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Chine Zhongguo. Le nom « Chine » dérive vraisemblablement du mot qin (qui se prononce « tchin’ ») dans Qin Shi Huangdi, le nom du premier (shi) empereur.

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1 Chine Zhongguo. Le nom « Chine » dérive vraisemblablement du mot qin (qui se prononce « tchin’ ») dans Qin Shi Huangdi, le nom du premier (shi) empereur unificateur (huangdi) de la Chine en 212 av. J.-C. dont on connaît l’armée spectrale des guerriers en terre cuite qui gardent son tombeau à Xi’An. Depuis plus de vingt-cinq siècles, les Chinois désignent eux-mêmes leur pays par le binôme zhong guo qui fut traduit au XVIII° siècle par « Empire du Milieu». La réalité sémantique est un peu différente. En effet, si le caractère zhong signifie bien : centre, parfait, chinois et le caractère guo : pays, l’ensemble n’évoque ni un système politique (empire), ni un quelconque « juste milieu », mais un pays qui se définit lui-même par l’affirmation d’être au centre du monde ! Bien des civilisations se sont imaginées être le centre du monde, seule la Chine l’a inscrit dans le nom qui la désigne.

2 La langue chinoise écrite (chinois simplifié : 中文 ; chinois traditionnel : 中文 ; pinyin : zhōngwén ; littéralement : « écrit (de l'Empire) du milieu ») est une langue apparue il y a environ ans (créé par la culture Erligang (en)), essentiellement pour transcrire la langue chinoise orale. 5 000 caractères sont couramment employés, représentant chacun un élément du chinois. Certains mots utilisent deux caractères, rarement davantage. La langue écrite chinoise est généralement considérée comme un facteur unificateur dans l'histoire de la Chine, transcendant les différences entre les langues chinoises parlées. Depuis la dynastie Qin, une langue écrite standard (d'abord le Chinois classique, puis depuis 1920 le Baihua standard) permet la communication officielle et écrite, et la transcription des différentes langues chinoises orales.

3 Une civilisation vieille de 4000 ans
Les Xia furent la première peuplade à avoir fondé un royaume dans l’Empire du Milieu, vers la fin du IIIe millénaire avant J.-C., dont la capitale aurait été Anyi dans le Shanxi, lequel royaume allait durer plus de 500 ans

4 Les Shang (vers 1770-vers 1025 avant J.-C.)
La dynastie Shang (ou Yin, ou encore Shang-Yin) succède aux Xia Des fouilles ont mis au jour le site de leur capitale dans la région de l'actuel Anyang (Henan).

5 Les Zhou (vers  avant JC) Le fondateur de la nouvelle dynastie royale, le roi Wu Wang, est le chef de la principauté de Zhou, dans la vallée de la Wei, sur la frontière occidentale de la Chine, qui s'étend alors au sud jusqu'au Yangzi.

6 Yangzi Jiangou Chang Jiang
Le plus long fleuve de la Chine (5 980 km) ; le débit moyen est de 29 000 m3s ; le bassin s'étend sur 1 830 000 km2, et plus de 200 millions de personnes y vivent. C'est l'ancien Fleuve Bleu.

7 Les Royaumes combattants (Zhanguo, 481-221 avant J.-C.)
Au ve s. avant J.-C. s'ouvre l'importante période dite des « Royaumes combattants », au cours de laquelle la Chine, à travers les guerres et les alliances entre sept royaumes (Han, Wei, Zhao, issus de la division du royaume de Jin en 453, Qin, Chu, Yan et Qi) évolue vers un État centralisé.

8 Les Qin (  avant J.-C.) La capitale de l'Empire est à Xianyang, près de Xi'an, dans le Shaanxi. Pour arrêter les incursions des Xiongnu, il ordonne la construction de la Grande Muraille, qui s'étendra, jusqu'aux frontières du Nord-Ouest, sur plus de 2 000 km

9 Les Qian Han ou Han antérieurs ou Han occidentaux (206 avant J. -C
Les Qian Han ou Han antérieurs ou Han occidentaux (206 avant J.-C.-9 après J.-C.)

10 Les Hou Han ou Han postérieurs ou Han orientaux (23 après J. -C
Les Hou Han ou Han postérieurs ou Han orientaux (23 après J.-C.-220 après JC) La position chinoise en Asie centrale, momentanément ébranlée, est rétablie ; les conquêtes atteignent Kachgar. Grâce au contrôle de la route de la soie, le commerce extérieur est florissant.

11 Des Trois Royaumes (Sanguo) aux premières invasions barbares ( ) À la fin des Han commence une période de guerre civile et de morcellement politique qui durera près de quatre siècles. La Chine se trouve d'abord partagée en Trois Royaumes (Sanguo) : Wei, Shu Han et Wu.

12 Nanbeichao, La Chine du Nord se morcelle en plusieurs petits royaumes dont les classes dirigeantes sont issues de cinq ethnies descendantes des nomades turco-mongols ou toungouses de la steppe (Xiongnu, Jie, Xianbei) ou apparentées aux Tibétains et Tanguts (Qiang et Di) : on les appelle les « seize Royaumes des Cinq barbares ».

