance est très élevé, autour de 90%-95% Mais quand on évoque : les véhicules du VIH comme le sperme, les secrétions vaginales d’une personne infectée  le taux de connaissance n’est pas aussi haut, autour de 75-80% (Taux pas assez haut non plus pour les connaissances sur les voies de transmissions impossibles comme les moustiques ou les baisers, autour de 75%

7 88% des agents ayant répondu, savent que le préservatif protège du VIH
Connaissances spécifiques : sur le préservatif (avantages, inconvénients, utilisation) 88% des agents ayant répondu, savent que le préservatif protège du VIH 93% savent que le préservatif protège les grossesses non désirées (contre 91% en 2007) (contre 90% en 2005) 73% savent comment utiliser le préservatif (contre 64% en 2007) (contre 71% en 2005) 63% savent que les préservatifs ne peuvent pas provoquer des maladies (contre 59% en 2007) (contre 64% en 2005) ( Rem. : niveau de connaissance d’utilisation du préservatif en hausse.

8 Connaissances spécifiques : sur le préservatif (Constat)
En 2009 : 29% du staff ne connait pas les qualités du préservatif en affirmant que le préservatif peut provoquer des maladies!!! (contre 33% en 2007) (contre 31% en 2005) Différence hommes/femmes concernant la manière d’utilisation et les avantages de l’utilisation du préservatif : les hommes semblent être plus informés que les femmes!

9 Comportements à risque face au VIH
24% des employés de la GTZ qui ont répondu au questionnaire en 2009, ont eu des rapports sexuels avec un ou des partenaire(s) irrégulier(s) les 6 derniers mois, dont : 15% étaient des femmes 69% étaient des hommes (17% n’ont pas déclaré leur sexe) Rem : contre 25% en 2007, et contre 23% en 2005, donc pas d’évolution de comportement pour le partenariat irrégulier 67% -seulement- de ces 24%- se sont protégés avec un préservatif la dernière fois, dont : 75% des femmes 68% - seulement!- des hommes (60% - seulement- de ceux n’ayant pas déclaré leur sexe) Rem : 67% également en 2007, contre 59% en 2005, donc on remarque une évolution positive de ceux qui se sont protégés au dernier rapport depuis 2007. Comportements à risque des employés GTZ!

10 Comportements à risque face au VIH (suite)
64% du personnel parmi ceux qui ont connu des rapports sexuels avec un partenaire non régulier s’est toujours protégé, (c.à.d. que 27% ne se sont PAS protégés) dont : 75% étaient des femmes 70% étaient des hommes 30% -seulement !!!- de ceux qui n’ont pas déclaré leur sexe (ils sont 60% à se cacher!) (c.à.d. que 70% n’ont PAS pris de précaution!) Pour quelles raisons ces personnes n’ont pas pris de précaution? 39% disent qu’ils ne sentent aucun plaisir en l'utilisant 39% disent que le préservatif c’est à utiliser uniquement avec les prostituées 28% disent que leur partenaire n'aime pas le préservatif 22% disent que c’est pour une autre raison Rem : La proportion de femmes et d’ hommes qui se sont toujours protégés parmi ceux qui ont connu des rapports sexuels avec un partenaire non régulier est presque identique. Reem ! Évocations de une ou plusieures raisons de la non utilisation du préservatif.

11 Comportements à risque face au VIH (suite)
Pas d’évolution de comportement pour le partenariat irrégulier (24% du staff) Parmi eux ils sont cependant plus nombreux à se protéger au dernier rapport depuis 2007… Cela ne doit pas occulter le fait qu’il reste 27% de ces personnes qui ont eu une relation avec un(e) partenaire non régulier(e) ne se sont PAS protégés Et que parmi ceux-ci, il y en a qui n’ont pas déclaré leur sexe, et 70% d’entre eux n’ont PAS pris de précaution!

