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Accès au rétablissement : Abus de substances et Vie autonome

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Présentation au sujet: "Accès au rétablissement : Abus de substances et Vie autonome"— Transcription de la présentation:

1 Accès au rétablissement : Abus de substances et Vie autonome
Les 19 et 21 octobre 2006 Richmond (C.-B.) Centre de toxicomanie et de santé mentale ACCVA Toronto Rehabilitation Institute Stratégie canadienne antidrogue

2 Objectifs d’apprentissage
À la fin de l’atelier, les participants pourront : · énumérer les drogues les plus couramment utilisées et leurs effets · discuter des tendances les plus récentes en matière de consommation de drogues · comprendre comment ces questions touchent les personnes handicapées · comprendre les options en matière de traitement et comment accéder au système de traitement des toxicomanies · intégrer la prévention et la promotion de la santé dans leur travail · élaborer un plan pour travailler avec les collectivités locales afin de favoriser une plus grande prise de conscience et d’améliorer l’accès au rétablissement pour les personnes handicapées Jennifer substance use trends how drugs affect the human body why people use substances impact of stigma on access to services identification and referral treatment options, including motivational interviewing, harm reduction and withdrawal management

3 Ordre du jour 1re JOURNÉE 9 h – 16 h 30
AVANT-MIDI Mot de bienvenue et survol : Jennifer Introduction à la toxicomanie : Keith Concepts clés Modèles de toxicomanie Pause Stigmatisation, discrimination et toxicomanie : Jennifer et Keith Habitudes de consommation de drogue, notamment chez les personnes handicapées : Keith et Jennifer Repas du midi APRÈS-MIDI Étapes du changement et techniques d’entrevue motivationnelle : Jennifer et Keith Responsabilisation et changement personnel : Keith Pause Effets des drogues, et plus particulièrement de celles qui sont le plus souvent associées aux méfaits : Keith Réduction des méfaits : Keith Questions et réponses : Jennifer et Keith 4. Dual disorders: Keith Identification and referral Keith Standard drinks/LRDG Screening: CAGE TWEAK AUDIT Identification Role play Jennifer

4 Ordre du jour 2e JOURNÉE 9 h – 16 h 30
AVANT-MIDI Mot de bienvenue et survol : Jennifer Promotion de la santé et prévention des maladies : Keith Pause Approches du traitement : Keith Le système de traitement du Canada : Jennifer Repas du midi APRÈS-MIDI Obstacles à l’accès : Keith Action sociale et changement des systèmes : Keith Pause Passer aux actes : Jennifer et les participants de l’ACCVA Récapitulation Actual hours??? 2. Harm reduction in health promotion & treatment Incl role of primary care providers 7. Contemplation & beyond

5 MOT DE BIENVENUE Survol de l’ordre du jour Règles de base :
Sous la direction des participants Présentations : Noms D’où vous venez et ce qu’est votre rôle Ce que vous souhaitez retirer de la formation Jennifer

6 Les problèmes les plus courants, les plus graves et les plus négligés de la société
1 Canadien sur 4 sera aux prises avec une dépendance ou une maladie mentale pendant sa vie (1 sur 10 en un an). Les 2/3 de ceux qui ont besoin de soins n’en recevront pas Le problème touche plus de gens que les maladies du cœur – plus que le cancer, l’arthrite et le diabète combinés. Coûte 32 milliards de dollars par an au Canada 14 % du revenu net d’exploitation de toutes les entreprises canadiennes (33 % des réclamations pour invalidité de courte durée). 20 % des enfants de l’Ontario ont besoin d’aide (seulement 4 % en reçoivent actuellement). CAMH deals with one of society’s most pervasive diseases and disorders: 1 in 4 Canadians will experience addiction or mental illness during their lifetime. Affect more people than heart disease – more than cancer, arthritis and diabetes combined. Cost Canada $16-billion a year, 14% of the net operating revenue of all Canadian Business (33% of short-term disability claims). 20% of Ontario children require help for addiction or mental illness (only 4% currently receive help).

