La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

COURS DE LA CHAIRE JACQUES LECLERCQ 6 – 10 octobre 2014, 14h00-17h15 LANSO1391D – SOC Auditoire MONT 1 Prof. Nicky LE FEUVRE Université de Lausanne Labso.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "COURS DE LA CHAIRE JACQUES LECLERCQ 6 – 10 octobre 2014, 14h00-17h15 LANSO1391D – SOC Auditoire MONT 1 Prof. Nicky LE FEUVRE Université de Lausanne Labso."— Transcription de la présentation:

1 COURS DE LA CHAIRE JACQUES LECLERCQ 6 – 10 octobre 2014, 14h00-17h15 LANSO1391D – SOC Auditoire MONT 1 Prof. Nicky LE FEUVRE Université de Lausanne Labso - Institut des Sciences sociales

2 De la société salariale à la société de l’individualisme : Défis pour la sociologie du travail et du genre 3 ème séance Mercredi 8 octobre 2014

3 PLAN DES COURS Mise en perspective socio-historique la « société salariale » (Robert Castel); Quand le salariat cesse d’être un « statut indigne »: mobilisations collectives, droit du travail et protections sociales: Film: Il était une fois le salariat (Anne Kunvari, 2006) Partie 1 1906-1975: Le temps de l’espoir (52 minutes) Quand les fondements de la « société salariale » s’effritent… Faut-il sauver le compromis fordiste? Critique de thèse de la « centralité du travail » (Dominique Méda) 3

4 En guise d’introduction: La « centralité du travail » D’après Dominique Méda (1995), le 20 ème siècle a hérité d’une définition hybride du travail composé de 3 dimensions « contradictoires et quasiment incompatibles les unes avec les autres » : Facteur de production, source de richesses ; Condition de réalisation de soi, ‘essence de l’Homme’ ; Système de distribution des revenus, des droits et des protections, au fondement de la cohésion sociale. Réfléchir à l’articulation de ces 3 dimensions = essentiel pour comprendre les enjeux de la répartition de l’emploi et du travail au fil du temps. 4

5 Une chronique du salariat…. Robert Castel (1933- 2013). Directeur d’études à l’EHESS. Les Métamorphoses de la question socialeLes Métamorphoses de la question sociale, une chronique du salariat, Paris, Fayard, 1995. La montée des incertitudes : Travail, protections, statut de l'individu, Paris, Seuil, 2009. ‘La montée des incertitudes et l’inflation des risques’, In D. Vrancken (ed.) Penser l’incertain, Laval, 2014: 19-28 5

6 Du « travail » au « salariat » Dans son ouvrage passionnant: Les métamorphoses de la question sociale : Une chronique du salariat, Robert Castel analyse en détail l’avènement de ce qu’il appelle la « société salariale ». Il y montre notamment que le salariat est progressivement devenu la voie d’accès la plus directe à un ensemble de protections contre les risques sociaux (accidents, maladie, chômage, vieillesse). De ce fait, il est devenu le mécanisme essentiel d’intégration sociale des individus. 6

7 Du « travail » au « salariat » Le travail ne s’invente évidemment pas au moment de la Révolution industrielle. Les sociétés préindustrielles connaissent le travail sous forme de production agraire, d’artisanat et de commerce (de proximité ou pas). L’avènement du capitalisme industriel va mener à la généralisation d’une nouvelle forme de travail (le « salariat »), qui s’imposera progressivement comme synonyme de « travail », au risque de masquer les autres formes de « travail » qui continuent d’exister dans ces sociétés (ex. le (non-) travail domestique). 7

8 Du « travail » au « salariat » Dans le régime préindustriel, les espaces de production (fermes, ateliers, boutiques) ne sont pas séparés des espaces de vie. Comme le montre E.P. Thompson (1963), le « temps de travail » préindustriel est relativement peu délimité par rapport aux autres temps de la vie quotidienne et varie fortement selon les rythmes saisonniers et des manifestations festives. La vie familiale, les activités religieuses et de sociabilité se confondent avec les espaces temps du travail. (cf. la solidarité mécanique de Durkheim). 8