12 Attitudes et Pratiques : face au dépistage du VIH
57% des répondants ont affirmé connaître leur statut sérologique, dont : (contre 49% en 2007) 70% de femmes VS 50% d’hommes –seulement! (contre 45% en 2007) 53% de pers. n’ayant pas déclaré leur sexe (contre 36% en 2007) 73% du total des répondants ont exprimé le souhait de faire un dépistage VIH (contre 71% en 2007) Et la majorité d’entre eux souhaitent faire le dépistage pour connaître leur statut sérologique. Le fait d’avoir fait un rapport non protégé est également une autre raison de vouloir faire le dépistage du VIH La majorité d’entre eux qui ne veulent pas faire ce dépistage évoquent qu’ils l’ont déjà fait ou qu’il ne font pas de vagabondage sexuel 73% ont déclarés avoir fait un dépistage (contre 67% en 2007) Rem : ceux qui ont fait leur dépistage, la très grande majorité ont été recherché leur résultats 85% du total des répondants affirment connaître un endroit où on fait le dépistage du VIH Attitudes et Pratiques des employés GTZ! Ce % de retrait est encourageant dans la mesure où des conseils appropriés sont donnés pendant l’annonce des résultats.

13 Les PVVIH travaillant à la GTZ et discrimination
18% des répondants ont affirmé connaître des employés vivant avec le VIH dans leurs projets ou programme (contre 26% en 2007) Rem : probablement du à l’accès croissants aux ARV, qui diminue l’impact de la maladie et sa visibilité. Parmi ces personnes qui connaissent des PVVIH parmi leurs collègues, 12% (c.à.d. 5 personnes) ont avoué que les PVVIH font objet de discrimination sur le lieu de travail (à cause des préjugés sur la personne ou autres, mais pas de discrimination liée à la fonction occupée par les PVVIH, en effet aucun cas de refus d’attribution de responsabilité n’a été soulevé).

14 Appréciations des prestations offertes par la GTZ
Participation aux séances d’informations/sensibilisation : 60% des employés affirment qu’ils ont participé aux séances d’information sensibilisation organisées par la GTZ (66% du staff a participé 1 fois et 18% a participé 2 fois). 62% des employés déclarent connaître les personnes focales VIH dans leurs projets respectifs, 52% d’entre eux ont participé aux séances organisées par ces personnes focales. Suffisance ou non des informations reçues sur le lieu de travail : Parmi les employés qui ont affirmé avoir participé aux séances organisées dans leurs projets respectifs, seulement 45% estiment que les informations reçues sont suffisantes (contre 34% en 2007).

15 Appréciations des prestations offertes par la GTZ (suite)
Disponibilité des préservatifs sur le lieu de travail : 79% des employés ont affirmé que les condoms sont disponibles sur le lieu de travail (contre 71% en 2007) (contre 42% en 2005) Obligation de faire le dépistage pour le recrutement : 83% des employés affirment qu’ils n’ont pas été obligés de faire le test de dépistage au moment du recrutement (contre 80,7% en 2007) Connaissance des services couverts par l’assurance maladie GTZ en matière de VIH (CDV, IO, ARV, PeC famille) 49% à 58% des employés affirment connaitre les différentes prestations couvertes par l’assurance maladie en matière du VIH (+-idem que 2007) Assurance santé/maladie : SONAVIE

16 Synthèse et Conclusion
Evolution positive : disponibilité des préservatifs sur le lieu de travail est à noter Connaissance de son statut sérologique Dépistage du VIH et Récupération des résultats. protection au dernier rapport avec un partenaire irrégulier Mais, attention particulière à : véhicules du VIH (sperme, secrétions vaginales d’une PVVIH) (mal connu) qualités du préservatif (inconnues, voir fausses!) Expression de leur satisfaction par rapport aux activités d’information organisées au sein des projets n’atteint même pas 50% La connaissance des différentes prestations couvertes par l’assurance maladie en matière du VIH est encore faible et n’a pas évoluée Souhait du dépistage (n’a pas évolué dans le temps) connaissance d’un lieu de dépistage (n’a pas évolué dans le temps)

17 ET PISTES POUR RELEVER CES DEFIS
Ennoncé des défis selon les constats tirés de l’enquête C.A.P., et catégorisés suivant les thématiques de la politique de lutte contre le VIH/SIDA sur le lieu de travail à la GTZ.