7 Pourquoi les gens consomment-ils des drogues?
Remue-méninges pour dresser une liste de raisons que donnent les gens pour consommer des drogues. Quels sont quelques-uns des effets positifs, bénéfiques ou désirables que pourraient ressentir les gens lorsqu’ils utilisent des drogues? Jennifer Purpose: 1) Contextualize reasons, normalize range of reasons. 2) After next slide: MIND GAME: facilitator asks group to.. Everyone think of one substance you use regularly (coffee/tea/coke/ etc., chocolate, cigarettes, alcohol….) OK everyone got one in mind? Now we’d like you to commit to giving up that substance – just for the two days of this course – until Sunday (or just today) OK? Pause and notice their reactions….then Debrief: what did it feel like, how many people were really going to try, what difference does it make if it is your idea vs. an other person/teacher/therapist. NB How difficult it can be …especially without a clear motivation…we’ll come back to this later.

8 Quelques raisons pour lesquelles les gens disent utiliser des drogues
S’amuser/rendre les activités plaisantes plus agréables /intensifier les sentiments Expérimenter, tenter de nouvelles expériences Se détendre, faire face au stress Fuir la réalité, engourdir les sentiments Atténuer la peine ou la gêne Réagir aux pressions ou aux normes sociales Rendre les rapports sociaux plus faciles Accroître la créativité artistique À des fins spirituelles ou pour la méditation Se traiter soi-même contre l’anxiété, la dépression, le dysfonctionnement cognitif Purpose: 1) Contextualize reasons, normalize range of reasons. 2) After this slide: MIND GAME: facilitator asks group to.. Everyone think of one substance you use regularly (coffee/tea/coke/ etc., chocolate, cigarettes, alcohol….) OK everyone got one in mind? Now we’d like you to commit to giving up that substance – just for the two days of this course (or just today) OK? Pause and notice their reactions….then Debrief: what did it feel like, how many people were really going to try, what difference does it make if it is your idea vs. an other person/teacher/therapist. NB How difficult it can be …especially without a clear motivation…we’ll come back to this later.

9 CONCEPTS CLÉS Qu’est-ce que la « toxicomanie »?
Qu’est-ce que l’« abus de substances »? Quelles sont les causes de la toxicomanie? Un bref historique de la signification de la toxicomanie et de l’abus de substance

10 Qu’est-ce que la « toxicomanie »?
Quel est le premier mot qui vous vient à l’esprit si l’on vous pose cette question? Keith & Jennifer – Interactive: Audience brainstorms meanings of addiction (and substance use?) – 1 word or phrase -- Continues until enough to cover themes related to P&P dependence, LOC, harm -- Assure that not likely to be any wrong answer? Answers recorded on 1 (or 2?) flip charts as go Ask audience to vote on one descriptor that they think best describes addiction Point out exceptions – e.g., other compulsive behaviours, non-drug substances that can affect mood such as sugar and that can lose control over Is descriptor necessary/sufficient to meaning? Conclude [next slide] that what mean by addiction (and SA): varies widely within and societies is to some degree culturally determined evolving concept within our society

11 La signification de « toxicomanie » :
varie énormément à l’intérieur d’une société et d’une société à l’autre est dans une certaine mesure déterminée en fonction de la culture est un concept qui évolue au sein de notre société And Sas wil discus soon, so id the meaning of the term SA?

12 Modèles de toxicomanie
Modèles moraux Modèles de la toxicomanie en tant que maladie Modèles sociaux Modèles biopsychosociaux Insert Venn diag? Add in spiritual

13 Modèles moraux de toxicomanie
Le mouvement anti-alcoolique La guerre à la drogue

14 Modèles de la toxicomanie en tant que maladie
Le programme des Douze Étapes La biologie de la toxicomanie

15 Modèles sociaux de la toxicomanie
Les comportementalistes Le mouvement de la Vie autonome

16 Modèles biopsychosociaux de la toxicomanie
Déterminants de la santé et invalidité Inclusion de facteurs spirituels Meilleure compréhension de l’interaction entre les facteurs physiques, psychologiques, sociaux et spirituels WHO – D of H Miller Inclusion of perspectives of consumer of addiction services

17 La toxicomanie : un modèle intégré
BIOLOGIQUE PSYCHOLOGIQUE SOCIAL SPIRITUEL CULTUREL

18 Concepts actuels servant à comprendre la signification de l’« abus de substances » et de la « toxicomanie » Dépendance physique Tolérance aux drogues Sevrage Dépendance psychologique Dommages (aussi appelés « méfaits » et « préjudices »)