9 Du « travail » au « salariat » D’après Robert Castel (1995), dans ce contexte historique particulier, le « travail » était source de rattachement à des collectifs de vie (corporations, communautés villageoises, etc.). C’est par leur « travail » que les individus se construisaient une identité sociale (généralement au centre de leur nom de famille) et qu’ils établissaient des relations de coopération et d’entre-aide. Dans les sociétés préindustrielles, le travail est donc (déjà) un facteur majeur d’intégration sociale. A l’époque, cela n’est pas du tout le cas du salariat. 9

10 Du « travail » au « salariat » Castel montre que dans l’ère préindustrielle, le fait de vendre sa force de travail à autrui (salariat) place l’individu dans une position nettement moins confortable que le travail (indépendant). Le salariat = une situation incertaine, indigne, misérable « On était salarié lorsqu’on n’avait rien d’autre à échanger que la force de ses bras. On ‘tombait’ dans le salariat (ruine de l’artisan), état de dépendance contraignant à vivre au jour le jour, sous l’emprise du besoin » (Castel, Alternatives économiques, n° 21, 2005). 10

11 Du « travail » au « salariat » La première révolution industrielle (XIIIème et XIXème siècles) va modifier profondément cette organisation sociétale du travail, en opérant une séparation et un cloisonnement spatial du « travail » par rapport aux autres activités de la vie quotidienne. Elle fait progressivement émerger ce que l’on appelle la « relation salariale » comme statut très majoritaire des travailleurs et comme mécanisme de base de l’intégration sociale des individus (par la suite et parfois, surtout des hommes…). 11

12 Du « travail » au « salariat » Ainsi, entre le début du XXème siècle et les années 1960: « on est passé de cette réalité du salariat précaire » à une situation où « le salariat est devenu la matrice de l’intégration dans la société, grâce au plein-emploi (Hum…) et aux droits sociaux garanties aux travailleurs salariés et à leur famille. Et ce jusqu’à ce que les crises économiques successives ne s’accompagnent du retour d’une population de personnes considérées comme ‘sur- numéraires’ » (les chômeurs) (Castel, Alternatives économiques, n° 21, 2005). 12

13 Du « travail » au « salariat » D’après Castel, le passage historique à la « société salariale » a nécessité la réunion de cinq conditions: 1. Distinguer clairement la population active des autres membres de la société (« oisifs légitimes »); 2. Fixer le travailleur à son poste et séparer aussi rigoureusement que possible le temps de travail des autres temps sociaux, y compris familiaux et de loisir 3. Promouvoir l’accès à de nouvelles normes de consommation ouvrières par l’intermédiaire du salaire (ex. culture de consommation de masse); 13

14 Du « travail » au « salariat » 4. L’accès à la propriété sociale et le développement de services publics (d’éducation, de santé, de prise en charge de la dépendance…); 5. L’émergence d’un droit du travail qui fait du travailleur un membre d’un collectif doté d’un statut social au-delà de la seule dimension individuelle d’un contrat de travail. Pour Castel, dans ces conditions seulement: « le salariat cesse d’être une condition indigne ». 14

15 Du « travail » au « salariat » A travers cette mise en perspective historique, Castel s’intéresse, donc, à la réalité du travail (salarié) dans les sociétés occidentales contemporaines, frappées par une montée du chômage structurel. Plutôt que de parler « d’exclusion », Castel analyse ce qu’il appelle le « processus de désaffiliation », dont la cause principale est la déstabilisation et la vulnérabilisation d’une masse croissante de salariés. (Castel, Alternatives économiques, n° 21, 2005). 15

