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Chapitre 3 & 4 la production et les coûts

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1 Chapitre 3 & 4 la production et les coûts
Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA

2 PRINCIPE DE BASE Le coût de production est défini par trois caractéristiques suivantes: Le champ d’application du calcul :un moyen d’exploitation, un produit, un stade d’élaboration du produit… Le contenu : les charges retenues en totalité ou en partie pour une période déterminée ; le moment de calcul : antérieur ou postérieur à la période considérée.

3 PRODUCTION

4 LA NOTION DE LA PRODUCTION Terminologie et Définitions

5 LES TYPES DE DEMANDE  La demande indépendante est le besoin émis par un client extérieur à l’organisation industrielle ou commerciale. La demande dépendante regroupe l’ensemble des besoins internes émis par les unités de l’organisation industrielle ou commerciale (divisions, usines, ateliers de fabrication, ateliers d’assemblage, entrepôts de stockage intermédiaire).

6 LES TYPES DE PRODUCTIONS
La production unitaire : il s’agit de la fabrication d’un produit unique. Il est rare de constater la fabrication double du même produit. Ce type de production fait toujours l’objet d’un grand projet. Et une fois le produit obtenu, il reçoit un nom de baptême individuel. Le type de production unitaire est rencontré par exemple dans un chantier naval (chaque navire fabriqué est unique), dans les entreprises de génie civil (construction d’un pont)…  la production en séries : à l’inverse de la production unitaire, la production en série est la fabrication d’un produit à la chaîne et en quantités élevées.  En fonction de la taille du marché, on distingue la production en petite série et la production en grande série. 

7 PRODUCTION Client Produit

8 LES TYPES DE PRODUCTIONS DÉRIVÉES DE LA STRUCTURE DU PRODUIT
La production dite convergente : on parle de production convergente lorsque la fabrication du produit fini demande l’utilisation d’un nombre très élevé de composants.  Il ne s’agit pas de la quantité, mais de références distinctes utilisées Ex : la production d’un avion     la production dite divergente : la production est dite divergente lorsqu’à partir une seule matière ou d’un nombre peu élevé de composants, on obtient ou bout de la chaine de production un nombre très varié de produis finis (peu de composants ou matières premières pour plusieurs différents produits finis).  La production dite rectiligne : il y a un écart peu important entre le nombre de matières premières et le nombre de produits finis obtenus : plusieurs matières pour plusieurs produits 

9 LES TYPES DE PRODUCTIONS DÉRIVÉES DES EXIGENCES DE LA CLIENTÈLE
La production sur stock : génératrice de forts investissements (coûts des entrepôts et magasin) et d’immobilisations financières élevées (coûts de gestion des stocks) la production sur stock se fait obligatoirement lorsque le stockage est une étape indispensable à la fabrication du produit fini (EX : maturation du vin).      La production juste à temps, sont objectif principal est de supprimer toute activité de stockage sur l’ensemble de la chaîne de production/distribution ( politique du zéro stock). La production sur commande : c’est un type de production dans lequel l’achat des matières premières/composants/consommables et la fabrication du produit sont déclenchés à la réception d’une commande ferme des entités ou postes de travail situés en aval. 

10 LA NOTION DE LA PRODUCTION Processus, Structure et Procédure

11 LES TYPES DE PRODUCTIONS DÉRIVÉES DES PROCESSUS DE PRODUCTION
La production continue : il s’agit de la fabrication régulière de produits finis par une industrie. Ex : la fabrication du savon, la fabrication des produits alimentaires.    La production discontinue : c’est la fabrication de produits finis par lots homogènes. On rencontre ce type de production dans les industries qui offrent différents produits finis, cependant fabriquées dans une chaîne de production unique. La production dite de « processus » : elle est plus présente dans le secteur primaire. Notamment, la transformation sans interruption de matières premières.