19 Dépendance physique état d’un organisme qui s’est adapté à la présence de la drogue à un niveau particulier lorsque la concentration de drogue diminue, les symptômes de sevrage se manifestent

20 DÉPENDANCE PHYSIQUE Tolérance
le besoin d’une plus grande quantité d’une drogue donnée pour parvenir à l’intoxication ou à l’effet désiré ou la diminution de l’effet d’une drogue en raison de la consommation continue de la même dose au fil du temps Process of adaptation

21 DÉPENDANCE PHYSIQUE Sevrage
Se produit lorsqu’on arrête abruptement de prendre une drogue, ou qu’on en réduit considérablement la dose Ensemble de symptômes souvent accompagnés de signes physiques apparents nature, severity, onset and duration vary widely

22 Sevrage... (suite) Le sevrage produit des effets contraires à ceux de l’intoxication. Les symptômes du sevrage peuvent être tellement désagréables qu’un individu qui les craint peut recommencer à utiliser la drogue juste pour éviter ou atténuer les symptômes. Once believed to be primary cause of addiction – cycle of withdrawal/cravings/relief

23 Dépendance psychologique
état d’une personne chez qui la suppression ou la diminution abrupte de la dose d’une drogue produit des symptômes non physiques il est caractérisé par une préoccupation affective et mentale à l’égard des effets de la drogue et d’un état de manque persistant Now considered the most important defining feature Important concept in understanding why people relapse after extended periods abstinence

24 Dommages ou méfaits Concept central dans la compréhension de la toxicomanie et de l’abus de substances Types de méfaits : Physiques Psychologiques Sociaux (p. ex., famille, amis, emploi, situation financière, système juridique) Spirituels Spiritual – in broadest existential sense: e.g., sense of well-being, hope, meaning Stats on depression & suicide

25 Liste abrégée de critères déterminant l’abus et la dépendance
Obsession à l’égard de la substance Utilisation accrue de la substance au-delà du niveau prévu Incapacité de contrôler la consommation Symptômes de sevrage Signes de tolérance Activités restreintes Affaiblissement des fonctions Utilisation nuisible ou dangereuse drug seeking/taking/recovery

26 Définitions du DSM-IV (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux)
DSM IV does not use the word “addiction”. Substitutes “dependence” --

27 Surutilisation non intentionnelle
DSM-IV Dépendance de substances :Au moins 3 des symptômes suivants sur une période de 12 mois : Tolérance Sevrage Surutilisation non intentionnelle Désir ou efforts persistants pour contrôler la consommation de drogue Réduction ou abandon d’importantes activités sociales, professionnelles ou récréatives Utilisation continue de la drogue malgré d’importants problèmes liés à la drogue Note: Neither physical or psychological dependence sufficient to Dx Substance dependence Can exclude drugs that might be dependent upon (e.g., for pain control) but don’t cause harm or LOC.

28 Abus de substances : Au moins un critère doit s’appliquer sur une période de 12 mois
La consommation répétée finit par empêcher la personne de respecter d’importantes obligations liées à son rôle au travail, à l’école ou à la maison Consommation répétée dans des situations qui sont physiquement dangereuses Problèmes juridiques répétés liés à la substance Consommation continue malgré des problèmes physiques, sociaux, professionnels ou psychologiques persistants

29 Mis à part le DSM… l’« abus de substances » est…
Une expression extrêmement complexe chargée de valeur, qui ne se prête pas facilement à une seule définition. Sa signification varie d’une société à l’autre. Connotation of “abuse”

30 Revue des principaux points…
Notre compréhension de la signification de la toxicomanie évolue. Le modèle actuel de la toxicomanie s’appelle le modèle « __________ ». Quels sont les 3 concepts clés de notre compréhension actuelle de la toxicomanie et de l’abus de substances? Parmi ces 3 concepts, lequel s’applique à la fois à la dépendance de substances et à l’abus de substances? Understanding of meaning of addiction and substance abuse is requires understanding of physical, psychological, social, spiritual & cultural factors.