16 De la « société salariale » à la « désaffiliation » La thèse de Castel est teintée d’androcentrisme (il prend le cas des hommes pour une généralité) et d’un certain francocentrisme (il pense le monde à partir du cas français): 1. Même à l’apogée du capitalisme industriel, le salariat n’a jamais représenté la seule et unique voir d’intégration sociale. Dans beaucoup de pays, une femme pouvait être parfaitement « intégrée », sans exercer d’emploi, à condition d’être mariée et/ou mère et d’accéder aux droits sociaux par ce biais (cf. Méda, 1995). 16

17 De la « société salariale » à la « désaffiliation » Toutefois, Castel a raison de dire que le statut ‘d’oisif légitime’ accordé à certaines catégories d’adultes, à certains moments de leur vie adulte, dépend de l’existence d’un régime de protection sociale auquel les femmes pouvaient accéder indirectement, en tant que « ayants droits » d’un travailleur salarié (mariage hétérosexuel = au fondement de ce système). Ces dispositions ont également permis le prolongement de la vie « inactive » d’autres groupes, comme des étudiant.e.s., des retraité.e.s, certaines catégories de chômeurs, les mères célibataires. 17

18 De la « société salariale » à la « désaffiliation » En ce qui concerne l’ethnocentrisme ou le francocentrisme des analyses de Castel, il convient de noter que toutes les sociétés occidentales n’ont pas connu de la même manière « l’âge d’or » de la « société salariale ». Dans sa typologie des régimes de protection sociale, Gosta Esping-Andersen (1990) distingue trois modèles de Welfare State (socio démocrate (scandinave), corporatiste, libéral) et insiste sur le fait que l’accès aux droits sociaux ne passe pas nécessairement par le salariat ou le marché du travail dans tous les pays et à toutes les époques historiques. 18

19 Illustration filmographique Pour illustrer les conditions d’émergence de la « société salariale » (dans le contexte français), nous pouvons visionner le 1 er volet d’un film documentaire d’Anne Kunvari (2006), intitulé Il était une fois le salariat. 1906-1975: Le temps de l’espoir (52 minutes) http://www.dailymotion.com/video/xo4jka_il-etait- une-fois-le-salariat-1906-1975-le-temps-de-l- espoir-1_news 19

20 Illustration filmographique Questions / commentaires après le visionnage du film? 20

21 De la « société salariale » à la « désaffiliation » Selon Castel (et c’est là qu’il rend compte de la situation des « oisifs légitimes », dont les « femmes au foyer » des Trente glorieuses), la stabilité offerte par la « société salariale » combine deux dimensions importantes: 1. La place dans la division du travail 2. La participation aux réseaux de sociabilité Il insiste sur le fait qu’il n’y a pas forcément de corrélation entre les deux (l’exclusion du marché du travail peut être compensée par la densité des réseaux sociaux primaires, par exemple). 21

22 De la « société salariale » à la « désaffiliation » Ainsi, il identifie plusieurs formes de cohésion sociale: 1. La forme dite « d’intégration » associe travail stable et insertion relationnelle solide; 2. La forme dite de « désaffiliation » associe l’absence de participation à toute activité productive et l’isolement relationnel 3. La forme dite de « vulnérabilité sociale » est une forme intermédiaire, instable, qui conjugue la précarité du travail et la fragilité des relations (y compris le lien conjugal). 22

23 De la « société salariale » à la « désaffiliation » D’après Castel: « il n’existe pas aujourd’hui d’alternatif crédible à la société salariale ». « Par conséquent, il faut que le maximum de personnes conserve un lien avec le travail créateur d’utilité sociale, y compris par la partage du travail » (Alternatives économiques, n° 21, 2005). Le maintien de ce lien a un coût élevé, que d’après Castel, les citoyen.ne.s et les décideurs politiques ont tout intérêt à consentir, sous peine de connaître un profond mouvement de remise en question la cohésion des sociétés occidentales. 23

24 De la « société salariale » à la « désaffiliation » Castel appelle donc au maintien des deux ordres qui fondent la « société salariale »: 1. L’ordre « contractuel » (un accord entre individus indépendants et autonomes), comme dans le cas du contrat de travail; 2. L’ordre « statutaire » (couvrant un ensemble de droits et d’obligations associées à des collectifs de travail). Il voit dans cette combinaison une protection contre la concurrence marchande et l’individualisme, qui menacent la cohésion sociale. 24