13 Les Sui ( )

14 Les Tang ( )

15 Les Cinq Dynasties ou Wu Dai (907-960)
De 907 à 960, l'espace chinois est une fois de plus partagé. Tandis que dix royaumes « illégitimes » se partagent le Sud, cinq familles chinoises ou turques, considérées commes les successeurs des Tang, prennent successivement le pouvoir dans le Nord.

16 Les Song ( ) Les Song mettent fin au régime des coups d'État militaires et restaurent l'« Empire civil ». À cette période de stabilité politique correspond une période d'inventions techniques et scientifiques, dont la Chine est fertile sous les règnes des grands empereurs : premier emploi de la poudre à canon à des fins militaires et invention de la boussole (vers 1000) ; invention de l'odométrie (1027) ; débuts de l'utilisation du caractère mobile pour l'imprimerie (1041) ; première horloge hydraulique (clepsydre) à échappement inventée à Kaifeng (1088) ; premiers bateaux à pédaliers à roues (début du XIIe s.)

17 Les Yuan ( ) En 1280, Kubilay Khan, un des petits-fils de Gengis Khan, fondateur de la dynastie des Yuan, se fait proclamer empereur de Chine. Il étend à la Chine le système de la poste mongole, à laquelle 200 000 chevaux sont affectés. Le Grand Canal est créé avec le tracé qui existe encore aujourd'hui. Le papier-monnaie apparaît. Le néoconfucianisme devient idéologie officielle de l'État. Les lettrés écrivent en langue vulgaire. Les premiers romans populaires apparaissent et le théâtre se développe.

18 Les Ming ( ) Toute la Chine est libérée et réunifiée sous la dynastie des Ming. Sous les premiers Ming, la Chine connaît de nouveau un grand essor à l'intérieur mais aussi à l'extérieur du pays avec les grandes expéditions maritimes en Asie du Sud-Est et dans l'Océan indien ( ) : les Portugais abordent pour la première fois les côtes chinoises (Guangdong). Quelques années plus tard, ils sont autorisés à fonder à Macao un établissement qui gardera un caractère essentiellement commercial : le jésuite Matteo Ricci débarque en Chine, à Macao. Il apporte à la Cour (où il est reçu en 1601) des connaissances astronomiques, ce qui lui permet d'exercer son apostolat sans être inquiété.

19 Les Qing (jusqu'en 1840) Les Mandchous sont appelés à l'aide par un général chinois pour soumettre un chef de bande révolté (Li Zicheng). Ayant chassé celui-ci de Pékin, les généraux mandchous refusent de quitter la capitale chinoise. Or le dernier roi mandchou vient de mourir à Moukden. Shunzhi, son fils, est choisi comme empereur et est installé sur le trône à Pékin, fondant la dynastie des Qing. Pendant 150 ans la Chine va connaître une période d'expansion qui sera suivie d'une longue période de décadence.

20 La période de domination occidentale
1830 : expulsion des derniers missionnaires jésuites. Le pays se trouve alors pratiquement fermé aux étrangers. Toutefois, Macao reste contrôlé par les Portugais et un quartier du port de Canton ouvert aux commerçants étrangers bien que placé sous la surveillance de marchands chinois (système du Cohong). Les Anglais y échangent cotonnades et opium de l'Inde contre du thé et de la soie. 1834 : première intervention britannique contre les autorités chinoises qui gênent le trafic. 1836 : seconde intervention britannique. 1839 : après plusieurs interdictions sans effets (dont la dernière en 1800), le gouvernement de Pékin décide d'interdire l'importation d'opium. Le commissaire Lin Zexu applique la loi avec vigueur, saisit et détruit un important stock d'opium indien à Canton.européenne ( ) 1841 : riposte de Londres. Canton est bombardé par une expédition britannique, qui occupe Shanghai et remonte le Yangzi jusqu'à Nankin. 1842 : traité de Nankin signé avec les Anglais. Ceux-ci obtiennent l'ouverture de cinq ports et occupent l'île de Hongkong. Les droits de douane ne doivent pas excéder 5 % de la valeur. Cette guerre de l'Opium ouvre la Chine aux commerçants étrangers. 1844 : signature de traités analogues avec la France et les États-Unis, notamment celui de Whampoa (Huangpu) où les Français obtiennent aussi la liberté de l'apostolat des missions catholiques. En politique intérieure, la faiblesse militaire révélée par les défaites, l'hostilité de beaucoup de Chinois du Sud envers la dynastie étrangère mandchoue, la misère des paysans, chargés d'impôts et exploités par des fonctionnaires prévaricateurs préparent une crise interne, précipitée par de mauvaises récoltes.

21 Les guerres de l’opium

22 Un commerce très lucratif pour l’empire britannique…

23 …Et une plaie sociale pour la Chine impériale.