18 DEFIS à relever par l’équipe des P.F.
Outre le renforcement des actions en cours : Voies de transmissions : Insister à nouveau sur les voies de transmissions sexuelles du VIH, telles que le sperme et les sécrétions vaginales, véhicules important du virus Mais…ne pas oublier pour autant les autres voies de transmissions, et par exemple parler des modalités de la transmission mère-enfant (non analysé en détail dans le questionnaire, mais souvent méconnues). Préservatif : Informer le staff sur la manière dont on doit utiliser un préservatif - sans oublier de cibler les femmes - et rappeler ses avantages face au virus et à la maladie (il protège de celles-ci, et non l’inverse!) Faire en sorte que les personnes du staff ayant des relations avec des partenaires irréguliers soient plus nombreux à se protéger et se protègent à chaque fois Augmenter les lieux de distributions du préservatif sur le lieu de travail (exemple : boite à distributeur de préservatif class de PSI) (si necessaire).

19 DEFIS à relever par l’équipe des P.F. (suite1)
CDV-Conseil et Dépistage/Test du VIH : Comprendre le fossé qui existe entre le souhait de faire un dépistage en sachant où aller le faire ET le taux de personnes connaissant leur statut sérologique et susciter un regain d’intérêt pour les Formations Sanitaires Encourageret faciliter le CDV en l’offrant ponctuellement sur le lieu de travail Tolérance zéro pour les collègues employeurs exigeant de test pour le recrutement (même si les nombre de personne déclarant avoir été obligé de le faire est bas) : rappel du droit des employés et des obligations de l’employeur). Séances d’informations/sensibilisation et suffisance des informations: Chaque P.F. devrait organiser ces formations pour leur personnel. De façon régulière (cfr. résultats C.A.P pour établir le programme d’info/sensibilisation+ demander la participation du Staff pour émettre des suggestions de thèmes clefs via une boite). Augmenter cette fréquence à au moins1X/trimestre Inclure des témoignages des PVVIH Assurance maladie : Faire connaitre les différentes prestations couvertes par l’assurance maladie en matière du VIH à votre staff. CDV : but : faire augmenter le taux de personnes connaissant leur statut sérologique désireuses de le connaitre. Séances : elles pourraient être délivré par une même personne (consultant?) pour chaque équipe. Quid des Pair –éducateur?

20 DEFIS à relever par l’équipe des P.F. (suite 2)
Autres suggestions : Pourquoi ne pas appeler votre programme interne «Santé et Bien être au travail » (VIH, nutrition, stress au travail, les maladies des enfants etc…). Dans ce cadre, utiliser de nouvelles techniques d’animations et intégrer des sujets qui intéressent et attirent vos collègues (sur base de leur suggestions). Créer des cadres d’échange sur le VIH : et pourquoi pas une information par jour sur le VIH (petit phrase via ) ou par semaine! (et rotation des P.F.) MS interne, c’est aussi veiller à améliorer les conditions de travail des employés en célibat géographique tel qu’en autorisant une visite hebdomadaire à leur famille… ETABLIR UN PLAN D’ACTION DU PROGRAMME SANTE ET BIEN ETRE AU TRAVAIL Input de Mr. Thomas Pritzl, DED, communication pro-sec-eau GTZ Formation, appui technique, matériel IEC

21 Merci pour votre attention
Et merci de votre ENGAGEMENT pour la LUTTE contre le VIH/SIDA qui nous touche tous de près ou de loin! Fanny Gruloos Point Focal National Mainstreaming du VIH/SIDA


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