31 Pause

32 Activité de clarification des valeurs
Examinez individuellement la liste de consommateurs de drogues sur la diapositive suivante et notez la première pensée ou image ou le premier sentiment qui vous vient à l’esprit. En groupe, discutez et classez les méfaits liés à la liste sur la diapositive suivante. Jennifer NB: takes minutes: 3-4 minutes to set-up, minutes at their tables, 10 minutes big group debrief. DEBRIEF: stigma vs. actual harms, …what ‘types’ of ‘users’ trigger us, that the greatest physical harms on a societal level are by far legal substances of alcohol and cigarettes (harm and legality)… Frame the values/approach for the work over the next two days

33 Activité de clarification des valeurs
Buveur de café Adolescent qui fume Personne qui prend de la méthadone Accroc au crack Personne dépendante de l’oxycontin Utilisateur de valium Consommatrice d’héroïne enceinte Buveur mondain Raveur (personne qui court les partys rave) Fumeur de marijuana Jennifer

34 STIGMATISATION, DISCRIMINATION ET TOXICOMANIE

35 Qu’est-ce que la stigmatisation?
Une idée complexe qui englobe les croyances, les attitudes, les sentiments et le comportement. Fait allusion à la « marque » négative se rattachant aux personnes qui ont une caractéristique, un trait ou un désordre qui les différencie des personnes « normales ». Cette « différence » est considérée comme indésirable et honteuse et peut se traduire par des attitudes et des réactions négatives (préjugés et discrimination) parmi les personnes qui entourent l’individu. Jennifer interactive discussion

36 Langage stigmatisant Drogué « Abus » de substances/abuseur Ivrogne
Accroc au crack Junkie Autres…

37 Le statut légal des drogues ne reflète pas leurs méfaits
L’alcool et le tabac causent plus de maladies et de décès que toutes les autres drogues combinées Examinez le rapport entre les méfaits et la stigmatisation Could add carbohydrates -- diabetes

38 Étude du CTSM sur la stigmatisation et la toxicomanie

39 TENDANCES DE LA CONSOMMATION DE DROGUE
dans la population en général parmi les personnes handicapées

40 79 % de l’ensemble des Canadiens consomment de l’alcool et 14 % utilisent du cannabis. (ETC de 2004)
18 % dépassaient les Directives de consommation d’alcool à faible risque. 14 % font un usage à risque d’alcool. La majorité des graves problèmes surviennent lorsque des buveurs modérés boivent trop en une seule occasion. (Rehm, 2003) Les Canadiens dépensent plus de 18 milliards de dollars par an pour l’alcool, le tabac et d’autres drogues. (Single, 1996)

41 La consommation d’alcool de plus de 90 % des jeunes hommes de 15 à 24 ans et de plus de 85 % des jeunes femmes était supérieure aux directives canadiennes. (Stockwell, 2005) Près de 60 % des personnes de 15 à 24 ans ont consommé de la marijuana au moins une fois; 38 % ont fumé de la marijuana pendant la dernière année. (ETC de 2004) Plus de 80 % des étudiants de douzième année consomment de l’alcool et près de la moitié de ces étudiants indiquent qu’ils en font une consommation à risque. (Adlaf, 2005) L’usage quotidien de cannabis a augmenté considérablement et un étudiant sur 5 dit conduire après avoir consommé de la marijuana. (Adlaf, 2005) Bien que le tabagisme ait diminué, 1 étudiant sur 7 fume toujours. (Adlaf, 2005)

42 FAITS SAILLANTS DU SCDEO de 2005… Les bonnes nouvelles
La consommation des drogues suivantes a diminué : cigarettes : de 19,2 % à 14,4 % alcool : de 66,2 % à 62,0 % LSD : de 2,9 % à 1,7 % PCP : de 2,2 % à 1,1 % hallucinogènes : de 10,0 % à 6,7 % méthamphétamine : de 3,3 % à 2,2 % héroïne : de 1,4 % à 0,9 % kétamine : de 2,2 % à 1,3 % barbituriques : de 2,5 % à 1,7 % Rates of drug use in 2005 are generally lower compared to earlier periods, especially the peaks in drug use observed in 1979 and again later in 1999. The following drugs declined in use q  cigarettes: from 19.2% to 14.4% q  alcohol: from 66.2% to 62.0% q  LSD: from 2.9% to 1.7% q  PCP: from 2.2% to 1.1% q  hallucinogens: from 10.0% to 6.7% q methamphetamine:from 3.3% to 2.2% q  heroin: from 1.4% to 0.9% q  Ketamine: from 2.2% to 1.3% q  barbiturates: from 2.5% to 1.7%