24 La Chine en proie aux ambitions occidentales
1875 : La Chine s'enlise dans ses traditions malgré la création d'un collège des sciences européennes à Pékin. La Chine est menacée de dislocation par une évolution trop rapide sous une influence étrangère. : guerre sino-française. Au Tonkin, la France se heurte aux bandes des Pavillons-Noirs. La Chine renonce à sa suzeraineté sur le Tonkin. 1898 : La Chine réagit à ces ambitions occidentales. Le mandarin Kang Youwei décide l'empereur à européaniser en hâte la Chine. Des édits réorganisent l'enseignement, les examens, l'armée, etc. 1899 : un mouvement populaire éclate. Les membres de la société secrète Yihetuan (dont le symbole est un poing fermé, d'où le nom de Boxeurs [ou Boxers] donné par les Occidentaux à ses membres) mènent campagne contre les étrangers au Shandong. Des missionnaires sont tués. La révolte gagne Pékin. Les légations sont assiégées et isolées. Les renforts sont repoussés. La Cour impériale laisse faire. Le ministre d'Allemagne Ketteler est tué. 1900 : en août, une expédition internationale délivre les légations. Les puissances occidentales imposent des sanctions et obtiennent une indemnité de 2 milliards de francs-or.

25 1908 : Mort de l'empereur Guangxu
1908 : Mort de l'empereur Guangxu. Puyi devient empereur à l'âge de trois ans. La régence ne peut qu'accentuer la faiblesse d'un régime déjà menacé par la pression des forces révolutionnaires.

26 Cixi, ou Tseu-Hi, ou Ts'eu-hi (chinois : 慈禧 ; pinyin : Cíxǐ ; wade-giles : Tz'u-Hsi), née le 29 novembre 1835 à Pékin et décédée le 15 novembre 1908 à la Cité interdite, est une impératrice douairière de Chine de la dynastie Qing qui exerça la réalité du pouvoir en Chine pendant 47 ans de 1861 à sa mort.

27 Yuán Shìkǎi ou Yuan She-k'ai (袁世凯 ou Weiting 慰亭 ; pseudonyme : Rong'an 容庵 ; pinyin : Yuán Shìkǎi) né le16 septembre 1859 et mort le 6 juin 1916, est un militaire et un officiel de la dynastie Qing et du début de la République de Chine. Il a servi à la fois la cour impériale des Qing et la république et s'est auto-proclamé empereur en 1915.

28 Sun Yat-sen (en chinois 孫逸仙, Sun Yat-sen étant la prononciation en cantonais qui s'est exportée en Occident ; le nom se prononce Sūn Yìxiān en mandarin), plus connu en Chine sous son surnom, Sun Zhongshan (孫中山 en chinois), également appelé Sun Wen (孫文), (12 novembre 1866 - 12 mars 1925) était un révolutionnaire et homme d'État chinois. Il est considéré comme « le père de la Chine moderne ».

29 Plus ancien parti politique de la Chine contemporaine au sein de la République de Chine (Taïwan), le Kuomintang, ou Guomindang, ou Guomingdang, ou Kuo-Min-Tang, ou Kouo-Min-Tang (initiales : KMT ou GMD) (nom complet en chinois traditionnel : 中國國民黨 ; en hanyu pinyin : Zhōngguó Guómíndǎng ; en EFEO : Tchong-kouo Kouo-min-t'ang ; en tongyong pinyin : Jhongguo Guomindang ; littéralement « Parti nationaliste chinois ») est dès son origine, au cœur d'affrontements majeurs entre capitalistes et communistes. Créé par Sun Yat-sen, il domine le gouvernement central de la République de Chine à partir de 1928 jusqu'à la prise de pouvoir par les communistes en Son influence est limitée depuis à l'île de Taïwan où il est, jusqu'en 1986, le seul parti autorisé. Aujourd'hui, de nouveau élu à la tête du pays le 22 mars 2008 après avoir perdu le pouvoir en 2000, il a toujours une forte influence sur l'île. Au niveau international, il est membre de l'Union démocratique internationale.

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31 C'est en mai 1924 que le Guomindang de Sun Yat-sen et l'embryonnaire Parti communiste chinois conviennent d'établir près de Canton, sur une île de la rivière des Perles, et avec le concours de l'Union soviétique, la future école des cadres politiques et militaires de la Chine contemporaine, la fameuse Académie militaire de Huangpu (Whampoa).

32 Généralissime et homme d'État chinois (Qikou, près de Ningbo, province du Zhejiang, 1887-Taipei 1975). Jiang JieshiJiang Jieshi Tchang Kaï-chek est la forme coutumière cantonaise, dans une transcription française, d'un nom dont la forme pékinoise est Jiang Jieshi, et la transcription anglo-saxonne en usage à Taïwan, Chiang Kai-shek

33 Le Premier Congrès du PCC en 1921

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35 L’organisation du PCC

36 La Chine en 1914

37 La Chine des années 1930

38 La longue marche

39 La naissance de l’armée rouge chinoise

40 L’armée rouge chinoise à la fin de la guerre civile

41 La progression communiste jusqu’en 1949

42 Parti communiste et Guomindang

43 Les dernières années de la guerre civile

44 Les avancées communistes en 1949


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