25 De la « société salariale » à la « désaffiliation » On peut donc dire que Robert Castel (ancien collaborateur de Pierre Bourdieu et fortement inspiré par les écrits de Michel Foucault), défend la thèse de la nécessaire « centralité du travail » dans les sociétés contemporaines. Il n’imagine pas que l’intégration sociale puisse passer par d’autres canaux que la participation des individus au marché du travail et leur accès, par ce biais, aux droits sociaux acquis par le biais de cotisations liées au salaire. 25

26 De la « société salariale » à la « désaffiliation » Le travail de Castel est extrêmement important pour saisir l’évolution et la signification changeante du « travail », depuis l’ère préindustrielle à nos jours. Il montre, notamment, que le « salariat » n’a pas de sens univoque. Il peut être tour à tour: synonyme de précarité, de marginalisation ou de déchéance sociale (quand il se traduit par une absence de protections sociales); synonyme de stabilité « d’intégration » et de cohésion sociale (quand il s’adosse à un « Etat providence » ou même à d’autres formes de protection contre les risques et aléas de la vie). 26

27 Une chronique du salariat…. http://www.dailymotion.com/video/xbf48x_l a-societe-du- precariat-robert- cast_news?search_ algo=2#.USz7GYU- dr0 27

28 Le travail: une valeur en voie de disparition? La thèse du sauvetage nécessaire des fondements idéologiques et matériels de la « société salariale » ne fait pas l’unanimité parmi les sociologues contemporains. On peut citer au moins deux auteur·e·s qui partagent le diagnostique de Castel, mais pas forcément ses préconisations d’action. Dominique Méda (« Le travail: une valeur en voie de disparition ») Ulrich Beck (« The Brave New World of Work »). 28

29 Le travail: une valeur en voie de disparition? La vision plutôt positive du salariat comme rempart contre la « désaffiliation » que propose Robert Castel n’est pas partagée par l’ensemble des sociologues contemporains du travail. Dans son ouvrage intitulé Le travail: une valeur en voie de disparition (1995), Dominique Méda propose une toute autre approche de la place du travail dans les sociétés contemporaines. Elle appelle de ses vœux une remise en question de la « valeur travail », devenue justement TROP centrale à ses yeux. 29

30 Le travail, une valeur en voie de disparition…. Dominique Méda (1963- ) Professeure à Paris Dauphine Travail, la révolution nécessaire, éditions de l'Aube, La Tour d'Aigues, 2010 Le Temps des femmes. Pour un nouveau partage des rôles, Paris, Flammarion, 2001 Le Travail. Une valeur en voie de disparitionLe Travail. Une valeur en voie de disparition, Aubier, 1995, (rééd, 1998). 30

31 Le Travail : une valeur en voie de disparition Dans ses nombreuses publications, Dominique Méda analyse la manière dont le travail en est venu à occuper une place centrale dans la pensée et dans les sociétés occidentales contemporaines : Comment « certaines activités ont-elles été isolées et distinguées, rassemblées et mélangées pour aboutir à notre conception moderne de travail ». Elle veut également comprendre comment « la sociologie a procédé pour faire du travail l’activité humaine princepes ». 31

32 Le Travail : une valeur en voie de disparition? Pour Méda, la sédimentation ou l’empilement des trois dimensions du travail (ou des finalités / fonctions sociales du travail) pose plusieurs problèmes. Cela ne permet pas aux sociétés contemporaines de profiter correctement des formidables avancées de la productivité et qui font que nous avons besoin, aujourd’hui, de travailler moins pour produire autant. De là découle, effectivement, le problème du « chômage structurel » de masse, qui menace la cohésion sociale » 32