43 FAITS SAILLANTS DE LA SCDEO DE 2005… Les bonnes nouvelles
En 2005, plus d’étudiants ont dit ne pas avoir pris de drogue (ce qui comprend l’alcool et le tabac) pendant la dernière année (35,9 % en 2003 comparativement à 31,6 % en 2005) q       More students in 2005 reported being drug free (including alcohol and tobacco) during the past year compared to 2003 (35.9% vs. 31.6%), and fewer students in 2005 reported using 4 or more drugs (9.1% vs. 11.9%).

44 Populations spéciales
Les populations qui ont une consommation de drogue supérieure à la moyenne comprennent : Les jeunes et les adultes sans abri Les jeunes et les adultes qui sont des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels et des transgenres Les Autochtones Les travailleurs et travailleuses de l’industrie du sexe Les personnes dans les centres de détention et les prisons Substance Use in Toronto : Issues, Impacts & Interventions, février 2005

45 Des facteurs non reliés à une déficience peuvent être des prédicteurs plus importants des tendances de la consommation que le type de déficience Différences régionales Différences culturelles

46 La consommation de drogues est plus fréquente parmi les personnes ayant :
des maladies mentales des troubles d’apprentissage des lésions cérébrales et médullaires acquises des conditions causant de la douleur

47 Principales drogues qui sont une source de préoccupation parmi les personnes handicapées
Le tabac L’alcool Les opioïdes La marijuana Les barbituriques et benzodiazépines La combinaison de plusieurs drogues

48 Alcool et tabac

49 Opioïdes Analgésiques narcotiques Opiophobie
Questions liées au traitement des douleurs chroniques chez les personnes ayant des antécédents de toxicomanie ou d’abus de substances

50 Marijuana Utilisations médicinales Risques

51 Accès au rétablissement : Abus de substances et Vie autonome
PAUSE-DÉJEUNER

52 Ordre du jour 1re JOURNÉE
APRÈS-MIDI Étapes du changement et techniques d’entrevue motivationnelle : Jennifer et Keith La responsabilisation et le changement personnel : Keith Pause Effets des drogues, et plus particulièrement de celles le plus souvent associées aux méfaits : Keith Réduction des méfaits : Keith Questions et réponses : Jennifer et Keith

53 Le changement : activité de groupe
ACTIVITY: BUS of Behaviour Change. Ask participants to think about a behaviour that they have tried to change at some point in their lives such as: Ø      Smoking (reduce or quit), Weight loss, Stress reduction, Healthier eating, Exercise etc.  Group instructions (allow 5-10 minutes) Ø     Think of a behaviour you’ve attempted to change Ø     Place yourself in one of the groups posted around the room (signs will be up) Ø     Talk with the people on your ‘Behaviour change Bus’ and discuss o      What supported, helped or facilitated the behaviour change o      What was hard, challenging or difficult, and what contributed to those challenges o      (optional – did you have a specific goal? Did you reach it?) Debrief: Ø      All behaviour change is difficult o       Involves whole person and their social context Ø      Change is more difficult if there is a physical or psychological addiction Ø      Exercise to illustrate the challenge and connect with empathy to those attempting change regarding substance use

54 Rechute et retour à la consommation problématique
ÉTAPES DU CHANGEMENT Précontemplation Contemplation Rechute Rechute et retour à la consommation problématique Préparation Maintien Chronic relapsing model Action

55 Étapes du changement Précontemplation

56 PRÉCONTEMPLATION Caractéristiques :
« Il n’y a pas de problème » Ne voit aucune raison de changer Manque de conscience

57 PRÉCONTEMPLATION Pour amener le changement, il faut :
De l’information : Factuelle et personnelle Examiner les circonstances qui indiquent le besoin de changement Obtenir l’engagement du client, créer une relation positive