12 LES TYPES D’ATELIERS DE PRODUCTION
Les ateliers à postes de charge ou (jobshop en anglais) (machines ou postes de travail manuel) isolés, la production y est discontinue; certains postes peuvent être regroupés en îlots. On parle alors d’organisation fonctionnelle de la production     les ateliers á flux continu, en anglais du même poste de travail flow shop, dont les postes sont mis en ligne (chaîne) on parle alors d’organisation linéaire de la production     les ateliers ou la cellule flexible, à production discontinue, dont les transferts entre postes sont automatisés. Plusieurs opérations différentes peuvent être exécutées à partir    

13 LES CENTRES D’ANALYSE Un centre d’analyse est une division de l’unité comptable où sont analysés des éléments de charges indirectes préalablement à leur imputation aux coûts des produits intéressés. Centre d’analyse Centres d’analyse auxiliaires : Dont l’essentielle de l’activité est Constitué de prestations de services à d’autres centres Centres d’analyse principaux : Dont l’essentielle de l’activité s’exerce sur des produits Principaux opérationnels : Dont l’unité d’œuvre est une unité physique Principaux de structure : Dont l’unité d’œuvre est une assiette de frais

14 LES UNITÉS D’ŒUVRE : L’unité d’œuvre est l’unité physique permettant de mesurer l’activité déployée par un centre et d’imputer ses prestations aux coûts de produits. Le choix de l’unité d’œuvre peut être : La main d’œuvre directe L’heure machine Le nombre de unités de matières … Le calcul du coût de l’unité d’œuvre, pour une période donnée, est le quotient : L’imputation du coût du centre aux coûts de produits se fera proportionnellement au nombre d’unités d’œuvre consommées par le produits objets de coûts. Coût du centre d’analyse Nombres d’unités d’œuvre fournies

15 PROCEDURE GENERALE DE DETERMINATION DES COÛTS DE COMMANDE
Etape1: Identifier la commande qui est l´objet de coût Etape 2: Identifier les charges directes á l´égard de la commande Etape 3: Identifier les centres d´analyse de charges indirectes en relation avec la commande Etape 4: Choisir l´unité d´œuvre pertinente pour imputer les charges de chaque centre d´analyse aux commandes Etape 5: Calculer le coût d´unité d´œuvre pour chaque unité d´œuvre servant á imputer les charges indirectes á la commande Etapes 6: Incorporer les charges á l´objet de coût en effectuant la somme des charges directes et indirectes.

16 LES CHARGES DE PRODUCTION

17 COÛTS D'OPPORTUNITÉ  Dans les sciences économiques, tous les coûts sont des coûts d'opportunité parce que lorsqu'une ressource est employée à un but quelconque, cela implique que d'autres biens ne peuvent pas être produit avec la quantité utilisée de cette ressource, qu'une autre ressource n'est pas employée à la place de cette ressource, et que l'on renonce aux revenus d'autres productions utilisant cette ressource.     Ex. Quand un étudiant prend un cours de sciences économiques, le coût de ce cours est plus que juste l'argent mais aussi le temps consacré à étudier aurait pu être employé à travailler dans un supermarché et gagner un bon salaire. Quoique le salaire ne soit pas un coût qui doit être déboursé, c'est un coût d'opportunité et un vrai coût néanmoins.

18  COÛTS FIXES Les coûts fixes sont les coûts sur lesquels une entreprise n'a pas de contrôle. Ils sont habituellement attachés aux facteurs de production et aux ressources fixes. Les coûts fixes doivent être payés, autrement l'entreprise devra fermer ses portes.

19  COÛT  VARIABLE Les coûts variables sont les coûts qu'une entreprise peut changer à volonté. Ils concernent les facteurs de production ou les ressources qui ne sont pas fixes. Les salaires, particulièrement ceux de l'aide supplémentaire et des employés à temps partiel sont des coûts variables typiques. Beaucoup d'autres dépenses sont également variables: fret et affranchissement, téléphone au-dessus du taux de base, entretien et nettoyage, et consommation d'énergie. Tout ceux-ci changent avec le volume de production.

20  COÛT TOTAL  Le coût total est la somme de tous les coûts: fixes et variables. TC = VC+ FC La courbe du coût total est une courbe ascendante: les coûts augmentent en même temps que le volume de production. La courbe a généralement une forme de S, reflétant l'efficacité croissante partir d'un niveau de production bas, et puis une diminution de l'efficacité quand le volume de production dépasse le point de rendements décroissants.

21 COÛT FIXE MOYEN Le coût fixe moyen (AFC) est calculé en divisant le coût fixe total (TFC) par la quantité produite (Q). AFC = TFC / Q la courbe du coût fixe moyen est représentée graphiquement comme une courbe décroissante asymptotique l'axe horizontal.