33 Le Travail : une valeur en voie de disparition? Au lieu de s’assurer que chaque individu puisse accéder à un travail salarié (et aux réseaux de sociabilité qui en découlent) (cf. la thèse de Castel), Dominique Méda propose une réorganisation radicale de la société, de manière à « remettre le travail à sa place » et à dissocier les 3 attributs habituellement associés au travail. Elle postule que la « réalisation de soi », l’expression de la liberté et de la créativité des individus ne passe pas forcément par le travail et pourraient être assurées par d’autres activités humaines (travail domestique, bénévolat, loisirs). 33

34 Le Travail : une valeur en voie de disparition? Si, de plus, les individus pouvaient accéder à un ensemble de protections sociales autrement que par le travail (comme cela a historiquement été le cas pour certaines catégories de femmes mariées, par exemple), l’absence de travail (ou le manque de travail pour tout le monde) ne serait pas forcément un drame social, mais plutôt une source de libération. La citoyenneté et les activités de « réalisation de soi » pourrait alors assurer la cohésion sociale, en lieu et place du « travail » (de « l’emploi », en fait). 34

35 Le travail, une valeur en voie de disparition…. Dominique Méda (1963- ) http://www.bastamag. net/article1449.html 35

36 Conclusions provisoires On voit que les débats autour de la « centralité du travail » touchent aux fondements mêmes des sociétés contemporaines. Si tou.te.s les sociologues (ou presque) sont d’accord pour reconnaître le rôle central joué par le salariat dans la stabilité (et la richesse) des sociétés industrielles du XXème siècle, ils/elles reconnaissent aussi que le modèle de la « société salariale » est actuellement en train de se fissurer, sous la double influence de la mondialisation (délocalisations) et de la dérégulation du marché du travail. 36

37 Conclusions provisoires Le débat consiste désormais à savoir si ce modèle peut être « sauvé » des effets combinés des avancées de la productivité et de la mondialisation, par le biais de politiques publiques (coûteuses) de lutte contre la flexibilisation du travail, de lutte contre le chômage de masse, les délocalisations et les différentes formes de « désaffiliation »… (comme l’affirme Robert Castel)… ou bien: 37

38 Conclusions provisoires Ce modèle (historiquement situé) serait-il désormais dépassé (comme l’affirme Méda), sans aucun espoir de réforme ou de « modernisation ». Autrement dit, faut-il défendre la « société salariale » à tout prix, ou bien envisager d’autres formes d’organisation sociale, moins marquées par la « centralité du travail »? Ce débat présente un intérêt certain pour qui s’intéresse au genre, puisque la question de savoir si l’égalité peut être atteinte sans l’intégration massive des femmes au salariat est au cœur des débats depuis au moins 40 ans. 38

39 Merci de votre attention. A demain, pour une séance consacrée aux effets de la « société salariale » sur la division sexuelle du travail et les inégalités de genre 39

40 Références bibliographiques Castel, Robert. (1995). Les métamorphoses de la question sociale : Une chronique du salariat. Paris: Fayard. Castel, Robert (2001). Entretien dans Alternatives économiques, n° 194. http://www.alternatives-economiques.fr/propriete-privee-- propriete-sociale--propriete-de-soi-robert-castel-et- claudine-haroche_fr_art_149_15786.html Esping-Andersen, Gosta. (1990). The Three Worlds of Welfare Capitalism. Cambridge: Polity Press. Méda, Dominique. (1995). Le Travail: Une valeur en voie de disparition. Paris: Aubier. Thompson, Edward. P. (1993). La formation de la classe ouvrière anglaise, Paris, Gallimard 40

41 La citoyenneté sociale…. http://www.dailymotion.com/video/x7e7eo_ entretien-avec- robert- castel_schoolhttp://w ww.dailymotion.com/ video/x7e7eo_entreti en-avec-robert- castel_school 41


Télécharger ppt "COURS DE LA CHAIRE JACQUES LECLERCQ 6 – 10 octobre 2014, 14h00-17h15 LANSO1391D – SOC Auditoire MONT 1 Prof. Nicky LE FEUVRE Université de Lausanne Labso."

Présentations similaires


Annonces Google