58 Étapes du changement Précontemplation Contemplation

59 CONTEMPLATION Caractéristiques :
Ambivalence Crainte du changement Aimerait arrêter S’intéresse au « problème »

60 CONTEMPLATION Pour amener le changement, il faut :
Examiner l’ambivalence Soupeser et examiner les solutions de rechange Examiner les « avantages » et les « inconvénients » d’actions particulières

61 Étapes du changement Précontemplation Contemplation Préparation

62 PRÉPARATION Caractéristiques :
Disposition à s’engager consciemment dans le processus de changement Imminence temporelle du changement

63 PRÉPARATION Pour amener le changement, il faut :
Recueillir de l’information sur les options Établir le premier contact

64 Étapes du changement Contemplation Préparation Précontemplation Action

65 ACTION Caractéristique :
Changement du comportement

66 ACTION Pour amener le changement, il faut :
Comprendre les facteurs qui encouragent le comportement Trouver des stratégies qui favoriseront le changement du comportement Communiquer avec les autres

67 Étapes du changement Précontemplation Contemplation Préparation
Action Préparation Précontemplation Maintien

68 MAINTIEN Caractéristiques :
Consolidation des changements Besoin de soutien Développement d’aptitudes

69 MAINTIEN Pour amener le changement, il faut :
Établir un système de soutien Pratiquer les changements du comportement Appliquer les plans de prévention des rechutes

70 Rechute et retour à la consommation problématique
ÉTAPES DU CHANGEMENT Précontemplation Contemplation Rechute Rechute et retour à la consommation problématique Préparation Maintien Chronic relapsing model Action

71 RECHUTE Caractéristiques :
Retour initial à la consommation Rétablissement des habitudes antérieures

72 RECHUTE Pour amener le changement, il faut :
Rétablir le contact avec les sources de soutien Examiner l’expérience acquise pendant la rechute et en tirer des leçons Examiner et modifier les stratégies de prévention des rechutes

73 RESPONSABILISATION ET CHANGEMENT PERSONNEL
Comprendre la motivation Autonomie Interventions motivationnelles

74 Pause de l’après-midi

75 EFFETS DES DROGUES Comment les drogues agissent-elles?
Qu’est-ce qui fait qu’une drogue cause une accoutumance plus forte qu’une autre? Quelles drogues créent le plus de méfaits?

76 Comment les drogues agissent
Afin de prévoir l’effet d’une drogue, nous devons connaître : le type de drogue la dose comment la drogue a été prise la distribution et l’absorption la métabolisation les interactions

77 La métabolisation barrière hémato-encéphalique (entre le sang et le cerveau) le corps ne distribue pas toutes les drogues de la même façon certaines sont emmagasinées dans les cellules adipeuses (les graisses) et libérées lentement d’autres s’attachent à la protéine plasmatique présente dans le sang et se rendent rapidement au cerveau

78 Travail du foie On trouve dans le foie des enzymes qui servent à éliminer la drogue de l’organisme. En décomposant la drogue, le foie forme des métabolites. Certains peuvent ne pas être psychoactifs alors que d’autres peuvent être plus puissants que la drogue originale. Les métabolites sont éliminés de l’organisme par l’urine ou les selles.

79 Interactions des drogues
prendre différentes drogues ensemble crée de nouveaux effets qui sont différents de ceux que crée la prise d’une seule drogue C’est ce qu’on appelle la synergie ou l’effet synergique; c’est comme si on multipliait les effets des deux drogues plutôt que de tout simplement doubler la dose certaines drogues annulent les effets d’autres drogues. C’est ce qu’on appelle un effet antagoniste

80 Types de drogues Classées selon l’effet psychoactif
Stimulants Dépresseurs Hallucinogènes Antidépresseurs Antipsychotiques

81 Stimulants augmentent l’activité en stimulant le système nerveux central inversent les effets de la fatigue et améliorent l’humeur d’une personne la nicotine et la caféine sont les drogues les plus courantes

82 Dépresseurs ralentissent les processus de l’organisme en agissant sur le système nerveux central portent au sommeil et peuvent causer un coma et même la mort les somnifères (barbituriques), les tranquillisants (benzodiazépines), les antispasmodiques et l’alcool sont les dépresseurs les plus courants les opiacés, comme l’héroïne et la morphine, peuvent être considérés comme une catégorie spéciale de dépresseurs, de même que les neuroleptiques comme le neurontin et la gabapentine