22 COÛT TOTAL MOYEN  Le coût total moyen (ATC) est calculé en divisant le coût total (TC) par la quantité produite (Q). ATC = TC / Q La courbe du coût total moyen est représentée graphiquement comme que courbe en U avec une partie décroissante raide et une partie modérément croissante qui sont attribuables aux formes des courbes des coûts moyens fixes et variables.

23 COÛT MARGINAL   Le coût marginal (MC) est calculé en divisant le changement du coût total par le changement de la quantité. MC = (changement de TC) / (changement de Q) La courbe du coût marginal est représentée graphiquement par une courbe en U, reflétant l'augmentation initiale, puis la détérioration de l'efficacité lorsque le volume augmente.

24 COÛT TOTAL MOYEN MINIMUM
La courbe du coût marginal intérsecte la courbe du coût total moyen à son minimum ( production optimale)

25 ÉCONOMIES D'ÉCHELLE   Des économies d'échelle, ou économies de grande échelle, résultent des gains d'efficacité quand la taille de la production est augmentée à long terme avec des changements appropriés des ressources fixes pour utiliser les ressources disponibles plus entièrement Causes d'économies d'échelle  1- Division des tâches et du travail réduisant au minimum les qualifications de la main d'œuvre,  2- Utilisation plus intensive du personnel le plus hautement qualifié,  3- Utilisation plus intensive de capital (par exemple, avec plusieurs équipes de travail),  4 - Capacité d'utiliser des sous-produits plutôt que de les jeter.

26 DÉSECONOMIES D'ÉCHELLE
Les dés-économies d'échelle ont lieu quand la taille d'une entreprise est excessive. Une entreprise peut en effet augmenter sa taille pour profiter des économies d'échelle, mais les gains disparaissent quand l'entreprise atteint une certaine taille. Les dés économies d'échelle appartiennent au long terme et doivent être clairement distingués des rendements décroissants qui ne se produisent qu'à court terme Causes 1- difficultés de contrôle et de surveillance,  2- prise de décision lente due à la taille excessive de l'administration,  3- manque de motivation des employés

27 Etudes de cas Cas VEOLIA CAS Project Planning

28 VALORISATION DES STOCKS
CHAPITRE 4 VALORISATION DES STOCKS

29 LA VALORISATION DES STOCKS
1- Définition Les stocks sont constitués de l’ensemble des biens qui interviennent dans le cycle d’exploitation de l’entreprise pour être : Soit vendus en l’état Soit consommés au premier usage dans le processus de production de l’entreprise

30 LA VALORISATION DES STOCKS
Phase d’approvisionnement Phase de production Phase de distribution     Marchandises Matières premières     Matières consommables Emballages Produits intermédiaires Produits en-cours     Produits finis Produits résiduels Emballages Marchandises

31 L´INVENTAIRE L’inventaire est le décompte manuel des quantités de marchandises stockées. Le but principal de ce décompte est de faire une comparaison entre le stock théorique (celui fourni par le logiciel) et le stock physique, afin de desceller les différences de quantités ; les erreurs d’adressage ; les stocks dormants …     Les opérations d’inventaire sont généralement effectuées sous la supervision du supply chain manager, du responsable de production ou du responsable de distribution.    Selon la fréquence de décompte, on distingue trois types d’inventaires : l’inventaire permanent, l’inventaire tournant et enfin l’inventaire annuel.    

32 L’INVENTAIRE PERMANENT
L’inventaire permanent est le décompte des quantités disponibles en stock immédiatement après chaque entrée marchandise et chaque sortie marchandise. C’est une méthode d’inventaire adaptée particulièrement pour les stocks dont les quantités par référence sont petites et les unités stockées faciles à dénombrer. Stock réel > stock théorique Stock réel < stock théorique Différence d’inventaire favorable Différence d’inventaire défavorable

33 L’INVENTAIRE PERMANENT
L’inventaire permanent est le décompte des quantités disponibles en stock immédiatement après chaque entrée marchandise et chaque sortie marchandise. C’est une méthode d’inventaire adaptée particulièrement pour les stocks dont les quantités par référence sont petites et les unités stockées faciles à dénombrer. Stock réel > stock théorique Stock réel < stock théorique Différence d’inventaire favorable Différence d’inventaire défavorable

34 L’INVENTAIRE ANNUEL L’inventaire annuel est le comptage de toutes les quantités en stock et dans tous les magasins à la fin de chaque exercice comptable. Il est réclamé par les contrôleurs financiers lors du calcul des soldes de gestion. Nombreuses entreprises l’exécutent au courant de chaque mois de décembre.  Compter les quantités de toutes les références enregistrées est un travail fastidieux, qui nécessite une bonne organisation des équipes, une bonne préparation du personnel de comptage et une célérité dans l’analyse des écarts.  C’est sur ce point que réside la faiblesse d’un inventaire général annuel.  

35 L’INVENTAIRE TOURNANT
L’inventaire tournant est le comptage périodique et planifié des stocks sur l’année.  Les inventaires tournant permettent particulièrement de : Alléger, voire supprimer la pratique d’un inventaire annuel (trop lourd, pénible et très coûteux lorsque l’arrêt des opérations s’avère indispensable durant cette période) ; Eviter la rupture des stocks critiques. Ce sont des articles dont le manque engendre des conséquences graves sur les opérations (arrêt de la production, goulets d’étranglement, pertes des ventes, annulation de commandes…) ; Eviter de conserver trop longtemps les erreurs d’écritures.

36 COMMENT ÉVALUER LES ENTRÉES EN STOCK ?
Le coût d’entrée d’un stock à l’actif (évalué pour faire le bilan) est constitué des éléments suivants : les coûts d’acquisition que sont les prix d’achat des matières premières, fournitures ou marchandises auquel s’ajoutent les éventuels frais de transport et de manutention, les droits de douane et autres taxes non récupérables ; les coûts de transformation que sont les coûts ajoutés au coût d’acquisition afin de parvenir au coût de production déterminé par la comptabilité analytique ; les coûts encourus pour amener les stocks à l’endroit et dans l’état où ils se trouvent.

37 QUELS SONT LES COÛTS EXCLUS DU COÛT DES STOCKS ?
les frais de commercialisation tels que la publicité et le coût du personnel commercial ; les frais qui n’amènent pas les stocks à l’endroit et dans l’état où ils se trouvent ; les consommations anormales (matières premières, maintenance… exceptionnelles) ; les coûts de stockage non nécessaires au processus de production.

38 VALORISATION DES MOUVEMENTS DE STOCKS
Pour évaluer les stocks, il est nécessaire de valoriser : les entrées et les sorties. Achats Production Distribution Stocks Entrée en stock des approvisionnements Sortie de stock pour la production Entrée en stock de la production Sortie de stock pour la vente

39 À valoriser selon les trois méthodes proposées
Entrées Sorties évaluées pour quels coûts ??? L1 C1 L2 C2 L3 C3 Les Entrées Achat Coût d’achat Coût de production Production Les Sorties Production Distribution À valoriser selon les trois méthodes proposées

40 MÉTHODES VALORISATION DES MOUVEMENTS DE STOCKS
Les trois méthodes de valorisation des sorties de stocks sont : Méthodes du coût unitaire moyen pondéré en fin de période de référence ou après chaque entrée (CUMP) Méthodes du premier entré / premier sorti (FIFO) Méthodes du dernier entré / premier sorti (LIFO)

41 MÉTHODES DU PREMIER ENTRÉ / PREMIER SORTI (FIFO)
FIFO : le Premier entré, premier sorti (First in, first out) Le coût unitaire de sortie d’un type d’article du stock est égal à la valeur de l’article qui est entré en premier chronologiquement dans le stock. Un article entre à 10€ puis 20€, il sortira en premier à 10€. Bien sûr, s’il s’agit de produits périssables, c’est une nécessité davantage qu’un principe. Inconvénient : si la rotation des stocks est lente, on risque de valoriser les sorties (donc les prix de ventes) avec des prix obsolètes.

42 MÉTHODES DU PREMIER ENTRÉ / DERNIER SORTI (LIFO)
LIFO : le dernier entré, premier sorti (Last in, first out) Le coût unitaire de sortie d’un type d’article du stock est égal à la valeur de l’article qui est entré en dernier chronologiquement dans le stock. Un article entre à 10€ puis 20€, il sortira en premier à 20€. Dans la mesure où cette façon de comptabiliser les stocks accélère l’inflation par les coûts (ou, réciproquement, la baisse des prix), elle n’est pas autorisée dans tous les pays (du moins en comptabilité financière, les règles de gestion interne étant libres…).