83 Hallucinogènes l’utilisateur voit, entend ou ressent des choses qui n’existent pas en réalité, mais ces substances ne causent pas de graves perturbations du système nerveux central le LSD (acide), la psilocybine (champignons magiques) et la mescaline sont des exemples courants de ces drogues les inhalants et la marijuana ont les caractéristiques des dépresseurs et des hallucinogènes

84 Antidépresseurs Inhibiteurs de l’IMAO
Antidépresseurs tricycliques, comme l’amitriptyline, Elavil et l’imipramine Les IRSS, comme le Prozac, le Paxil, le Celexa et le Zoloft Les ISRSN Autres, comme le Wellbutrin et Effexor

85 Antipsychotiques Principaux tranquillisants, comme la chlorpromazine et l’Haldol Les antipsychotiques « atypiques », comme la clozapine, l’olanzapine, le respéridone et le Seroquel

86 Facteurs liés au potentiel d’accoutumance et d’abus de drogues
Biochimiques et biologiques Effets sur le système nerveux central Voie d’administration Taux d’absorption/de métabolisation Taux d’élimination Effets secondaires

87 Facteurs liés au potentiel d’accoutumance et d’abus de drogues… (suite)
Personnels Neurochimie Antécédents en matière de développement Aspects de la personnalité Expériences de l’utilisation de cette drogue et d’autres drogues Valeurs, croyances et attentes Certains types de troubles et de déficiences Âge et santé

88 Facteurs liés au potentiel d’accoutumance et d’abus de drogues… (suite)
Environnementaux Disponibilité de la drogue Groupe social immédiat (p. ex., famille et pairs) et communauté à laquelle la personne s’identifie Normes et sanctions sociétales concernant la consommation de la ou des drogues en question

89 RÉDUCTION DES MÉFAITS

90 Les drogues causent vraiment du tort!
Inhérente à l’expression « réduction des méfaits » est la conviction que les drogues peuvent causer de réels dommages. Ces dommages ou méfaits ne sont pas une conséquence inévitable de la consommation de drogue et peuvent être empêchés ou atténués par diverses stratégies qui comprennent, mais non pas invariablement, la cessation complète de la consommation de toute drogue

91 Réduction des méfaits – concepts clés
La réduction des méfaits vise à réduire les répercussions négatives de l’utilisation d’alcool et de drogue sur la santé, la vie sociale et la situation économique des utilisateurs, sans exiger l’abstinence. Le but est de réduire les méfaits pour l’individu et la collectivité.

92 Réduction des méfaits – concepts clés
Est axée sur la diminution des méfaits et non pas forcément sur la diminution de l’utilisation Accepte le fait que la consommation de drogue est un phénomène universel et qu’elle comporte à la fois des risques et des bienfaits Ne porte pas de jugement positif ou négatif sur la consommation de drogue Moralement neutre – n’encourage pas leur utilisation et n’en condamne pas l’usage Approche non coercitive

93 Réduction des méfaits – concepts clés
Reconnaît que l’abandon de la consommation de drogue pourrait n’être ni réaliste, ni souhaitable. Propose des stratégies pratiques Santé publique Approche axée sur les droits de la personne On ne doit refuser l’accès aux services à aucune personne en raison de sa consommation de drogue.

94 Réduction des méfaits : concepts clés
Comprend une hiérarchie d’objectifs au lieu d’une décision « tout ou rien ». Établit un équilibre entre les coûts et les avantages. Offre de l’information exacte. Tente de promouvoir et de faciliter l’accès aux soins pour traiter les problèmes de toxicomanie et de santé mentale. Engage les consommateurs de drogue dans un continuum de soins dont ils seraient autrement exclus.

95 Réduction des méfaits et abstinence
La non-consommation est un choix viable On peut les décrire comme des éléments qui se chevauchent dans un continuum de soins. Abstinence de courte durée Abstinence d’une drogue, mais non pas de toutes les drogues Abstinence de longue durée de toutes les drogues Abstinence en tant que but, mais utilisation de stratégies de réduction des méfaits s’il y a rechute.

96 RÉCAPITULATION ET CLÔTURE 1re journée


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