43 MÉTHODES DU PREMIER ENTRÉ / DERNIER SORTI (LIFO)
LIFO : le dernier entré, premier sorti (Last in, first out) Le coût unitaire de sortie d’un type d’article du stock est égal à la valeur de l’article qui est entré en dernier chronologiquement dans le stock. Un article entre à 10€ puis 20€, il sortira en premier à 20€. Dans la mesure où cette façon de comptabiliser les stocks accélère l’inflation par les coûts (ou, réciproquement, la baisse des prix), elle n’est pas autorisée dans tous les pays (du moins en comptabilité financière, les règles de gestion interne étant libres…).

44 MÉTHODES DU COÛT UNITAIRE MOYEN PONDÉRÉ PÉRIODIQUE (CMUP)
CUMP : le coût unitaire moyen pondéré périodique Le coût unitaire de sortie d’articles du stock est égal à la somme (de la valeur initiale + celles d’entrées en stock) divisé par la somme (de quantité initiale et celles d’entrées en stock). Si ce sont des stocks de produits finis, le coût unitaire d’entrée sera le coût de production (voir pour sa détermination la comptabilité analytique).

45 ILLUSTRATION: MÉTHODES VALORISATION DES MOUVEMENTS DE STOCKS
Date Libellé Entrées Q Unitaire Total 01 juin Stock initial 400 6,00 2400 08 juin Achats 50 7,00 350 22 juin 7,50 375 Deux sorties: Une pour Nantes le 15 juin: Q= 100 Une pour Lyon le 29 juin : Q= 100

46 ILLUSTRATION: MÉTHODE CMUP
 Toutes les sorties et le stock de fin de période étant évalués au même prix unitaire de 6,25 €

47 ILLUSTRATION: MÉTHODES CMUP
Le stock restant= stock initial – Q de sortie On applique le CMUP de 6,5

48 ILLUSTRATION: MÉTHODE FIFO
Soulte du stock 1er entré – Q sortie Q du stock entré 2ème – restant Q sortie Q du stock 1er entré – Q sortie Coût du stock entré en 1 er

49 ILLUSTRATION: MÉTHODE LIFO
Coût moyen du stock entré en dernier Q du stock entré dernier – Q sortie Q du stock entré 1 er – restant Q sortie Soulte du stock entré en dernier – Q sortie

50 LES RATIOS D´ACTIVITÉS
Ratio des ventes : Ratio des ventes d’un bien = somme des ventes sur une période donnée / stock cumulé sur une période donnée Ratios de rotation des stocks : Stocks de marchandises (en jours de CAMV*) = (Stocks de march. / CAMV*) x 360 Stocks de matières premières (MP) en jours de consommations = (Stocks de MP / consommations) x 360 Stocks de produits (en jours de prix de revient) = (Stocks de produits / prix de revient) x 360 (*) *CAMV = Coût d’Achat des Marchandises Vendues

51 ETUDE DE CAS- SOCIÉTÉ MONTOYAS

52 EXERCISE : MÉTHODES VALORISATION DES MOUVEMENTS DE STOCKS
La Société MONTOYAS a réalisé les opérations suivantes au cours du mois de janvier N : - 01/01/N : Stock initial : 3 000 articles à 105 € l'un. - 04/01/N : Bon de sortie n° 28 1 700 articles. - 12/01/N : Bon d'entrée n° 6 : articles à 108 € l'un. - 17/01/N : Bon de sortie n° 29 2 000 articles. - 20/01/N : Bon de sortie n° 30 1 500 articles. - 26/01/N : Bon d'entrée n° 7 : articles à 112 € l'un. Établisser un fiche de stock pour chaque mouvement selon le CUMP; PEPS et DEPS?

53 MÉTHODES VALORISATION DES MOUVEMENTS DE STOCKS

54 FICHE DE STOCK - CUMP APRES CHAQUE ENTREE

55 FICHE DE STOCK - PREMIER ENTRE / PREMIER SORTI (PEPS)

56 FICHE DE STOCK - DERNIER ENTRE / PREMIER SORTI (DEPS)


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